Donc un chef d’État, le nôtre, négocie avec le patron d’une multinationale, reçu comme un chef d’État , un accord entre cette multinationale et un groupement de presse . Tout va bien .
Le patron de la multinationale veut bien accorder 60 millions à ce groupement de presse, soit 1,4 % de son C.A. en France, à condition qu’aucune loi n’instaure une taxe annuelle sur ce C.A.( ce qui serait contagieux ) . No problem .
Rien sur la durée pour cette somme accordée ( ni sur le redressement fiscal de 1,7 Md ), et la presse de se féliciter de recevoir un généreux don privé . Discours victorieux du président qui consacre l’hégémonie d’une multinationale . Tout est parfait .