@V_Parlier
Désolé, je rends les armes pour n’avoir pas pu retrouver les éléments dont je faisais état et qui existent pourtant.
Cependant je crois pouvoir affirmer que la pénétration de tiges cadmium, motorisées, dans un, ou plusieurs, assemblages de combustible pour réguler la réaction nucléaire, ne doit pas présenter plus de difficultés que le contrôle d’un feu de charbon ou de gaz sur un lit de plusieurs dizaines de m2.