Entre
le commerce de la fin du monde et une tendance à la culpabilité sélective, il y
a les divertissements apolitiques.
Quand
on confond prises de conscience et caprices de saisons, on fait d’un film d’un
soir une cause nationale, voire obligatoire.
Entre
les opinions biodégradables et les chèques en blanc, autant parier sur le
hasard, mais pas sur l’avenir.
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