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jjwaDal jjwaDal 23 décembre 2015 06:01

Pour l’accès à l’orbite basse, on aura rien de meilleur que la propulsion chimique avant bien longtemps. Par contre, avec l’évolution de la puissance de simulation informatique l’avion aérospatial est concevable d’ici 20 ans. Passé l’orbite basse la propulsion chimique ne vaut rien et de plus en plus de satellites optent pour le « tout électrique » à la fois pour rejoindre leur orbite définitive et s’y maintenir, ou « tailler la route » pour les sondes.
Le moteur « magnétoplasmique » est en cours de validation sur des durées de l’ordre de 100 heures sur contrat de la NASA. Lui pourrait raccourcir le voyage vers Mars à 3 semaines de mémoire si on peut compacter et alléger un « moteur de sous-marin nucléaire »...
On ne va nulle part dans le système solaire avec un engin aérospatial ou un mode de propulsion qui n’a pas dépassé le cadre de la spéculation théorique. D’où l’intérêt de récupérer 90/95% du coût de fabrication des fusées classiques.
La « boule de feu » qui atterrit m’a fait penser à une scène du film « Le jour où la Terre s’arrêta ». Il y avait de la magie dans l’air (enfin juste du temps d’ingénieur...).


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