Je m’étonne chez un auteur se piquant de connaître les nombres, la littérature, l’art, la philosophie, bref un vrai Pic de la Mirandole des temps modernes, de ne trouver aucune allusion au paradoxe des nombres intéressants
Aucune allusion non plus, puisqu’on en parle au plus long palindrome de Perrec.
Enfin, comme le remarque un lecteur aucune distinction n’est faite entre les propriétés intrinsèques des nombres et celle découlant de leur représentation en base 10. L’auteur sait-il d’ailleurs ce qu’est une base de numération ? On peut en douter.