Pour peu que l’on soit de temps à autre à l’affut de gags savoureux, il est difficile de rester indifférent à une telle actualité.
Il est en effet avéré que les vétérinaires savent se montrer efficaces, lorsqu’il est par exemple question de soigner :
- un troupeau de moutons,
- des boeufs,
- des oies (blanches ou non)
- des cochons (vieux ou non)
et j’en oublie.
L’élue qui a eu la brillante idée dont traite l’article a sans doute oublié que lorsque de tels épithètes animaliers sont appliqués à des humains, il ne s’agit jamais que l’effet des facilités du langage courant. A moins, bien entendu, qu’elle s’y reconnaisse à l’excès, mais il s’agirait là d’un autre problème.