L’échec scolaire a une cause

150 000 élèves sortent du système scolaire chaque année. Un sur cinq. Sans diplôme. Pourquoi cet échec massif ? Que deviennent les jeunes après qui quittent ainsi l’école ? Mercredi 23 septembre, l’Afev (Association de la Fondation Etudiante pour la Ville), qui organise la deuxième journée de l’échec scolaire, met le débat sur la place publique en s’interrogeant sur les politiques publiques d’éducation.
Enseignants (comme les Cahiers pédagogiques), familles et parents d’élèves, acteurs de l’éducation populaire, médias... La journée de l’échec scolaire placée sous le haut parrainage de l’Unicef et sous le parrainage du sociologue François Dubet est une vaste table ronde nationale sur la pratique de l’enseignement au moment de l’entrée au collège.
Et il y a du travail. D’après le baromètre Trajectoires de l’Afev, le décalage persiste entre les pratiques des enfants à la maison et ceux exigés par l’institution scolaire et le manque d’appétence pour l’espace scolaire est toujours aussi notable. Enfin de nombreux enfants ne comprennent toujours pas ce qu’on l’attend d’eux en classe.
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