@Emma Shell
« Mon propos est de nous interroger sur la violence que constitue une interdiction de prescrire »
Il y a aussi la responsabilité de prescrire des traitements dont on n’a pas de preuve de l’efficacité et avec des risques connus. Un doctorant en médecine s’interroge :
" j’ai commencé à m’intéresser aux études de Raoult parce qu’avant de
prescrire ce traitement à des patients ou aux gens que j’aime, je
voulais être sûr de ne pas faire pire que mieux. Je voulais savoir s’il y
avait des bénéfices réels et, le cas échéant, s’ils dépassaient les
risques prévisibles à l’association des deux molécules. Un mois plus
tard, je n’ai toujours pas la réponse, mais le faisceau d’essais
cliniques et d’études diverses et variées me font de plus en plus
pencher la balance en faveur du non. "
Ne soigner que ceux qui guériront seuls
.