On a l’impression d’avoir plusieurs vitesses dans la course. Deux « mutants » dont personne ne se fait d’illusion sur leur intégrité, quelques cadors derrière sur lequel on a de gros doutes, et puis la grande majorité du peloton derrière qui subit. C’est pour ces coureurs que je suis toujours ce sport. C’est cela qui me révolte cette année, je croyais que le cyclisme l’avait traité depuis une dizaine d’années. Contrairement à beaucoup sports, qui n’ont pas encore bougé, tu as raison.
Concernant la difficulté du parcours, je pense que cela n’a aucune incidence. On n’impose pas la vitesse de la course aux cyclistes. Un Tour tout plat attirerait aussi les convoitises et dérives.