A qui profite l’inflation des produits alimentaires en France ?

@troletbuse
Tu te fous en permanence des problèmes concrets, et tu montres l’ombre des chimères (génocide programmé par l’ONU, Bill Gates, Soros et tutti quanti, etc.). Alors oui, le libéralisme financier mondialisé est le problème, et l’hyper inflation lui est profitable.

@charlyposte
Les dettes publiques à taux quasi nuls de ces dernières années n’ont enrichi personne et fait couler quelques banques, par contre les taux vont remonter et les dettes publiques devront être renouvelées à échéance (car le remboursement du capital est repoussé aux calendes grecques) à un taux plus ’’rémunérateur’’ pour le système bancaire.
Ce n’est pas pour sauver les salaires des cadres supérieurs hormis celui des très hauts dirigeants, mais surtout les hyper-profits des agioteurs financiers qui spéculent sur les monnaies et sur les titres.

Mais il ne faut pas se mentir, le ’’quoi qu’il en coute’’ finance les infrastructures et services publics et l’assistance dont beaucoup bénéficient, notamment l’indemnisation du non travail de pans entiers de l’économie lors des confinements etc. (du coup certains préfèrent continuer à vivre d’expédients plutôt que reprendre une activité)

@troletbuse
Les effets secondaires existent, mais d’une ampleur très loin du catastrophisme des paranos superstitieux. Ceux qui ont fait un choix personnel sans soutenir les mesures coercitives ne participent en rien à l’instauration de la dictature, par contre les ’’anti-tout’’ décrédibilisent la critique rationnelle par l’excès caricatural de leurs élucubrations.

Pour le reste, on peut discuter des causes du réchauffement et des pénuries d’eau, mais en contester la réalité est d’une incommensurable stupidité.

@Eric F

copié-collé :« contester la réalité est d’une incommensurable stupidité »

Nulle part, jamais, pas l’ombre d’une preuve d’une contamination ou d’une propagation virale. Alors « contester la réalité » est d’une « incommensurable stupidité ». C’est juste.

https://www.youtube.com/watch?v=xq2h2onD7tk&t=1746s

@Legestr glaz
j’avais explicitement parlé de nier le réchauffement et les pénuries d’eau (indépendamment de la cause), non pas des virus. Concernant ceux-ci, les arguties et sophismes utilisées par le dénialisme ne constituent que le combat d’arrière garde de théories du 19-ème siècle, inutile de remettre ça sur le tapis.

@Eric F
 
’’les arguties et sophismes utilisées par le dénialisme ne constituent que le combat d’arrière garde de théories du 19-ème siècle, inutile de remettre ça sur le tapis.’’
 — >
 Inutile de remettre ça sur le tapis ? 
 
Dire carrément qu’on ne touche pas à un business model qui a fait ses preuves en matière de profits industriels.
Ce n’est pas la théorie pastorienne jamais démontrée qui a fait ses preuves, c’est le dogme de la piqûre salvatrice érigé en religion depuis plus d’un siècle. Ses adeptes, baptisés dès la plus petite enfance lors de rituels relevant du viol biologique (*) sont tous fiers quand ils ont grandi en taille sous la toise et forci en poids sur la balance, de se proclamés majeurs et vaccinés.
 
(*) « Une vaccination, quelle qu’elle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme » Pr R. Bastin

@Francis, agnotologue
 
’’les arguties et sophismes utilisées par le dénialisme ne constituent que le combat d’arrière garde de théories du 19-ème siècle, inutile de remettre ça sur le tapis.’’
 — >
 Inutile de remettre ça sur le tapis ? 
 
Dites carrément que vous ne voulez pas qu’on touche à un business model qui a fait ses preuves en matière de profits industriels.
Ce n’est pas la théorie pastorienne jamais démontrée qui a fait ses preuves, c’est le dogme de la piqûre salvatrice érigé en religion depuis plus d’un siècle. Nuance. Ses adeptes, baptisés dès la plus petite enfance lors de rituels relevant du viol biologique (*) sont tous fiers quand ils ont grandi en taille sous la toise et forci en poids sur la balance, de se proclamer majeurs et vaccinés.
 
(*) « Une vaccination, quelle qu’elle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme » Pr R. Bastin

@Francis, agnotologue
C’est stupide comme argument de dire que puisque les labos en profitent, alors le virus n’existe pas. Exactement comme de dire que puisque les assurances en profitent alors les accidents de la route n’existent pas.
Je peux comprendre certains arguments contestant l’efficacité vaccinale (effectivement inégale selon la maladie), mais définitivement pas les artifices pour tenter de nier les virus.

Toute médication, quelle qu’elle soit, peut être considérée comme une offense à l’organisme, mais sans médication l’espérance de vie moyenne serait de trente ans (même avec une nourriture saine et quelques tisanes).

@Eric F
 
’’... que puisque les labos en profitent, alors le virus n’existe pas.’’
— >
 C’est vous qui le dites ainsi, moi je n’ai pas dit ça. En dehors de vos sophismes et retournements de preuve, vous n’avez aucun argument pertinent.
 
 Ce que je dis : puisque les labos en profitent, alors la propagande existe.
 Puisque les labos en profitent, et vu que ce sont les labos qui font les études, alors les études visant à invalider la théorie virale n’existent pas. Les preuves abondent qui prouvent que cette théorie est fausse. Votre mauvaise foi crasse ne trompe que les imbéciles.

@Eric F 

Le mythe de la contamination épidémique

@Eric F

copié-collé : «  Concernant ceux-ci, les arguties et sophismes utilisées par le dénialisme ne constituent que le combat d’arrière garde de théories du 19-ème siècle, inutile de remettre ça sur le tapis. »

Quels sont les « faits » qui sont « contestés » ?

Ce concept de « dénialisme » est bien « pratique » et aussi « solide » que le concept de « complotisme ». 
... « Les personnes qui refusent d’admettre l’efficacité et l’innocuité quasi totale des vaccins sont aussi des dénialistes. Tout comme celles qui refusent d’admettre la réalité du réchauffement climatique anthropique ; qui ne croient pas que le VIH cause le sida ».« ...

Moi je demande simplement »des preuves« . 
L’efficacité vaccinale : où sont les preuves ?
L’existence des virus : où sont les preuves ?
Le VIH où sont les preuves ? 

Vous n’avancez pas d’un cheveu en parlant de ce concept du »dénialisme« . Cela ne reste qu’un concept pour »déjuger« d’une manière autoritaire celui qui demande des preuves. Mais les preuves n’existent pas, dans le domaine de l’existence des »virus« comme dans celui de »l’efficacité vaccinale« . 

Je »rebondis« , par conséquent, sur vos propos : »« contester la réalité est d’une incommensurable stupidité ». Apportez donc des « preuves de cette réalité et examinez »le dogme« vaccinal avec sérieux et avec autant de sérieux le »dogme de la propagation« . 

Le combat d’arrière-garde est bien celui des »pasteuriens« pas celui de ceux qui s’interrogent sur les »virus« et »l’efficacité vaccinale« , jamais »démontrée« . D’ailleurs, Eric F, si vous avez »une seule« étude sérieuse qui démontre »l’efficacité vaccinale« , vous seriez le bienvenu de la faire connaitre. De la même façon, si vous avez des »preuves« de la »propagation virale« , vous pouvez les exposer.
Dans le cas contraire vous vous positionnez dans le dogme et dans la mystification. Selon vous, celui qui ne croit pas en Dieu, fait aussi dans le »dénialisme" ? 

@pipiou
 J’a répondu en long en large et en travers sur l’épisode du « Diamond Princess ».

Le « Diamond Princess » est la « preuve » que la contamination est un mythe. Il y a eu une contamination de cette maladie sans symptôme appelé « dekas ». Juste assez de « publicité pour cette maladie »Dekas« pour faire avaler des couleuvres à des personnes comme vous. 

pipiou, vous êtes un malade qui s’ignore, comme les passagers du »Diamond Princess". 

@pipiou

Il n’y a jamais eu 14 morts sur le « Diamond Princess » « gros malin » ! Parce que les « vieux » continuent de mourir lorsqu’ils ont débarqué du paquebot. 

... « L’équipe londonienne a quant à elle utilisé les données du navire, où presque tout le monde a été testé, et où les 7 décès ont été enregistrés. Selon John Ioannidis, les études fondées sur les données du Diamond Princess pourraient gagner en précision en incorporant des informations sur les antécédents médicaux des personnes à bord. « Nous savons, ajoute-t-il, que non seulement l’âge, mais aussi la consommation de tabac, des maladies pulmonaires obstructives chroniques, des maladies cardiaques, le diabète… influent sur le pronostic en cas d’infection. » »

Vous n’êtes plus à un grossier mensonge près pipiou ! 

70-79 ans : 3 décès (8%)
80-89 ans : 4 décès (14,8%)
Total : 7 décès.

https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.12.2000256

@Eric F
 
 le vrai, le seul dénialisme en la matière est relatif aux effets mortifères et trompeurs des injections, vu qu’ils ressemblent à la maladie qu’ils sont censés combattre.

@Francis, agnotologue
A propos des effets indésirables des vaccins injectant le code de la protéine spike de la lignée du SARS Cov2, il se peut effectivement que cette protéine provoque certains symptômes de la maladie.
Le vaccin ne combat pas en lui-même la maladie, mais il est sensé faire acquérir préventivement une capacité de riposte immunitaire.

@Legestr glaz
vous me faites rigoler avec la demande de preuves de l’existence des virus, on n’est plus comme il y a cent ans, les moyens d’observation et d’analyse abondent désormais, des dizaines de milliers de chercheurs travaillent là dessus et ont publié des centaines de milliers d’études, les prendre tous pour des menteurs ou des crétins ne tient pas la route une seconde. Seuls une poignée de dissidents et une brochette de charlatans le contestent.

@Eric F
 
 ’’Le vaccin ne combat pas en lui-même la maladie, mais il est sensé faire acquérir préventivement une capacité de riposte immunitaire.’’
— >
 Qu’un vaccin soit censé faire acquérir une capacité de riposte, c’est la définition même d’un vaccin. Mais ce n’est pas en appelant vaccin un truc qui fait pire que la maladie qu’on changera les choses.
 
 Pratiquez la pensée magique autant que vous voulez pour vous, mais de grâce, épargnez nous vos délires.

@Eric F

C’est vous qui faites du « nialisme » en évitant « soigneusement » de prendre en considération la forme de « courbe en cloche » des épidémies de maladies respiratoires hivernales. 
Vous le savez, ces épidémies montrent toutes une courbe en cloche qui correspond à l’apparition d’un épisode de pollution augmentée. Il y a un pic épidémique qui « disparait » lorsque les conditions atmosphériques reviennent à la normale (disparition de l’inversion thermique).

Ces courbes « en cloche » sont la preuve formelle de « l’inexistence » d’une propagation et d’une contamination. D’autres preuves existent, comme le fait qu’il soit impossible de rendre malade une personne saine mise en présence d’un malade d’une maladie respiratoire.

Non, désolé « il n’y a pas de milliers de chercheurs » qui travaillent sur les virus et loin s’en faut. Ils sont très peu nombreux à le faire d’ailleurs. Pourquoi « mentez vous », je l’ignore.
Et je vous prends au mot puisque vous écrivez : « des dizaines de milliers de chercheurs travaillent là dessus et ont publié des centaines de milliers d’études ».

Citez m’en une seule, parmi ces centaines de milliers d’études. Une seule, ce n’est quand même pas difficile non ? Si vous l’annoncez c’est que vous en avez connaissance, moi pas. Alors j’attends.....

Vous vous êtes mis dans un piège à rat. Jamais, jamais, jamais, un virus n’a pu être isolé directement d’une sécrétion humaine. Jamais. J’espère que vous comprenez le sens de « jamais ». Pour « découvrir » un virus, il faut tout un travail « in vitro » à l’aide de cellules « non humaines ». Et ce travail d’isolement et de purification des virus est la première partie du « sophisme » concernant la théorie virale. Les vésicules extra cellulaires et les exosomes sont, eux, trouvés « directement » dans les sécrétions humaines. Et sur ce point il vous sera absolument impossible de me contredire, puisque ce sont des faits. 

@Lynwec

Surtout totalement inutiles ces vaccins puisqu’ils n’ont strictement aucune efficacité pour lutter contre les matières particulaires atmosphériques qui rendent les gens malades lors des inversions thermiques, principalement les personnes au système immunitaire diminué. C’est toujours le même processus qui est à l’oeuvre lors des maladies respiratoires hivernales.

Mais il convient de « fermer les yeux » sur les phénomènes « d’inversion thermique » et sur l’augmentation des taux de pollution. Tout ceci est absolument « démontré ». Il n’y a strictement aucun doute : les maladies respiratoires hivernales se déclenchent lorsque la pollution augmente et reste élevée durant quelques jours (présence d’un anticyclone, absence de vent et de pluie, température matinale basse). Ceci a parfaitement été le cas en fin novembre-début décembre 2022 et en février 2023. Ainsi, au cours de l’automne-hiver 2022-2023, il y a eu 2 pics épidémiques de maladies respiratoires, tous les deux à la suite d’un épisode de pollution augmentée. C’est très facile de le vérifier pour ceux qui « aiment les faits ».
Et en 2020, lors de l’épisode covid19, cela a été également le cas. Le « pic épidémique » correspondant à une forte inversion thermique et à une pollution augmentée. 

C’est pour ces raisons de niveaux de pollution atmosphérique qu’il est totalement contreproductif de comparer la mortalité d’un pays à l’autre dans le monde, puisque les niveaux de pollution ne sont pas les mêmes. Rien qu’en France tout le monde a pu « constater » (ce sont des faits) que les malades « covid19 » avaient été bien plus nombreux dans les régions ou la pollution augmente en hiver, la partie Est de la France. Les résidents de la façade atlantique ayant été bien moins touchés durant cette période. 

Mais si « on » veut ignorer la réalité, on peut le faire pour vendre des vaccins qui resteront une cautère sur une jambe de bois, et pour cause : ce qui rend malade ce sont les matières particulaires et non des virus. 

@Legestr glaz

Et puisse que vous évoquez « la communauté scientifique » je vous propose ce papier.

... « La controverse sur les vaccins s’est récemment intensifiée à la suite de la pandémie mondiale de COVID-19, avec des appels de politiciens, de professionnels de la santé, de journalistes et de citoyens à prendre des mesures sévères contre les soi-disant »anti-vaxxers« , tout en les accusant de se propager » fausses nouvelles » et, à ce titre, de mettre en danger la santé publique.

Cependant, la question de la suppression des dissidents vaccinaux a rarement été étudiée du point de vue de ceux qui soulèvent des inquiétudes quant à la sécurité des vaccins. Le but de la présente étude était d’examiner les perceptions subjectives des professionnels (médecins, infirmières, chercheurs) impliqués dans les vaccins par la pratique et/ou la recherche et qui portent un regard critique sur les vaccins, sur ce qu’ils perçoivent comme la suppression de la dissidence dans le domaine des vaccins, leur réponse à celui-ci, et ses implications potentielles sur la science et la médecine.

Les répondants ont déclaré avoir été soumis à diverses tactiques de censure et de répression, y compris la rétractation d’articles signalant des problèmes de sécurité des vaccins, une publicité négative, des difficultés à obtenir des financements pour la recherche, des appels au licenciement, des convocations à des audiences officielles, la suspension de licences médicales et l’auto- la censure. Les personnes interrogées ont également signalé ce qu’on a appelé un « effet de retour de flamme » - une contre-réaction qui attire davantage l’attention sur la position des adversaires.

La suppression de la dissidence nuit au discours scientifique et à la pratique de la recherche tout en créant la fausse impression d’un consensus scientifique"...

Mai 2022

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35587319/

@Legestr glaz

Suite « communauté scientifique », derrière laquelle il est si facile de se cacher en refusant « le débat scientifique ».

... " L’émergence de la COVID-19 a entraîné de nombreuses controverses sur les connaissances et les politiques liées à la COVID . Pour contrer la menace perçue des médecins et des scientifiques qui contestent la position officielle des autorités sanitaires gouvernementales et intergouvernementales, certains partisans de cette orthodoxie ont décidé de censurer ceux qui promeuvent des opinions dissidentes. 

Le but de la présente étude est d’explorer les expériences et les réponses de médecins et de chercheurs hautement accomplis de différents pays qui ont été la cible de répression et/ou de censure suite à leurs publications et déclarations en relation avec le COVID-19 qui remettent en question les opinions officielles. 

Nos conclusions soulignent le rôle central joué par les organisations médiatiques, et en particulier par les entreprises de technologie de l’information , dans la tentative d’ étouffer le débat sur la politique et les mesures COVID-19 . 

Dans le but de réduire au silence les voix alternatives , on a largement utilisé non seulement la censure, mais aussi des tactiques de répression qui ont porté atteinte à la réputation et à la carrière des médecins et des scientifiques dissidents, quel que soit leur statut universitaire ou médical et quelle que soit leur stature avant d’exprimer une opinion. position opposée. 

Au lieu d’une discussion ouverte et équitable, la censure et la suppression de la dissidence scientifique a des implications délétères et de grande envergure pour la médecine, la science et la santé publique .

Novembre 2022

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36340971/

@Legestr glaz
Vous êtes habile dialecticien, mais on en a longuement débattu, j’ai donc eu l’occasion de compulser des études et exprimer les différents arguments, notamment sur la conjonction de facteurs pour les épidémies, et sur les particularités intrinsèques de la culture et analyse virale (optique, composition, code génétique).
Vous vous êtes récemment converti au dénialisme du virus en vogue sur la réacosphère (d’autres intervenants de même mouvance ont depuis épousé la même thèse), et vous défendez désormais cette thèse avec la même énergie que vous défendiez auparavant la propagation virale par les aérosols, ou encore l’immunité antivirale de premier niveau dans le système respiratoire. Demain quoi ?

@ahtupic (commentaire du 22 à 22:39)
ah, nouveau pseudo ? Je me suis opposé aux mesures coercitives comme les confinements à répétition (j’ai écrit des articles là dessus) ainsi que le pass et l’exclusion des soignants, contre lesquels j’ai signé des pétitions.
On peut être vigilent sans être parano.

@Eric F
 
 ’’ Je me suis opposé aux mesures coercitives comme les confinements à répétition’’
— >
 Pfff !
 
Le mec il a tout fait pour persuader le monde que nous étions en présence d’une maladie mortelle très contagieuse (cf. ’’on est en guerre’’ macron), et il se vante aujourd’hui de s’être opposé aux mesures qu’ont ordonnées les imbéciles au pouvoir qui ont cru à ses mensonges, !!!
 
 Eric F lave plus blanc que blanc en disant une chose et son contraire : un champion du ’’en même temps’’ pervers qui détruit irrémédiablement tout sur son passage.

@Eric F
 
 Je vois dans votre insistance à soutenir cette thèse virale en dépit de toutes les preuves actuelles qui la démentent, une stratégie à long terme qui mise sur le fait que le pseudo covid long induit par les vaxins, pourrait bien se confondre avec la maladie due aux pollutions atmosphériques. 
 
Cette confusion serait susceptible de faire disparaitre la relation de cause à effet entre pics de pollutions et pics de maladie, et par là même, effacer les preuves qu’il n’y a pas de contamination virale.
 

@ahtupic (commentaire du 22 à 22:31)
Ce sont des fumisteries que ces histoires d’autopsies interdites (elles n’ont pas été systématisées évidemment) et des policiers non vaccinés (ils n’avaient pas l’obligation -pas plus que la plupart des autres professions-, la majorité se sont fait vacciné et d’autres non).

Quant à la ’’montée des eaux’’, je suppose que tu parles de la submersion annoncée de certaines îles, on n’en n’est effectivement pas là, le catastrophisme du GIEC pousse le pion à l’excès, il n’en reste pas moins qu’en moyenne chaque décennie a été plus chaude que la précédente -notamment chez nous- et qu’il y a une (lente) montée du niveau marin, de 23 cm depuis 1880 et de 7,5 cm depuis la fin des années 90.

@Francis, agnotologue
Vous êtes un manipulateur, je n’ai jamais relayé le catastrophisme apocalyptique ni soutenu les mesures coercitives de la crise covid, tout en prenant en compte qu’il y avait une épidémie sérieuse. Il y avait une juste mesure, qui n’était ni le maximalisme ni le négationnisme, comme pour de nombreux problèmes de la vie.

@Francis, agnotologue
la thèse de déni du virus est aussi exhubérante que celle du créationnisme biblique en 6 jours, basée sur des sophismes et une jonglerie sur quelques paradoxes. Une infime minorité obscurantiste s’y accroche.
Cela ne réduit pas pour autant le rôle de la pollution et les mesures qui doivent être prises (ne faut-il alors pas soutenir le combat du GIEC contre les énergies combustibles, et celui des Verts contre les traitements agricoles ?).

@Eric F
 
’’la thèse de déni du virus est aussi exhubérante que celle du créationnisme biblique en 6 jours, basée sur des sophismes et une jonglerie sur quelques paradoxes. ’’
— >
Exubérant, le créationnisme ? Vous croyez ?
 
 
De mon point de vue, c’est plutôt le pastorisme, négation in fine du darwinisme, que je comparerais au créationnisme, et pas son contraire, la thèse de Deschamps laquelle respecte scrupuleusement les principes de l’évolutionnisme.
 
« La plus grande ruse du diable c’est de vous faire croire que le diable c’est pas lui, c’est l’autre »

ps. le GIEC ne combat pas la pollution mais l’industrialisation des pays émergents sur le seul critère du dégagement de CO2, un gaz naturel qui n’a rien à voir avec la pollution. Nuance.
 

@Eric F
 
’’la thèse de déni du virus est aussi exhubérante que celle du créationnisme biblique en 6 jours, basée sur des sophismes et une jonglerie sur quelques paradoxes. ’’
— >
 Exubérant, le créationnisme ? Vous croyez ?!!!
 
 
De mon point de vue c’est plutôt le pastorisme, négation in fine du darwinisme, qui est dans la droite ligne du créationnisme, et non pas la thèse de Deschamps laquelle, respecte scrupuleusement les principes de l’évolution.
 
Ps. Le Giec ne combat pas les pollutions mais seulement les émissions de carbone, un gaz naturel vital,et non polluant.

@Eric F

Le « dénialisme » c’est vous qui le pratiquez, en refusant d’examiner les faits. C’est ainsi que j’entends la définition du « dénialisme » : nier la réalité de faits remarquables. En revanche, vous utilisez ce substantif dans le sens vulgaire du terme à savoir : « Rejet des faits et des concepts indiscutables et bien soutenus par le consensus scientifique en faveur d’idées radicales et controversées. »...
Vous tordez la réalité pour la faire entrer dans votre champ de réflexion. Pour vous la « théorie virale » ou la « théorie vaccinale », sont des concepts indiscutables comme l’est la gravité universelle. Nous sommes pourtant dans le domaine du dogme, comme l’était le « géocentrisme ». 

J’ai posté plusieurs études en lien avec la « persécution » dont sont victimes des scientifiques de renom qui « osent », quel sacrilège, contester l’avis de la « communauté scientifique ». Cette « communauté scientifique » qui ressemble comme deux gouttes d’eau à la célèbre « communauté internationale ». Ce n’est que du baratin et de l’enfumage. 

Et je suis d’accord avec vous sur la maturation de mes idées, en relation avec la biologie et la biochimie, parce que la période « covid19 » a été très porteuse dans le domaine des études scientifiques. Cette période m’a permis de faire des mises en perspective que je n’aurais pas pu réaliser en d’autres circonstances. A quelque chose malheur est bon n’est-ce pas ? L’esprit scientifique consiste à toujours s’interroger et à remettre en question ce que l’on pense connaitre.
... « Platon nous donne cette définition de l’opinion : »quelque chose d’intermediaire entre l’ignorance et le savoir« . L’opinion est en effet une idée partielle et partiale autrement dit incomplète et subjective. Il s’agit de ces points ci que Bachelard dans La formation de l’esprit scientifique déplore, car selon lui on ne peut en aucun cas associer l’opinion à la science. En science croire et savoir sont deux tenues utilisées fréquemment mais qui demandent réflexion : croire est en fait admettre une idée sans être capable de la démontrer. Quant à savoir, il s’agit d’établir une connaissance en administrant la preuve que l’on avance. La science, elle, exige que les apparences soient dépassées. Elle doit être une réalité construite. En effet, le fait n’aura de signification que s’il a des caractéristiques mesurables et objectives.

La science doit alors substituer au monde perçu naïvement un monde construit sur des principes rationnels. Cette conquête de l’objectivité suppose l’exclusion de la subjectivité sensible puis une analyse scientifique. »...

Et je suis d’accord avec vous sur la « conjonction » de facteurs, en lien avec les maladies respiratoires. Mais ces « facteurs » ne sont pas des « virus » qui ne sont « que » des artefacts. La conjonction de facteurs concerne toutes les sortes d’entités polluantes atmosphériques, des matières particulaires aux métaux lourd, en passant par les pesticides, les spores et les mycotoxines. Et à tout ceci nous pouvons ajouter le « rayonnement électromagnétique » (les champs électromagnétiques) qui ont la très fâcheuse tendance à déréguler l’action des mitochondries, à produire du « stress oxydatif. Et vous savez aussi bien que moi, Eric F, que l’énergie dont l’être humain a besoin est très majoritairement produite dans les mitochondries selon le processus appelé »chaine de transport des électrons« créant un »gradient électrochimique« qui sera à l’origine de l’ATP. 

https://rnbio.upmc.fr/Biochimie_metabolisme_chaine-respiratoire1 

... »En conclusion, les mitochondries semblent jouer un rôle important en tant que source de ROS dans les systèmes reproducteurs masculins et féminins exposés aux CEM. (champs électro-magnétiques)« 

Novembre 2018  :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6250044/

Et je vous trouve particulièrement audacieux d’annoncer l’existence de »dizaines de milliers d’études« et d’être dans l’incapacité la plus totale d’en produire une seule ici. Le groupe »Cochrane« a cherché en vain des études prouvant l’efficacité vaccinale par exemple. Et je pense que vous ne ferez pas mieux que ces chercheurs. Mais vous prétendez que ces études existent ! Trop fort !

(votre copié-collé. : « des dizaines de milliers de chercheurs travaillent là dessus et ont publié des centaines de milliers d’études »). Il ne me semble pas que vous construisiez votre réflexion selon des principes rationnels. Vous seriez plus exactement dans ce que l’on appelle »la dissonance cognitive« . Je comprends tout à fait parce qu’il est difficile de se »déjuger", de comprendre que ce à quoi on croyait était de la fantaisie. 

@Eric F

Le GIEC est un organisme qui ne fonde sa réflexion « que » sur le « réchauffement climatique ». Le GIEC est à côté de la plaque. Le climat a toujours « changé » et il le fera toujours. 

Eric F, à quel moment est-il question de la « destruction des éco-systèmes » ? Du pillage des ressources planétaires ? Des déversements de polluants dans les sols et dans l’atmosphère ? C’est le GIEC qui en parle ?

Tout est bon pour faire des profits. Normalement c’est le rôle des Etats de prendre des mesures pour sauvegarder l’intérêt public et la santé publique. Mais les Etats sont maintenant aux mains de la haute finance, les Chefs d’Etat étant aujourd’hui « présélectionnés » par le pouvoir de l’argent, dont fait partie « big Pharma », avec ses théories virales et théories vaccinales. Cela fait entrer du pognon dans la caisse des actionnaires et des toxines dans les vaisseaux des populations. Piquons, piquons, piquons, tant que cela rapporte et inutile de « prouver » quoi que se soit. Il suffit de psalmodier que des « centaines d’études » sont concordantes et que la « communauté scientifique » est à l’unisson. Ne cherchons, évidemment pas, les conflits d’intérêts qui pourraient exister. 

Je n’aime pas votre monde Eric F.

@Eric F
 
La thèse de la « contamination et de la propagation virale » est aussi exubérante que celle du créationnisme biblique en 6 jours, basée sur des sophismes et une jonglerie sur quelques paradoxes.

Les épidémies de maladies respiratoires apparaissent « brusquement » et disparaissent aussi « brusquement ». Elles montrent un profil de courbe en cloche en ce qui concerne la mortalité. La thèse de la « ’contamination et de la propagation » est totalement incompatible avec la manière dont les maladies respiratoires surviennent et disparaissent. En revanche, des taux de pollution « provisoirement » élevés, qui surviennent brusquement et disparaissent aussi brusquement, « expliqueraient » mieux l’origine des maladies respiratoires. A ceci il serait possible d’associer le rôle des « champs électromagnétiques » qui induisent une augmentation du « stress oxydatif ». Mais les études manquent sur ce sujet. 

Le « dénialisme » vient à votre secours Eric F. C’est ainsi que vous niez l’existence d’une « non contamination » et d’une « non propagation » lors de la célèbre grippe « espagnole » de 1918-1919. Les « faits » nous montrent que cette maladie ne pouvait pas être « communiquée » à des personnes saines. 

Expliquez nous « pourquoi » vous refusez d’admettre cette réalité ? Où sont vos « arguments » en faveur d’une propagation et d’une contamination alors que les « faits » prouvent le contraire ? C’est « l’expérience » de Milton Rosenau, laquelle a fait l’objet d’un rapport absolument détaillé et dont vous refusez d’accepter les conclusions. C’est du « dénialisme » de votre part. 

... " LA GRIPPE ESPAGNOLE

Encore une fois, cette maladie s’est propagée si rapidement que les scientifiques n’ont pas pu expliquer le taux de contagion par transfert de particules entre humains, mais c’est la DEUXIÈME VAGUE de la grippe espagnole qui a tué des dizaines de millions de personnes à travers le monde.

Le Chirurgien général américain a ordonné une série d’enquêtes sur la nature de cette contagion désastreuse. Une telle série d’expériences a été menée en utilisant 100 volontaires sains de l’US Navy en les mettant en contact étroit et contrôlé avec des patients souffrant de la maladie. Un certain nombre de tests ont été effectués à plusieurs reprises. Du sang a été extrait des malades et injecté aux volontaires. Les patients ont craché dans des plateaux et les personnes non infectées ont bu leurs expectorations. Les patients ont éternué et toussé tandis que les volontaires, nez à nez, ont inhalé les gouttelettes éjectées aussi profondément que possible.

Les médecins ont découvert, à la stupéfaction de beaucoup, qu’AUCUN DES BÉNÉVOLES N’A ÉTÉ MALADE.

@Legestr glaz
 bonjour,
 
vous écrivez avec raison : ’’Les épidémies de maladies respiratoires apparaissent « brusquement » et disparaissent aussi « brusquement ». Elles montrent un profil de courbe en cloche en ce qui concerne la mortalité. La thèse de la « ’contamination et de la propagation » est totalement incompatible avec la manière dont les maladies respiratoires surviennent et disparaissent.’’
 — >
 Eric F, se prévalant odieusement de la maxime arriviste attribuée à Bonaparte, persiste dans son erreur (*) jusqu’à ce que la conjoncture lui donne raison.
 
Je m’explique : l’injection massive dans la population, de protéines spike a pour effet de provoquer des symptômes de plus en plus difficiles à différencier de la maladie dite covid. Ou plus exactement, en appelant covid long les effets indésirables de ces poisons injectés, les labos brouillent les cartes.
 
Cet amalgame scélérat entre empoisonnement par des particules fines et effets indésirables des vaxins qui conduit à comptabiliser sur le compte du covid

a pour effet à moyen et long termes une indifférenciation au niveau des statistiques, et in fine, aplanir la courbe en cloche, faisant disparaitre à tout jamais les preuves que vous avancez si pertinemment.
 
 
 Napoléon Bonaparte : «  Quand on s’est trompé il faut persévérer et l’on finit toujours par avoir raison » Napoléon Bonaparte
 
 (*) non pas erreurs mais fautes : les erreurs pénalisent le fautif qui n’est donc pas justiciable. Les fautes lèsent des tiers ou enfreignent règles ou lois, et à ce titre le coupable est passible de poursuites. Nuance donc.

@Géronimo howakhan
bonjour,
 
oui, merci à Legestr glaz

pour ses synthèses, gros travail.

 
’’il semble que le vrai, la vérité , le fait etc aient une vie propre..bien au delà de nos cerveaux si limités..’’
 — >
 On dit que les faits sont têtus. La question n’est pas les faits à un instant t, mais leur évolution, et par conséquent, leur interprétation. S’il est vrai que la bêtise insiste toujours, il faut que jamais la vigilance ne faillisse. Il faut beaucoup de courage et d’intelligence pour affronter la perversion satanique.
 
Cordialement.
 

@Francis, agnotologue et Legestr glaz

Au fil des discussions, j’ai pris beaucoup de temps à examiner les arguments et données, tant des thèses dénialistes du virus que de la virologie. Le déni est basé sur des artifices de raisonnement et n’expose en aucun cas de vraie preuve.
Vous êtes très péremptoires, dans vos nouvelles croyances (zèle de néophyte) autant que vous l’étiez dans vos convictions antérieures sur la propagation ou l’immunité. Le militantisme néo-béchampiste va-t-il éradiquer les virus ? Je crains que ceux-ci n’en n’aient cure et continueront à nous infecter à qui mieux mieux....

@Eric F
 
 ’’Le déni est basé sur des artifices de raisonnement et n’expose en aucun cas de vraie preuve.’’
— >
 De quel déni parlez vous ? À quelles réalités faites vous allusion ?
 
 « « Nous sommes un empire, maintenant, (poursuivit-il,) et lorsque nous agissons, nous créons notre propre réalité. Et pendant que vous étudiez cette réalité, judicieusement, comme vous le souhaitez, nous agissons à nouveau et nous créons d’autres réalités nouvelles, que vous pouvez étudier également, et c’est ainsi que les choses se passent. Nous sommes les acteurs de l’histoire (...). Et vous, vous tous, il ne vous reste qu’à étudier ce que nous faisons. » »
 
Ce discours de Bush ou de son conseiller peut être tenu par les empires financiers et industriels. C’est ce discours tenu implicitement par Big Pharma, et la réalité qu’il a créé, que vous soutenez ici, en bon godillot ou lobbyiste ou idiot utile que vous êtes. À ce niveau, on se prend pour dieu.
 
Comment peut-on croire que l’humanité a un besoin vital des vaccins si on n’est pas au fond de soi, un créationniste dissident ?

@Francis, agnotologue

copié-collé : « l’injection massive dans la population, de protéines spike a pour effet de provoquer des symptômes de plus en plus difficiles à différencier de la maladie dite covid. Ou plus exactement, en appelant covid long les effets indésirables de ces poisons injectés, les labos brouillent les cartes. »...

J’aimerais, modestement, apporter mon éclairage, selon ma compréhension des choses, des « effets » de la « vaccination covid19 », donc à ARN messager.

Le but « déclaré » de la manoeuvre de ces injections est d’introduire dans l’organisme (via des nanoparticules de transport) un ARNm qui va « donner l’ordre » à notre ADN de communiquer la « recette » pour produire la célèbre protéine « spike ». C’est le message que porte l’injection : faire produire par notre organisme cette protéine (un assemblage d’acides aminés supposé faire partie du SARS-COV2). Mais la « fabrication » elle même de la protéine ne se déroule pas dans le noyau de la cellule qui renferme notre ADN mais dans une « entité » de la cellule appelée « ribosome ». Notre ADN « connait » toutes les recettes de fabrication de nos protéines. Et dans le cas présent, c’est un « piège » qui est tendu à notre ADN via l’ARNm qui demande à faire produire une protéine qui ne fait pas partie du « soi ». 

J’ouvre un parenthèse. Certaines personnes, rares, présentent des déficiences génétiques. Elles ne parviennent pas à produire certaines protéines indispensables au fonctionnement de l’organisme. On peut « forcer la main » de l’organisme, grâce à des ARNm, afin que notre ADN délivre la recette de cette protéine qui fait défaut. L’organisme produira, par conséquent, cette protéine faisant défaut chez la personne, pour un mieux biologique. Mais il s’agit d’une protéine du « soi », une protéine faisant partie du répertoire humain. 
C’est la thérapie génique (stratégie qui consiste à importer la copie d’un gène fonctionnel dans une cellule cible, pour qu’elle s’y exprime et aboutisse à la production de la protéine qui fait défaut. Le gène thérapeutique importé ne modifie pas le gène malade : il vient simplement s’ajouter au patrimoine génétique des cellules pour compenser la fonction déficiente.)
https://www.inserm.fr/dossier/therapie-genique/

Une fois que l’ARN messager a délivré son message, l’ADN « libère » la recette de la protéine « spike ». Le ribosome va se charger de « fabriquer » cette protéine selon la recette communiquée. Mais, il se trouve, que toutes nos cellules possèdent un « contrôle qualité ». C’est ainsi que toutes les protéines produites par le ribosome vont être « examinées » par le système « ’ubiquitine-protéasome ».
https://planet-vie.ens.fr/thematiques/cellules-et-molecules/physiologie-cellulaire/la-voie-de-degradation-ubiquitine

Ce « contrôle qualité » exercé par la protéasome permet d’écarter toute protéine qui ne correspond pas à notre génome. Parce que le ribosome peut ne pas respecter tout à fait la « recette », ou parce que la protéine, une fois fabriquée, sera mal « repliée ». Ces « protéines » qui ne seront pas conformes au « standard » requis par notre génome, seront « détruites » et ne seront pas libérées hors de la cellule. Mieux encore, le système ubiquitine-protéasome va « signaler » cette protéine à notre système immunitaire via le CMH (complexe majeur d’histocompatibilité). Ce CMH présente, par conséquent, à la surface de nos cellules, les « codes » des protéines du « non soi » de manière à ce que nos agents de l’immunité les détruisent, le cas échéant. Le CMH fait la part des choses entre le « soi » et le « non soi », entre les protéines « conformes » et les protéines « non conformes ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Complexe_majeur_d%27histocompatibilité

Mais il se trouve que l’activité du protéasome décline avec l’âge parce que de très nombreux « détritus » s’accumulent dans la cellule. Parce que le protéasome a aussi pour travail d’éliminer les protéines « oxydées ». Et on comprend alors que nous ne sommes pas égaux. Les organismes en bonne santé ont un protéasome fonctionnel, les organismes diminués ont un protéasome débordé.

Avec l’injection à ARNm personne ne sait pendant combien de temps le « message » de faire fabriquer la protéine spike va être effectif. Est-ce que ce message va être « intégré » dans nos gènes ? Est-ce que nos cellules vont produire continuellement cette protéine. Qui le sait ? Ce qui est certain, c’est que cette protéine, si elle est fabriquée, sera détruite par le protéasome, s’il est opérationnel. Et s’il ne l’est pas, cette protéine va s’accumuler dans la cellule, sous forme de déchet, jusqu’à la faire mourir. Et si la mort d’une seule cellule n’est pas important, la mort de plusieurs cellules, constituant un organe, sera plus dramatique, entrainant le dysfonctionnement de celui-ci. Par ailleurs, nul ne connait la composition exacte des injections et personne ne connait la « nature des adjuvants » qui intègrent le produit injectable. Sauf l’industriel ayant fabriqué le produit injectable. A savoir que tout ce qui pénètre dans l’organisme, sans y être « autorisé » sera considéré comme « agent pathogène » et déclenchera l’action du système immunitaire. Quoi que contiennent ces injections, les produits injectés seront combattus par notre système immunitaire. 

Je reste un observateur attentif de ces choses pour lesquelles il demeure de très nombreuses incertitudes. Et il existe un marge importante entre la théorie et la réalité biologique. 

@Legestr glaz
 
 ce que j’en retiens : si l’organisme sait se défendre contre des protéines spike fabriquées en masse par ses propres cellules, a fortiori il devrait savoir se défendre contre ces mêmes protéines entrant faiblement par des voies externes.
 
Demander à un organisme de produire en masse des protéines nocives pour l’entraîner à combattre quelques protéines qu’il rencontrerait ici ou là dans la nature revient pour une auto-école à mettre d’emblée un apprenti conducteur dans une course de formule 1.

@Francis, agnotologue

C’est bien ça. Surtout qu’avec ces injections, le système immunitaire de première ligne est évité, c’est pourtant lui qui fait le plus gros du travail immunitaire en empêchant les agents pathogènes de pénétrer l’organisme, de les détruire lorsqu’ils se présentent dans nos différents orifices.

A savoir que jamais cette « hypothèse » que l’organisme se défendrait mieux après avoir été « infecté par la vaccination » n’a été ni prouvée ni démontrée. On constate simplement qu’après vaccination l’organisme produit des anticorps ce qu’il fait dès l’instant où des agents pathogènes le pénètrent. Et puis les « anticorps » ne sont « que » des marqueurs et il faut que des agents du système immunitaire innée interviennent pour détruire les « complexes immuns » constitués de l’antigène lié à l’anticorps. Et, par conséquent, produire des quantités d’anticorps ne sera d’aucune utilité si les agents du système immunitaire innée chargés d’éliminer les complexes immuns ne sont plus opérationnels ou moins opérationnels, comme chez les personnes « déjà » malades (les diabétiques, les insuffisants rénaux, les malades des coronaires, les malades de maladies dégénératives, les obèses, bref ceux qui ont un métabolisme qui dysfonctionnement). La « vaccination » n’influence en aucune façon la capacité macrophagique de l’organisme. Et ce n’est pas parce que nous aurons des quantités d’anticorps en circulation contre un agent pathogène donné que nous serons « mieux protégés ». C’est peut être même « l’inverse »....

... «  Les complexes immuns circulants (CIC) sont des agrégats antigène-anticorps de taille variable, liés de façon non covalente aux antigènes correspondants. Leur formation résulte d’une réaction classique de protection du système immunitaire face à l’introduction d’un antigène étranger. Ces CIC doivent normalement être éliminés rapidement par le système macrophagique. Dans certaines situations pathologiques, les CIC sont mal éliminés et se déposent au niveau de l’endothélium vasculaire provoquant des lésions par activation, notamment du système du complément. »...

https://www.eurofins-biomnis.com/referentiel/liendoc/precis/COMPLEXES_IMMUNS_CIRCULANTS.pdf

La vaccination est une chimère. 

@Legestr glaz
 

La vaccination est une chimère. 

Oui, mais c’est une chimère lucrative pour les labos. Et c’est ce qui fait qu’elle est si dangereuse.

@Legestr glaz
’’c’est un « piège » qui est tendu à notre ADN via l’ARNm qui demande à faire produire une protéine qui ne fait pas partie du « soi »’’
En l’occurrence, notre ADN situé dans le noyau n’est pas concerné et n’intervient pas ; en effet, les ribosomes ’’traduisent’’ l’ARNmessager sans en connaitre la provenance (interne ou externe), c’est aussi ce qui se passe lors d’une contamination -les acides aminés constitutifs sont présents dans la cellule-.

@Francis, agnotologue et @Legestr glaz

’’La vaccination est une chimère lucrative pour les labos’’

Les béchampistes de naguère niaient le rôle des bactéries dans les infections concernées, les antibiotiques étaient à leurs yeux juste un moyen d’enrichissement des labos.

Alors, oui les labos exagèrent l’efficacité de certains produits et méthodes et en font profit, de là à affirmer qu’ils n’ont aucune efficacité, c’est pousser le bouchon.

@Eric F

C’est ce que le groupe Cochrane a constaté ! Aucune étude ne peut démontrer l’efficacité vaccinale. Ce sont des faits.

Vous, Eric F, vous y croyez. Très bien. Mais pourquoi y croyez-vous ? Selon quels critères ? Vous avez des arguments solides pour le croire ou est-ce seulement une « opinion », c’est à dire une « croyance non examinée » ? Un mensonge répété 1000 fois devient une réalité ? 

La vaccination ne me poserait aucun problème s’il existait des études qui démontrent son efficacité et son innocuité. Concernant son efficacité, nous attendons toujours l’étude qui la démontrera. Concernant l’innocuité, les différents adjuvants incitent très fortement à la prudence.

Et puisque nous sommes dans échange, qui demeure « courtois », il vous suffit de présenter les preuves qui vous permettent de croire en l’efficacité vaccinale. Cela ne doit pas être difficile pour vous qui défendez corps et âme l’efficacité vaccinale.

@Eric F
 
 ’’Les béchampistes de naguère niaient le rôle des bactéries dans les infections concernées’’
— >
 Faux : ils soulignaient seulement l’importance des défenses immunitaires et relativisaient le rôle des bactéries, rôle que les pastoriens avaient surestimé.
.

@Eric F

L’ARN messager « chimique » de l’injection va donc inter-agir directement avec les ribosomes. C’est de la théorie. Rien le prouve. Nous sommes dans le royaume des hypothèses. 

Par ailleurs, tout ceci est parfaitement inutile parce que le système du PAMP distingue le « soi » du « non soi ». Immédiatement. Quel intérêt, alors, de faire produire par les ribosomes des protéines qui vont être aussitôt détruites et qui seront présentées au CMH ? Parce que, finalement, tout « l’intérêt » de ces injections est de présenter la protéine spike au système immunitaire, par « avance ». Et quel « intérêt » présente cette injection puisque les signatures moléculaires des agents pathogènes sont identifiés immédiatement par les PRR ? Tout ceci sent très fort la mystification. 

... L’immunité innée repose notamment sur la reconnaissance de signatures moléculaires portées par des agents pathogènes (PAMP) ou émis par des cellules anormales (DAMP). Ces signaux sont perçus par des récepteurs de reconnaissance de motifs moléculaires (PRR), membranaires ou cytoplasmiques. Si ces récepteurs sont variés, ils déclenchent cependant des voies de signalisation communes qui convergent vers la production de cytokines pro-inflammatoires et d’interférons de type I."...
https://planet-vie.ens.fr/thematiques/animaux/systeme-immunitaire/immunite-innee-antivirale-et-reconnaissance-de-motifs

@Legestr glaz
 
j’émets ici une hypothèse : l’idée aurait été de fabriquer un poison et le contre poison.
 
Le poison : un virus que les humains n’auraient jamais rencontré ; le contrepoison : le vaccin.
Cette idée aurait été vendue à Billou entre autres investisseurs dans cette industrie diabolique et si puissante.

@Francis, agnotologue

’’j’émets ici une hypothèse : l’idée aurait été de fabriquer un poison et le contre poison’’

Il y avait l’hypothèse complotiste que le diabolique big pharma et l’infâme Billou auraient artificiellement créé le coronavirus SARS Cov2 en labo, pour le seul but de fabriquer un vaccin qui permette de génocider ou stériliser une partie de l’humanité.

Vous arrivez à franchir un cran de plus (fallait le faire) : ledit coronavirus qui a été identifié, observé, analysé et séquence n’existerait pas (vous ne l’avez pas vu entre lame et lamelle de votre microscope antédiluvien), le covid ne serait qu’un pic de pollution mâtiné de 5G, et les vaccins (y compris le vaccin chinois à virus inactivé) ne seraient basés sur rien.
Bon, il est vrai qu’ils ont une efficacité partielle et peu rémanente au fil des évolutions du virus, qu’ils ont comme tout produit médical des effets secondaires, et que certains labos se sont fait de couilles en or en collusion avec des responsables politiques. Eh oui, les vraies choses de la vraie vie ne sont pas manichéennes !
Raoult, Perronne, Toubiana, etc. aucun d’entre eux ne nie les virus ni le principe vaccinal.

Sans la médecine des maladies infectieuses on aurait une espérance de vie de 35 ans, même avec le meilleur équilibre alimentaire du monde.

Je ne ’’crois’’ en rien en matière médicale, autre que résultant de la recherche et des remontées de terrain.
Si l’espérance de vie a augmenté considérablement malgré l’aggravation de la pollution et malgré la malbouffe (dont je ne conteste les effets délétères ni de l’un ni de l’autre), c’est avant tout par le progrès de la médecine des maladies infectieuses.
Pour autant, faut-il rejeter par principe certains aspects issus des études de Béchamp, assurément non, ainsi l’interaction des vésicules extracellulaires (j’ai pioché ce point grâce à nos échanges) avec les agents infectieux extérieurs parait une piste intéressante (liens)

@Legestr glaz

 
’’Si l’espérance de vie a augmenté considérablement malgré l’aggravation de la pollution et malgré la malbouffe (dont je ne conteste les effets délétères ni de l’un ni de l’autre), c’est avant tout par le progrès de la médecine des maladies infectieuses.’’
— >
 La malbouffe a remplacé la malnutrition, les privations et le manque d’hygiène. La médecine, et en particulier l’hygiène a énormément contribué à l’espérance de vie des classes inférieures.
Par ailleurs, vous faites encore un sophisme scélérat en amalgamant médecine infectieuse et vaccination. Faut-il vous rappeler comment l’OMS a discrédité et interdit tout traitement du Covid ? C’est ça, votre médecine infectieuse ? Pfff !

@Francis, agnotologue
 
 mon commentaire ci-dessus s’adresse à Eric F, bien entendu.

@Eric F

Effectivement, je suis d’accord avec vous. Il n’y a pas eu de « création » de virus puisque ceci est « impossible ». Déjà isoler et purifier des vésicules extra cellulaires et des exosomes est d’une difficulté inouïe, alors, créer ou « modifier » une entité nanométrique est du domaine de l’impossible.

En revanche, disposer des « nanoparticules » et certains « adjuvants » dans l’injection « salvatrice » reste du domaine du possible. 

Cette affaire « covid19 » avait probablement plusieurs objectifs sans aller jusqu’au génocide planétaire. Mesurer l’effet de la peur sur la « masse », mesurer sa capacité à « obéir ». Prendre des mesures pour « contrôler » plus efficacement cette « masse ». Mesurer l’impact d’un confinement sur le taux de pollution atmosphérique. Et d’autres possibilités encore.

Chaque année les épidémies de maladies respiratoires sont de retour. Chaque année elles correspondent à une période « anticyclonique » avec absence de vent et de pluie. Chaque année les épidémies de maladies respiratoires montrent une courbe en bosse concernant leur mortalité. Chaque année ce sont les personnes déjà malades qui paient le plus lourd tribu aux maladies respiratoires. Chaque année, dans des familles, certains présentent une maladie respiratoire tandis que d’autres restent absolument indemnes. Vous en pensez ce que vous voulez, mais les faits qui sont ainsi présentés ne peuvent pas être la conséquence de « virus ». Et contrairement à ce que vous écrivez, jamais un virus n’a pu être « isolé » dans son intégralité. C’est à partir d’un fragment d’ADN que certains « chercheurs » « déduisent le génome du virus. Une magnifique manipulation.

Et alors ces études dont vous avez connaissance et qui vous permettent de »croire« en l’efficacité vaccinale, vous les avez retrouvées ? Communiquez les nous que j’aille rapidement tirer l’oreille à ces canailles du groupe Cochrane qui n’ont pas été en mesure de trouver ce dont vous avez personnellement eu connaissance.

Seuls des biologistes indépendants sont en mesure de contester l’existence des virus en faisant état de la monstruosité qui consiste à parler »d’isolement« et de »purification« alors qu’il s’agit d’un travail de culture »in vitro« et, ensuite, de déductions et d’hypothèses. Au temps du géocentrisme personne ne s’avisait de contrarier ce dogme. Galilée en sait quelque chose. Et vous voulez que Perronne, un parfait »pasteurien« , ou Raoult, un autre »pasteurien« , se prononcent sur le protocole d’isolement et de purification pour les »virus" ? 

@Francis, agnotologue
Vous pouvez ravaler les termes insultants, la médecine infectieuse traite les maladie à germes, bactéries et virus, -alors que le béchampisme initial déniait l’action des germes-, les antibiotiques, les antiviraux, les vaccins, les mesures de prophylaxie de la transmission, etc. font partie de l’arsenal qui a permis de réduire les effets de ces maladies.
Je ne suis pas comptable des mesures prises lors de l’épidémie covid, ayant été ’’raoultien’’ concernant le protocole qu’il préconisait, et pour la liberté de prescription de manière générale, évitez les amalgames scélérats (pour reprendre le qualificatif).

@Eric F
 
 ’’Il y avait l’hypothèse complotiste ... Vous arrivez à franchir un cran de plus’’
— >
 mais non, je ne fais que mettre un bémol à cette hypothèse d’une intention génocidaire.
 
 En effet, l’hypothèse que j’émets ici est basée sur la bêtise et l’incompétence que j’accorde aux acteurs de cette mascarade. Le but aurait été de redorer le blason de la vaccination en même temps que, sous la pression de l’AG des actionnaires, de générer un profit de dingue, et pour des années et des années à venir

@Legestr glaz
vous donnez donc une interprétation complotiste en affirmant qu’intentionnellement la maladie aurait été provoquée dans le but de tester le déploiement de mesures coercitives et leurs effets. Or on a vu comment la panique -excessive— s’est répandue avec la propagation intercontinentale de l’épidémie et les mesures prises de manière désordonnée par les autorités médicales et politiques en acculturant certaines de celles mises en oeuvre en Chine, ou faisant partie d’un attirail de procédés évoquées lors de simulations.

Le concept de ’’pasteurien’’ est caduque, ce n’est pas lui qui a inventé la vaccination ni découvert les différents types de germes qu’il avait postulés. Or les moyens d’observation et analyse ont davantage progressé depuis son époque qu’ils n’avaient fait pendant les millénaires antérieurs.

Je ne vais pas redonner des listes de références déjà produites dans les débats, qui établissent l’état de la connaissance en la matière, les arguties genre ’’pas observé’’, ’’pas isolé’’, ’’pas analysé’’ sont des mantras ineptes ; quant à la supposée non-contagiosité des maladies, c’est tellement hallucinant que je n’imagine pas que l’on puisse vraiment y croire.

@Eric F
 
 ’’la médecine infectieuse traite les maladie à germes, bactéries et virus,’’
 — >
Ce n’est pas une raison pour l’amalgamer, ou pire, de la réduire à la vaccination, qui ne relève pas de la médecine mais de l’industrie.

 ’’alors que le béchampisme initial déniait l’action des germes’’

— >
Personne ne nie le rôle des germes. La question est : dans quelle mesure ils agissent ? Pour Pasteur et ses acolytes dans la durée, ils sont les seuls responsables et seuls les vaccins peuvnt les éradiquer, excusez du peu.
 
 Ce n’est pas le béchampisme qui nie le rôle des germes, c’est le pastorisme qui nie le rôle du système immunitaire.
 
 Le néo-pastorisme est une extrapolation qui relève de la pensée magique appliquée aux supposés virus, à partir des vieilles thèses archaïques et jamais démontrées

relatives aux germes. Bref, une double imposture.
 
 La troisième imposture étant la mise en œuvre de techniques à ARN messager, technique qui ne relève en aucune façon de la vaccination mais de la thérapie pour soigner des maladies génétiques. La quatrième étant le forcing pour faire de la totalité de la population des cobayes à leur insu.
 
 J’arrête là le décompte des imposture, je suis découragé devant l’ampleur de la tâche, et ça me fatigue.

@Eric F
 
 ’’@Legestr glaz
vous donnez donc une interprétation complotiste en affirmant ...’’
— >
 Tout ce que nous faisons secrètement est complot.
 
 Vous ne pouvez pas dire que tout est limpide dans cette affaire où au contraire, tout est opaque et secret.

@Eric F

copié-collé : « vous donnez donc une interprétation complotiste en affirmant qu’intentionnellement la maladie aurait été provoquée dans le but de tester le déploiement de mesures coercitives et leurs effets ».

Je n’ai pas écrit ça du tout parce que je ne le pense pas. Ne m’attribuez pas vos délires. Je n’ai jamais pensé un seul instant que la « maladie avait été provoquée ». D’où sortez vous ceci ? Vous êtes vraiment « inspiré » en matière de « complotisme » ! 
Je dis que cette affaire a été montée en épingle, en nous faisant croire à une maladie pire que la grippe espagnole. Le recul de 3 années démontre que tout ceci était une gigantesque supercherie. Si vous ne le voyez pas, je ne peux rien pour vous. Les gens décédés du SARS-COV2 étaient, comme pour les grippes, des personnes déjà « malades », des personnes présentant des dysfonctionnements métaboliques importants. Ce sont des faits. Les personnes saines ne meurent pas de la pollution atmosphérique lors des inversions thermiques.

Je dis aussi qu’il est tout à fait possible de « garnir » le produit injectable, développé à la « va vite », de nanoparticules de transport et d’adjuvants. Ces « adjuvants » qui, dans les « vaccins traditionnels », étaient le « sale petit secret » des immunologistes. Vous aimez « l’aluminium » Eric F, votre organisme l’adore ? 

... «  L’immunité est classée en deux grands domaines : l’immunité innée et l’immunité adaptative. Pendant longtemps, l’immunité innée a été qualifiée d’« immunité non spécifique », une formulation négative qui reflétait alors le faible intérêt pour ce volet de l’immunologie. Mais ces dernières années, ce domaine a fait l’objet d’un renouveau, en particulier, suite à la découverte des toll-like receptors. Par conséquent, le concept d’immunité non spécifique n’est plus approprié pour définir l’immunité innée.
Charles Janeway, en cherchant à redéfinir le système immunitaire, s’interrogea sur le bien-fondé du concept de discrimination que ferait le système immunitaire entre soi et non-soi. Il mit en exergue que s’il en était ainsi, on devait alors s’interroger sur la nécessité d’utiliser des adjuvants pour initier une réponse immunitaire décente. Il qualifia alors les adjuvants de « sales petits secrets des immunologistes ».
https://www.nature.com/articles/ni0603-502

copié-collé ; »les arguties genre ’’pas observé’’, ’’pas isolé’’, ’’pas analysé’’ sont des mantras ineptes ; quant à la supposée non-contagiosité des maladies, c’est tellement hallucinant que je n’imagine pas que l’on puisse vraiment y croire.« 

Votre dissonance cognitive bat son plein. La théorie »virale« fonctionne exactement comme un »sophisme« à savoir un argument, un raisonnement faux, »malgré une apparence de vérité« .  »Un sophisme est un raisonnement fallacieux, malgré une apparence de vérité. Présenté comme une démonstration rigoureuse et logique, un sophisme est en réalité faux car incomplet ou ambigu. Il est constitué d’une ou plusieurs prémisses vraies ou prétendues vraies, agencées dans un raisonnement séduisant mais erroné, qui ne respecte pas les règles de la logique, même si la conclusion est vraie. Les sophismes sont difficiles à réfuter si l’on ne maitrise pas la logique.

La « prémisse » qui consiste à affirmer avoir « isolé » et « purifié » le virus est fausse. Tout le reste en découle. Jamais un virus n’a été isolé, ni pour la grippe, ni pour le VIH ni pour le coronavirus. Jamais ! Le « génome » d’un virus est une construction intellectuelle émise à partir d’un « fragment d’ADN » depuis lequel les « chercheurs » font des « suppositions ». Vous pouvez, certes, être « halluciné », mais ce sont des faits. Comme la réalité de la contamination. Se conférer à l’expérience de Milton Rosenau pour laquelle vous restez sans argument. Comme la « non contamination » des résidents de l’hémisphère Sud par ceux de l’hémisphère Nord et inversement. Ce sont des faits parfaitement observables. Mais vous, Eric F, ne le voyez pas, totalement « isolé » dans votre dissonance cognitive. Vous faites un « blocage » et vous venez m’attribuer des propos que je n’ai jamais tenus pour me disqualifier. Je parle de « faits » vérifiables. De rien d’autre.

@Legestr glaz

Par ailleurs, je mets à votre disposition, Eric F, l’étude chinoise, celle qui évoque la découverte, l’isolement et la purification du SARS-COV2. Cette étude a été citée un nombre invraisemblable de fois (27970 fois, c’est colossal), c’est sur elle que tout repose . Ainsi vous pouvez prendre connaissance de la « méthodologie », comme je l’ai fait. Et c’est bien cette méthodologie qui est absolument contestable, comme le décrit Stéfan Lanka. Beaucoup beaucoup trop long à expliquer ici, et bien trop complexe. Mais les arguments avancés par Stéfan Lanka sur la procédure « d’isolement » et de « purification » lors de la recherche des virus, laquelle est totalement entachée de biais méthodologiques, sont forts et solides. Si vous ne voyez pas ces biais, il est inutile d’aller plus loin. Tout repose sur cette dérive scientifique lors de l’isolement et de la purification. Nous sommes à des années lumière de ce qui se pratique pour l’isolement et la purification des vésicules extra cellulaires et des exosomes, qui, pourtant, sont de la même dimension manométrique que les supposés virus. 

Pourquoi n’y a t-il pas la même rigueur scientifique lors de l’isolement et de la purification des virus que lors de l’isolement et de la purification des vésicules extra cellulaires ? Vous allez certainement nous donner une bonne explication.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31978945/

... « Lorsque l’on descend à la taille des nanoparticules et que l’on s’attend à des milliards de particules identiques à ce niveau, il serait logique de supposer que séparer complètement la particule exacte que recherche un virologue de tout le reste de l’échantillon est carrément impossible. Ainsi, demander aux virologues de purifier et d’isoler complètement les particules “virales” suspectées dans l’échantillon non altéré d’un patient malade peut sembler une tâche herculéenne et une demande injuste.

Cependant, c’est dans ce coin que la virologie et la théorie des germes se sont fourvoyées. Pour pouvoir affirmer qu’une particule particulière est un “virus” et peut provoquer les symptômes de la maladie qui lui est associée, la logique veut qu’elle soit complètement séparée de tous les autres variables/facteurs potentiels afin de prouver que cette particule particulière est bien la cause de la maladie. C’est la seule façon logique de montrer qu’aucune autre particule présente dans l’échantillon n’a pu être à l’origine de la maladie et, dans le cas de la génomique, que les séquences d’ADN/ARN n’appartiennent qu’à cette particule particulière que l’on croit être un “virus”.

Nous pouvons savoir si une purification/isolation complète est possible en examinant la recherche sur les exosomes et les méthodes utilisées. Les “virus” sont considérés comme des exosomes dans tous les sens du terme, car ils sont identiques en taille, en forme et en apparence. Les méthodes utilisées pour purifier/isoler les exosomes sont les mêmes que celles qui sont censées être utilisées pour les “virus” mais qui ne le sont jamais, surtout en l’absence de procédés de culture cellulaire toxiques. Ces méthodes sont considérées comme les meilleures méthodes de purification/isolement disponibles aujourd’hui. »...

Voilà Eric F, je vous rapporte des « faits » et rien d’autre.

 

@Eric F
 
 j’ai dit hier : la technique à ARN messager ne relève en aucune façon de la vaccination mais de la thérapie pour soigner des maladies génétiques.

 
Petite correction : la technique à ARN relève de la thérapie génique mais seulement en ce sens qu’elle en est une perversion.
 
L’utilisation de la thérapie génique à ARN messager pour en faire de prétendus vaccins est un détournement pervers de la recherche scientifique qui trouve son équivalent mortifère dans le détournement du nucléaire civil pour faire des bombes atomiques.

@Francis, agnotologue

Mais cette « thérapie génique », dont on parle tant, est-ce que cela « fonctionne » ? 

Thérapie génique : espoir ou illusion ?
https://www.amazon.fr/Thérapie-génique-espoir-ou-illusion/dp/273811895X

Thérapie génique : les sages dressent le bilan :

Multitudes d’experts à l’appui, la thérapie génique allait révolutionner la médecine. Malgré les efforts réalisés depuis une dizaine d’années en France mais également au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis, les réussites se font attendre.
https://www.doctissimo.fr/html/sante/mag_2001/mag1130/dossier/sa_4874_therap ie_genique_bilan.htm

Et nous sommes face à ce paradoxe. Des difficultés énormes et, pour le moment, insurmontables, se dressent devant la thérapie génique. Aucune maladie n’a pu être, à ce jour, vaincu par la thérapie génique.
En revanche, en 2 temps 3 mouvements, les industriels du « vaccin » nous ont concocté un ARN messager qui avait la puissance de faire produire à la cellule la protéine spike. C’est absolument miraculeux.

Pendant que la thérapie génique rame, par exemple pour traiter la mucoviscidose, depuis des années et des années, dans le même temps, en quelques semaines, il est « possible » de fabriquer un « produit injectable » susceptible de faire produire à la cellule une protéine du « non soi ». Nous vivons une époque formidable.... de désinformation. 

... «  Environ 2 000 essais cliniques de thérapie génique ont été menés ou sont en cours depuis 1989, dont 65 % dans le domaine du cancer, 11 % contre les maladies monogéniques telles que la mucoviscidose. Le reste concerne des maladies infectieuses, cardiovasculaires, neurologiques ou encore ophtalmologiques.

Un travail colossal a permis d’aller plus en avant et de tester l’efficacité de la thérapie génique à au moins deux reprises avec de larges essais cliniques menés à bien en 2005 et 2015. Concrètement, les chercheurs ont utilisé un vecteur synthétique et recruté 140 patients de 12 ans ou plus présentant tous types de mutations CFTR. Au terme de l’étude, les auteurs enregistraient un écart de 4 % en faveur de la thérapie génique entre l’évolution de la fonction respiratoire (VEMS) des personnes sous placébo et celles traitées. En comparaison, l’écart est de 4,3 à 6,7 % avec l’utilisation du modulateur de CFTR Orkambi® chez les patients homozygotes pour la mutation F508del.

Malgré ces premiers résultats mitigés, les chercheurs ne lâchent pas prise et commencent à s’intéresser à un vecteur viral peut être plus prometteur. »...

@Francis, agnotologue
On est d’accord que la médecine infectieuse ne se limite pas à la vaccination, mais néanmoins elle est basée sur la lutte contre les bactéries et virus, or nous parlions dans les commentaires précédents de l’existence de ces derniers, qui est niée par certains et notamment la contagiosité qu’elle induit. Je pense notamment à la mort de centaines de soignants ayant contracté l’infection dans leur activité pendant l’épisode covid. Cette négation me désole.

@Eric F
 
 ’’On est d’accord que la médecine infectieuse ne se limite pas à la vaccination’’.
— > 
 On n’est d’accords sur rien du tout.
 
Hydroxychloroquine : comment Big Pharma a laissé mourir des centaines de milliers de personnes sans soins pour faire des bénéfices

 
 Les centaines de soignants qui sont décédés pendant l’épisode covid auraient du s’informer mieux et faire plus sérieusement leur métier, je suis désolé pour eux et leurs patients.

@Legestr glaz
 
 ’’Mais cette « thérapie génique », dont on parle tant, est-ce que cela « fonctionne » ? ’’
 — >
 Ben non, même pas, et vous et dites bien. Et ce n’est pas en la dévoyant, en tuant des centaines de milliers de personnes saines pour espérer sauver quelques centaines de malades qu’on la fera marcher.
 

@Legestr glaz
Vous faites l’impasse sur le fait que les virus ne se multiplient pas indépendamment et nécessitent un support de culture, alors que les exosomes apparaissent naturellement en culture cellulaire.
Il y a des milliers d’études, pas une isolément, qui traitent de ce sujet, et il y a croisement de technologies d’observation et analyse. Idem sur la contagiosité.

@Eric F

Vous faites l’impasse sur les vésicules extra cellulaires et les exosomes Eric F.

Tous les scientifiques savent qu’ils sont contenus dans les sécrétions et liquides humains. Alors, question : comment se fait-il qu’ils « disparaissent totalement » lors de l’isolement et de la purification pendant la recherche des virus ? Ils sont de taille « identique » aux supposés virus. Ils sont constitués d’une membrane lipidique, ils transportent de l’ARN et de l’ADN. Tout ça « disparait » comme dans un tour de prestidigitation ? 
Le nombre de recherches scientifiques sur les vésicules extra cellulaires est en développement exponentiel. Il sera très difficile, dans les années à venir, de taire la « relation fine » entre l’existence de ces vésicules et des « virus ». 

Ceci n’a strictement aucun sens. Le jour où le « protocole », extrêmement sérieux, qui permet d’isoler et de purifier les vésicules extra cellulaires sera appliqué à la recherche virale nous verrons ce qui se passera.

Quant à votre question, puisque les virus ne se multiplient pas, cela voudrait dire, selon vous, que dans les prélèvements effectués chez des malades, il n’est pas possible de découvrir ces virus ? Mais si les gens, objet du prélèvement, sont malades et que cette maladie est attribuée aux « virus », comment se pourrait-il qu’ils soient absents du prélèvement ? Ceci n’a strictement aucun sens. Ce que vous faites, c’est de la dissonance cognitive.

— Soit les virus sont « présents » et nous rendent malade et il n’y a strictement aucune raison de ne pas les trouver dans les prélèvements des malades.
— Soit ils ne sont pas présents et c’est la « méthode » utilisée pour l’isolement et la purification qui fait naitre des artefacts que l’on nomme « virus ». 

Août 2016. « Vésicules extracellulaires et virus : sont-ils parents proches » ?

... « Les vésicules extracellulaires (EV) libérées par diverses cellules sont de petites entités phospholipidiques enfermées dans une membrane qui peut transporter des miARN. Ils sont aujourd’hui au cœur de la recherche dans de nombreux domaines de la biologie car ils semblent constituer un nouveau système de communication cellule-cellule. Les caractéristiques physiques et chimiques de nombreux vésicules extra cellulaires, ainsi que leurs voies de biogenèse, ressemblent à celles des rétrovirus.
De plus, les vésicules extra cellulaires générés par des cellules infectées par des virus peuvent incorporer des protéines virales et des fragments d’ARN viral, ainsi impossibles à distinguer des rétrovirus défectueux (non infectieux).Les vésicules extra cellulaires, selon les protéines et le matériel génétique qui y sont incorporés, jouent un rôle important dans l’infection virale, à la fois en la facilitant et en la supprimant. »...

... « Sur la base des connaissances actuelles, il existe de nombreux aspects dans lesquels les VE ressemblent à des virus, en particulier des rétrovirus. Préférablement, bien que certaines VE puissent mesurer jusqu’à un micromètre, la majorité des VE mesurent moins de 300 nm, soit la taille d’un virus à ARN typique. Comme les virus enveloppés, les VE sont entourés d’une membrane lipidique qui contient également des protéines de la membrane cellulaire. Comme de nombreux virus, les VE se forment dans le système endosomal ou au niveau de la membrane plasmique via des voies de biogenèse définies, par exemple,. Comme les virus, les VE peuvent se lier aux membranes plasmiques d’autres cellules, y pénétrer soit par fusion, soit par endocytose, et déclencher des réactions spécifiques de ces cellules réceptrices. »

La question centrale demeure Eric F : comment se fait-il que les VE disparaissent totalement lors de la recherche concernant l’isolement et la purification d’un prélèvement d’un malade d’une maladie virale ? Nous ne sommes plus dans le domaine de la rigueur scientifique mais dans celui de l’approximation et de l’hypothèse.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27432966/

@Legestr glaz

Autre étude sur les vésicules extra cellulaires -VE-

... « Au cours des dernières décennies, la similitude entre les vésicules extracellulaires et les particules virales est devenue de plus en plus évidente. Les virus et les VE partagent différents aspects tels que la taille, la composition structurelle et biochimique et le transport de molécules bioactives dans les cellules [ 34 , 35].

Comme les VE, les virus présentent une taille allant de 30 à 1000 nm, en commençant par les plus petits, comme les particules de poliovirus et de virus de l’hépatite A (VHA), qui possèdent un diamètre d’environ 30 nm, jusqu’au virus de l’hépatite C (VHC ) d’environ 50 nm, et les virus du VIH ou du SRAS d’environ 100 à 120 nm. Enfin, les mimivirus ont une taille d’environ 400 nm.

De plus, les VE et certains virus présentent des similitudes morphologiques : comme décrit précédemment, les VE sont des entités à double membrane et les virus enveloppés sont également entourés d’une membrane lipidique acquise à partir de la cellule. Fait intéressant, ils possèdent une composition lipidique similaire enrichie en glycosphingolipides et en cholestérol, ainsi qu’une teneur en protéines similaire. Notamment, les VE et les virus portent des acides nucléiques ; tandis que les virus présentent des génomes d’ARN ou d’ADN simple ou double brin,35 , 37 , 38 ].

Les VE et les virus enveloppés partagent également des processus de biogenèse similaires puisque les deux sont générés dans le réseau endosomal ou bourgeonnent à partir de la membrane plasmique en utilisant des voies spécifiques. »...

Mai 2022.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7291340/

Serait-ce une manière « polie » de dire que c’est la même chose, qu’il y a « confusion » entre vésicules extra cellulaires et « virus » ? La connaissance a très fortement progressé concernant ces vésicules extra cellulaires tandis qu’elle fait du « sur place » concernant les « virus », si elle ne régresse pas. La théorie virale est un bastion qu’il faut défendre coûte que coûte, quitte à soutenir l’insoutenable et à tricher avec les protocoles. 

@pemile

Les vésicules extra cellulaires sont « libérées » par les cellules et servent d’agents de liaison. J’avais bien compris pemile. Les vésicules extra cellulaires ne se multiplient pas « indépendamment », tout comme les supposés « virus ». 

Vous avez bien eu raison d’écrire INDEPENDAMMENT en utilisant des majuscules. 

Et, copié-collé : « Bien l’essai de tronquer le phrase d’Eric F » ? Je ne suis pas certain d’avoir compris cette phrase. Pourriez-vous la formuler à nouveau ? Un gros coup de fatigue ? 

Et puis, si vous avez de la lecture en retard sur les vésicules extra cellulaires, vous avez de quoi parfaire vos connaissances avec les quelques liens que j’ai postés.

@pemile

Et puis pemile, il faudrait « retranscrire » jusqu’au bout. Je vous viens en aide :

... « Quant à votre question, puisque les virus ne se multiplient pas, cela voudrait dire, selon vous, que dans les prélèvements effectués chez des malades, il n’est pas possible de découvrir ces virus ? Mais si les gens, objet du prélèvement, sont malades et que cette maladie est attribuée aux « virus », comment se pourrait-il qu’ils soient absents du prélèvement ? Ceci n’a strictement aucun sens. Ce que vous faites, c’est de la dissonance cognitive.

— Soit les virus sont « présents » et nous rendent malade et il n’y a strictement aucune raison de ne pas les trouver dans les prélèvements des malades.
— Soit ils ne sont pas présents et c’est la « méthode » utilisée pour l’isolement et la purification qui fait naitre des artefacts que l’on nomme « virus ». »...

Voilà donc pemile : les gens sont « malades », sont porteurs de « virus », mais ils sont introuvables dans leur prélèvement et il faut réaliser une culture « in vitro » pour « déclencher » leur réplication. C’est beau la « science ». 

@Legestr glaz
Les virus se reproduisent dans un milieu cellulaire, non pas isolément. Une culture de cellules infectées en comportera, et effectivement il faut les différencier des extraits de cellules elles-mêmes. Ça tombe bien, ce ne sont pas les mêmes protéines, et ce ne sont pas les mêmes séquences génétiques codant pour ces protéines.
Des vésicules ne comporteraient des protéines et séquences ’’non humaines’’ que par des extraits issus de virus, puisqu’elles servent entre autre de poubelles. Ce n’est pas la maladie qui fait génèrer ex nihilo ces protéines et séquences génétiques par on ne sait quelle opération de transsubstantiation miraculeuse.

On n’est plus il y a cent ans, la morphologie des virus de famille coronavirus se distingue au microscope électronique à balayage par ses ’’pointes’’ qui n’existent pas sur les vésicules (les corona ne sont pas des rétrovirus), et on sait désormais analyser les éléments biochimiques du substrat et analyser les codes génétiques. A tel point que le ’’séquençage’’ a pu différencier les variants et leur propagation dans diverses régions du monde, sans ambiguïté entre labos russes, chinois, américains, cubains, européens, etc.
Alors le dénialisme des virus est certainement virulent, mais l’état de la science repose sur des milliers de labos de recherche et analyse sur les cinq continents, comportant des dizaines milliers de chercheurs, ayant fait des centaines de milliers d’expériences.

’’les gens sont « malades », sont porteurs de « virus », mais ils sont introuvables dans leur prélèvement’’

FAUX, il y a des techniques de visualisation de virus in vivo

’’Recent years have seen a significant improvement in noninvasive biomedical imaging technologies originally developed for patients, such as magnetic resonance imaging (MRI), positron-emission tomography (PET), single-photon emission computerized tomography (SPECT), and computed tomography (CT)’’

@Eric F

FAUX (moi aussi en lettres capitales). 

L’étude que vous mettez à disposition, que je viens de lire, ne parle pas du tout de « visualisation de virus in vivo » mais de « cellules infectées » par des virus (supposément). Pour faire une généralisation : des cellules en train de combattre contre un ou des agents pathogènes, qui peuvent être des particules de métaux lourds ou des matières particulaires. 

Il n’existe pas de technique de visualtion des virus parce qu’ils sont de taille manométrique. Les seules images que l’on diffuse des « virus » sont des images de synthèse, des « images théoriques », comme la « théorie virale ». 

Le titre de l’article que vous postez est celui-ci : ’« Approches axées sur l’imagerie in vivo pour étudier la dissémination et la pathogenèse des virus ».

Résumé : Les virus sont des agents responsables de nombreuses maladies et infectent tous les organismes vivants de la planète. Le développement de thérapies efficaces s’est appuyé sur notre capacité à isoler et à cultiver des virus in vitro, permettant des études mécanistes et des interventions stratégiques.

Bien que cette approche réductionniste soit nécessaire, tester la pertinence des résultats in vitro prend souvent beaucoup de temps. De nouveaux développements dans les technologies d’imagerie transforment notre approche expérimentale où la pathogenèse virale peut être étudiée in vivo à plusieurs résolutions spatiales et temporelles.

Ici, nous décrivons une vision d’une approche descendante utilisant l’imagerie non invasive du corps entier comme guide pour la caractérisation approfondie des tissus clés, des types de cellules physiologiquement pertinents et des voies de propagation pour élucider les mécanismes de propagation et de pathogenèse du virus.

Soit vous êtes de mauvaise, soit vous n’avez pas compris. Merci toutefois pour la mise en ligne de cet article.

@Eric F
 copié-collé : « Ça tombe bien, ce ne sont pas les mêmes protéines, et ce ne sont pas les mêmes séquences génétiques codant pour ces protéines. »

C’est dommage que vous ne lisiez pas consciencieusement les articles que je poste. Par exemple : 

... «  la similitude entre les vésicules extracellulaires et les particules virales est devenue de plus en plus évidente. Les virus et les VE partagent différents aspects tels que la taille, la composition structurelle et biochimique et le transport de molécules bioactives dans les cellules [ 34 , 35]. De plus, les VE et certains virus présentent des similitudes morphologiques : comme décrit précédemment, les VE sont des entités à double membrane et les virus enveloppés sont également entourés d’une membrane lipidique acquise à partir de la cellule. Fait intéressant, ils possèdent une composition lipidique similaire enrichie en glycosphingolipides et en cholestérol, ainsi qu’une teneur en protéines similaire. Notamment, les VE et les virus portent des acides nucléiques »…

Ce que vous écrivez concernant les séquences génétiques des virus, et pour les protéines de ces virus c’est pareil, ne sont que des « suppositions », des« hypothèses », des « déductions ». Jamais aucun virus n’a été isolé dans son intégralité, cela n’existe pas. Les cultures des prélèvements « ’in vitro » permettent d’isoler des fragments de code génétique à partir desquels, par « construction », les chercheurs « déduisent » un code génétique. Tout ceci est de l’approximation mais pas de la science rigoureuse. C’est l’état de la science actuellement, et vous, Eric F, n’y pouvez rien. Le jour où un virus aura été isolé d’une manière rigoureuse dans son intégralité vous me ferez signe. Pour le moment l’existence des virus n’est qu’une hypothèse, rien d’autre.

@pemile

C’’est faux. Il faut cultiver les « virus » en vitro pour les « découvrir ». C’est toujours comme ça, c’est invariant. Le MET est incapable de distinguer les « virus » des vésicules extra cellulaires. C’est un immense problème.

Aujourd’hui on appelle vésicules extra cellulaires ces entités retrouvées par isolement et purification dans des prélèvements de personnes saines, selon les procédés scientifiques les plus rigoureux et, malgré cela, c’est d’une très grande difficulté. 

On appelle virus ces entités déduites d’une « soupe » préparée in vitro, à l’aide de cellules de singe vert (cellule VERO) et d’antibiotiques ajoutés au prélèvement chez un malade. (Les cellules VERO sont utilisées comme cellules hôtes pour la culture de virus ; par exemple, pour mesurer la réplication en présence ou en absence de médicaments expérimentaux ou la culture de virus aux fins de recherche ou de préparation de vaccins).

Bref pemile, les « virus » sont des artefacts qui naissent de la méthodologie douteuse et approximative qui est appliquée in vitro pour leur découverte. C’est du bricolage d’un autre âge.

@pemile

Personne ne peut faire l’impasse sur la « rigueur scientifique » s’il veut rester crédible. La procédure « d’isolement et de purification » dans la recherche des virus n’est pas conforme à la « rigueur scientifique » souhaitée. Les biais méthodologiques de cette procédure, dépassée, font naitre des artefacts que l’on nomme « virus ». 

Voyez ce qui est dit ci-après (décembre 2020) sur la « rigueur scientifique » dans la recherche des vésicules extra cellulaires et des exosomes (de taille manométrique comme les supposés virus), lors de leur isolement et de leur purification. Absolument rien à voir avec ce qui est mis en oeuvre pour la recherche virale. C’est le jour et la nuit.

« Rigueur et standardisation de la recherche sur les vésicules extracellulaires : ouvrir la voie à la robustesse »

... « Accompagnant la prise de conscience croissante que les vésicules extracellulaires (EV) sont utiles pour le diagnostic et la thérapeutique est la prise de conscience que les applications EV doivent être établies avec rigueur, reproductibilité et standardisation. La petite taille et l’hétérogénéité de la plupart des vésicules extra cellulaires sont des obstacles bien connus aux études réalisées. Cependant, les progrès sont également entraînés par l’influence largement inconnue d’une foule de variables pré‐analytiques et un manque de contrôles de qualité, des différences dans les techniques de séparation et de caractérisation des VE (van Deun et al., 2017 ), un manque général de matériaux de référence dédiés et normes (Welsh et al., 2020), et des analyses mal définies et donc non reproductibles.

Le but de cet éditorial est de résumer les contributions passées, présentes et futures de la Société internationale des vésicules extracellulaires (ISEV) à l’amélioration de la rigueur et de la normalisation dans la recherche sur les vésicules extra cellulaires.
Nous soulignons en particulier le sous-comité Rigueur et normalisation et les résultats récemment publiés d’une enquête sur les méthodes utilisées pour la séparation et la caractérisation des VE (Royo, Théry, Falcón‐Pérez, Nieuwland, & Witwer, 2020 ) . Des défis majeurs subsistent.Néanmoins, nous prévoyons que d’ici quelques années, l’expansion d’une infrastructure ISEV dédiée à la rigueur et à la standardisation nous permettra de transformer le vilain petit canard des défis actuels en un beau cygne de résultats de mesure EV comparables et reproductibles . Parce que nous travaillons dans un domaine de recherche nouveau et en développement, ISEV a l’opportunité unique d’établir des normes élevées de rigueur, et nous pouvons même ouvrir la voie à d’autres domaines de recherche et sociétés. »...

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7735957/

@pemile

Pas d’argument pemile. Inutile de répondre sans argument. Désolé. 

Votre réaction n’a aucun sens et ne veut rien dire. Mais je ne cherche pas à vous convaincre, puisque vous n’êtes pas ici pour apprendre ni échanger sereinement. Ce que je poste, même en réagissant à vos petits commentaires, je le fais pour les autres lecteurs. Essayez de le comprendre. J’apporte une information alternative. Chacun en fait ce qu’il veut et peut même aller vérifier ce que je poste. Ce n’est certainement pas ce que vous, pemile, avez envie de faire. Bref, vous n’apportez rien au débat d’idées. 

@pemile

 La bonne blague ! 

@pemile
 
 ’’Non, les vésicules ne se multiplient pas TOUT COURT, les virus eux se multiplient en utilisant une cellule.’’
— >
Les VE viennent d’où ? Ils naissent de la génération spontanée ? tototte !
 
Les virus ne savent pas se multiplier en utilisant une cellule pour la bonne raison qu’ils ne savent rien faire : il n’y a que des organismes vivants qui puissent être sujets d’une action. On ne résout pas un problèmes scientifique en le posant de travers.

Au mieux, si vous étiez scientifique vous pourriez dire qu’une cellule rejette des choses que vous appelez virus.
 
Mais si les supposés virus naissent de la même façon que les VE, créés par les cellules, alors la seule différence reste leur comparaison à l’observation. Or on ne sait observer que leurs avatars via des protocoles et algorithmes ad’hoc.
 
— On crée un avatar de VE dans un protocole de création d’avatar de VE
— On crée un avatar de virus dans un protocole de création d’avatar de virus.
 
La nuit en éclairant les objet avec une lumière bleue on voit des objets bleus. En éclairant les objet avec une lumière rouge on voit des objets rouges. 
 
CQFD

@Francis, agnotologue
 
on peut remplacer dans mon commentaire ci-dessus, avatar par artefact.
 
« Si les supposés virus naissent de la même façon que les VE, créés par les cellules, alors la seule différence reste leur comparaison à l’observation. Or on ne sait observer que des artefacts via des protocoles et algorithmes ad’hoc.
 
— On crée un artefact de VE dans un protocole de création d’artefact de VE
— On crée un artefact de virus dans un protocole de création d’artefact de virus.
 
De la même façon que la nuit en éclairant les objet avec une lumière bleue on voit des objets bleus. En éclairant les objet avec une lumière rouge on voit des objets rouges.  »
 
 C’est aussi simple que ça. Et toute la théorie des virus n’est qu’une vaste tautologie, c’est-à-dire un discours auto-validant, càd infalsifiable..
 
 « Un raisonnement infalsifiable devient auto-validant. Clos sur lui-même, ce qui est la définition de l’idiotie » Amélie Nothomb, « Les aérostats »
 
 

@Francis, agnotologue

En réalité je pense que pemile n’a rien compris. Il restitue ce qu’il a lu dans « virus pour tous » 

https://viropourtous.ch/un-virus-ca-se-multiplie-comment/

Franchement, Francis, vous n’êtes pas vraiment au point. Voici l’explication officielle : 
... « Le virus est un parasite intracellulaire obligatoire. Cela signifie qu’il doit impérativement « entrer » dans une cellule pour se multiplier. Lorsqu’on parle du virus qui entre dans la cellule, on dit en fait, qu’il introduit son génome, son « plan d’existence » dans la cellule…..Sur la base de ce plan, ce sont les fonctions cellulaires qui vont produire de nouveaux virus. Pour un virus qui entre dans la cellule, des milliers en sortent. Voilà le principe de multiplication. »...

Vous noterez, quand même, que pour un « virus qui entre », des « milliers » d’autres en sortent et ceci pour chaque cellule. Ceci explique probablement que cette multiplication virale n’est toutefois pas suffisante pour identifier « directement » les virus dans les sécrétions humaines. Il faut les« cultiver in vitro ». C’est tout à fait logique et rationnel. Les virus sont des entités qui vous rendent malades, qui vous tuent même, mais qui ne sont pas trouvés directement dans les fluides humains. C’est la part de mystère que l’on attribue au virus. De mon côté je n’ai jamais compris comment le Père Noël pouvait s’introduire dans la cheminée. Son embonpoint s’y oppose. C’est aussi un mystère.

@Legestr glaz
 
 ’’Les virus sont des entités qui vous rendent malades, qui vous tuent même, mais qui ne sont pas trouvés directement dans les fluides humains. C’est la part de mystère que l’on attribue au virus. De mon côté je n’ai jamais compris comment le Père Noël pouvait s’introduire dans la cheminée. Son embonpoint s’y oppose. C’est aussi un mystère.’’
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 La seule explication au Père Noël est bien entendu qu’il s’agit d’une fable pour les enfants, une histoire à dormir debout, une mystification. Ces enfants devenus grands ont tellement aimé ça qu’ils en redemandent, et l’industrie leur en fournit ad libitum.
 
 Si la théorie des virus était juste l’humanité aurait disparu depuis belle lurette.

@la mandale ou rien
A propos de ce qui est appelé ’’covid long’’, il ne s’agit en effet pas de la persistance de l’infection virale, mais de séquelles physiologiques postérieures à l’infection. Raoult avait notamment observé des détériorations pulmonaires qui subsistaient chez des personnes ayant été infectées par le SARS Cov2, y compris avec peu ou pas de symptômes.

@Legestr glaz
Il s’agit en effet de l’observation de la dissémination virale in vivo, donc de virus en action.
’’Visualizing Viral Infection In Vivo by Multi-Photon Intravital Microscopy’’

Critical steps during viral infection and pathogenesis could be studied by direct visualization of fluorescent virus particles, virus-infected cells, and the immune response to viral infection

Concernant les vésicules, ce sont des entités non réplicables, sécrétées par les cellules. Elles comportent du ’’matériel’’ issu de la cellule dans une enveloppe de même type que celles de la cellule, parmi ce qui est transporté il peut se trouver des déchets viraux. Elles ne seront jamais encapsulées dans une membrane comportant des pointes constituées de protéine spike, car non humaines.

@pemile

Ne parlez pas de « vérité alternatives », c’est faux. Je parle d’informations scientifiques. Vous en faites ce que vous voulez. 

@Legestr glaz
Il existe en matière scientifique un ’’état des connaissances’’ et de leur interprétation, et des théories alternatives. Le progrès peut se faire par synergie, mais en final à l’étape suivante il faudra trancher.
Les vésicules intra et intercellulaires ne sont pas incompatibles avec l’existence des virus, et sans doute dans le processus de l’évolution y a-t-il des intercroisements.
Selon ce que j’ai retenu, dans les premières étape du ’’vivant’’, l’ARN est apparu comme substrat sur lequel les organismes se développent, l’ADN est apparu ensuite pour mémoriser des formes de vie. Les virus nécessitent pour se répliquer des formes de vie plus élaborées, ils ont participé à l’ensemencement et l’évolution de la vie, on en a des bribes dans notre propre patrimoine.

@Eric F

J’ajoute cette étude d’octobre 2020, pour la bonne compréhension des choses, puisque vous écriviez que le microscope électronique -EM- pouvait identifier des « virus » dans les tissus humains.
Aujourd’hui des chercheurs, sérieux, sont dans l’obligation de faire paraître des études pour démentir celles publiées par d’autres chercheurs moins sérieux.

« Pourquoi la mauvaise interprétation des micrographies électroniques dans les tissus infectés par le SRAS-CoV-2 devient virale ».

... «  Nous suivons avec intérêt les publications qui montrent la présence du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère putatif (SRAS-CoV-2) par microscopie électronique (EM) dans les tissus des patients et le débat sur ces résultats, qui aurait dû suffisamment attirer l’attention sur leur exactitude interprétation.1, 2

Néanmoins, les détails ultrastructuraux des tissus d’autopsie ont été interprétés à tort comme des particules de coronavirus dans des articles récents. Bradley et ses collègues 3ont décrit des « particules de type coronavirus » dans des échantillons d’autopsie du « système respiratoire, des reins et du tractus gastro-intestinal », et dans un rapport de cas, Dolhnikoff et ses collègues 4 ont décritdes « particules virales » dans « différents types de cellules de tissu cardiaque » d’un enfant décédé. Cependant, les images de ces publications montrent des particules virales putatives qui manquent d’ultrastructure suffisante pour une identification sans ambiguïté en tant que virus. Certaines de ces particules représentent certainement d’autres structures cellulaires, telles que le réticulum endoplasmique rugueux(par exemple, Dolhnikoff et ses collègues,4figure 3B), les corps multivésiculaires(Bradley et ses collègues,3figure 5C) et des vésicules enduites(Bradley et ses collègues,3figure 5B, G). De plus, il est remarquable que Dolhnikoff et ses collègues4se soient référés aux découvertes, décrites par Tavazzi et ses collègues,5de »particules virales" dans les cellules interstitielles, qui sont clairement des structures non virales, telles que des vésicules enrobées. 4,5De plus, Bradley et ses collègues3ont cité des publications comme référence pour leur identification des particules virales, qui, à notre avis, ont toutes deux identifié des structures non-coronavirus comme des particules de coronavirus, comme déjà discuté par Goldsmith et ses collègues1et par Miller et Brealey. 2

L’EM est complémentaire d’autres techniques utilisées pour l’étude des maladies et continue d’être un outil précieux dans certains domaines diagnostiques. Dans les études sur les maladies infectieuses, l’EM est considérée comme l’étalon-or pour prouver la présence d’une unité infectieuse ; en cas de diagnostic de COVID-19, la présence de particules de SARS-CoV-2 (chiffre, A–D) complète les traces moléculaires de protéines ou d’acides nucléiques spécifiques du SRAS-CoV-2. De plus, EM permet la localisation exacte des virus dans les tissus et dans les cellules. Ceci, à son tour, permet de spécifier les cellules cibles de l’infection virale (chiffre E) et informe sur la reproduction du virus.

Comme l’EM diagnostique nécessite à la fois du personnel spécialisé et des équipements coûteux, et qu’elle a été remplacée par d’autres méthodes (par exemple, l’immunohistochimie) dans plusieurs domaines d’application, son utilisation a diminué au cours des dernières décennies, entraînant une perte irréversible d’expertise qui devient aujourd’hui dramatique, manifeste lors de la pandémie de SARS-CoV-2. Ce dilemme de l’EM diagnostique devrait tous nous alarmer, car des informations trompeuses sur la présence du SRAS-CoV-2 dans les tissus ont déjà fait leur chemin dans la littérature scientifique et semblent se perpétuer.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7535802/

@Eric F
 
Il faut sortir de la question ’’Les virus existent-ils, oui ou non ’’ qui est du même ordre que la question ’’Croyez vous en dieu ? ou au diable ? ’’
 
Ce qui compte ce n’est pas d’y croire ou pas, ce qui compte c’est ce que l’on met dans les concepts interrogés.
Une phrase telle que  ’’ Les virus nécessitent pour se répliquer des formes de vie plus élaborées’’ implique de facto que les virus seraient des organismes non seulement doués de vie, mais qui plus est, d’une vie ennemie de la vie humaine, cf. Macron et son célèbre ’’nous sommes en guerre ’’.
 
Si les virus étaient des facteurs utiles dans l’évolution de la vie, je doute que cela passerait par les vaccins industriels. Cette espoir de dompter les virus est un rêve transhumaniste pour un monde peuplé d’une minorité de surhommes et de myriades de zombies.
 
Mais je suppose qu’il vous faudrait sortir ma tête du guidon dans la course aux profits pour comprendre ça.

@Eric F

Malgré tout, pour parler d’un virus qui serait à l’origine d’une maladie, il faut le « prouver », ce qui est la moindre des choses. Il ne suffit donc pas de le dire sans en apporter aucune preuve.

Voilà ce qui devrait être retenu : 

-Le micro-organisme doit être présent en abondance dans tous les organismes souffrant
de la maladie, mais absent des organismes sains.
-Le micro-organisme doit pouvoir être isolé et croître en milieu de culture pure
(ne contenant que ce seul microbe).
-Le micro-organisme cultivé doit déclencher la même maladie chez un animal de
laboratoire sensible.
-Le micro-organisme doit être à nouveau isolé du nouvel organisme hôte rendu
malade puis identifié comme étant identique à l’agent infectieux original.


Ces critères de rigueur ne sont malheureusement pas utilisés en virologie. Nous sommes, par conséquent dans un dogme. 

Aucun virus n’a jamais été identifié, selon les critères de la science, dans aucune maladie virale. Nous restons sur de la « théorie ». 

@Eric F

Je complète.

copié-collé : « Selon ce que j’ai retenu, dans les premières étape du ’’vivant’’, l’ARN est apparu comme substrat sur lequel les organismes se développent, l’ADN est apparu ensuite pour mémoriser des formes de vie. Les virus nécessitent pour se répliquer des formes de vie plus élaborées, ils ont participé à l’ensemencement et l’évolution de la vie, on en a des bribes dans notre propre patrimoine. »

Ce que j’ai retenu, pour ma part, c’est que les formes de vie ont apparu sur Terre avant l’apparition du dioxygène (... La composition de l’atmosphère actuelle est différente de celle qui existait au moment de la formation de la Terre il y a 4,6 milliards d’années. L’atmosphère primitive était riche en eau et en dioxyde de carbone, l’atmosphère actuelle est riche en diazote et en dioxygène...). Ces organismes vivants produisaient leur énergie par « fermentation », en absence de dioxygène. Avec l’apparition du dioxygène, ces êtres vivants ce sont adaptés aux nouvelles conditions atmosphériques et ont pu produire leur énergie en utilisant le dioxygène, ce que l’on appelle aujourd’hui « la phosphorylation oxydative ». Ce processus se produit dans les mitochondries de la cellule. L’ADN mitochondrial est différent de l’ADN nucléaire. D’aucuns prétendent que les mitochondries seraient des bactéries recyclées au profit de leur hôte. Peu importe d’ailleurs. Ceci fait qu’aujourd’hui, la voie métabolique « royale » pour produire l’énergie dont l’organisme humain a besoin est la phosphorylation oxydative qui représente environ 90% de notre production énergétique. Les autres voies métaboliques produisant très peu d’énergie, comme la « glycolyse » par exemple. Le problème de la phosphorylation oxydative c’est qu’elle produit des déchets sous forme de radicaux libres, dont il faut se débarrasser. La maitrise du « stress oxydatif » provoqué par les radicaux libres est la clé de compréhension de la santé humaine. Trop de stress oxydatif, trop de radicaux libres, et l’organisme se met à dysfonctionner mais il cherche toujours à maintenir son homéostasie, même un usant de stratagèmes délétères pour lui, puisqu’il est mis dans cette « obligation ».
Tout ceci pour dire que les « virus » ne sont rien, absolument rien, face aux autres agressions que subit l’organisme humain (la pollution atmosphérique, les pesticides, les mycotoxines, les fumées de combustion (forêts et volcans), les radiations nucléaires, le rayonnement électromagnétique et le stress oxydatif par l’alimentation — par une surconsommation permanente de glucose-).

Cancers et maladies civilisationnelles sont des maladies du métabolisme, des dysfonctionnements du métabolisme. Et les maladies respiratoires ont également pour origine un dysfonctionnement du métabolisme, précisément chez ceux qui sont déjà porteurs d’une maladie métabolique et dont le système immunitaire est déjà diminué. En « pensant » virus il est impossible de prétendre à soigner les gens. Il faut s’intéresser à leur métabolisme. C’est tout à fait faisable puisqu’il est possible d’agir sur certains leviers, dont l’alimentation. Ce n’est pas bien compliqué. Pour être en bonne santé, et pendant longtemps, pour vieillir en bonne santé, il faut simplement activer le plus souvent possible la voie métabolique de l’AMPK et inhiber le plus souvent possible la voie métabolique mTOR. C’est un programme qu’il est possible de mettre en place.

@Francis, agnotologue

Merci Francis pour cette intervention qui tient de la métaposition et qui rejoint ce que je pense.

Il en va de même avec les bactéries. Nos bactéries « commensales » se tiennent sagement dans nos « orifices » si nous sommes en bonne santé. En revanche, dans un organisme diminué, ces mêmes bactéries vont provoquer des dégâts considérables et, parfois, entrainer la mort de leur hôte. C’est le cas du staphylocoque doré et c’est aussi le cas du streptocoque pneumoniae et c’est encore le cas avec Eschérichia coli. Le « problème » n’est donc pas la « bactérie » par elle même, mais l’état de santé de son hôte et de son système immunitaire. 

Les maladies qualifiées de « virales » n’atteignent « que » les personnes au système immunitaire diminué, les personnes « déjà » malades d’un quelconque dysfonctionnement métabolique. C’est simplement « factuel ». 

@Legestr glaz et @Francis agnotologue
De même qu’il existe des bactéries dont l’effet est bénéfique comme celles qui participent à notre digestion, il est probable qu’il en est de même pour les virus. L’évolution et le fonctionnement de la vie sont dynamiques et interactives entre diverses formes.
En fait, la biologie progresse à grande vitesse, aidée par la progression rapide des technologies, et dans dix ou vingt ans des débats comme ceux que nous menons n’auront plus lieu d’être, le cumul des preuves devenant indiscutable (dans un sens comme un autre, même si c’est à 100 contre 1), de même que ceux qui naguère niaient les bactéries ne les réfutent désormais plus, ou encore pour l’ancienneté du monde ou l’évolution des espèces.
La biologie n’est certes pas le seul domaine ou subsistent des questionnements, je m’étais intéressé il y a quelques années à la physique fondamentale et la cosmologie, des théories alternatives me paraissaient alors très séduisantes, je ne sais celles qui subsistent où ont disparu. Individuellement l’intérêt réside dans l’approfondissement des réflexions, collectivement les experts feront tôt ou tard le job, car le fait que des courants d’opinion ou des groupes d’intérêt adhèrent a priori ou par intérêt à un modèle ou son contraire n’établit pas la vérité scientifique pour l’éternité.

@Legestr glaz (commentaire du26 à 15:00)
des combinés avec de l’oxygène, du carbone, de l’azote, de l’hydrogène, etc. ont existé dans notre atmosphère et aussi dans les confins des galaxies depuis les premiers milliards d’années. La vie résulte de cet ensemencement et a elle-même modifié son environnement, les plantes ayant légué davantage d’oxygène, et le monde animal puis technologique lui a restitué du CO2 ? L’équilibrage favorise ou nuit à telle ou telle forme de vie à l’instant t, au train où vont les choses nous finirons plutôt prochainement que tardivement par passer notre tour.

@Francis, agnotologue
’’Il faut sortir de la question ’’Les virus existent-ils, oui ou non ’’ qui est du même ordre que la question ’’Croyez vous en dieu ? ou au diable ? "
Non, la question n’est absolument pas de même nature, l’existence ou non des virus relève de la science (comme celle des bactéries ou celle des atomes), celle du non-matériel relève de la croyance non prouvable ni réfutable par l’expérience.

@pemile

« Sans maitriser le sujet » me dit celui qui, lui, maitrise le sujet ! Désopilant. Pemile n’a peur de rien, c’est d’ailleurs à cela qu’on le reconnait.