L’un des arguments de la fondation de l’Union Européenne, était que l’on était plus fort à plusieurs que tout seul, et ce bobard qui ne nous fait même plus rire, est encore utilisé par Macron.
L’UE a encouragé la mondialisation, financé les délocalisations, libéralisé les flux financiers, ouvert nos marchés aux produits à bas coût sociaux, fiscaux et écologique, favorisé les multinationales aux dépens de PME, en brandissant le drapeau de la... liberté.
Liberté du loup dans la bergerie !
Cela fait des dizaines d’années que les étasuniens rachètent nos entreprises « pépites » avec leurs dollars sans valeur pour en tirer des profits mirifiques.
Les chinois font la même chose avec leurs dollars pourris que les US leur fourguent par centaines de milliards contre leurs marchandises à bas coûts.
La BCE et la FED ont tout fait pour réduire les taux d’intérêts à
minima. Le gouvernement en rajoute en limitant autoritairement les
intérêts des livrets d’épargne, sous des prétextes fallacieux.
L’industrie coûte chère et les risques sont grands. Pourquoi, ceux qui accaparent à la fois les capitaux et le pouvoir, prendraient-ils ces risques alors que la spéculation sur les marchés financiers rapporte des fortunes ?
Tout est ici
Le chômage massif détruit nos systèmes sociaux financés par les salaires.
Tout l’art de Macron, représentant avéré de la bourgeoise financière, comme de ceux qui l’ont précédé, est de persuader les victimes qu’elles sont les seules coupables de leurs malheurs.