Johnson a parié sur le mauvais cheval en croyant pouvoir créer avec les isolationnistes américains un axe financier Wall-Street/City.
Manque de bol, c’est le camp des globalistes qui a le vent en poupe. Et parmi eux, Soros, qui est à Bide ce que Talleyrand était à Napoléon : l’éminence grise (et de la merde dans un bas de soie). Pour filer la métaphore napoléonienne, Johnson attendait Grouchy, et ’est Blücher qui s’est pointé. (Z’est bas mieux et z’est Blücher !)