Les principes fondateurs du Parti du Vote Blanc
Au fur et à mesure de notre histoire et des républiques successives, notre citoyenneté a perdu toute sa signification, sa force et son implication. Nous sommes tous concernés. Devons-nous accepter cet état de fait ? Et que pouvons-nous faire pour en changer ? Face à l’incapacité et l’impossibilité de l’ensemble du monde politique de procéder à une analyse de ce qui nous affecte et à prendre les décisions qui s’imposent au-delà des clivages des partis, nous, citoyens français, constatons les effets néfastes de la mondialisation sur notre société et sur les principes fondateurs de notre République et de notre démocratie.
Nous sommes tous concernés.
Devons-nous accepter cet état de fait ?
Et que pouvons-nous faire pour en changer ?
Face à l’incapacité et l’impossibilité de l’ensemble du monde politique de procéder à une analyse de ce qui nous affecte et à prendre les décisions qui s’imposent au-delà des clivages des partis, nous, citoyens français, constatons les effets néfastes de la mondialisation sur notre société et sur les principes fondateurs de notre République et de notre démocratie.
NOTRE HISTOIRE
La révolution française de 1789 a instauré de nouveaux concepts de société en plaçant le peuple au centre des décisions nationales. Pour la première fois de l’histoire de notre civilisation, il est décidé de faire voter le peuple afin d’élire des députés citoyens qui le représentent au sein d’une assemblée. C’est dans cette enceinte que les lois sont pensées, débattues et rédigées, en accord avec le Sénat, et c’est au gouvernement de les faire appliquer par les ministères concernés.
Le Président, élu également par le peuple, représente l’image de la France dans le monde. Il est le garant de nos institutions et assure la pérennité de notre identité. Il est le garant de nos principes démocratiques.
Trois mots que nous connaissons tous résument cet équilibre : Liberté, Egalité, Fraternité.
NOTRE CONSTAT
“Liberté, Egalité et Fraternité”, aujourd’hui de simples mots ne semblant plus peser lourd dans la politique moderne, déshumanisée et mondiale.
C’est pourquoi nous avons besoin de changement. Non pas d’un changement de surface, ni de réformes arbitraires imposées par les plus hautes instances, mais au contraire d’une réflexion plus profonde sur le fonctionnement même de notre société et de notre démocratie.
Pour faire face à cette hémorragie républicaine, nous n’avons que deux choix : la révolution par les armes ou la révolution par les urnes.
La révolution par les armes est aujourd’hui caduque car les têtes à couper ne sont plus celles de nos dirigeants mais celle d’un mondialisme sans contrôle dont la mort ne peut être donnée par estocade.
Mais il est possible de s’y opposer pacifiquement car le principe démocratique nous offre une solution saine et vitale.
Ce grain de sable, c’est le vote blanc.
Ce vote contestataire est depuis 1852 assimilé à ‘’l’abstention et aux bulletins nuls’’. Il n’est pas pris en compte par le monde politique qui l’assimile au vote nul et à l’abstention.
La fracture sociale entre la France d’en haut et la France d’en bas s’élargit à chaque élection à la suite de constante promesses jamais tenues, de déceptions répétées, de guerres de clans, à gauche comme à droite, mettant les électeurs que nous sommes dans l’indécision et le désarrois. De ce fait, l’abstention provient le plus souvent de citoyens ayant un profond dégoût du système, mais aussi de ceux qui veulent désespérément un changement, sans savoir vers qui se tourner, et qui ne prennent plus la peine de voter car ils en connaissent la vacuité.
‘’Un bulletin de vote est plus fort qu’une balle de fusil’’ Abraham Lincoln
Si le vote blanc était pris en compte, alors il deviendrait une véritable arme de contestation politique. C’est la raison pour laquelle notre démocratie nous incite à voter sans nous donner la possibilité de nous opposer à l’ensemble de ses candidats.
Pourtant, nous avons conscience de l’importance de faire entendre nos voix par les urnes, et même si la démocratie ne remplit pas toujours ses promesses, elle reste la meilleure solution, et nous voulons en respecter les règles.
Nous voulons voter pour des citoyens intègres, indépendants des pouvoirs financiers et médiatiques. Des citoyens qui ne soient pas obligés d’avoir recours à la démagogie d’un discours de parti pour rassembler les plus naïfs d’entre nous, car beaucoup d’entre nous avons perdu notre crédulité au profit d’une saine méfiance.
Cette crise de confiance entre les citoyens que nous sommes et la classe politique laisse apparaître à chaque nouveau scrutin le nombre croissant des abstentionnistes et des votes protestataires, ce qui fait bien évidemment les affaires des partis extrêmes.
Ce malaise politique pourrait être atténué s’il était proposé aux électeurs souhaitant s’exprimer une autre possibilité : le vote blanc
NOTRE AVENIR
Nous proposons donc de créer un nouveau parti politique, le Parti du Vote Blanc.
Un parti pour lequel le citoyen retrouve sa place centrale et omniprésente, berceau de la démocratie.
Un parti pour représenter le vote blanc, dès lors comptabilisé, et permettant ainsi aux citoyens d’être pris en compte pour ce qu’ils expriment et de faire légitimement entendre leur voix.
Un parti sans programme démagogique mais qui se veut espace de réflexion libre sur les grands sujets de société et les enjeux de notre démocratie.
Un parti indépendant des partis politiques, crée par le peuple et pour le peuple.
Un parti qui rassemblera toutes celles et ceux, quelque soient leurs professions, leurs statuts civils et sociaux, leurs provenances, leurs lieux de résidences, et plus généralement tous les électeurs qui ne se reconnaissent plus dans la politique de notre pays et qui ont recours, faute de mieux, à l’abstention pour exprimer leur insatisfaction.
Par son action, le Parti du Vote Blanc entend proposer une nouvelle vision de la politique et de ses pratiques.
Par son influence, le Parti du Vote Blanc forcera l’ensemble de nos élus à prendre en considération la volonté du peuple souverain dans l’élaboration de leurs programmes.
Parce que nous refusons d’accepter l’état de fait d’un système défaillant qui va irrémédiablement à sa perte, nous entraînant dans son sillage, le Parti du Vote Blanc se pose comme une alternative pacifique, une révolte citoyenne constructive, qui nous offrira la capacité de changer les règles de notre société et de retrouver les principes fondateurs d’une démocratie exemplaire.
Par le peuple, pour le peuple et dans le respect de la démocratie et des lois de la République.
27 réactions à cet article
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Il y a quelque temps encore je croyais que cela pourrait être efficace. Après la manière dont le gouvernement et les assemblées ont traités la demande d’une majorité d’entre nous, non.
Un programme portant exclusivement sur la refonte de nos institutions, me parait bien plus à même de convaincre une large majorité.-
Réforme, ou mieux révolution des institutions c’est avec www.citoyenreferent.fr
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@gros macho
A quoi servirait le « vote blanc » comptabilisé « exprimé » ?
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Le Vote Blanc consiste pour un électeur à déposer dans l’urne un bulletin blanc : une feuille blanche absolument vierge de signe aux dimensions des autres bulletins qui peut etre fournie que glissée dans une enveloppe réglementaire fournie
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Voter blanc indique une volonté de participer au débat démocratique mais marque un refus des choix proposés.
Ce type de vote est clair et n’autorise qu’une seule interprétation :
“Je veux participer mais ce que vous me proposez ne me convient pas.”
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En d’autres termes, le vote blanc doit posséder un pouvoir invalidant permettant de révoquer une offre politique qui serait jugée inappropriée.
C’est pourquoi il doit être comptabilisé avec les votes exprimés
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exemple :
Vote Blanc comptabilisés comme Suffrages Exprimés,
on peut imaginer en se référant à la réalité :Candidat A : 3 votes sur 9 = 33,3%
Candidat B : 4 votes sur 9 = 44,4 %
Vote Blanc : 2 votes sur 9 = 22,2 %Certes, dans les 2 cas, le candidat B est le vainqueur de l’élection.
Seulement sa légitimité est bien plus faible lorsqu’on inclut les votes blancs comme suffrage exprimé. Le vote blanc jouant un rôle d’avertisseur.
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Si l’on raisonne par l’absurde :
Imaginons-nous à un premier tour de présidentielles.Si le vote blanc était reconnu et emportait plus de 50% des suffrages, le peuple aurait alors manifesté le fait qu’aucun des candidats ne l’a convaincu.
Par conséquent, le scrutin serait annulé et d’autres élections devraient être proposées.
Les participants devraient revoir leurs copies et faire évoluer leurs propositions, pour le moins, voire les candidats.
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Alors que, dans le système actuellement en place aujourd’hui, dans ce même cas de figure, le vote blanc emportant 80% des suffrages, n’aurait aucun effet.les partis se répartissant les 20% restants, le mieux placé serait tout de même, , élu !
Est-ce acceptable ?
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Le vote blanc, ne peut pas être comptabilisé comme un vote de décision départageant des candidatures électorales.
Cet article le montre bien, les promoteurs du vote blanc sont des frustrés d’un certain camp politique (l’extrême droite) qui pensent que leurs thèses sont partagées par ceux qui refusent un choix électoral. Malheureusement pour eux, et heureusement pour la démocratie, le bulletin blanc garde sont secret ; de même que l’abstention.
L’action citoyenne d’exprimer un choix, compte évidemment plus que de le refuser en votant blanc. Mettre à égalité l’expression du vote blanc et du vote exprimé, serait une insulte au fonctionnement de notre démocratie.
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Le vote blanc exprime une opinion sur le fonds : Une absence de choix réel. C’est un acte citoyen et une lâcheté masquée par la démagogie de le réfuter. Beaucoup d’abstentions sont d’ailleurs des votes blancs. Si vous en doutes, comptabilisons le vote blanc et reparlons du taux d’abstention... -
"Mettre à égalité l’expression du vote blanc et du vote exprimé, serait une insulte au fonctionnement de notre démocratie"
FAUX, Mettre à égalité l’expression du vote blanc et du vote exprimé serait une insulte au fonctionnement du régime de GOUVERNEMENT REPRÉSENTATIF dans lequel nous vivons.
Ce n’est pas une démocratie, le peuple ne gouverne en aucun cas et n’a aucun contrôle sur le ces élus qui une fois au pouvoir peuvent faire ce qu’ils veulent. Ils n’ont pas à suivre le programme qui leur ont permit d’accéder a leurs fonctions que je sache. Nous n’avons pas le choix de nos candidats, la liste est restreinte et nécessite des sponsors que seul les multinationales peuvent représenter.
Donc pour ma part, je n’ai aucuns respects pour ceux qui nous gouvernent et c’est avec plaisir que je les insulterai de mon vote blanc. En revanche jamais je n’insulterai la démocratie, la vraie, celle que je n’ai jamais connu. -
@Mojo
Regardez l’évolution de l’abstention au fil des élections.Qu’est ce qu’il signifie selon vous ? Que la plupart des gens méprisent la démocratie ou qu’ils ne se reconnaissent plus dans les personnes sensées les représenter ?Peut être que lorsque notre classe politique ne sera plus majoritairement constituée de guignols qui n’ont jamais connu le monde du travail, et qui auront donc des projets de réformes plus pragmatiques alors les gens retourneront voter.Le vote blanc, c’est un acte citoyen. C’est le refus de donner son adhésion par défaut à tel ou tel guignol.
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@The Unknown
Oui, c’est une façon d’exulter , et vous en avez parfaitement le droit , je comprends ce geste en attendant d’avoir le « vote blanc » comptabilisé comme exprimé, vous verriez que nous ferions bouger les choses dans le sens que vous espérez.
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Il faut le réclamer, c’est légitime. Mais ce sera dur, car ce n’est pas du tout l’intérêt des politiques en place, qui ont organisé une affaire juteuse à leur service et pour le sérail, et non au service du contrat passé avec l’électorat .
Contrat, qu’il rompent impunément un fois élus, il ne serait que de faire un bilan service qualité prix , par des indépendants, privés et discrets pour voir que l’on est pas mal servis, mais pas servis du tout, à un prix défiant toute concurrence.Car les « portes ouvertes » en ce domaine montre la part clean
et aptes à la revue de détail. -
@mojo
c’est exactement le contraire !
Le vote blanc souligne le coté démocratique de l’expression électorale et assainirait les élections que nous connaissons.
A condition donc que le vote blanc ne soit pas confondu avec les nuls, mais considéré comme vote exprimé, car il l’est de facto, par le fait que le votant se déplace pour dire avec un vote valide qu’il n’est pas d’accord avec les propositions de la liste de candidats, c’est une démarche tout aussi citoyenne, sinon plus, que de voter par dépits FN, parce qu’il n’y a pas d’autre moyen de marquer sa désapprobation .
A noter que ce parti dégonflerait d’autant ses résultats.
D’où vient cette idée saugrenue que le vote blanc serait un vote d’extrême droite, puisque les FN sont sur le même plan que les autres au moment du vote.
On comprend pourquoi les politiques de partis n’en veulent pas : cela va contre leur hégémonie dans le système électoral qu’ils ont rendu non démocratique en confisquant, à leur profit, les élections et leurs filières de recrutement des candidats .
Ce qui est scandaleux.
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je ne vais jamais à la pêche ! je vote toujours . :
si le candidat de mon cœur n’est pas au 2° tour je prend un bulletin umps , je le barre et j’écris dessus le nom du candidat de mon cœur
après je vais au dépouillement voir la tête des dépouilleurs umps ,
dans le pire des cas j’écrirai : MOI
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Persuadée que le tirage au sort est la meilleure façon de désigner des représentants, on peut également imaginer des bulletins blancs sur lesquels on écrit le nom de la personne qu’on aimerait voir élue, mais attention : coercition-collusion-corruption, le trio infernal, règle des trois C, succédané particulièrement antidémocratique.
Le tirage au sort : c’est bien.-
- Être représenté par le hasard est le plus bel oxymore jamais vu. Voyage en absurdité garanti par le chaos !
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C’est simple. Si, sur les 14 millions d’électeurs, 12 millions s’abstenaient ou votaient blanc, cela ferait obligatoirement un électrochoc à la classe polotique. Mais dommage, pour fédérer tout le monde, un peu difficile.
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@Clojea
Le porte monnaie devrait les fédérer...
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Seulement ils arrêtaient leur ponctions avant que la bête ne meurt pour qu’elle se retape,
ça, c’était hier.
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Aujourd’hui on importe des migrants pour chasser les autochtones (main d’œuvre moins dociles) et on fait une OPA sur le pays visé. Comme pour une entreprise que l’on dépèce, enfin presque.
La France aux enchères ! en 2022 bon allez 2027.
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Non je rigole ! C’est une parodie-fiction.....
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(Toute ressemblance avec une situation existante, serait fortuite.)
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Cette manière de faire ne pourrait fonctionner que si les votes blancs étaient comptabilisés « contre », et que si, tous, d’un seul accord décidaient de ce type d’action.
Pour l’instant, il n’a aucune valeur... il faudrait que les modalités de vote soient redéfinies.
Certes, il est vrai que le président actuel, avec le système en vigueur, ne représente guère plus de 42% des suffrages exprimés ! Cela ne fait pas une majorité ! C’est donc bien le système du vote qu’il faudrait revoir !-
Le vote blanc est un droit : ok.
Le comptabilisé et lui donner un statut et puis quoi ?
Des députés ?
Le principe est de faire des choix sur des options claires pas de refuser d’en faire.
Laissons deja TOus les choix exprimés etre presents au parlemeznt, dans leur proportions justes et la democratie sera deja un peu plus « representative et un peu moins injuste.
Pour l’’instant le militantisme pour le vote blanc ne profite qu’a une seule caste :
ceux qui veulent devier les votes des partis »alternatifs« ou »protestataires" vers du vote neutralisé. Ceci a pour effet immediait de maintenir l’etat des forces tel qu’il est.
A qui profite le crime ?
C’est deja dit !
Qui est donc derriere ce subeterfuge ?
C’est evident.
Mieux vaut voter Melenchon, FN, ou NPA que de continuer a maintenir les traitres au sommet de l’Etat ou dans son opposition d’operette.-
bonjour
si le vote blanc devient un parti de proposition alors il n’est plus un vote blanc.
exprimer son refus de se reconnaitre dans les projets politiques des candidatures se fait de plusieurs manières en fonction de sa conception de la démocratie.
l’abstention, et le vote blanc.l’abstention prête à confusion, entre ceux qui se foute royalement du droit de vote ou qui ont d’autres intérêts et ceux qui sont les déçus ou qui veulent exprimer leurs mécontentements, sans prendre la peine du déplacement jusqu’aux urnes.
le vote blanc et l’expression exprimé de son refus de toutes les propositions électorales. chacun de ceux qui votent blanc n’ont pas pour autant la même raison, qui par ailleurs peut se retrouver dans ceux qui s’abstiennent.
ceci dit la prise en compte du mécontentement exprimé par l’abstention ou le vote blanc peut parfaitement être pris en compte en ne validant pas un résultat des votes valablement exprimés (hors les nuls) qui ne dépasseraient pas les 50% des inscrits ;
par ailleurs ceux qui ne sont pas d’accord sur la politique du pays peuvent librement constituer un ou de nouveaux partis de proposition, et se présenter aux suffrages du peuple.
l’on ne peut retirer de l’abstention ou du vote blanc que chacune le leur expression singulière est de motivation identique, d’où l’illusion de pouvoir croire en la possibilité de créer un parti du vote blanc auquel l’on attribuerait tous les votes blancs exprimer comme s’ils représentaient la même motivation ou opinion.
cordialement.
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)@ddacoudre
Sans vouloir en découdre,
je peux préciser qu’un vote « exprimé » , comme son nom l’indique, exprime une démarche volontaire dans le cadre de la loi et du droit de vote dans une consultation organisées de l’électorat, par les services de l’état.
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Le bulletin Blanc ne peut en aucun cas représenter un parti en tant que tel .
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On élit un candidat, pas son parti, bien qu’il puisse représenter un parti intitulé avec le mot « blanc ».
les bulletins ne seront pas pour autant des « bulletins blancs ». Mais representant un candidat se réclamant de ce parti.
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Il est a prévoir que la loi va interdire un nom de parti, qui pourrait prêter à confusion, au nom de l’antériorité du nom du bulletin nommé « bulletin blanc » (2 février 1852).
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Mais en tout état de cause un bulletin blanc est une feuille blanche de papier absolument vierge de tout signe, mise à disposition ou apportée par le votant (c’est légal) aux dimensions réglementaires d’un bulletin de vote , glissé dans une enveloppe réglementaire.Il ne peut donc pas représenter un parti constitué.
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Attention, il y en a qui confondent les « voix » du Parti Blanc et les votes blanc...
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Le vote blanc obligeraiet les polytricards et chiens de garde à laisser entrer des candidats alternatifs. Mais plus je vois les médias agir, plus je me dis que le vote, lui-même, est en question.
Le tirage au sort, tel qu’Etienne Chouard l’exprime, me paraît encore moins dingue que le « vote ».
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Peut être alors un mouvement politique sous l’égide de vote blanc avec pour objectif de dissoudre la constitution et de passer a une véritable démocratie type Etienne Chouard... Il y a aussi le Venezuela qui montre un chemin alternatif pour une démocratie plus participative et juste.
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Ha le blanc d’Alsace quel régal pour les papilles........Ha non la bas ils votent à droite .......
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bof encore un truc qui sert à rien.
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Vote obligatoire + vote blanc
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Celui qui « vote blanc » fait une démarche citoyenne en prenant la peine d’aller voter en mettant un papier vierge d’écriture ou de signe quel qu’il soit, au bon format des autres bulletins le mettre dans un enveloppe adéquate prévue par la loi.
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Ce vote par bulletin blanc est prévu par la loi, mais n’est plus comptabilisé comme vote exprimé, mais il peut l’être du jour au lendemain par décret.
Seulement ce vote pose des problèmes au système électoral en place car il révélerait la supercherie des résultats que nous connaissons depuis qq décennies .
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En effet si ce vote était comptabilisé comme « exprimé » il dépasserait de beaucoup les scores des candidats présentés par la filière que j’appellerais « captive » car elle ne présente que les candidats du « sérail politique » qui ne satisfont pas un grosse part des électeurs. (pour beaucoup de raisons, mais surtout parce que n’étant pas aptes et tous venus du secteur public hors même les entreprises ou l’état est majoritaire, pire sont issus des écoles de l’administration qui n’ont aucune notion de l’intendance d’un pays à part lever toujours plus d’impôts pour combler un train d’état dispendieux et inefficace.
Et donc obligerait les partis à refaire leur sélection pour présenter de nouveaux candidats alors qu’ils ont déjà du mal à en faire émerger un présentable.
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Un autre effet pervers en est le score gonflé du FN
qui ne représenterait alors que les 8% du FN historique, grossi de l’effet supplémentaire bleu-marine qui le porte à 18 % (à analyser), mais qui peut être confondu, comme nous l’avons vu aux votes des « déçus » voire révoltés qui auront voté l’extrême par colère, justifiant maladroitement leurs votes comme on a pu l’entendre par : « on a vu ce que font l’UMPS et pas le FN, il faut essayer » et ainsi faire passer au FN les 20% voire 25% au plus fort score,
permettant aux autres partis de se situer sur des théories de pourcentages supposées : cachés dans les abstentions et ainsi ne pas être rejeté avec un score trop minable.
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Il faut donc relativiser les choses. Le bulletin blanc, aurait ce pouvoir, car réellement significatif, du rejet de tous les candidats en lisse et les scores deviendraient clairs et parlants
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Voila sommairement pour ne pas être trop long et rester dans le sujet.—
Cependant il y a d’autres mesures à prendre pour les votes des « indécis »et des « votes fantaisistes voire inciviques » qui perturbent gravement les élections et privent l’électorat responsable du sérieux et de la valeur de la démocratie.
Démocratie qui par ailleurs est déjà suffisent fragile à cause de sa liberté et de son ouverture républicaine par nature, pour ne pas laisser s’immiscer la perversion de l’utilisation de nos lois, prises à la lettre au lieu de son esprit , car ne pouvant pas régler tous les cas d’espèces, sans rogner l’espace de liberté chère à notre société.
Nos lois qui font appel, très souvent, mais de moins en moins, au « bon sens » et non à la sape d’une rigueur comptable et procédurière de cultures étrangères en quête de déstabilisation d’un système dans lequel ils ne peuvent pas prendre le pouvoir, sans imposer à dessein leurs règles aux dépens des nôtres.
Inutile de faire un dessin, la conclusion se faisant d’elle même.
Si l’on veut garder barre sur notre destiné et ne pas la céder aux coucous.-
@alt57
erratum
ne pas lire :Ce vote par bulletin blanc est prévu par la loi, mais n’est plus comptabilisé
mais
Ce vote par bulletin blanc est prévu par la loi, mais n’est pas comptabilisé -
Changer le politique ce n’est pas créer un nouveau parti politique ou présenter des candidats aux élections. La question du pouvoir doit être posée différemment en permettant l’expression du potentiel de chaque individu – l’homme est un animal social ou bien il meurt- à agir dans et pour la société tant au plan politique qu’économique ou culturel.
lacitedupeuple.com
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