Autisme, paranoïa, schizophrénie, pervers polymorphes, délires des grandeurs et mégalomanies,
n’en jetez plus la cours est pleine !...
Il me semble que cela dépend de ce que l’on prend comme point de vue d’observation,
de sujet placé sous la lamelle du zioteur guetteur mélancolique du tiers-état psychanalitique de nos poltiques..
à l’échelle mondiale...déni de réalité, pour résumer beaucoup d’actes manqués...
et de lapsus, hélas révélateurs d’un monde laissé à la dérive...
Oedipe roi, au royaume des sourds et des aveugles...
est ce grave docteur ?
quel remède ?, surtout un remède qui ne soit pas pire que le mal...
Merci pour cet article et son évocation d’un artiste jubilatoire dans l’excercice de la révolte loufoque et magicien des attitudes poétiques et déjantées.
Il me fait penser à cette époque hélas révolue, chhère à mon coeur du bon rire, des Pierre Dac et autres innovateurs des partis les plus résolument engagés dans le ’MOU’ mouvement ondulatoire unifié, avec Jean Yanne et Goscinny.
Cela me fait revivre un peu de jeunesse, quand je venais écouter ses harangues,
il était souvent pour ce faire juché sur des cageots, tout bancal et tout marrant, attendrissant et philosophe un peu aussi,
c’était devant une foule bigarrée de supporters amusés et enthousiastes, juste devant la piazza du Pompidolium...
Il faudrait pouvoir lutter contre la pieuvre,
cachée dans l’antre des mondes souterrains et des mers monstrueuses des profits,
il est grand temps, l’équilibre naturel, vital, est menacé,
comme vous le soulignez il s’agit de savoir saisir l’occasion, et la bonne !...
il y a affluences aux urgences...
Redonnez- nous les Graeme Allwright , les Ferré les Brel,
et tous les chants poétiques des Pasolini, et des Tennessee Williams,
issus de la terre des déshérités, venus des horreurs de la guerre,
entachés des souffrances des marginaux et des laissés pour compte,
imergés dans les filets de ces trop coutumières idéologies,
pour écrire dans la véracité de la tension du cri, la révolte et l’espoir d’un monde plus fraternel,
pour chanter dans l’abîme intimité du souvenir trop réel,
pour advenir artiste, en présence réelle et effective du champ des martyrs...