@Deneb
Du point de vue purement technique, une femme a évidemment moyen de ne
pas se laisser faire, en mordant le membre de son agresseur, mais
l’accusation n’en est pas à un paradoxe près.
Avec un argument pareil, plus aucun procès pour agression sexuelle ne pourrait être tenu contre les hommes ayant contraint leur victime à les sucer. Soit au moins plusieurs centaines par mois.