@Taverne
Dans cet ouvrage tellement atypique d’Orwell sur le fond (fond misanthrope ; misogyne en particulier), on pourra se demander, si Orwell n’a pas craint de« rater sa vie »... et d’être condamné à une existence terne, privée de moyens, en faisant le choix de l’écriture ? A-t-il cherché à conjurer le pire en écrivant ce brûlot anti-social ? S’est-il très tôt mis en danger, côtoyant la pauvreté comme pour mieux en réchapper ?