L’exemple de la Crimée est mal choisi, les criméens ont choisi dans l’urgence d’organiser ce référendum après le coup d’état de Kiev ou des groupes néo-nazis ont renversé le président légitimement élu ! Des néo-nazis qui veulent « pendre la racaille juive moscovite ».
On ne s’étonne pas que les criméens, russes pour la plupart ont eu un peu peur et chaud au fesses !!!