« Retournez l’Alliance contre eux » (Dixit Juan Branco)
Emmanuel Macron a déclaré une guerre et appelé les français à une « Union Sacrée Nationale »...
Les français sont gentils et disciplinés. Monsieur Macron leur a dit de rester chez eux et, depuis, ils restent chez eux. Pour cette guerre les français se sont fait bons soldats. Pour autant ce ne sont pas des idiots, enfin pas tous car d' « Union Sacrée » point. Le bon soldat ne cherche pas à comprendre car chercher à comprendre c'est commencer à désobéir mais le français n'est pas comme ça, enfin pas tout à fait ! Cette guerre là est bien trop étrange pour être honnête. C'est tout de même extraordinaire, jamais le pays ne s'est arrêté comme cela. Cette guerre nous est tombée dessus alors que l'incertitude règne en tous domaines et surtout l'incertitude de l'avenir. Cela fait des mois que les gens râlent contre le désordre et les déconstructions. Chaque samedi ça râle en gilets jaunes et en semaine ça râle derrière les banderoles syndicales. Cette pauvre France, dirigée par un gouvernement aussi corrompu que médiocre, ne sait plus où elle va sinon qu'elle va dans un mur. Maintenant que les voilà confinés les français se sont évidemment demandé ce que c'était encore que ces conneries (?) !
La chose est vraiment étrange. Il y a déjà plusieurs semaines que ça dure et encore aujourd'hui il n'y pas grand monde qui comprend vraiment ce qui se passe à part cette vague impression, cette intuition immédiate toujours pas démentie, que ce type qui nous a été bombardé comme Président de la République se fout de nous car, d'évidence, ce n'est pas au virus que Monsieur Macron fait la guerre, mais bien à nous !
Il y a au sein du peuple français quelques bons portes-paroles. Ceux du gouvernement sont des imposteurs qui ne représentent qu'eux-mêmes. Moi j'aime bien écouter Juan Branco et plein d'autres aussi mais restons-en à Juan (prononcer Rôûann) puisque c'est lui qui nous invite à « retourner l'Alliance contre eux ». Il nous dit ça parce qu'il fait partie de ces quelques français qui ont presque tout compris de ce qui nous arrive. Grâce à lui et à quelques autres nous sommes de plus en plus nombreux à ne plus être dupes.
[ Juan Branco, d'origine portugaise mais ayant grandi à Paris et naturalisé Français en 2010 est surtout connu médiatiquement comme un des Avocats des Gilets Jaunes. Docteur en droit mais aussi militant politique maintenant sans attache, la dernière auprès de la France Insoumise. Il a écrit « Crépuscule » Éd. Points (ISBN 979-1030702606), ouvrage démontrant que l'élection du Président Macron a été usurpée, un autre livre « Assange - L'anti souverain » Éd. Cerf (ISBN 2204133078) et diverses contributions dans la presse libre.]
Mon objet n'est cependant pas Juan, même si je l'aime bien, mais ce qui nous arrive. Le coronavirus existe et remettre en cause la crise sanitaire n'a aucun sens. À l'inverse prétendre à une attaque biologique n'est pas absurde mais grandement improbable, le mieux étant de s'en tenir aux faits avérés. Car entres certitudes, celles de l'éternel complot et celles des plus naïfs il y a toujours une vérité pas souvent simple à appréhender. Des essayistes nous aident comme Lucien Cerise « Gouverner par le chaos » Éd. MAX MILO [ISBN 235341074X] et Naomi Klein « la stratégie du choc » Èd. Acte Sud [ISBN 2330026609]. Nous croyons vivre en démocratie mais il n'en est rien, la France et aussi les autres pays occidentaux vivent sous la coupe d'une oligarchie qui, certes, navigue à vue mais dispose d'atouts maîtres comme les médias, la finance, un réseau d'influence politique et donc une majorité d'élus à leur botte. Des événements ont lieu mais c’est la narration explicative qui est fausse, pas les événements en eux-mêmes. L’analyse de la crise actuelle révèle aussi l’application des techniques du pompier pyromane et du triangle de Karpman (suivant théorie des essayistes précités), c’est-à-dire le jeu de rôle bourreau/victime/sauveur. Le pouvoir laisse la situation de crise s’installer, voire l’aide à s’installer, volontairement ou involontairement. Dans le réel, le pouvoir occupe donc la place du pyromane, donc du bourreau. Puis, une fois que la crise est installée et en cours, le pouvoir se présente comme le sauveur, qui va donc nous sauver de la crise qu’il a lui-même installée furtivement, tel un pompier qui éteindrait l’incendie après l’avoir lui-même allumé discrètement. Ce faisant ce même pouvoir change rarement ses objectifs, n'oubliez jamais cela !
Ce qui sonne faux dans cette affaire de coronavirus, c'est la manière dont elle semble avoir été préméditée ce qui ne veut pas dire déclenchée mais plutôt attendue et les décisions politiques prises en opposition ouverte à l'objectif officiel d'enrayement de l'épidémie. Ces décisions allant parfois jusqu'au crime peuvent difficilement passer pour des erreurs ou de l'incompétence sauf pour une opposition pusillanime peu avare d'euphémismes. Ça commence par la classification début 2020 d’un médicament, la chloroquine, en vente libre depuis des décennies en substance vénéneuse, puis par un méchant réquisitoire contre un professeur en médecine le prescrivant tout de même... Ça continue par le refus d’octroyer des autorisations administratives à des laboratoires proposant des tests pour détecter l’infection au coronavirus, par le refus de l’aide proposée par des industriels pour la fabrication de respirateurs, etc... La préférence octroyée aux solutions de renfort les plus médiatiques par déménagement des malades en TGV en lieu et place d'autres solutions de renfort moins coûteuses mais peu spectaculaires, etc. Notons que la déconstruction méthodique des services de santé publique menée depuis des années sert bien la dramatisation de la crise sans que ça n'émeuve grand monde dans les médias autorisés. ( D'autant que cette déconstruction va probablement continuer.) Car la maladie du coronavirus n'a rien d'extraordinaire en terme de chiffres et si des hôpitaux ont été débordés c'est uniquement dû aux faibles réserves qui obligent les personnels à travailler à flux tendu même en temps normal, résultat de plusieurs années de démolitions des services publics. Bien sûr qu'un chiffre fait toujours peur, peu importe qu'on manque de référence puisque de toute façons ces morts existent vraiment même s'il n'y en a pas beaucoup plus que d'habitude. Et même pour ceux qui les comprendraient, l'imaginaire fait le reste puisque étant très contagieuse, la maladie risque de nous atteindre tous, forcément !
En tant que citoyen c'est là que nous devons nous interroger. Monsieur Macron ne nous veut pas du bien. Si l'exécutif voulait du bien aux gens il ne laisserait pas crever les malades, quand il ne les achève pas, encore ! Et s'il ne veut pas le bien des malades pourquoi voudrait-il du bien aux autres ?
Ce confinement a-t-il été vraiment décidé pour notre bien ? Personnellement j'en doute.
Le confinement a au moins un avantage (en fait il en a d'autres aussi), c'est qu'être bloqué à la maison nous oblige à réfléchir. Surtout avec en plus une télé et une radio plus angoissante que jamais, ces idiots en faisant beaucoup trop, c'est par eux-mêmes que les français se mettent à penser ! Vu l'ambiance créée c'est encore sur ce qui tourne autour de ce fichu coronavirus que portent les discussions des uns et des autres sauf qu'entre gens normaux c'est bien plus plaisant. Internet est plus actif que jamais et on y décode ce qu'on n'a même pas vu à la télévision vu que, de toute façon on l'évite ! Les images de véhicules militaires pleins de cadavres en Lombardie sont terribles sauf que sur internet elles sont expliquées. Parmi les médias il y a quelques exceptions comme RT et son émission « Interdit d’interdire ». Sur le satellite RT ne fonctionne plus (écran noir) mais sur Youtube c'est encore mieux puisqu'on regarde les émissions quand on veut ! Monsieur Lepage, connu pour ses initiations à la conférence gesticulée et son décodage de la langue de bois, y est passé donner son avis. Lui aussi pense que le confinement est suspect. Il n'apprécie pas la manière dont les promeneurs sont traités en mauvais sujets par les médias et la manière des gendarmes qui surveillent les plages en hélicoptère.
Ensuite, c'est encore une essayiste, madame Valérie Burgault, que je vais citer car nos conclusions concordent, (source)
« On se rend bien compte ici de deux choses :
• Que la volonté affichée de protéger les populations cache une volonté sournoise de les mettre en état de choc et de les surveiller massivement ;
• Que l’anarchie sociale en cours de développement, est consciencieusement organisée par les pouvoirs publics eux-mêmes, sous le faux prétexte d’enrayer une épidémie. »
Au delà je citerai encore cette dame :
« de multiples informations montrent que l’existence d’une pandémie était prévue, pour ne pas dire attendue, par un certain nombre d’institutions et de personnages, au premier rang desquels on peut citer, pèle mêle, la fondation Bill et Melinda Gates, le centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire, le Forum économique mondial, l’OMS, la Banque mondiale,
Jacques Attali, le magazine « The Economist » (année 2019 et 2020) ... Avec le britannique Gordon Brown qui appelle ouvertement à la constitution d’un gouvernement mondial pour faire face à cette pandémie de coronavirus.
Nous faisons donc globalement, ou mondialement, si vous préférez, face à une situation inédite dans l’histoire, dans laquelle un petit groupe de gens, cachés derrière l’anonymat des capitaux et des institutions internationales et menés par quelques banquiers privés, organisent des chocs ou tirent parti de chocs afin de faire avancer leur agenda global de prise de contrôle politique du monde en instituant un « gouvernement mondial ».
Pour réaliser ce gouvernement mondial, il faut avoir préalablement développé, chez les individus en général et chez les dirigeants politiques en particulier, le sentiment de la nécessité d’une régulation des événements à l’échelle globale. Une pandémie est en effet le phénomène qui répond le mieux à ce type de besoin. Dès le départ, on peut et on doit suspecter une manipulation. »
Reste à ajouter ce qui est spécifiquement français, c'est à dire cette crise vue ici comme une guerre, « guerre » dont Monsieur Macron n'a pas dit qu'elle était menée contre les Français et non pas contre un virus. Sauf que les français savent que Monsieur Macron est un agent des banques et qu'en n'adhérant pas à l' « Union Sacrée Nationale » de ses vœux, le peuple français a empêché Monsieur Macron d'atteindre ses objectifs d'asservissement total des français.
Macron n'a pas encore gagné sa « guerre », qu'on se le dise et répète partout ! Quand au virus, sa principale arme (et non pas son ennemi !) ses jours sont désormais comptés.
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