Lettre à France
Ma France,
C’est dans un étrange sentiment, que je te quitte, je ne sais pour combien de temps.
Te voila, depuis maintenant, de longues années, plus spécifiquement les dernières, et pour de longues années encore, hélas, aux mains des forces de l’argent, du démantèlement de ton système et de ton lien social, au profit d’un état devenant de plus en plus policier, de lois de plus en plus répressives, des lois d’exception, sous le prétexte pseudo compassionnel de faits divers érigés en faits de société.
Frappée, comme les autres pays du monde, par cette crise provoquée par les banksters et les spéculateurs d’ un système inique, oppresseur, aggravant les inégalités, créateur de misère, de famines ; tes dirigeants, comme ceux des autres pays, s’empêchent d’en tirer la leçon, et, derrière les discours de façade destinés à égarer la galerie, s’apprêtent à relancer la même machine, dont le fonctionnement produira les mêmes effets dévastateurs pour les mêmes catégories de ciotyens ; tout à l’heure, demain, après-demain….
Bien sûr, tu ne pourrais rien toute seule, liée que tu es dans ce système absurde, où les mafias du libéralisme imposent au monde leur loi du plus fort, et retirent les prodigieux bénéfices d’une exploitation de plus en plus irréversible des hommes et de la terre.
Mais là où, en d’autres temps, tu sus montrer aux hommes le chemin vers plus de justice, d’égalité, de liberté, de fraternité, où ton peuple, grâce à son esprit rebelle, sa saine révolte, sut indiquer le chemin des droits de l’homme , tu n’es plus, aujourd’hui, qu’une voix atone dans le concert des nations prises dans le filet de la consommation, du pseudo libre-échange, de l’individualisme, du morcellement, de la résignation au laisser-faire dévastateur des tout-puissants marchés.
Là où tu indiquais la route du progrès d’une seule voix, pour le profit de tous tes fils, ne s’élèvent plus que quelques clameurs corporatistes, destinées à conforter des égoïsmes sectoriels, et, grâce au jeu classiquement machiavélique des forces de pouvoir, des oppositions de catégories de citoyens entre eux, du rejet, des schismes, des communautarismes s’excluant les uns les autres.
Toi qui a toujours été une fille d’immigrés, venus de tous horizons, et qui ont fait la richesse de ta culture métisse, te voilà devenue bassement raciste, laissant s’opposer tes enfants entre eux, reniant la diversité qui fut ta force.
Toi qui fut la fille des lumières qui éclairèrent le monde de leur formidable clarté, te voilà plongée dans l’obscurantisme de la chasse aux sorcières et des charters de la honte.
Toi qui fus la patrie de Piaget, de Freinet, de Dolto, toi qui érigea en modèle pour le monde ton école obligatoire, libre et laïque, te voilà à faire la traque à tes propres enfants, à les ficher, les encarter, les fliquer, dès l‘âge de 3 ans (! !!!)
à vouloir les enfermer à 12 ans,
quand les vrais truands tiennent, en toute impunité, le haut de ton pavé…
Marianne, on t’a mis un sale grappin dessus, et on ne sent plus ta force de révolte contre cet asservissement des tes idéaux.
Certes, tu n’es pas la seule à subir cette oppression ; elle est, aujourd’hui, comme on dit, globalisée, mondialisée : les forces qui l’exercent se moquent bien des états, des frontières, des océans ; elles ne connaissent aucune barrière à leur soif de pouvoir, de domination, de profit de quelques vampires, au détriment des 9/10 èmes de l’humanité.
Certes, il y a, sur cette terre, plus de la moitié de ses habitants qui survivent dans des conditions indignes, indécentes, honteuses, sans accès à l’eau, aux soins, à la nutrition, à l’éducation, à une simple vie décente,
Mais, sur ton sol même,
alors que plus de 10% de tes fils vivent sous le seuil de pauvreté, que 3,3 millions sont mal logés, que plus de 100 000 vivent sans toit, meurent dans tes rues, que les inégalités s’aggravent, que la paupérisation gagne tes travailleurs, que le chômage explose, que la précarité s’accroît pour tes anciens, chacun semble confiné à essayer de tirer sa propre épingle du jeu, en détournant les yeux de ses voisins, et en désignant à la vindicte quelques boucs émissaires…
Toi qui es à l’origine de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, ta liberté fout le camp de tous les côtés, sans qu’on entende le grondement de la légitime colère qui devrait, comme aux heures graves, faire descendre ton peuple dans la rue.
Ta télé, tes journaux, tes médias sont aux ordres ; on démolit ton école, tes hôpitaux, ta justice, on supprime tes droits si chèrement acquis ; on te vole au profit de ceux qui t’exploitent, on dénature ta terre, on pollue tes eaux, on souille l’air que tu respires, on te fiche, t’encarte, on te flique…
Dans les taudis laissés pour compte de tes banlieues urbaines, une partie de tes fils sont laissés à l’abandon d’une vie sans amour, sans occupation, sans espoir, surtout…livrés au désoeuvrement, matrice de toutes les dérives…
Dans tes prisons surpeuplées, où l’on n’a jamais enfermé autant, cohabitent, dans des conditions indignes, de petits bandits, des malades qu’on ne soignera jamais, des désespérés qui n’ont plus que la mort pour solution, de pauvres hères, de plus en plus jeunes,livrés en pâture à ce terreau de la délinquance, condamnés à vie, même leur peine finie… quand les vrais voyous, ceux qui jouent ton destin au casino de leur soif inextinguible de tes richesses ; volées, truandées, captées, soustraites, dilapidées, pavanent dans les paradis dorés où un soleil livide blanchit l’argent des armes, de la drogue, du sang et de la sueur…
Tu es, Marianne, comme le monde entier, soumise au joug des mafias financières, des ploutocrates obscènes, des prédateurs et des privatiseurs du vivant ; et tu sembles te laisser faire, résignée, inerte, divisée…
C’est vrai que tu ne peux pas, seule, renverser le cours des choses, opérer l’indispensable redistribution des cartes, des biens, de la justice : alors, il te faut t’allier, allier ta jeunesse, et tous ceux que la révolte, la colère, la soif de justice habitent encore, à cette multitude, qui, tout autour du monde, subit cette oppression, mais se bat, avec l’espoir d’y mettre fin.
Tu peux déclencher, toi ; la belle, la rebelle, l’insoumise, ce mouvement d’aile de papillon qui pourra parcourir la terre, comme une vague libératrice, vers les horizons enfin éclaircis de ton espérance…
Tu peux être, de nouveau, le phare d’un monde plus juste, plus libre, plus fraternel : encore y faut-il retrouver ta solidarité, la fraternité de ton peuple, la chaleur d’être ensemble, le plaisir du partage…
Je ne saurais désespérer de ta prochaine révolte ; elle va venir, je le sais ; déjà ta jeunesse retrouve le chemin de la rue, de la solidarité, de la saine rébellion…
En attendant, je te quitte pour quelques temps, pour des cieux plus sereins, plus amicaux, plus pacifiques.
Tu vas probablement me manquer, mais je dois avouer que je ne suis pas fâché de partir m‘enrichir d‘autres horizons, d‘une autre culture, respirer un air moins pesant, moins confiné, moins soumis à cette oppression rampante qu’imposent, quotidiennement, ceux, au pouvoir, qui usurpent ton nom…
Je reste à soutenir tous ceux qui continuent à combattre pour empêcher ton asservissement, pour retrouver ta liberté, ton souffle, ton esprit frondeur.
A côté de tous ceux qui se battent, chaque jour, pour assurer leur survie.
A tous les ennemis de la liberté, aux complices des affameurs, des mafias, de l’assujettissement des autres, aux valets du dieu-fric, à tous les membres de la secte du « marché », du chacun sa gueule et de la loi de la jungle, à tous les racistes, les xénophobes, les « de souche », les diviseurs des français entre eux, je te promets qu’on va bien finir par les empêcher de te nuire…
A tous ceux qui peuvent profiter encore de ta douceur de vivre, je compte sur leur solidarité, pour y associer, y recueillir tous tes enfants, de quelque couleur, de quelque confession, de quelque endroit qu’ils viennent.
Que renaisse ta tradition de terre d’accueil, ta chaleureuse bienveillance, ton hospitalité offerte aux enfants du monde en souffrance, comme un fanal de liberté et de fraternité.
Et, puisque je m’éloigne, sache que tes images, tes parfums, tes rivages, ne manqueront pas de me manquer...
Allez, pas d’effusions larmoyantes, je sais que tu vas te ressaissir, retrouver ta fierté rebelle, le souffle de ta liberté.
Et, comme disait l’autre ; ce n’est qu’un...
;-)
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216 réactions à cet article
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et donc la pauvre France ?
...elle est la meilleure et la pire (comme la langue d’Esope) c’est un raffinement, un déchet, une exergue, un miasme, une extase, un vomi, une merveille, un raffinement, une pourriture, un haut le coeur, une extrème beauté, un idéal, des mots, des attentes, une déception à la mesure, un espoir, un feu de joie, un plaisir infini, un sacrifice, un honneur, une déchéance, et elle aime à en mourir, elle a ce que certaines nations n’ont pas : elle est humaine... -
Et il n’y aura pas internet dans cette endroit, où l’on respire un air plus pur et moins pesant ? Connaissant tes opinions, je m’interroge ... Le Vénézuéla ? Cuba ? Chine ? Corée du Nord ? Iran ? Avec les Farcs en forêt colombienne ? Avec les naxalites en Inde ? Avec les maoïstes au Népal ? Mystère.....
Evite en tout cas les démocraties libérales d’Europe, d’Amérique, et quelques autres. Tu regretterais le socialiste Sarkozy, ce qui serai un comble !
Et j’espère que les violences que tu appelles, je veux dire les révoltes que tu crois historiquement nécessaires , n’auront pas lieu.
Marche à l’ombre.
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Là bas, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme, et volupté....
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Bonjour cher ami,
"Toi qui a toujours été une fille d’immigrés, venus de tous horizons, et qui ont fait la richesse de ta culture métisse, te voilà devenue bassement raciste, laissant s’opposer tes enfants entre eux, reniant la diversité qui fut ta force"
tu forces un peu trop sur la première partie de la phrase je trouve , mais comme c’est pour la bonne cause on te pardonne même si c’est évidemment du baratin cette histoire .
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Quel baratin ?
A part le Brésil, les Etats-Unis actuellement, quel pays plus métissé que la France ?
- En France, l’immigration est très ancienne. Elle a surtout concerné des personnes des classes supérieures jusqu’à la Révolution industrielle, venant notamment dans l’entourage des souverains. L’immigration de travailleurs se fait en réponse au malthusianisme des Français, sensible dès le milieu du XVIIIe siècle et les vagues d’immigration nombreuses suivent les phases de croissance économique : 1850-1873 (1,5 million de personnes), 1896-1930 (2,5 millions de personnes) et 1945-1975 (4 millions de personnes), soit 25 fois plus que durant les « Grandes Invasions de la fin de l’Antiquité et du haut Moyen Âge[22].
- Du milieu du XIXe siècle à 1914, les immigrés sont originaires des pays limitrophes de la France ; principalement de Belgique et d’Italie, qui constituent les deux tiers des immigrants, mais aussi d’Allemagne, de Suisse et d’Espagne, qui constituent de 7% à 9% des immigrants en France alors qu’on compte moins de 5% de Britanniques, Russes et Austro-Hongrois et que la part des étrangers non européens est quasiment nulle. Le recensement de 1851 est le premier à faire apparaître la catégorie « étranger » qui représente alors 1% de la population totale, 2 % vers 1872. Les Belges représentent 40% de cette immigration.
- Durant l’Entre-deux-guerres, les Italiens constituent le groupe le plus important, alors que l’immigration des Belges, des Suisses et des Allemands s’atténue et que celle des Espagnols (réfugiés) et des Polonais s’intensifie. Ces derniers présentent une nouveauté : ils ne viennent pas d’un pays frontalier. La Seconde Guerre mondiale provoque de nombreux départs, environ 300 000 étrangers quittent la France entre septembre 1939 et juin 1940.
- Après la Seconde Guerre mondiale, jusqu’a la fin des années 1960, les tendances précitées se maintiennent alors que l’immigration en provenance du Portugal puis du Maghreb et de l’Afrique noire s’intensifie. En 1970, l’immigration connaît une forte croissance non européenne et maghrébine. En 1975, les Algériens sont le second groupe d’étrangers le plus important en France, avec un taux de 20% des immigrants.
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Un tableau des immigrés récents en France : ils sont, en tout, plus de 16 millions...
Les plus nombreux étant ................ les portugais !
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elle est un peu drôle cette conception du métissage( pas la tienne mais celle qu’on constate)
ouais, on nous dit la même chose de Bruxelles ,et ici la moitié des élèves des écoles sont soit maghrébins ou turcs d’origine. depuis tt le monde parle de sociétés multiculturelles...mais j’arrive encore à distinguer de visu un Belge d’un Turc.
faut se méfier des tableaux. ils faussent le regard et ne parlent pas.
honnêtement et sans chercher à polémiquer inutilement je ne pense pas que les sociétés européennes soient des sociétés composées d’individus métissés.
maintenant que certaines d’entre elles juxtaposent différentes communautés ethniques les unes sur les autres ne font pas d’elles des sociétés métissées.pas encore.
au Maroc par exemple , je trouve les individus marocains bpc plus métissés qu’en France ou qu’à Bruxelles, et ce sans même jamais éprouver la nécessité de recourir au baratin égalitaire ....
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Bois-Guisbert 27 décembre 2008 11:56Pouir Sisyphe, un Marocain, c’est pareil qu’un Allemand
Un Sénégalais, c’est pareil qu’un Italien
un Sri Lankais, c’est pareil qu’un Belge
un Malien, c’est pareil qu’un Polonais
un Tunisien, c’est pareil qu’un Espagnol
un Gabonais, c’est pareil qu’un Russe
un Malgache, c’est pareil qu’un Suisse,
un Vietnamien, c’est pareil qu’un Hongrois
seulement, ce qu’il ne remarque pas ,ce plouc, c’est que les Allemands, les Italiens, les Belges, les Polonais, les Espagnols, les Russes, les Suisses se sont intégrés sans que jamais personne ne fasse état d’une nécessaire politique d’intégration.
Politique d’intégration, dont tous les modèles s’effondrent les uns après les autres ! En Espagne comme en Angleterre, en Italie comme en Allemagne, aux Pays-Bas comme en Suède ! Et en France comme partout ailleurs. -
bien sûr , mais ce sont les gens comme vous BG qui empêche la conception de l’auteur d’exister. Et vous êtes encore nombreux.
a priori personne n’a raison même si les faits vous donnent entièrement raison .un Allemand n’est pas un Turc. Ni le contraire.
- Soutien aux Palestiniens de Gaza , ça barde... -
Tu te trompes, bois bidule : je sais reconnaître que les gens sont différents, et bien heureusement, car la richesse vient, justement de ces différences.
En revanche, rien ne ressemble plus à un con qu’un autre con ; de quelque nationalité, couleur, confession, qu’il soit : et tu nous en apportes quotidiennement la preuve !
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Bois-Guisbert 27 décembre 2008 18:57ce sont les gens comme vous BG qui empêche la conception de l’auteur d’exister
Absolument pas ! Fondamentalement, c’est la nature humaine qui s’y oppose. Elle est foncièrement clanique depuis la nuit des temps.
Elle intègre des solidarités naturelles qui se déploient en cercles concentriques, à partir du noyau familial. Jean-Marie Le Pen a parfaitement illustré cette réalité universelle et éternelle : - Je préfère mes filles à mes cousines, mes cousines à mes voisines et mes voisines à des étrangères.
Dans ce contexte, la solidarité - ou la fraternité - selon Sisyphe, apparaît comme une posture intellectuelle, un choix volontaire, une démarche délibérée donc artificielle, à partir de quoi, par définition, on n’a jamais rien construit qui soit à la fois durable et solide...
D’où les échecs systématiques et récurrents des idéologies proches des convictions de Sisyphe et consorts. -
Bois-Guisbert 27 décembre 2008 19:54bien sûr , mais ce sont les gens comme vous BG qui empêche la conception de l’auteur d’exister.
Absolument pas ! C’est la nature humaine qui intervient, dans le cas particulier. Dans une déclaration fameuse, Jean-Marie Le Pen en a parfaitement résumé le fonctionnement à la fois universel et éternel : - Je préfère mes filles à mes cousines,. mes cousines à mes voisines et mes voisines à des inconnues.
De là découle des solidarités naturelles que les migrations détruisent : elles nous font vivre au milieu de gens qui ne nous sont rien, donc qui nous sont indifférents.
Aux antipodes, la solidarité - la fraternité - selon Sisyphe est une posture intellectuelle, le produit d’une démarche réfléchie, délibérée, volontaire, donc parfaitement artificielle, limite bidon, qui ne débouche jamais sur rien qui soit à la fois solide et durable.
D’où les échecs systématiques et récurrents des idéologies proches des "valeurs" prônées par Sisyphe et consorts. On s’en consolerait s’il ne fallait sans cesse se battre pour mettre en garde ceux qui pourraient se laisser séduire par ce genre de chimères. -
Bois-Guisbert 27 décembre 2008 20:06bien sûr , mais ce sont les gens comme vous BG qui empêche la conception de l’auteur d’exister.
Absolument pas ! C’est la nature humaine qui joue, dans le cas particulier. Dans une déclaration fameuse, Jean-Marie Le Pen en a parfaitement résumé le fonctionnement à la fois universel et éternel : - Je préfère mes filles à mes cousines,. mes cousines à mes voisines et mes voisines à des inconnues.
De là découlent des solidarités naturelles que les migrations détruisent : elles nous font vivre au milieu de gens qui ne nous sont rien, donc qui nous sont indifférents.
Aux antipodes, la solidarité - la fraternité - selon Sisyphe est une posture intellectuelle, le produit d’une démarche réfléchie, délibérée, volontaire, donc parfaitement artificielle, limite bidon, qui ne débouche jamais sur rien qui soit à la fois solide et durable.
D’où les échecs systématiques et récurrents des idéologies proches des "valeurs" prônées par Sisyphe et consorts. On s’en acommoderait s’il ne fallait constamment se battre pour mettre en garde ceux qui pourraient se laisser séduire par ce genre de chimères. -
ouais si c’est la nature humaine, qu’y peut-on, effectivement
Encore qu’affirmer qu’une telle nature existe prouve probablement qu’elle n’existe pas.
les sociétés occidentales devraient assumer plus franchement la xénophobie dont elles font preuve.
mais je comprends.
faut qu’on essaie une autre civilisation, celle-ci on connaît ses limites, juste pour voir...... -
Bois-Guisbert 28 décembre 2008 10:26bien sûr , mais ce sont les gens comme vous BG qui empêche la conception de l’auteur d’exister.
Absolument pas ! C’est la nature humaine qui joue, dans le cas particulier. Dans une déclaration fameuse, Jean-Marie Le Pen en a parfaitement résumé le fonctionnement à la fois universel et éternel : - Je préfère mes filles à mes cousines,. mes cousines à mes voisines et mes voisines à des inconnues.
De là découlent des solidarités naturelles que les migrations détruisent : elles nous font vivre au milieu de gens qui ne nous sont rien, donc qui nous sont indifférents.
Aux antipodes, la solidarité - la fraternité - selon Sisyphe est une posture intellectuelle, le produit d’une démarche réfléchie, délibérée, volontaire, donc parfaitement artificielle, limite bidon, qui ne débouche jamais sur rien qui soit à la fois solide et durable.
D’où les échecs systématiques et récurrents des idéologies proches des "valeurs" prônées par Sisyphe et consorts. On s’en acommoderait s’il ne fallait constamment se battre pour mettre en garde ceux qui pourraient se laisser séduire par ce genre de chimères. -
Bois-Guisbert 28 décembre 2008 10:31Encore qu’affirmer qu’une telle nature existe prouve probablement qu’elle n’existe pas.
Ca veut dire quoi, ça ? -
invoquer la nature humaine pour ses propres choix , c’est comme s’en remettre à Dieu qd la terre vous engloutit .on affirme Rien , on croit.
tiens justement , des chefs palestiniens s’en remettent à Dieu en direct sur Al Jazira....tu crois que ça va les aider à trouver la bonne explication de leur 300 morts des missiles israéliens
la nature humaine c’est bullshit -
Dans une déclaration fameuse, Jean-Marie Le Pen en a parfaitement résumé le fonctionnement à la fois universel et éternel : - Je préfère mes filles à mes cousines,. mes cousines à mes voisines et mes voisines à des inconnues.
Où l’on voit les penchants incestueux de notre borgne national.
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Bois-Guisbert 28 décembre 2008 14:40invoquer la nature humaine pour ses propres choix , c’est comme s’en remettre à Dieu qd la terre vous engloutit .on affirme.
La nature n’est pas un choix. C’est aller contre la nature humaine qui est le choix (artificiel).
C’est, en premier lieu, un instinct, celui de conversation, qui dicte de penser à soi avant de penser aux autres. Sans lui, l’espèce n’aurait pas cru et prospéré. -
Bois-Guisbert 28 décembre 2008 14:43Où l’on voit les penchants incestueux de notre borgne national.
Et moi, ce sont mes penchants zoophiles qu’on découvre quand je dis que je préfère ma chienne aux clandestins
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Penser d’abord à soi est selon Bois-Guibert l’instinct de "conversation"
Lapsus révélateur ou dyslexie ?
Si l’instinct de CONSERVATION incite à se méfier de l’autre, il incite tout autant à la solidarité et à la mutualisation. Nous sommes également un animal sociable et nous ne nous retrouvons pas qu’une fois l’an pour nous reproduire, il me semble en tout cas.
Mais peut-être êtes vous également hémiplégique ?
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Pour votre zoophilie, c’est possible, quoique nous ne sommes pas assez intimes pour que je me prononce plus avant.
Sinon, aimer plus sa fille que sa cousine peut tout autant être une construction culturelle humaine. Il existe des exemples animaux où l’instinct maternel n’existe pas.
Personnellement, je préfère certaines de mes voisines à certains des memebres de ma famille. -
l’ instinct c’est comme l’inconscient, personne ne les a encore jamais rencontrés sinon dans le tête de ceux qui ont intérêt à penser que ces choses existent bel et bien.
ceci dit tu as raison GB, Le Pen explique assez bien le mécanisme à l’oeuvre ds la société française , et qui probablement permet d’ expliquer l’origine des ghettos raciaux. dans les partis de gauche tricolores les arabes et les noirs n’existent pas non plus sans en attribuer la cause à l’extrême droite.
Mais expliquer ne peut pas servir à justifier. au lieu de justifier il faut simplement que la société française assume ses choix, honteux certes , mais au final relativement démocratiques. -
Toi qui fus la patrie de Piaget,
Ca c’est le côté Julien Dray de Sisyphe...
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Mea culpa : Piaget était, effectivement, de nationalité helvétique ; mais ses propres travaux reposent sur la reprise des travaux de Binet qui, lui, était bien français...
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Ben oui : la France, je l’aime ; donc, je la quitte, tant qu’elle est aux mains de voyous.
On verra (de loin) si on arrive à les empêcher de nuire ; en attendant, de l’air.....
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Abgeschiedenheit.
Si vous avez la télé, ce soir à 23H05 sur TF1 il y aura Gad Elmaleh en one-man-show, je ne saurais trop vous conseiller de regarder mais même si vous n’aimez pas les spectacles comiques là vous pourrez assurément dire quel style, quelle richesse pour la France, quelle culture métisse !
Bonne soirée.
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Sysiphe .....en partant ...
n’oubliez pas de laisser votre maison et vos biens aux miséreux que vous n’avez pas accueilli chez vous !
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"Que renaisse ta tradition de terre d’accueil".
Vous prenez le métro de temps à autre ?
Il y a certains mots que je ne supporte plus : métissage, diversité, France plurielle ...
On s’assimile ou on va sous d’autre cieux.
La République est française, pas universelle ...-
Le métro, je l’ai pris tous les jours pendant 25 ans.
Et je n’y ai jamais rencontré le moindre problème, comme les millions de gens qui le prennent constamment.
What else ? -
ADIEU SISYPHE
Enfin ! vous partez vers des cieux plus propices ! Comme votre ami le grand "MAURICE" qui a su voir où se trouvait la lumière avant tout le monde . Note de l’auteur pour les nuls : il s’agit bien entendu du grand Maurice THOREZ qui avait su voir en staline le petit père des peuples
Vous nous manquerez ; Votre avis m’a toujours intéressé . C’est une synthèse de ce que la gauche française a de plus pur et que le monde entier nous envie .Un mélange de fausse naïveté et de vieilles haines recuites dans le chaudron de la populace (façon tricoteuse de la révolution française) ; Ha qu’il est beau le son de la carmagnole .
Je crois que c’est pour Cuba ou peut être Haïti la première colonie française à s’être libérée . Toussaint l’ouverture ! quel nom et quelle classe . Au moins vous aurez une idée de ce qu’est la misère, la vraie pas celle de chez nous qui n’est qu’une misère pour riches .
Allez, sisyphe, partez et visitez le monde , espèrons que vous reviendrez moins con .Les voyages ouvrent l’esprit ! Si si !
Adieu-
Décidément, c’est le rendez-vous de tous les imbéciles dénoncés plus haut : ils se sont tous sentis concernés !
Quel plaisir de laisser ces fumets nauséabonds loin derrière....
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Ouaip !
Attention Sisyphe les fumets que vous laissez derrière vous en général sont de votre propre production ! -
Bois-Guisbert 27 décembre 2008 11:32Ce pauvre Brassens, on lui pardonne tout,. parce qu’il avait un talent fantastique, mais...
Après s’être moqué de ceux qui sont nés quelque part, quand il a senti le souffle de la Camarde dans son cou, il s’en est retourné sur la terre de ses pères pour y mourir et s’y faire enterrer...
Il y a des moments de vérité dans la vie, sisyphe, où l’esbrouffe n’a plus sa place... Vous en connaîtrez peut-être un sous le couteau d’un égorgeur, là-bas où vous allez, et où on vous prendra pour le nanti que vous êtes. -
firmin 26 décembre 2008 17:51En parlant de flatulences, bon vent Sisi.
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Le choc !
Qu’apprends-je ?
Sisyphe parti ?
Le meilleur d’entre nous,
Le fils ainé de la fille des lumières,
Notre Phare de la Pensée,
Notre commissaire politique bien aimé,
Le petit père de notre petit peuple ...
Malgré les larmes qui roulent sur mes joues, je souhaite ici vous rendre ce vibrant hommage.
Sisyphe, nous ne vous oublierons jamais.
Mais qui, maintenant nous fera rire comme vous saviez si bien le faire ?
Sisyphe, vous avez raison, La France ne vous méritait plus.-
ASINUS 26 décembre 2008 18:30Hit The Road Jack
Hit the Road Jack and don’tcha come back
No more no more no more no more,
Hit the Road Jack and don’tcha come back
No more
yep au fait votre revolution est toujours au bout du fusil ? du bol j ai retrouvé le mien :->-
" quand les vrais voyous, ceux qui jouent ton destin au casino de leur soif inextinguible de tes richesses ; volées, truandées, captées, soustraites, dilapidées, pavanent dans les paradis dorés où un soleil livide blanchit l’argent des armes, de la drogue, du sang et de la sueur… avez vous écrit, Sisiphe,
J’ai eu l’occasion, récemment, d’aller claquer vingt euros et boire une bière au casino rendu célèbre par notre ancien ministre ( fernandel sans les dents ), Charles Pasquoi. le casino d’Annemasse. Rien à changé depuis qu’il a été soupçonné comme chambre de blanchiment des trafics internationnaux le plus proche de Genève.
A ma droite, une grosse mamma noire, jouant par jetons de cent et ayant remballé, au bout d’une demie heure, après avoir sorti, cinq plaquettes de mille euros dans le fond de son sac. Probablement l’argent du FMI pour le Zimbabwe...
A ma gauche, trois miliciens mercenaires peut-être Comoriens qui perdent mais rejouent indéfiniment jusqu’à ce que je me lasse moi-même de les regarder. Probablement ces civils payés pour faire la guerre à la place des soldats qui eux restent en retrait, loin du front.
Au bar, deux jolies filles qui attendent que l’un d’eux les ramasse pour les taxer de ce qui reste et s’agenouiller dans une génuflexion immorale... Probablement une ancienne marianne déchue...
Et vous, Sisiphe, qui faites une déclaration d’amour platonique pour un pays que vous quittez à regret et le fil qui vous suit plein de désamour et vide de compassion...
Vous n’allez pas avoir de mal à vous faire de bien meilleurs souvenirs ! Bon vent à vous. L.S.-
bonjour lisa
quand j"’avais 5 ans mon école etait la chamarette à 600 m du casino
bonne année -
Yvance77 26 décembre 2008 18:33Salut Nissarte,
J’ai fait comme toi, j’ai quitte Nice.
Je reviens en cas de revolution que j’espere, marre de travailler comme un veau pour que des calmos avec leurs cerveaux de militaire, en amassent plus que ceux qui bossent vraiment.
Esperons que pour 2012 la France de Ferrat se reveille.
A peluche-
salut, païs !
Oui ; on reviendra quand le moment sera propice à la reconquête de la liberté !
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j’ai fait comme toi ,j’ai quitté Nice !....
pour aller où ? à Monaco ?
ah ,non ! la France de Ferrat ,à Fouzi les Ridelles ,à côté de Baisons la Jolie !
ah on se marre sur Avox ,y’a de sacrées vedettes !
allez ,comme on disait chez nous " bonne route et bon vent ,la paille au cul et l’ feu dedans ! " .
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Yvance77 26 décembre 2008 18:58Ben ouais mon gars je suis de Monaco en fait, et tu crois quoi que tous sont riches, ? Ben non mon pauvre ami, il en faut qui passe les plats a ceux qui se pavanent rolex au poignet, pute dans la bagnole rouge.
Mais bon t’es trop c*n pour comprendre.
A peluche -
ce maxim ; quelle élégance, quelle délicatesse ; à l’image exacte de cette partie de France qui schlingue, et qu’on a plaisir à quitter et à laisser patiner dans sa vulgaire médiocrité...
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@si...appelé communement monsieur 1 neuronne à cause de Pavlov(l’homme qui lutta jusqu’à la fin de sa vie contre les excés du communisme) Tu voulais vendre mon cerveau aux chinois aux chinois communistes de surcroit.Sache quand même que dans les pays capitalistes tu peux vendre tes organes moyenant une bourse sonnante et trebuchante ce qui n’est pas le cas en Chine communiste.L’endroit idéal me semble....oh horreur ...non eh oui tu t’en doutais un peu : Les ETATS-UNIS
Bon ce n’est pas grave tu pourras toujours envoyé ton chèque aux différents ONG qui aident les pays pauvres comme Cuba ou la Corée du Nord ou à moi je ne crachrai pas dessus.
P.SHélas tu ne pourras jamais vendre ton cerveau on le prendras même pas en Chine communiste désolé -
Ce qui est particulièrement rigolo, c’est que les Etats Unis dépendent entièrement, désormais.................. de la Chine communiste !
Si celle-ci voulait recouvrer ses créances, les USA n’auraient plus qu’à mettre la clef sous la porte : cocasse, non ?
T’inquiète, c’est pas chez les rednecks que je risque d’aller ; ni chez les cocos, d’ailleurs...
J’aime trop la liberté !
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Ben oui, mais non...
Parce que la Chine peut continuer à compter sur une croissance suffisante ; ce qui n’est pas le cas des Etats-Unis, qui ont besoin qu’on leur prête de nouveau de l’argent pour leur plan de relance (bons du trésor) ; et je ne crois pas, que, cette fois-ci, les chinois soient d’accord pour des créances en monnaie de singe...
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Y’ a internet en Corée du Nord ?
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Mais c’est quoi, le bordel sur ce fil ?
Pourquoi une partie des commentaires sont systématiquement masqués ?
Merci au modérateur de bien vouloir nous expliquer.....-
Je vous souhaite le meilleur pour votre nouvel horizon & de pouvoir revenir de temps en temps voir notre merveilleux pays . Je suis quand même un peu écoeuré, sans être vraiment tout à fait surpris, de constater que se manifestent d’abord les "coyotes" suite à votre article ! essayant de vous mordre une - dernière ? - fois avant votre départ. Les pires instincts sont manifestement mis en avant - comme d’habitude en France, hélas... et c’est une des facettes qui ne font pas trop regretter notre pays aux personnes qui voyagent hors de nos frontières ( ou souhaiteraient le faire ) ou qui connaissent d’autres pays....
Bonne route - et à "l’an qué ven..." comme on dit en Provence :)
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Bien vu Sisyphe
N’écoutez pas ceux qui ne voient que la France et qui pense que c’est le meilleur pays du monde et ce par rapport à toute la misère déployée sur les écrans de la télévison (arme de déstruction massive) française pour convaincre les citoyens que c’est pire ailleurs.
Sarko a dit "ceux qui ne sont pas content n’on qu’a partir"
C’est ce que j’ai fait il y a 3 ans pour aller chez les méchants coco vietnamiens et je n’envisage pas de retour avant quelques années.
Quand on arrive à penser autrement que ce que l’éducation et la télévision nous a inculqué on peux trouver un monde meilleur (et surtout plus efficace) ailleurs.
Oh France, c’est vrai, tu es un des plus beau pays du monde.
C’est dommage que des gens de pouvoir s’acharnent à le pourrir pour s’enrichir.
Et c’est pas d’aujourd’hui que ça dure...
De Gaulle disait déjà "Les français sont des moutons" et "Garre au jour ou le grand dragon se reveillera" en parlant de l’Asie.
On est en plein dedans !
Si les asiatiques se gaussent de Sarkosy, ce n’est pas parce qu’il rencontre le Dalai Lama, c’est tout simplement parce qu’ils le trouve ridicule avec son étalement de sa vie privée et ses effets thêatraux.
En plus, vu la gueule de l’opposition, je suis sûr qu’il repassera en 2012.
C’est bien connu, les français sont des râleurs qui ont choisi pour emblême le coq (animal qui chante même les deux pattes dans la merde)
Pendant ce temps il y en a qui bossent grâce aux usines occidentales qui viennent s’implanter à la pelle.
Aux profits de qui ?
Des actionnaires et des PDG ?
ou
De la classe moyenne ?
Bon voyage Sisyphe ! Moi aussi j’aime la France, mais elle est toute petite et n’est pas indispensable à la survie. Le monde est grand... Pas comme la vue de certains.
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Merci de me l’apprendre.
Entre une démocratie organisée et un parti unique, la seule differrence que je voie est qu’il y a beaucoup moins de politiques à entretenir.
N’avez vous pas remarqué que les perdant des dernières éléctions sont loin d’être dans la misère ?
Il y a quelques semaines j’ai été invité à une garden party à l’ambassade de France organisée per un ministre sous François Miterrand (ministre socialiste d’il y a 15 ans)
Selon le protocole on doit toujours l’appeller Monsieur le Ministre. Un peu comme Monsieur le baron sous la monarchie.
Voyage et buffet aux frais de la princesse, retraite à vie pour 3 ans d’activité. Sa mission sponsorisée par l’état, rencontrer les ONG présentes. Ses paroles "Ce doit être dur de rester perméable à ce que vous vivez tous les jours".
Son action = aucune
A mon avis la politique est un des pires fléaux organisé de notre société. Donc le fait qu’il n’y ai un parti unique me parait une bonne solution d’économie de salaires inutiles pour un pays.
Combien de partis en France et combien de personnes bénéficient de priviléges pour faire des représentations thêatrales improductives ? -
Je vous aimais bien, Sisyphe, mais le côté "je reviendrai quand ça ira mieux" me dérange et me déçoit.
J’espère pour vous que l’herbe sera vraiment plus verte ailleurs...-
Allez Sisyphe , reviens vite !
On a besoin de toi ...-
bonjour Sysiphe
là où vous allez il y a surement internet, alors nous comptons sur vous pour vos articles toujours de qualité, donc à bientôt même si vous changez d’horizons.-
c’est du bidon son départ ..
soit il a des emmerdes avec le fisc ,soit il ne fait plus un kopeck avec son job ,mais le coup de quitter la France sous le faux prétexte d’une dictature c’est du vent ...
souvenez vous des paroles de Noha ,le tennisman chanteur : "si c’est Sarkosy qui est élu ,je me casse !"
et il est toujours là à nous casser les burnes avec ses chansonnettes à deux balles !
ben tiens ,la soupe est trop bonne ici !-
Merci à tous ceux qui me témoignent leur sympathie : beaucoup vont me manquer.
La société française est de moins en moins libre
J’espère pouvoir un accès facile à Internet là-bas, pour pouvoir venir prendre de vos nouvelles... et en donner quand je pourrai..
Sinon ; tiens, en passant :
45% des Français estiment que la fraternité est toujours d’actualité contre 52% en 2004, 60% contre 68% pour la liberté, et 32% contre 40% pour l’égalité. 		 					
Ils sont en effet seulement 45% à estimer que c’est le cas concernant la fraternité, contre 52% en 2004.
Six sur dix (60%) pensent que la liberté s’applique bien à la société actuelle, contre 68% en 2004 et 75% en 2003, selon des précédents sondages sur le même thème. Et pour ce qui est de l’égalité, ils sont 32% à estimer qu’elle fait toujours honneur à la devise française, contre 40% il y a quatre ans.
Les associations et l’école fers de lance
Les associations (39%) et l’école (36%) sont les deux institutions les plus aptes à "encourager la fraternité", selon les personnes interrogées, auxquelles étaient proposée une liste d’ organismes où elles pouvaient choisir un ou plusieurs organismes.
Enfin, près des deux tiers des sondés (64%) se déclarent "prêts à donner de l’argent à une ou des associations d’aide aux plus démunis", 62% à s’engager dans une telle association, et 52% "à donner plus souvent à des personnes mendiant dans la rue".
Comme quoi, une majorité de français ne sont pas dupes, et manifestent une réelle solidarité ; c’est encourageant.
Les associations, effectivement, sont un bon levier ; non seulement pour manifester sa solidarité, mais aussi, pour résister démocratiquement à l’oppression capitalisto-financière.
Quant à l’école, on compte sur les élèves, les enseignants, les parents d’élèves, les citoyens, pour empêcher son démantèlement.
De là où je serai, je continuerai à apporter mon soutien à toutes les formes de résistance.
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@sisyphe, pourquoi faire une "lettre" sur votre départ en laissant croire que vous quittez la France pour des raisons politiques ? Pourquoi ne donner aucune info sur les vraies raisons de votre départ ? pourquoi ne pas dire où vous allez ?
Tous ces silences s’entendent bruyamment au milieu des flons-flons sur la France que vous quittez…
Je trouve ça plutôt faux-cul, dommage, un brin de sincérité, dans ce monde de brutes aurait donné plus de poids à votre vraie-fausse lettre.
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par COLRE 							 														 (IP:xxx.x3.203.15) le 27 décembre 2008 à 10H21 							 							
																																					@sisyphe, pourquoi faire une "lettre" sur votre départ en laissant croire que vous quittez la France pour des raisons politiques ? Pourquoi ne donner aucune info sur les vraies raisons de votre départ ? pourquoi ne pas dire où vous allez ?
Pour être clair : je n’ai rien "laissé croire" .
Puisque je pars, j’ai écrit une lettre à France, en exposant mes sentiments, en la laissant.
Les raisons de mon départ sont totalement liées à la conjoncture ; et, bien que je n’aime pas étaler ma vie privée, je n’ai rien non plus à cacher.
Ici, vu la situation, je n’ai plus assez d’opportunités de travailler, et il me faut donc m’expatrier vers des contrées où la vie est moins chère, et où je pourrai faire aboutir des projets qu’il me serait impossible de mener à bien ici ; tout étant bouché.
De plus, j’y jouirai d’une douceur de vivre qui n’est plus possible, ici, pour le moment.
J’aime mon pays, mais je ne suis pas maso au point d’y croupir sous un régime que je rejette, et qui impose son oppression.
Par ailleurs, je l’ai déjà expliqué ; la terre est vaste, l’homme est un nomade ; et je ne suis pas un empoté de ses racines ; je suis un homme de sources.
J’ai déjà beaucoup voyagé dans ma vie, et ça m’a toujours été un enrichissement d’autres horizons, d’autres cultures, de contacts, et d’amitiés.
C’est donc une expérience enthousiasmante à vivre, que je tente aussi avec plaisir.
Ca ne retire absolument rien à tout ce que j’ai énoncé sur l’état actuel de la France, que je quitte non sans regret, mais également avec un grand soulagement, vu sa situation actuelle et à venir.
Voilà ; mes raisons sont donc autant d’ordre personnel que conjoncturel : il faut savoir s’adapter aux situations.
Et comme disait Lamartine : "Il n’y a d’homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie."
				
			 			
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Je me relis, on parle toujours trop vite.
Je voulais dire : votre constat amer et révolté (que je partage en grande partie) sur la mauvaise pente de notre société est une chose, votre départ en est une autre. Si vous liez ces 2 aspects, vous en faites une histoire d’ordre politique, et je ne me sens pas indiscrète de vous demander plus d’explications sur ce qui aurait dû rester d’ordre privé, sinon.
Alors, où est donc le pays fantasmé où vous vous enfuyez et qui ne serait pas soumis aux forces de l’argent ? Nous serions curieux de savoir.
Je critique assez la France et je pense qu’il faut combattre démocratiquement de l’intérieur ses dérives insupportables. Mais j’ai assez voyagé pour savoir qu’on est, malgré tout, plutôt pas mal loti par rapport à l’immense majorité des pays de ce monde. -
votre réponse n’apparaissait pas quand j’ai écrit mon 2ème post.
Eh bien, bonne chance, la France, vue de loin, vous paraîtra sûrement bien différente… -
Merci.
Alors, pour donner quelques indications, il ne s’agit pas d’un pays occidental, ni d’une terre musulmane, pas d’un pays communiste ; et c’est là-bas, de l’autre côté de la terre, sous les tropiques...
Tous ceux qui connaissent savent qu’il s’agit d’un des rares endroits où rêgne encore la douceur de vivre, un accueil chaleureux, une culture et un art extrèmement riches ; un temple de la zenitude....
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Bois-Guisbert 27 décembre 2008 12:01Tous ceux qui connaissent savent qu’il s’agit d’un des rares endroits où rêgne encore la douceur de vivre, un accueil chaleureux, une culture et un art extrèmement riches ; un temple de la zenitude....
La vache, il a choisi un pays où il n’y a ni immigrés maghrébins, ni clandestins subsahariens !
Et après ça, il se croit autoriser à faire la leçon à ceux qui sont coincés en banlieues sensibles ou aux environs... -
J’ai surtout choisi un pays où il n’y a pas de blancs cons et réacs : quel soulagement...
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Oui, je parle de fraternité ; entre gens de bonne volonté, entre gens solidaires, de quelque couleur, confession, origine, qu’ils soient.
Vis à vis des cons et des réacs (principalement blancs, puisque c’est ceux qu’on cotoie là-dessus) ; non seulement aucune fraternité, mais un bon gros doigt d’honneur : à utiliser selon convenance !
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Bois-Guisbert 28 décembre 2008 18:48Alors, pour donner quelques indications, il ne s’agit pas d’un pays occidental, ni d’une terre musulmane, pas d’un pays communiste ; et c’est là-bas, de l’autre côté de la terre, sous les tropiques...
Tous ceux qui connaissent savent qu’il s’agit d’un des rares endroits où rêgne encore la douceur de vivre, un accueil chaleureux, une culture et un art extrèmement riches ; un temple de la zenitude....
Bali en somme, que les touristes sont en train de pourrir avec leurs dollars et leur "liberté"... -
Un sondage exclusif Fnac-Fidh-« le Nouvel Obs »
France, où en sont tes droits de l’homme ?
Soixante ans après la « Déclaration universelle », la République est-elle à la hauteur de sa promesse ? Les droits sociaux et politiques sont-ils en progrès ou, au contraire, en régression, comme s’en inquiètent juristes et militants ? Notre enquête confirme le jugement des Français eux-mêmes : en France, « les hommes naissent libres et égaux ». Mais certains plus que d’autres..-
Sisyphe, grand salut amical à toi (tutoiement du coeur) et je dirais même plus, par rapport à ton départ : La Patrie reconnaissante ! (l’Etat étant squatté par des cyniques).
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Jojo 27 décembre 2008 10:59Sisyphe,
Allez avouez : Vous avez reçu des propositions pour changer de camp c’est ça ?. Si c’est le cas, ne les croyez pas, ce sont des menteurs de première …
Je vous l’ai déjà dit, vous n’êtes pas un modèle de diplomatie (pire que moi c’est dire …), mais vous avez un paquet de qualités et un courage qui vous honore.
Bonne chance et encore une fois, bravo et surtout merci !
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Pour le cercle de bilderberg, je n’y suis pas encore !
Sinon, merci pour les compliments.
C’est vrai que je suis loin d’être un modèle de diplomatie (c’est peu dire), que je suis impulsif, et parfois trop véhément vis à vis de ceux que je considère comme des adversaires ; mais, si je présente mes excuses quant aux termes et locutions parfois trop crus, je n’en retire, évidemment, rien sur le fond.
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quand on se barre ,on ne dit rien ,ou alors ,on rend sa carte de sécu ,on se met en règle avec le fisc ,on prévient l’Urssaf de sa cessation d’activité si on est soit entrepreneur ou libéral ,on prévient également sa banque ,sa caisse de retraite ,on fait une demande de visa ,et les cas échéant,de droit d’asile auprés du pays où l’on désire se rendre ,en général ,il y a déjà un certificat de bonnes moeurs à produire ,plus pour certains pays attendre le feu vert après enquête sur le demandeur ...
les pays d’accueil demandent et un point de chute ,et des moyens de subsistance suffisants ! de plus il faut fournir une bonne raison de fuir son pays ,soit parce que l’on y est persécuté politiquement ,soit parce que c’est une dictature reconnue ,à ma connaissance ,la France n’est pas une dictature que je saches !
c’est rien que du bidon cette lettre à France !-
Pauvre pomme !
Tu veux que je t’envoie tous les papiers de toutes mes démarches, la photocopie de mon visa ?
Qu’est-ce que tu as, mon brave ?
Ca te fout les boules de savoir qu’il y en a qui décident de changer d’horizon, quand tu restes confiné dans ta médiocrité ?
Jaloux, ma biche ?
Je t’enverrai des cartes postales, va !
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Bois-Guisbert 27 décembre 2008 11:42je sais que tu vas te ressaissir, retrouver ta fierté rebelle, le souffle de ta liberté.
Mais non, c’est fini tout ça !
De pays culturellement homogène, la France est devenue un hétérogène foutoir où les nouveaus venus n’aspirent qu’à vivre au sein de leurs communautés naturelles, là où ils rencontrent des gens avec lesquels ils ont de vraies affinités.
Un immigré Ivoirien n’aspire pas à devenir un Français comme les autres, mais à être un Ivoirien en France, parmi d’autres Ivoiriens en France.
Le communautarisme est inhérent à l’immigration alter-ethnique, alter-raciale et alter-culturelle. Tous vos grands discours sur l’universalisme et autres fadaises, n’y changeront rien. Vous vous résignerez dans quinze ou vingt ans. En accusant les Blancs, comme il se doit pour tout ethnomasochiste qui se respecte.-
va revendre ta chanson sur la nationale 7 ,celle qui est dans bide et chansons ! comme ça avec les droits de la Sacem ,tu pourras t’acheter un solex d’occase !
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L’article pourrait être intéressant si l’auteur ne glissait pas en plein milieu des mensonges énormes, dignes de la presse anti-allemande en 1920.
« Toi qui a toujours été une fille d’immigrés, venus de tous horizons, et qui ont fait la richesse de ta culture métisse, te voilà devenue bassement raciste, laissant s’opposer tes enfants entre eux, reniant la diversité qui fut ta force. »
C’est quoi cette histoire ???
Alors Sysiphe on ne parle plus des "droit de l’homme" ou de la "démocratie", c’est devenu trop ringuard. Le train à la mode c’est le métissage et vous sautez dedans à pieds joints. Tant pis pour les cadavres.
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tiens ,on n’a même pas vu son pote Momo se pointer pour lui souhaiter bon voyage !
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Eh ben, mon gros : tu continues à déverser ta bile ?
Trop de foie gras pendant les fêtes ?
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pfffffff ....
les gens comme toi ,mon pauvre vieux ,j’en ai dans ma propre famille ,bons à tout et a rien, artistes à la petite semaine ,et qui sont biens contents de me trouver quand ils sont dans la merde !...
alors tu sais ,le cinoche ça prend pas ! -
salut Calmos ,
c’est exactement ce que lui dis dans mon post ,j’ai deux personnes dans ma famille ,artistes ratés et révolutionnaires ,qui se révoltent contre la société parce que l’on ne reconnait pas leurs talents ...
seulement il sont bien contents de trouver le "facho" quand les temps sont difficiles ! -
En tous cas, ce qui est sûr, c’est que si j’avais un con comme toi dans ma famille, j’aurais plutôt porté des briques que de lui demander le moindre centime.
Mais t’inquiète pas pour "l’artiste à la petite semaine" ; toi, tu fais partie des cons à longueur d’année....
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Bois-Guisbert 27 décembre 2008 12:44seulement il sont bien contents de trouver le "facho" quand les temps sont difficiles !
Ah ben, au moins, ils sont pas fiers, ces petits jeunes... Il y a au moins un point qui plaide en leur faveur -
				par archibald haddock (IP:xxx.x3.58.234) le 26 décembre 2008 à 14H38 				 				
				
La bêtise incarnée par un gogol croyant qu’ un Noir , Jaune , Rouge , Bleu ou Vert ne puisse ^^etre ni con ni réac ... t’ es bien de gôche , une bande de cons à toi tout seul ... allez , va bidonner ailleurs avec ton cervelet...
Eh ben, le balourd !
Non seulement, tu nous fais le coup de la paille et la poutre, mais, en plus, tu bégaies ?
Tttt tttt... tu radotes, mon gars...
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Bois-Guisbert 29 décembre 2008 16:41Curieux ce modérateur qui laisse sieur Sisyphe traiter de cons ses interlocuteurs et qui ôte les réponses sur le même ton envers icelui .
En fait, c’est pour porter préjudice à ce pauvre Sisyphe. Laisser ses insultes afin que tous les nouveaux venus sachent d’emblée à quoi ils ont affaire... -
Castor 27 décembre 2008 12:30Texte qui démontre, s’il en était besoin, la furieuse envie qu’a l’auteur de laisser son empreinte à l’humanité d’agoravox.
Quand on part, on part, on fait pas dans le "j’m’en vais parce que vous êtes tous des cons"
Un égo démesuré, de grandes paroles creuses qui font penser aux voeux des enfants (paix sur la terre, plus de guerre, de famine...), la leçon facile et le verbe tranchant, à moi, il ne va pas me manquer, le Sisyphe.
Petite remarque sur la forme, que de mots compliqués, de beaux sentiments, de phrases alambiquées, de poncifs, d’enfonçage de portes ouvertes...
Serait-ce encore pour montrer aux petits la maîtrise de la langue française ?
Pour moi, trop, c’est trop, c’est un étal de traiteur un lendemain de festin : ça donne la nausée.
Allez, bon vent, M’sieur !!-
Bois-Guisbert 27 décembre 2008 12:48vous allez quand même me subir jusqu’au 3 janvier ...
On se disait aussi !!!! -
Castor 27 décembre 2008 12:53réaction en tous points conforme à ce que j’attendais de toi...
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Chhhtttt... calme toi, le vermoulu : c’est mauvais pour ton coeur à ton âge : tu risques une attaque....
En plus, en te laissant emporter comme ça, tu révèles ta vraie nature ; celle d’un être vulgaire et médiocre ; continue plutôt à faire dans le calembour, on voit que t’es con, mais on pourrait croire que tu le fais exprès...
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Chhhhtttt... calme toi, le vermoulu : à t’énerver comme ça, c’est mauvais pour ton coeur, à ton âge ; tu risques le coup de sang...
Et puis, en te laissant aller, tu dévoiles ta vraie nature ; celle d’un être médiocre, mesquin, et vulgaire ; reste à faire tes calembours ; on voit que t’es con, mais, au moins, on peut penser que tu le fais exprès...
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Adieu, grand Sisyphe ! Adieu, poète ! Adieu, justicier ardent, sans peur et sans remords ! Nul ne vous mérite qu’un paradis terrestre à l’image de vos rêves.
Cette dernière salve du résistant, galimatias abusant de l’anaphore et usant de la conglobation pour fêter un départ sous des cieux plus cléments et sans commentateurs, enrichie d’hyperboles, de clichés, de poncifs, tente quelques assonances et renforts d’expolitions, et parvient, jouant de l’auxèse et de l’anticlimax, à s’adorer narcissiquement.
Sisyphe part, non sans lyrisme, grandiloquent, son J’Accuse bouffi de mauvaise rhétorique en poche.-
par Cosmic Dancer (IP:xxx.x20.1.203) le 27 décembre 2008 à 13H13
.
galimatias abusant de l’anaphore et usant de la conglobation , enrichie d’hyperboles, de clichés, de poncifs, tente quelques assonances et renforts d’expolitions, et parvient, jouant de l’auxèse et de l’anticlimax, à s’adorer narcissiquement.
non sans lyrisme, grandiloquent, bouffi de mauvaise rhétorique en poche.
On ne saurait être plus lucide sur soi-même !
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Alors, poète, vous avez oublié de ranger votre inspiration dans vos bagages ? C’est petit joueur pour un grand humaniste.
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Rien à rajouter à ce ramassis prétentieux et narcissique de mots tous plus abscons les uns que les autres ; vous avez tout dit sur votre propre intervention ; le mot le plus approprié y étant "galimatias".
Arrêtez d’essayer de poéter plus haut que votre luth, ma pauvre CD : vous vous ridiculisez toute seule...
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Emportez Renève avec vous, noble chanteur, il vous racontera le sens des mots, celui du rythme et de la syntaxe. Et en français (une vraie révolution)
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Quand on écrit comme vous (cf l’article sur Jourde et Nolleau ) , vraiment, l’intérêt, c’est, à cet égard, de faire profil bas.
Mais, manifestement, votre suffisance et votre fatuité empêchent toute lucidité : quant à votre sens de "l’ironie", vous avez gardé le même depuis le CE1 ?
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Bonjour Sisyphe, et au revoir. Il paraît que l’enfer c’est les zozos. Leurs commentaires ici ressemblent furieusement à l’hommage du vice à la vertu.
Heureusement, l’internet est (presque) partout disponible, on garde le moral.-
Ce pauvre JL n’a encore rien compris. Aidez plutôt Sisyphe à partir vers son Eden non en victime, JL, mais en héros
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Cosmic, vous ne faites pas mentir ce vieux dictonqui dit que : "qui se sent morveux se mouche".
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Le vieux dit con, parfois JL, est proverbial
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Je ne fais pas du "bougisme" un principe, et j’aime les voyages en ce qu’ils permettent de connaître d’autres cultures, d’autres rythmes de vie, d’autres horizons.
Je l’ai répété ; je ne suis pas un homme de "racines" (bon pour les végétaux et les empotés), mais de "source".
La mienne m’a déjà emmenée en croiser bien d’autres, sous d’autres latitudes, et m’enrichir de leur limon ; celle-ci se rajoutera aux autres, avec profit.
Après, bien sûr, il ne s’agit pas d’idéaliser à outrance, mais, personnellement, je ne me suis jamais envisagé vieillir et croupir au même endroit ; j’aime le vent du large et les horizons.
D’autant plus que, là-bas, je vais pouvoir m’adonner à ma pratique sportive favorite (nager) toute l’année, et que c’est proche de plein d’autres lieux à découvrir.
Donc, pas d’inquiétude pour moi ; ça ira, merci !
Beaucoup mieux, anyway, que si je restais ici...
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Jojo 27 décembre 2008 22:10Sisyphe,
Nager toute l’année ? Je suppose que ce n’est pas « piscine d’intérieur » qu’il faut comprendre alors et à moins d’être de ceux qui aiment se les geler (les oreilles évidemment, quoi d’autre ?), je verrais bien un endroit comme ça. J’ai bon ?
Cela dit, « nager toute l’année » (vous n’avez pas honte de caresser des rêves pareils), j’en connais qui font ça très bien sur AV même et sans débourser un sou en transport, …, mais c’est vrai qu’il faut aimer les eaux troubles !
Vous devriez vous détendre. Que ceux que vous avez égratignés ou vos adversaires comme vous dites, viennent ici, vous présenter l’addition est un peu normal et vous l’avez bien cherché (en écrivant cet article). Mais que cela ne vous empêche pas de partir sur une note positive, alors vous devriez à mon avis éviter l’escalade quitte à … encaisser un peu plus. Qui sait peut être même qu’avec une parole amène …
Et si c’est l’Afrique du Sud, pas d’excuses car on y a accès à la toile …
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@ jojo
ce n’est pas l’afsud ; c’est plus loin... tenez, un petit indice ; rien que pour vous...
Sinon, je n’ai pas spécialement cherché la polémique, en écrivant cet article ; j’ai eu, au contraire, le sentiment de faire appel à ce qui fait la grandeur de la France ; son esprit de générosité, de liberté, de fraternité, de solidarité, hélas très mis à mal par ceux qui la gouvernent, et ceux qui les soutiennent.
En nommant les "adversaires de la liberté", et la suite, je n’ai fait que mettre en exergue ceux qui participent, activement ou non, de cette mise à mal.
Que toute une clique se soit sentie concernée, ma foi, c’est inévitable dans la mesure où ils prennent ce parti.
Mais, ensuite, je n’ai fait que réagir aux invectives ; je ne cherchais pas spécialement le fight ; il m’a plutôt été imposé.
Pas grave.
Je sais que je ne changerai pas les atavismes, les racismes, les xénophobies, les communautarismes, mais ça ne m’empêchera jamais de les combattre quand ils se présentent ; ça me semble relever du nécessaire combat pour un pays plus fraternel. Paradoxal, mais inévitable, puisqu’il ne s’agit que d’une contre-violence.
N’est pas Gandhi qui veut, et je suis, hélas, très loin d’être parfait...
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Bois-Guisbert 28 décembre 2008 10:57Je sais que je ne changerai pas les atavismes, les racismes, les xénophobies, les communautarismes
Evidemment non, puisque ce sont les attitudes naturelles de l’homme normal. Le reste, vos âneries, Sisyphe, ce sont d’artificielles postures intellectuelles... Des conneries de raisonneur raisonnant. Comme qui dirait un genre que vous et quelques autres, vous vous donnez.
En bon crétin "progressiste", vous vous dites sans racines, alors que tous les peuples vrais cultivent scrupuleusement leurs racines.
Et même les Balinais, ahuri ! -
ASINUS 28 décembre 2008 11:50"les atavismes, les racismes, les xénophobies, les communautarismes"
pour le coup votre voyagepermettras de decouvrir que ces tares que vous reprochez
a vos ex futurs concitoyens
sont la chose la mieux partagée en ce monde et que celles presentes sur le sol devenu l objet de votre detestation sont pour une bonne part importées avec l aval de la classe éduquée de ce pays , je vous ai cité Camus " l interpretant je vous redis la France c est ma mere fut elle une indigne maratre je n abandonnerais jamais ma mere, comme vous l ont suggérés certains de vos amis un départ plus
concis vous eu mieux convenus , imaginez vous seriez devenus une legende
Jeremiah Jonhson sans est allé..... -
un article à jeter au fond de la poubelle ! et hop !!!!
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Ca, c’est de l’argumentation !
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je veux bien croire aux coincidences telles que je plusse, il moinsse, zéro,zéro, balle au centre, mais lorsque je plusse ça moinsse et lycée de versaille,et cela systématiquement a chaque commentaire, je ne peux m’empêcher de penser, que des voyoux manipulent AVX
Quand a sisyphe, rien que l’avatar en dit long sur le personnage qui se cache derrière, l’heure du chatiment est arrivée , il part rouler dans le tarare pour l’éternité.-
Ceci dit Sisyphe a bien raison de s’exiler . Vivre en Europe si on ne gagne pas 3000 euros par mois devient vite une épreuve, et si en plus vous avez la gueule d’un sans- papiers c’est l’enfer la réputation qu’on vous oblige à porter en fardeau.
Tant qu’à faire, partons vivre parmi les nombreux pauvres que compte encore cette planète, le climat ( Paris ou Bruxelles c’est tjrs pourri le ciel) , les paysages( le moyen Atlas marocain c’est splendide comparé à la gde place De Brouckkère) , le niveau de vie ( on est dix fois plus riche ds les pays pauvres) et les filles ( à gogo) ..., que des avantages qd on y pense et qu’on vient d’Occident bien sûr.
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Salut Fouad,
Je me disais aussi que, la conjoncture actuelle étant ce qu’elle est, si le quart du huitième de ceux des Occidentaux qui pleurent sur les fora sur la pénibilité croissante de leur vie se rendaient compte de la formidable opportunité que leur offre le monde dit tiers, voire quart, je crains qu’il nous faille d’ici peu mettre en place des centres de rétention pour contrer les flux migratoires massifs nord-sud . Imagines un peu ! Sans compter les petites dérives collatérales à ce genre d’envahissement avec lesquelles il faudra alors composer d’une manière (karcher) ou d’une autre : xénophobie etc... (Euh, bé, nous revendiquons aussi notre part de... connerie ! Après tout, l’Occidental moyen n’est pas, génétiquement parlant, plus con que les autres )
Si selement on savait
BMD -
ASINUS 28 décembre 2008 11:53putain d accord avec fouadraiden , un docteur viiiiteee !!!!!
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Bois-Guisbert 28 décembre 2008 12:46ceux des Occidentaux qui pleurent sur les fora sur la pénibilité croissante de leur vie se rendaient compte de la formidable opportunité que leur offre le monde dit tiers, voire quart, je crains qu’il nous faille d’ici peu mettre en place des centres de rétention pour contrer les flux migratoires massifs nord-sud
Et puis une autre grande différence. Quand on bosse en Europe, on est entouré de collègues qui bossent tout pareillement tandis qu’en Afrique, il n’est pas rare d’avoir tout plein de spectateurs.
Le marneur, là-bas, c’est un peu, dans l’effort, comme le champion cycliste ici : une vedette -
Quand on bosse en Europe, on est entouré de collègues qui bossent tout pareillement
A la SNCF ou à l’équipement et selon vous même, il semble en être différemment, non ? :->
Le marneur, là-bas, c’est un peu, dans l’effort, comme le champion cycliste ici : une vedette
La fulgurance de votre pensée m’émeut toujours, chez vous on en est sur :
- le fonctionnaire est un privilégié,
- l’arabe est fourbe,
- le noir à le rythme dans la peau mais pas le travail...
etc, etc....
Dois-je tirer des généralités sur la connerie du français à la lecture de vos seuls commentaires ineptes ? -
Cet Agoravox a au moins un mérite : me montrer que les haineux et fielleux que j’ai eu l’occasion de croiser sur certains forums ne sont que de petits rigolos par rapport au ramassis de crétins qui postent ici ... on peut certes respecter les opinions de tout le monde, mais pas les idioties qui les accompagnent !
Bon vent Sisyphe dans ton lointain Eden, et poste nous vite de quoi mettre en colère tous ces idiots congénitaux !-
Merci, LPG !
A bientôt de tes nouvelles !
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Pour une fois l’adage est vrai qui dit que ce sont les meilleurs qui s’en vont les premiers...
Et nous restons ici, un peu plus seuls, parmi les tristes sires qui se sont donnés rendez-vous sous cet article pour le coup de pied de l’âne. L’hommage du vice à la vertu. Sisyphe nous manquera pour leur porter la contradiction, inlassablement. C’était aussi ça, son rocher...
Au revoir Sisyphe et tous mes voeux dans votre nouvelle vie (j’avoue que j’aimerais savoir quel pays vous avez choisi)-
La confusion de la langue employée dans cette article n’a d’égale que la confusion de la pensée. (la France entre les mains du démantelement de son système .. ???)
Cependant on peut diagnostiquer derrière la haine apparente, l’intolérance revendiquée, le larmoiement autosatisfait, la coupure d’avec toute réalité deux grands signes d’espoir.
Une vision aussi dépourvue de toute nuance de la France d’aujourdhui ne peut que témoigner de profondes insatisfactions personelles.Voir tout en noir de façon aussi râgeuse relève du diagnostic.
Cependant :
Aprés avoir décrit notre pays comme quelque chose d’assez nettement pire que l’allemagne du troisième Reich, ce courageux révolutionnaire décide d’aller ailleurs voir si l’herbe n’est pas plus verte. C’est assez dire que, soit il n’est pas aussi courageux qu’il en a l’air, soit il ne croit pas réellement à son propre diagnostic. Soit les deux...Parce qu’il si il avait un minimum de sincérité, il prendrait à la fois son courage à deux mains, et avec les autres les armes et le maquis pour couper celles du démantelement.
Donc il est certainement malheureux mais comprend confusément que c’est d’en lui plus que d’autour de lui que vient cette insatisfaction et il tente quelque chose. Bravo.
Car aller voir autre chose ailleurs peut le faire sortir de cette sorte de marasme à oeillères ou il ne voit que du mal autour de lui, le remettre en contact avec la vie, la réalité, les autres. Nous pouvons espérer le voir revenir, requinqué à bloc et prêt à faire quelque chose de concret pour améliorer dans la mesure de ses moyens une société qui connait des imperfection et des cotés positifs, des succès et des échecs, mais qui ne ressemble en rien à ce qu’il décrit.
Au passage, comme cette article est un résumé de tous les gémissements répétitifs de toute une partie de la gauche et de l’extrême gauche, son abscence évidente de sincérité, prouvée par les actes, à quelque chose d’éminemment rassurrant.
Ont peu espérer que ses alter egos soient commes lui. Ils tempêtent et menacent, mais il suffit de leur porposer un voyage (aux ïles ?) pour que la vie leur paraisse plus souriante. et qu’ils cessent un peu de trépigner en serrant leurs petits poings humides.
Enfin je propose une piste. L’exaspération des gens comme ce monsieur provient moins on le sait, des réalités objectives de notres société que du fait que personne ne les écoute et ne les estimme à la valeur qu’ils s’attribuent. La jubilation que lui inspire sa destination nous indique donc qu’il doit s’agir d’un pays plustot pauvre, ou la culture française est mal connue, mais à priori appéciée ou le niveau éducatif encore limité fait que des personnes récemment parvenues à l’alphabétisation de masse ne disposent pas encore des défense nécessaires pour décrypter leur discours fasho. A partir de ces quelques élements, on devrait pouvoir deviner si, bien sur, on se pasionne vraiment pour sa destination...
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Il n’y a pas besoin d’aller dans un pays pauvre pour trouver la culture française méconnue : vous en êtes un exemple démonstratif !
Et dire que ça se permet de critiquer la "langue employée" , quand ça ne sait même pas l’écrire...
Cocasse !
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-)) C’est bien ! on est au moins deux à rigoler sur le site ! J’imagine que vous parlez d’orthographe car votre réaction semble indiquer que vous avez grosso modo compris le fond de ma pensée.....Moi en revanche je persiste à mal visualiser les mains du démantellement.......
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Jojo 27 décembre 2008 23:17eric (sic. La minuscule n’est pas de moi).
Je vous cite : « La confusion de la langue employée dans cette article » Alors, pour commencer, ce sera cet article SVP ensuite : La francis n’étang pat mât langue de bois de ma yemma, je ne peuz queue vou fère cado de mont (St Michel) correctationneur d’orthophotographe numérique haute résolution :
· Démantelement : Démantèlement
· d’aujourdhui d’aujourd’hui
· personelles. Personnelles
· râgeuse rageuse
· Aprés Après
· l’allemagne l’Allemagne
· Parce qu’il si il avait Bug du correcteur
· son courage à deux mains, et avec les autres les armes et le maquis Ah d’accord il doit avoir six mains le Sisyphe d’où l’hexamen que vous lui faites passer …
· démantelement. : Voir plus haut
· que c’est d’en lui plus que d’autour de lui Deuxième Bug
· requinqué à bloc C’est nouveau ça vient de sortir
· connait connaît
· abscence absence
· rassurrant. Rassurant
· alter egos alter ego
· commes comme
· porposer que porposez-vous ?
· ïles îles
· notres notre
· estimme estime
· plustot plutôt
· appéciée appréciée
· ou le niveau éducatif encore limité fait que
· élements, éléments
· bien sur, bien sûr (A moins que vous n’ayez voulu dire aigre, acide etc …)
· pasionne passionne
Ah au fait, ajouter un ‘l’ à « démantèlement » ne risque pas d’arranger vos affaires.
Souriez, vous êtes filmé !
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Merci pour votre aide jojo ! Et pour votre temps utilement passé ! Vous pouvez porter vous même les corrections ! A sisyphe, Préparez vous Vous verrez quand vous aurez passé 20 ans à l’étranger à parler une autre langue... !
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Jojo 27 décembre 2008 23:36Eric,
Ne vous fâchez pas s’il vous plait. C’est juste que Sisyphe fait face à pas mal de monde sur ce fil. Oh c’est une vraie tête de Turc et il l’a un peu mérité et il le sait. Mais avec votre commentaire, ça commençait à faire un peu trop ‘Lynchage’ et ça il n’en est pas question !
D’où ma réaction. Rien de personnel, mais désolé quand même si je vous ai offensé. Si ça peut vous rassurer, je suis vraiment nul en français (qui n’est vraiment pas ma langue maternelle) et vous aurez donc plein d’occasions pour me renvoyer l’ascenseur si c’est ce que vous souhaitez, bonne nuit Monsieur.
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par eric (IP:xxx.x04.235.251) le 26 décembre 2008 à 14H38 				
																....Moi en revanche je persiste à mal visualiser les mains du démantellement......
C’est parce que vous avez du mal à LIRE, mon cher !
Il s’agit (je cite pour vous aider) "pour de longues années encore, hélas, aux mains des forces de l’argent, du démantèlement de ton système"
le démantèlement se conjuguant donc non pas avec les "mains" mais avec les "forces" de l’argent, du démantèlement, etc....
Ca va mieux ?
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Décidément, cet article "m’interpelle quelque part au niveau du vécu" comme on disait à une époque chez ces gens là. J’ai peut être un peu négligé son côté en définitive très pathétique.
Ce monsieur Sisyphe appartient sans doute à ce que que l’on peut appeller au choix le sous prolétariat intellectuel ou l’arrière garde du prolétariat. Rien de péjoratif !
Je m’explique. Le prolétariat était à Rome la dernière catégorie des citoyens ayant le droit au pain et aux jeux, donc de vivre au frais de l’Etat. En dessous, il y avait ceux qui travaillaient, le peuple, essentiellement les esclaves et les affrranchis.
Un peu de chanson, un peu de bd, un peu de culture, tous cela laisse deviner cette catégorie de gens que la gauche à créé lorsqu’il n’a plus été possible de financer des postes publics à satut sécurisant de fonctionnaires. Le genre Intermittent du spectacles, conseillers socio cul para associatifs plus ou moins mal financés.
Donc sous prolétarait car ils sont très insécurisés.Ils vivent certes sur fonds publics ou para public, mais sans garanties. Ils savent que les postes vraiment juteux, directeur de Drac, universitaires, journalistes du service public à statut sont occuppés et qu’on n’en créera pas suffisamment à perspective prévisible pour les sortir de l’incertitude. Sous prolétaria culturel aussi car dans la fonction publique culturelle qu’ils jalousent envient, admirent et méprisent, la loi du diplome règne et donc seuls les plus diplomés, qui ne sont pas toujours les plus brillants, les plus créatifs, ont une chance d’émarger. Il est possible que leur détestation concrète du directeur de Drac trotskiste en 68, socialiste aujourd’hui, mais toujours diplômé qui privilégie ses féaux, soit en réalité plus forte que leur détestation abstraite de Sarkozy. Mais c’est quand même la main qui les nourrie, même mal.
Arrière garde du prolétaria. L’arrière garde, c’est ceux que l’on sacrifie pour se sauver dans la fuite. La gauche arrivé et occuppant les postes, face aux déficits des finances publiques, sacrifie tour à tour ceux qui ne sont pas assez organisés pour se défendre et sauver le gros des troupes. Il y a eu d’abord les cols bleus des entreprises publiques,puis les entreprises de service jugées non stratégique sur le plan du contrôle des esprits. Ils se sont plus battus pour la télé que pour france télécom.
Autre exemple, les diplômés les moins brillants, pur lesquelles on a crée les section spour éléèves le smoins brillant, section économiques, et qui sont cordialement méprisés par leurs collègues des fillières nobles. Eux sont focntionnaires, mais tellement méprisés que sur leur site, la revendication d’une reconnaissance par leur collègues et aussi forte que celle d’une reconnaissance de leur discipline. Comme ils sont les plusproches de vos idées, donc ceux qui énervent le plus les populations qui veulent que leurs enfants s’en sortent et non qu’on leurbourre le crane, ils sont les plus exposés aux réformes...
Il y a surtout tous les créativo associatifvo quelques chose.
Certains très naïfs, croient peut être sincèrement à ce que leur dise les grands frères socialo : "on voudrait bien vous financer,mais, Sarko, le marché, le capitalisme..... Beaucoup doivent se rendre compte qu’on s’offre leur physionomie à droite comme à gauche. En pèriode de restriction budgétaire, leur apport idéologique, leur action de révélation au peuple de la vérité et du sens de la vie, leur potentiel revendicatif, ne justifie plus leur coûts social.
Il faut comprendre leur désaroi ; A longeur de blogs, de bd, de chanson, de pétitions, ils se sont battut pour la vérité, et personne ne semble prêt à les payer pour cela.
Je présume que Sisyphe fait parti de la frange courageuse. Celle qui a un peu compris qu’ils étaient les supplétif des gavés de la gauche arrivée et qu’elle laisse tomber maintenant qu’ils font peur à l’électora. Il essaye d’aller voir ailleurs ce qui se passe.
Monsieur sisyphe, votre situation et votre analyse de la société ne sont pas lié à un hypothètique système capitaliste ; A un méchant Sarkozy. Vous et vos amis êtes victimes d’un système, mais pas de celui que vous croyez. Ce sont les profs qui vous ont expliqué qu’avec une license de socio àSaint denis, avec un peu d’art graphique ou de thèatre, et surtout sans sélection, vous pourriez faire partie des gens qui donnent du sens à la société,pendant qu’ils préparaient leurs propres enfants à Normal sup ou a polytechnique. Ce sont les responsables de groupuscules (souvent diplômés) qui vous ont fait croire que vous luttiez pour la justice alors que vous prepariz leur recyclage personnel comme conseiller économique et social ( Isabelle thomas) ou sénateur PS ( Weber) et autre comment il s’appellait celui du CPE ?Ah oui, Julliard, maintenant rémunéré comme permanent pour vos efforts dans la rue. Ceux qui persistent à vous appeller à la lutte en s’achetant des montres et des week end à Monaco avec vos subventions et je ne nommerai personne car il faut laisser la justice suivre son cour.
Ils vont continuer à vous utiliser car vous constituez un utile repoussoir et un moyen de pression de loin en loin, mais ce sont eux, fondamentalement, qui vous foutent dans la merde. Leurs perspectives sont Segolénienne parce que leur électorat de fond est Ségoléniens. Et cette perspective, c’est le maintient des avantages acquis pour ceux qui en ont déjà.
Demandez vous qui et quand, à chaque étape de votre vie, vous a poussé dans vos choix politiques et professionnels, et ce qu’ils font eux même maintenant. Qui dans vos domaines d’intervention à vraiment le pouvoir et le fric ? N’allez pas me faire croire que Sarkozy est très impliqué dans le monde le BD ou de la chanson !
Qui pratique systèmatiquement la préférence nationale dans la société française, Immigrés plus chômeurs que les autres ? Oui, mais ils sont exclu d’un tiers du marché de l’emploi. Comme si un passeport francaçsi étati vraiment nécessaire pour ditribuer une lettre ou mettre du caillou sur les routes. Si un ingénieur roumain débarque dans le privé, il sera ingénieur. Un médecin roumain sera infirmier sans statut.
Oui, vous faites parti des cocus de notre société, mais ceux qui vous ont fait croire que sans beaucoup d’effort vous pourriez faire partie de ceux qui détiennent les ministère de la parole, des élites, tout en gardant les places pour eux ne sont pas majoritairement à droite.
Bon voyage, bonne chance, j’espère que vous reviendrez de l’étranger avec une vision changée de la vie et de la société, même si elle ne devait pas rejoindre la mienne.
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Vous raisonnez systématiquement de cette manière ; à base de clichés ?
Ce doit être pratique, pour ne pas se poser de questions.
Mais assez systématiquement aussi à côté de la plaque.
Marrant, votre petit scénario ; sauf qu’il ne correspond pas du tout à la réalité : dommage !
Je n’ai eu besoin d’être (contrairement à vous) "formé" par personne, pour prendre conscience de l’injustice du système qui régit le monde, et m’élever contre, depuis toujours.
Pour ce qui est de ma vie, jusqu’ici, mon brave, vous n’avez pas d’inquiétude à avoir : elle a été ce que je désirais en faire : libre et créative. Je n’ai JAMAIS dépendu des subsides de l’état (si, quand j’étais pion pour payer mes études), et j’ai toujours volé de mes propres ailes.
Si je l’avais voulu, je serais, actuellement, dans une situation que vous n’atteindrez vous-même jamais (je parle financièrement parlant) ; j’ai fait le CHOIX d’une autre vie.
Ce que les individus comme vous n’arriveront sans doute jamais à comprendre, c’est qu’on se batte pour autre chose que pour soi : pour plus de JUSTICE, de solidarité, de redistribution.
Alors, votre petit scénario, qui tend à conformer le réel à vos clichés, et vous permet ainsi de voir le monde à votre image, n’a, malheureusement, non seulement aucune valeur d’exemple, mais, surtout, ne fait qu’entériner l’ordre injuste des choses.
Il fait de vous le complice objectif d’un système inique d’oppression et d’aggravation des inégalités, d’exploitation des hommes, de privatisation du vivant, et de privation des libertés.
Manifestement, vous le vivez sans problème de conscience ; ma foi, c’est votre choix ; mais de là à vouloir expliquer les choses et les autres à l’aune de votre petit égoisme satisfait, vous comprendrez bien (j’espère, en tout cas), que c’est réduire le monde à votre petite personne, et que ça ampute singulièrement votre pouvoir d’analyse.
Donc, oui, je quitte provisoirement ce pays où les individus comme vous lui font tout le mal qu’on peut voir, et contre lesquels, actuellement, démocratiquement, il n’y a pas de recours.
Je pars vivre ailleurs, en gardant intactes ma colère, mon esprit de révolte, et ma soif de justice ; elles m’ont toujours permis d’établir de riches contacts avec des gens qui en valent la peine, qui partagent les mêmes idéaux.
Les autres, je les laisse à leurs clichés pratiques pour se masquer la réalité, et justifier leur égoisme : ils ne m’intéressent pas.
A la revoyure.
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Tiens, un cadeau pour ceux qui aiment la France et sa fraternité
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Castor 27 décembre 2008 23:50Sisyphe qui reproche à d’autres le recours systématique aux clichés ?
Ne serait-ce pas le même qui reprochait à Cosmic son style, ou à éric quelques fautes ?
Est-ce encore le même qui traite les autres comme il n’aime pas être traité et qui donne en plus des leçons de savoir-vivre ?
Allez, pour la route :
Pour les accords "La mienne m’a déjà emmenée en croiser bien d’autres, sous d’autres latitudes, et m’enrichir de leur limon ; celle-ci se rajoutera aux autres, avec profit."
Pour le style grandiloquent et les poncifs "Frappée, comme les autres pays du monde, par cette crise provoquée par les banksters et les spéculateurs d’ un système inique, oppresseur, aggravant les inégalités, créateur de misère, de famines ; tes dirigeants, comme ceux des autres pays, s’empêchent d’en tirer la leçon, et, derrière les discours de façade destinés à égarer la galerie, s’apprêtent à relancer la même machine, dont le fonctionnement produira les mêmes effets dévastateurs pour les mêmes catégories de ciotyens ; tout à l’heure, demain, après-demain….
Bien sûr, tu ne pourrais rien toute seule, liée que tu es dans ce système absurde, où les mafias du libéralisme imposent au monde leur loi du plus fort, et retirent les prodigieux bénéfices d’une exploitation de plus en plus irréversible des hommes et de la terre."
Pour le savoir-vivre "Décidément, c’est le rendez-vous de tous les imbéciles dénoncés plus haut : ils se sont tous sentis concernés !
Quel plaisir de laisser ces fumets nauséabonds loin derrière.... "
Mais soyons honnêtes, quand on a la chance de recevoir une telle leçon de la part d’un grand penseur, il faut savoir prendre les coups de règle sur les doigts et accepter ses coups de gueule à n’avoir comme élèves que des cancres comme nous.
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Ce "a la revoyure" comme la longueur de votre réaction,même si elle est toute en déclamations assez générales mais globalement plus tot agressive, est une invite à poursuivre un dialogue avec vous si vous n’y êtes pas hostile.
Dans votre article m’intéresse la chose suivante. De mon point de vue, tout personnel, c’est un catalogue d’idées que l’on retrouve partout ailleurs sur les sites d’extrême gauche. Je ne vois pas une idée différente dans tous ce qui est analyse, et cela peut être parfaitement justifié car il est concevable d’adhérer en bloc à tous cela sans que cela signifie nécessairement l’abscence d’idées personelles. Cependant vous tranchez sur un point. Vous " abandonnez le terrain des luttes". Et cela, ce n’est pas dans la vulgate. Bon je vois bien qu’accuser l’ignoble Sarkozy est une manière d’excuse, "je serai bien resté mais là c’est trop" mais je doute que des arguments de ce type puisse convaincre de vrais militants. Sur ce seul point vous différez de vos amis politique et tenter de comprendre ce qui vous rend un peu plus libre qu’eux m’intéresse.
Alors qu’ils broient du noir en général, qu’ils présentent "la barbarisation du monde par une élite utlralibérale mondialisée" comme à peu prêt inéluctable etc ;; vous semblez avoir fait un choix de mouvement, retrouvé un espoir, une perspective.
Si cela est uniquement un choix personnel, cela n’a évidemment aucun intérêt. Si il y a un petit quelque chose de politique il en va tout autrement.
Je suis comme vous. Je pense de vos idées politique à peu prêt ce que vous pensez des miennes. Un fatra d’idioties mal ficelées qui visent à cacher des intérêts égoïstes collectifs et individuels sous des discours de pseudo générosité. Mais je pense aussi que les gens sont au moins autant ce qu’ils font que ce qu’ils disent
A tout prendre, et fort de notre histoire récente, je préfère les gauches, même extrêmes, optimistes, plustot que pessimistes. Elles me paraissent moins dangeureuses. Vous, vous avez l’air d’avoir à nouveau un espoir.
Je prends les Alter par exemple, j’ai lu les actes d’un de leur congrès. Ils vont en amérique du sud. Ils constatent qu’il n’y a pas un travailleur parmis eux. S’accordent sur le fait que cela est bien dommage. Posent que "’une autre vie est possible", mais constatent que cela exigerait en préalable la destruction du monde existant et regrettent qu’il soit trop fort pour être détruit ( en substance) Il y a quelque chose de désepéré chez ces gens et les gens déseperés sont suseptibles de devenir dangeureux.
Vous avez l’air de sortir de là comme si vous vous disposiez à vivre une autre vie possible ici et maintenant sans attendre un grand soir.
A nouveau, si c’est uniquement personnel, cela ne regarde que vous, si il y a du politique, si c’est un choix suseptible de devenir un peu collectif, c’est un immense message d’espoir pour nous autres de la droite. Avec une gauche qui se remet un peu à croire en un avenir, il nous sera plus facile de dialoguer.
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Pour le style grandiloquent et les poncifs "Frappée, comme les autres pays du monde, par cette crise provoquée par les banksters et les spéculateurs d’ un système inique, oppresseur, aggravant les inégalités, créateur de misère, de famines ; tes dirigeants, comme ceux des autres pays, s’empêchent d’en tirer la leçon, et, derrière les discours de façade destinés à égarer la galerie, s’apprêtent à relancer la même machine, dont le fonctionnement produira les mêmes effets dévastateurs pour les mêmes catégories de ciotyens ; tout à l’heure, demain, après-demain
Malheureusement, ce que tu appelles des "poncifs" ne sont que la stricte et triste vérité : aucune grandiloquence là-dedans : que des évidences !
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Castor 28 décembre 2008 00:13Tu as raison, je rectifie :
grandiloquent ET démagogue.
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@ eric
vous n’avez absolument pas relevé le point le plus important de mon message ; le fait que vous, gens de droite, êtes incapables d’envisager qu’on se batte pour autre chose que POUR SOI ; pour les autres, les plus démunis, et, surtout, pour plus de JUSTICE.
Et vous ne l’avez pas relevé parce que vous n’auriez rien à y répondre.
C’est la différence essentielle entre la gauche et la droite : de l’apologie de l’égoisme, à la nécessité de la solidarité.
C’est pourquoi je pense qu’entre nous, le dialogue est impossible ; en tout cas, pour moi, tant que cette notion de justice et de solidarité n’est pas admise, il n’est pas envisageable.
Par ailleurs, je maintiens que vous raisonnez en clichés ; parce que, personnellement, je n’ai jamais été militant d’aucun parti ; je me suis battu parfois à côté de mouvements tels qu’ATTAC ; mais sans jamais être "formaté" par quelque bréviaire que ce soit : j’ai toujours fait un libre choix tout à fait personnel de mes lectures, mes sources d’information, etc....
Enfin, je suis, effectivement, optimiste, parce que je pense qu’une autre vie est possible ; mais que, comme tous les droits si chèrement acquis, elle ne sera arrachée qu’au travers de combats.
Jamais, dans l’histoire, aucun droit humain n’ a été accordé ou consenti, sans luttes préalables.
Mon départ, comme je l’ai déjà mentionné, est en même temps personnel et conjoncturel.
J’ai encore des projets à faire aboutir, et je sais qu’ici, ce sera impossible ; je m’exile donc, vers des lieux où ce sera possible, plutôt que de rester ici à me plaindre sans pouvoir rien faire ; d’ailleurs, je ne me suis jamais plaint à titre personnel..
Il reste que, comme je l’ai dit également, je continue à soutenir pleinement tous ceux qui continuent à lutter ici, soit pour leur simple survie, soit pour mettre fin à l’oppression rampante que votre droite met progressivement en place.
Le dénier, c’est nier la réalité ; ça vous est familier, mais ça "passe" de moins en moins, tant les gens se rendent compte des dégats que votre politique continue de provoquer.
De nombreux esprits éclairés le claironnent depuis belle lurette : si vous vouliez bien sortir un peu des clichés qui vous formatent, ça ne pourrait plus vous échapper : à vous de voir.
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@ Castor :
Sampiero t’a répondu plus bas : je le cite :
Le système que vous défendez vient de faire définitivement ses preuves : En cent ans, deux guerres mondiales, cent guerres locales, des millions de morts,quatre craks boursiers, et à l’aube d’un nouveau sciècle, la misère garantie pour une grande partie de l’humanité, et une minorité de plus en plus riche. On continue ?
Après, tu peux parler de grandiloquence ou de démagogie, pour éviter le débat de fond, tu ne fais que dévoiler ta mauvaise foi, ton aveuglement, ton déni de réalité, ta bétise profonde.
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Castor 28 décembre 2008 01:06Sisyphe,
Ce que tu ignores, c’est que je partage ton point de vue sur le fait que notre monde part en couille et que nos dirigeants sont issus d’une caste qui n’a pour objectif que de perpétuer ce modèle qui les sert.
Mais ce que je trouve rédhibitoire dans ton discours, c’est le postulat systématique que tu es au dessus des autres en raison d’une idéologie que tu as adoptée et que tu estimes supérieure, car empreinte "d’humanisme".
Mais cette idéologie est meurtrière, tu sembles l’avoir oublié, tout en reprenant l’idée principale : on n’arrive à rien sans détruire pour reconstruire à l’image de ce qui a déjà échoué dans le sang.
Mais détruire est toujours détruire l’autre. Comment expliques-tu ce paradoxe d’une revendication d’un monde plus propre qui débuterait par l’extermination ?
Je ne discute pas avec des types dans ton genre pour l’exacte raison qu’évoquait Sampiero plus bas : tu justifies le recours à la violence quand tu n’arrives pas à convertir, comme tu dis, à ton modèle de pensée.
Les autres sont des cons de fachos, ta rhétorique est bien huilée, servie par, je te le reconnais, une certaine facilité avec la langue française.
Et tu ne comprends pas que l’on ne comprenne pas que tu as raison. -
A Sisyphe. Ici aussi,en tout cas en ce qui concerne la droite, j’ai exactement les mêmes préjugés que vous et donc je doute que nous puissions arriver au moindre rapprochement ; Sans vous embeter avec des chiffres que vous contesteriez de toute façon, je pense qu’il n’y a eu de réel progrés social dans le monde de longue durée pour les plus défavorisés que dans des sociétés libérales et gérées par des droites, si tant est que ce mot signifie quoi que ce soit.
Tient par exemple, en France,les inégalités de revenu ont décrues jusau’en 81 avant de se mettre a stagner. c’est facilement vérifiable et ce n’estpas un hasard.
Mais de toute façon, je suis moins ici pour défendre la droite (qui a mon avis n’existe pas, au moins telle que vous l’imaginez) que pour attaquer la gauche et là je ne doute pas que vous me rejoigniez.
Citez moi un pays dans l’histoire ou un gouvernement de gauche durable, plusieurs années, s’est traduit en pratique par une réelle hausse des conditions de vie des plus défavorisés dans tous les domaines qui soit durable. Et n’essayez pas de vous en tirer en prétendant qu’il n’y jamais eu de vrai gauche au pouvoir, ou qu’elle n’a jamais eu le temps, car si cela était le cas, cela reviendrai à dire que la gauche n’existe pas.
Par ailleurs,il se trouve qu’il y a eu une expérience de vrai gauche durable, hors crise, hors pressions intèrieures et extèrieures ; Des gens qui vous sont apparentés sociologiquement, partageant exactement les mêmes analyses du social et du politique,ont eu durablement toutes les ressources d’un pays très riche tant par les hommes que par la nature et ont mis en oeuvre de façon systèmatique toutes les solutions que vous préconisez, avec, fait exceptionnel à gauche, héritage de leur histoire, des procédures pour éviter tout réel pouvoir personnel exclusif et cela s’appellait l’urss brejnévienne.
L’abscence totale de réflexion politique de toute les gauches sur cette période est très significative. On arrive vaguement à faire dire du bout des lèvre que Staline a peut être un peu exagéré, que Lénine n’était pas blanc bleu et que trotsky était favorable à l’élimination des koulaks en tant que classe alors que cela n’a auncun intérêt vu le contexte historique. Mais , ça, la stagnation brejnévienne, c’est vraiment vous comme disait téléphone. Une société complètment fermèe, féodalisée, avec des prolétaires réduits en semi esclavage. 57 ans d’epérance de vie pour les hommes. Service public à tous les étages, vérités officielles et police secrète.
Et il n’y avait ni bourgeois,ni patrons, ni Sarkozy, ni banques privées, ni enseignement catholique, ni pression de l’impérialisme américain et du gaz et du pétrole à gogo pour financer les programmes sociaux.
c’est la seule expèrience chimiquement pure de vos idées mises en oeuvre de façon durable et systèmatique par des gens commes vous, des humanistes cultivés et soucieux dans les mots de justice sociale et du sort des autres.
Ils sont en train d’en sortir par l’oligarchie mafieuse, écrivant un nouveau cahpitre de la pensée marxiste, le féodalisme stade suprême du socialisme. Car ce sont les mêmes qui sont au pouvoir avec les mêmes pratiques,même si l’affichage social à un peu changé...
On peut dire que Blum a été arrété par le mur de l’argent, Que lénine étati en guerre, que Staline était fou, que miterrand étati Hypocrite, qu’allende a été arrêtépar la cia et que cuba n’a que de la canne a sucre et un bolcus américain. On ne peut pas nier que le brejnevisme ai été un socialisme réel sauf à s’empétrer dans des explications du type, les russe étaient vraiemnt trop con pour réussir.
Moi je pense que quand une solution a fait ses preuves de façon aussi définitive, cela vaut la peine de se prononcer. c’est cela le but que vous poursuivez ? Et sinon, quelle est votre différence, qu’est ce que vous ferez autrement ? Allez vous dire, moi je suis sincère, eux mentaient ? Ils y a eu des chinovniks pour profiter de situation,mais globalement, on nepeut nier qu’ils ont fait exactement tous ce que vous exigez, alors ?
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Bois-Guisbert 28 décembre 2008 11:16Ce que les individus comme vous n’arriveront sans doute jamais à comprendre, c’est qu’on se batte pour autre chose que pour soi : pour plus de JUSTICE, de solidarité, de redistribution.
Et ce que les individus comme vous n’arriveront sans doute jamais à comprendre, c’est que plus de JUSTICE, de solidarité, de redistribution pour les boucaques, c’est moins de JUSTICE, de solidarité, de redistribution pour les "de souche" !!!
Quand on se bat pour les siens, on se bat pour autre chose que pour soi !
Merde à la fin ! -
Bois-Guisbert 28 décembre 2008 11:31vous n’avez absolument pas relevé le point le plus important de mon message ; le fait que vous, gens de droite, êtes incapables d’envisager qu’on se batte pour autre chose que POUR SOI ; pour les autres, les plus démunis, et, surtout, pour plus de JUSTICE.
Et vous ne l’avez pas relevé parce que vous n’auriez rien à y répondre.
Alors, moi, je l’ai relevé le point le plus important de votre message et j’ai eu quelque chose à y répondre.
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Donc, Sisyphe part à Vesoul. L’avait vu Honfleur, mais jamais Vesoul. C’est bien Vesoul, tu peux aller de ma part chez la mère Lafleute, un bonne auberge, avec une serveuse bien sous tout rapport
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A castor. Je ne suis pas d’accord avec vous. On ne peut pas se suffire de s’indigner de la violence incontestable de sisyphe.
Ce garçon est un hyper privilégié d’un pays hyperprivilégié. Il le dit lui même, il aurait pu gagner beaucoup plus d’argent que moi (ce qui n’est pas peu dire même si c’est un bon exemple du simplisme de sa pensée puisqu’après tout, il ne sait pas ce que je gagne...) Il a en plus eu le choix de ne pas le faire, ce qui est un des plus grand luxe, et ce dans un pays ou les plus pauvres font figure de nantis par rapport à une bonne partie du reste de la planète. Bien sur c’est un signe de nombrilisme et d’égoïsme. Qu’est ce qu’il aurait pu aider comme pauvres avec tout cet argent si il n’avait pas préféré ses "choix de vie".
Et tout va tellement bien que quand il en a marre il peut choisir de partir vivre a l’étranger. C’est un peu l’élite ultramondialisée. Un jour ici, le lendemain ailleurs.
Mais si il est toute indignation, aggressivité et violence, il a sans doute de très bonnes raisons pour cela.
Si il était seul dans son cas, on pourrait parler de ces formes de schyzophrénie décrites par Girard ou l’individu ressent sans les barrières de la culture toute la violence potentielle que renferme de façon latente les relations humaines ; Seulement voila, il n’est pas seul ; On le voit d’ailleurs sur ce fil.
Même ceux qui contestent Girard admettent son hypothèse d’un caractère mimètique de la violence.
On peut discuter sur la réalité de la violence qu’ils ressentent, pas sur leur perception
Ces gens sont violents parcequ’ils se sentent, réellement, pour la plus part, victime d’une violence ( a part les plus hypocrites pour lesquels ce n’est qu’une posture de négociation), mais le caractère désordonné des réactions de sisyphe me fait croire à sa sincérité.
Nous avons donc un bande de gens souvent encore jeunes, raisonnablement cultivés, privilégiés parmi les privilégié, notamment sur le plan culturel (tient y en a un sampiero je crois qui passe son temps a se réjouir d’être un grand humanisme jouissant de plaisirs que les gens qui ne pensent pas comme lui ne peuvent pas connaître)
Donc très content d’eux même et de leur vie et qui passent pourtant leur temps à se sentir terriblement agressé par le reste de la société. (car si il n’aime pas les riches comme Sarkozy, ils estiment assez peu les pauvres qui votent le pen)
Ce n’est pas un problème individuel, c’est un problème social.
Il ne suffit pas de dire qu’ils sont fous et ou méchants ,mal élevés ou violents pour le régler.
Comme ils sont aussi mou en acte qu’actif en parole, on pourrait rester indifférent ; Aprés tout a part quelques ferailles sur des catainer, un mort dans un mac do, etc..leur indignation ne va pas bien loin. On pourrait vivre avec.
Mais si crise économique il y a, vu leurs situations socio économique en générale, leur réalité va se rapprocher de leurs fictions et je pense que cela peut nous poser de bien plus graves problèmes.
A la fin de cet article, on a l’impression que sisyphe retrouve gout à une certaine paix, voit un espoir, un avenir. Je persiste à penser que c’est cela qui est intéressant. Se sentir aggresé, rejeté, par une société dont on se présente comme l’élité intellectuelle et morale relève peut être de la pshychopathologie sociale. Je n’en sait rien. Comment les aider à sortir de cela et transformer leur violence verbale en vrai énergie créatrice sociale me parait un enjeu interessant.
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A castor, tenez,pendant que j’écrivais le précédent, sampiero apporte de l’eau à mon moulin. Il souffre terriblement parce qu’il y aurait une centaine de familles qui aurait beaucoup plus d’argent que lui, que moi, que nous, alors que tous les autres seraient des cocus.
Bien sur que cela est absurde. Il suffit d’une division pour voir que si on leur prend tout leurs revenus on obtient moins d’argent que si si on améliore de 10% le fonctionnement de l’état, et ce d’autant plus qu’ils se barreront avant ; Il sufiit d’en avoir rencontré quelque uns pour etre parfaitment indifférent à leur argent. Et c’est là pourtant qu’il place l’objet de ses souffrances humanistes, pas du tout dans le fait qu’il y a de par le monde des millions d’être humains qui sont vis a vis de lui dans la position qu’il ocuppe vis à vis de ces riches et avec lesquels il pourrait commencer, lui, a partager ici et maintenant.
On ne peut néanmoins contester qu’il souffre surement quelque part.
La gauche souffre des inégalités qu’elles ressent et qui la concerne, plus que des pauvretés. cela a toujours été le cas. C’est plus une fatalité sociologique qu’une hypocrisie politique.
Mais un fois que l’on a dit cela, que pouvons nous faire pour rassurer ces pauvres gens ?
Dans toutes les catastrophes qu’il nous décrit il passe complètment à côté du fait que tant en 14 qu’en 40 les grands groupes capitalistes ont fait des pieds et des mains pour éviter des conflits nuisibles à leurs interets transnationaux pendant que les partis bolcheviques et nazi étaient peuplés de fils de petits focntionnaires en voie de déclassement ( lénine, Himmler) d’intermittents du spectacle (hitler) et autres "éduqués humanistes stressé" et horrifiés par la violence dont ils se sentaient victimes et qui ont commencé à tirer sur tous ce qui bouge pour calmer leurs angoisses.
Leur violence verbale alors qu’ils sont au regard des vrais pauvres, de vrais privilégiés est inquiétante non pas parcequ’elle est absurde, mais parcequ’elle est reflète leur vrai souffrance.
Comme il n’est pas sur que nous ayons longtemps les moyens d’assurer leur train de vie et que pour beaucoup d’entre eux on ne sait pas très bien ce que l’on pourrait en faire d’utile, je crois qu’ils vont nous poser un vrai problème social et politique.
Pour les intermittents on a piqué du fric aux chômeurs pour les entretenirs, mais tous les autres ? Je n’ai pas de réponse. On ne peut pas perpétuellement taxer les pauvres pour leur permettre de continuer à nous expliquer comment nous devons vivre.
Ces gens se présentent comme l’élite d’une société qu’ils n’aiment pas et qui ne les comprends pas, mais se ressentent sans doute comme les exclus d’une société qui n’a pas vraiment besoin d’eux et de leurs "vérité". Il faut trouver un moyen de les réintegrer dans le corps social.
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Castor 28 décembre 2008 01:30
Bravo, excellente analyse.
Je m’incline volontiers. -
Castor 28 décembre 2008 01:40Salut, Dom !
Pour les voeux, j’attendrai encore une petite semaine, ne m’en veux pas !
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Castor 28 décembre 2008 01:50Sisyphe ? Partir ?
J’y crois à peine !!!
Bon, sur ce, je vais me coucher.
à+ !! -
@ Eric
Vous continuez à en faire une affaire de personne, pour éviter l’essentiel : le débat d’idées.
La preuve indubitable, non seulement que vous êtes totalement enfermé dans vos schémas formatés, mais, de plus que, incapable de débattre sur le fond, vous n’avez comme piètre recours que de tenter de personnaliser le débat : méthode traditionnelle d’un fascisme de base.
Je vais terminer là ce qui n’est pas un dialogue de votre part, mais un monologue, en vous répétant, pour la dernière fois l’énorme différence entre vous et moi : vous êtes du côté de l’individu, de l’égoisme, du chacun-pour-soi, quand je me situe du côté de la solidarité et de la justice.
Ca vous passe complètement au dessus, et vous allez continuer à blablater sur mon cas personnel, gnagnagna (sans en avoir aucune compétence, soit dit en passant), pour éviter le seul vrai débat qui soit en jeu : instaurer un système au service des hommes, et non un système où les plus nantis ne peuvent l’être quen profitant de l’écrasement des autres.
Vous êtes une caricature de la ploutocratie, et des représentants de ce système d’exploitation honteux ; à ce titre, il n’y a aucun dialogue possible avec vous ; et je souhaite de tout mon coeur que, face à des esprits pervers comme le votre, les hommes prennent enfin leur destin en mains, et vous imposent une plus grande justice sociale.
Quant à la violence, la vraie, la violence primaire, elle est, évidemment, uniquement de votre côté ; par l’oppression que fait subir à la quasi-totalité de la population du monde, le système que vous défendez. -
Dans toutes les catastrophes qu’il nous décrit il passe complètment à côté du fait que tant en 14 qu’en 40 les grands groupes capitalistes ont fait des pieds et des mains pour éviter des conflits nuisibles à leurs interets transnationaux
Ca, c’est la meilleure !
La façon de réécrire l’histoire des petits valets du capitalisme meurtrier !
Bien démasqué, l’eric !
Allez, au dodo : assez perdu de temps avec un révisionniste !
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Comme il n’est pas sur que nous ayons longtemps les moyens d’assurer leur train de vie et que pour beaucoup d’entre eux on ne sait pas très bien ce que l’on pourrait en faire d’utile, je crois qu’ils vont nous poser un vrai problème social et politique.
J’aime bien le "nous" et le "on" en majesté !
Le discours du parfait petit fasciste méprisant , détenteur de la puissance et de l’autorité, s’adressant à la plèbe !
Attends, mon bonhomme ; tu vas le voir arriver pour de bon, le "vrai problème social et politique" : et j’espère que tu le prendras en pleine gueule : manifestement, tu es de ceux qui le méritent le plus.
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A sisyphe,Vous savez, c’est essentiellement un réflexe professionnel. Je me suis un temps occuppé de recrutement ; A vous lire, vous avez un profil à être inutilisable dans une structure publique ou privée nécessitant un travail en équipe. Rassurez vous, beaucoup de ceux qui partagent vos idées sont dans le même cas.
Reste du fonctionnaria d’exécution laissant du temps libre ( type distribution du courrier), du créatif local, de l’animation plus ou moins socio cul, pour public pas trop exigeant. de la culture à usage interne pour public captif, c’est à dire franco français. C’est à dire du "luxe" cuturel. C’est très important dans une société, mais c’est là dedans que l’on tranche en pèriode de crise qu’il s’agisse des bugets individuels ou collectifs.
Bon, vous êtes un peu exceptionnel puique vous, vous auriez pu gagenr des ponts d’or, mais il faut bien dire que vos alter ego, dans l’ensemble, vivotent plutot et le vivent mal, même si cela leur laisse beaucoup de temps libre pour revendiquer et s’épanouir. Et au cas précis, je ne m’intéressait pas à vous en particulier.
Je constate que vous êtes d’accord avec moi, la paupérisation croissante prévisible du bas clergé de l’intelligensia de gauche peut produire de la violence sociale, beaucoup plus que celle des pauvres (ces derniers ayant par ailleurs l’échappatoire potentielle de travailler).
Je partage votre inquiètude en ce qui me concerne, tant il est vrai que les gens dont vous parlez s’attaquent toujours d’abord à ceux qui expriment des sentiments démocratique. En revanche je reste parfaitment optimiste pour le long terme. Les démocrates de gauche et droite confondu, on toujours finit par faire la peau aux extrêmistes qu’ils se donnent pour nom, pour les besoins de la cause ou du contexte historique, socialistes, nationaux, internationaux ou anti ou alter quelque chose.
Pour le reste, je confirme votre diagnostic me concernant. J’ai effectivement un profond mépris intellectuel pour la pluspart des idées que vous exprimez. Elle me paraissent personellement, je dirai, bétasses".
Un Parfait respect démocratique. Ayant une conception américaine de la liberté d’expression, je revendique le droit pour chacun de prononcer les pires conneries dés lors que les actes ne transgressent pas la loi républicaine.
je serai d’autant plus prêt à me battre pour cela que par ailleurs, en ce qui me concerne, j’y trouve un intérêt politique évident. Plus les électeurs de base auront le bonheur de vous lire, plus on arrivera à leur faire croire que vous représentez quelque chose, plus les chances d’une réélection de NS me semblent importantes. En 68 au prix de 15 jours de monome, on en a repris pour une dizaine d’année sans problème.
Ne le prenez pas comme quelque chose de personnel, mais comme une réactualisation d’un vieux concept Léniniste, les gens qui parlent comme vous sont souvent les "idiots utiles" soit de la droite soit de la gauche démocratique. A court terme, vous devriez paraitment parvenir à remplir le role qui fut celui de Lepen à droite pour limiter les possibilité d’alternance à gauche. J’espère vivement que Sarko continuera à assurrer la forte représentation médiatique des groupuscule absolument non réprésentatifs que vous constituez.
Enfin, sur le plan humain, un certain intérêt, car à nouveau, contrairement à beaucoup des votres, vous semblez vouloir allez voir ailleurs ce qui ce passe.
Mais vous, vous avez les moyens.
Comme on ne parviendra pas à convaincre les autres, mêmes payés, de faire de l’alphabétisation dans les banlieues, des soins au 4ème àge, ou de l’assistance au SDF, peut être y aurait il un moyen de les calmer en les financant pour aller porter une bonne parole que l’on pourrait prétendre culturelle, dans certains pays ensoleillés au frais de la république. Les barrages linguistiques et culturels, ne pourrait que contribuer à les calmer et à les rendres en partie innofensifs. La présence de vrais pauvres ( économiques et culturels) les rassurer sur leurs supèriorité. Le fait de sortir de leurs isolats sociologiques leur ouvrir un peu les yeux sur le monde. Je sais, cela serait cher payé et très injuste, mais si la paix sociale est à ce prix.
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Ecoute, mon gars, tu as suffisamment étalé ici ta bétise profonde, ton cynisme ordinaire, ton mépris des autres, pour que je ne me donne plus le moindre mal à te répondre.
Si ce n’est que tu es un menteur ; sur tous les plans, et par rapport à tout ce que tu racontes.
Tu n’as RIEN d’un démocrate : tu es le petit valet d’un système dictatorial dont la démocratie est l’ennemi principal.
Ton cas personnel ne m’interesse d’ailleurs d’aucune manière ; tu es à l’image, répliquée à l’infini, de tous les petits imbéciles nuisibles, toujours en retard d’une guerre, d’une époque, d’une pensée, qui continuent à perpétuer un système d’exploitation, d’oppression, de création de misère et de mort.
Tu es un ennemi objectif de la liberté, des citoyens, de la justice.
Petit révisionniste minable derrière tes grands airs, tu es le genre d’individu à empêcher de nuire, à mettre hors circuit : à lui donner un hochet pour faire mumuse avec ses congénères, dans un parc d’attraction pour fossiles cérébraux.
J’espère de tout coeur que ça t’arrivera avant que tu ne meurres ; ça voudrait dire qu’enfin, la civilisation a fait un progrès.
Imbécile nuisible : oui, c’est le terme qui convient parfaitement.
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Archibald :
On peut retourner l’expression de Sampiero plus haut, ’partir c’est mourir un peu’ en ’mourir c’est partir un peu,’ ;
et si ’les grandes douleurs sont muettes’,on sait que , ’les morts, les pauvres morts, ont de grandes douleurs...’ -
@ Armand
si je puis me permettre ; "partir, c’est mourir un peu", mais "mourir, c’est partir beaucoup"
(Alphonse Allais)
Sinon, merci de citer ce magnifique poème de Baudelaire, dont je me permets de retranscrire la suite :
Les morts, les pauvres morts, ont de grandes douleurs,
Et quand Octobre souffle, émondeur des vieux arbres,
Son vent mélancolique à l’entour de leurs marbres,
Certes, ils doivent trouver les vivants bien ingrats,
A dormir, comme ils font, chaudement dans leurs draps,
Tandis que, dévorés de noires songeries,
Sans compagnon de lit, sans bonnes causeries,
Vieux squelettes gelés travaillés par le ver,
Ils sentent s’égoutter les neiges de l’hiver
Et le siècle couler, sans qu’amis ni famille
Remplacent les lambeaux qui pendent à leur grille.
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