il ne semble pas exact que les médias auraient sur pieds une telle dramarturgie si en amont il n’y a vait cette situation corneillienne du choix a faire entre 6 nauffragés, le 31 décembre et le O3 janvier entre ceux qui devaient vivre et ceux qui devaient mourir, les premiers étant des notabilités adultes locales et le seconds des jeunots étrangers à la région, tout ayant été déployés malancontreusement contre eux, Suez, Algérie, l’armée, le coût des avions,la vie familiale, les fêtes en cours, les femmes et les enfants...
jusqu’au point d’aller tourner sur leurs têtes, pour conclure que puisque on ne voyez rien, ils étaient morts