Crise économique Covid-19 : Stop au dictat de l’incompétence !
Une élite hors sol répète que tout est bien géré et sous contrôle, alors que des pans entiers de notre économie s’effondrent. En réalité, nos dirigeants semblent parfois dépassés. La situation du pays s’est considérablement aggravée, tant sur le plan économique, social que médical. D’où ce projet d’appel non politicien et trans-partis, pour aider au redressement du pays sans attendre l’échéance 2022. Un appel non au profit d’un parti mais de la France et des français, que j’espère relayé et complété par les réseaux, puis médiatisé.

Je ne m’attarde pas sur la désastreuse gestion de la crise médicale Covid19 qui a dépassé l’entendement. Les conséquences humaines et financières ont été terribles et on en subira collectivement les retombées pendant de longues années. La gravité des faits a mobilisé des commissions d’enquêtes parlementaires et déclenché de nombreux procès (avec moult perquisitions aux bureaux et domiciles ordonnées par la Cour de justice de la République). Face à cette montée du mécontentement général, l’ensemble de la classe politique, y compris la majorité des militants LaREM, a été sidéré de voir le brouillon ministre de la santé Olivier Véran maintenu dans ses fonctions, le déplorable Christophe Castaner « vissé au goulot » du parti présidentiel en voie d’évaporation, la super-menteuse officielle si bêtement bombardée responsable « idées ».
Le bon sens doit rapidement être restauré. Plus le bon sens bien expliqué prévaudra, plus fortes et efficaces seront l’autodiscipline citoyenne et le redémarrage complet de l’économie.
L’irresponsable folie gouvernementale de cet été ne doit plus se reproduire. Contre les organisateurs de réunions sauvages dénuées de mesures de protection, les amendes doivent être alourdies et mieux organisées. Elles seront pour moitié affectées à l’amélioration des conditions de travail des commissariats et des hôpitaux dont le personnel est souvent au bout du rouleau à cause de mesures souvent inadaptées et de trop nombreux contrevenants. Délinquants ou non, toxicomanes ou non, militants racialistes ou non, immigrés sans papier ou non, bobo libertaires ou non, etc., tous devront porter le masque en contexte de promiscuité. Y compris dans les quartiers abandonnés par la République où règne l’anarchie sécuritaire et médicale. En échange de ce respect universel enfin accepté et acté des règles sanitaires, les bars, restaurants, stades et centres sportifs doivent rouvrir pendant toute l’épidémie.
Nos articles et milliers de tracts sur pare-brises de Mars 2020 n’ont pu convaincre LaREM et le Ministère de la santé pour un débat sérieux sur une des sources de l’échec de notre ligne Maginot médicale si mal pensée : les pièces de monnaie devraient être obligatoirement nettoyées avant d’être rendues aux clients (ont l’a expérimenté 15 jours avant le confinement puis fait expérimenter par d’autres. Oui, c’est possible. Cela marche et les clients sont satisfaits et reconnaissants de ce geste de protection collective).
L’étude comparative parisienne thérapie Doliprane gouvernementale / thérapie Hydroxyclhoroquine internationale demandée le 30 Mai 2020 (également avec tracts) pourrait mettre un terme à la pathétique guerre civile médicale des « blouses blanches » ainsi qu’à l’incroyable cacophonie médiatique anxiogène qui brouille les messages essentiels de précaution.
Pour les tests, le gouvernement a trouvé le moyen d’organiser un vaste gaspillage dont nombre de résultats obtenus trop tardivement n’ont servi à rien, à cause de laboratoires laissés sous-équipés et rendus inutilement embouteillés par cette mesure gouvernementale démagogique. (Le pire est que l’état major politico-médical n’a retiré aucune honte pour cette coûteuse gabegie aux frais du contribuable). Un recadrage s’impose selon le principe de l’IHU de Marseille : tester, isoler, soigner, tracer et encore tester, en ciblant sur les personnes à risque sur le plan médical ou professionnel.
Contre les virus, microbes et bactéries en général, est suggérée une généralisation des protections, manchons, gants, etc., à base de cuivre. Le cuivre possède une grande propriété autonettoyante (mieux encore que les métaux lourds comme l’or et l’argent, connus eux aussi pour leur capacité antiseptique). Lien pour les détails techniques :
Une efficacité due essentiellement à sa composition atomique : chaque atome de cuivre contient un électron libre, qui vient oxyder les molécules du micro-organisme, l’endommageant fortement. Ses ions agissent comme de véritables petits missiles, fracturant l’enveloppe de tout microbe ou autre organisme qui viendrait s’y frotter. Mis à nu, c’est ensuite au tour de l’ARN du virus de subir l’assaut mortel des électrons.
J’ignore pourquoi le gouvernement et le Ministère de la santé n’ont bizarrement pas utilisé cette barrière sanitaire connue depuis longtemps et largement disponible industriellement pour équiper les points stratégiques des hôpitaux et autres lieux grand public...
Un mystère de plus qui s’ajoute aux scandales des masques, des tests, des oxygénateurs et des carences en formation de nouvelles équipes médicales (en 9 mois de crise Covid, le nombre d’infirmières n’a pas augmenté. Il a même baissé pour cause de contamination, de dépression ou d’épuisement !!!).
Des journaux hésitent aussi à ouvrir certains débats, à l’instar de l’EXPRESS, dont le n°3614 (8-14 Octobre 2020, avec 8 pages + couverture) fait même l’apologie du Pr Eric CAUMES, pro gouvernemental et anti Chloroquine notoire, rendu célèbre par sa sulfureuse invitation médiatique à laisser tous les jeunes se contaminer !
On voit aujourd’hui les conséquences de cette irresponsabilité, de ces manifs, fiestas sur berge et autres rave parties sans masque (que les préfectures ont eu consigne de ne pas importuner ?). Après que le gouvernement ait sciemment laissé cet été les touristes hexagonaux et étrangers librement contaminer nos régions, il dénonce ensuite de manière hypocrite le risque d’embouteillage des hôpitaux (dont Marseille), puis sans consultation, ferme brutalement leurs bars, restaurant et salles sportives !
L’inutile dictature sur le contrevenant isolé dans une rue ou un parc est de plus en plus rejetée en comparaison avec l’incroyable laxisme des autorités face aux scandales de nos ports et aéroports passoires comme des festivités sauvages violant grossièrement toutes les règles de précaution. Cette attitude contradictoire, source d’inégalité devant la loi, d’injustice et d’incompréhension est de moins en moins acceptée. Cet anachronisme génère un état d’esprit explosif. D’autant que plus de 90% des spécialistes certifient que le masque ne sert à rien dans la rue, dans les parcs et sur les terrains de sport (surtout au tennis !). La règle de port du masque doit être rapidement changée. Dans un contexte sécuritaire de non promiscuité évidente, les amendes doivent être très réduites, voire disparaitre.
La France a aussi besoin que son économie redémarre vite et dynamiquement. L’ignoble eugénisme entrepreneurial mis en place par le gouvernement et les banques doit immédiatement cesser. Explication :
A l’inverse de notre élite dirigeante, le gouvernement allemand avait pris la décision de sauver le maximum d’entreprises, tel un capitaine digne de ce nom, envoyant des bouées de sauvetage à la totalité des personnes que la tempête a renversées par-dessus bord : la grand-mère dans son fauteuil roulant, l’homme obèse diabétique, l’estropié de la route, l’enfant de 10 mois, les personnes momentanément en faiblesse, etc., tout le monde a eu droit à la bouée de sauvetage. La masse des prêts garantis par l’Etat allemand a été trois fois et demie supérieure à l’engagement d’Emmanuel Macron, le tout garanti à 100% par l’Etat allemand au lieu de 90% chez nous. Résultat, l’économie allemande s’est redressée.
En France, le système ENArchiquement mis en place (les ENArques sont à la fois au gouvernement et dans les banques) a favorisé un draconien système de sélection pour obtenir ou non la bouée de sauvetage financière. Comme des gauleiters, le droit de vie et de mort a été implacablement appliqué en France aux entreprises dont une fraction des soucis financiers s’avérait antérieure à l’épidémie. Mettez-vous à la place de ces entrepreneurs angoissés par les difficultés puis sacrifiés par notre gouvernement kafkaïen : Pour obtenir un prêt, et surtout un prêt à temps, trouvez-vous normal d’avoir à prouver que c’est la covid19 qui est LA source de difficultés, et d’avoir à prouver que le remboursement aura bien lieu à terme ? (Deux preuves bien difficiles à rédiger et devant être validées à la fois par un commissaire aux comptes et un avocat !). Les décisionnaires de ce scandaleux eugénisme entrepreneurial sont-ils capables de comprendre cette situation dramatique ? Un seul d’entre eux a-t-il créé une entreprise dans sa vie ?
Un problème juridique et constitutionnel se pose : quel sénateur et quel député français a eu à débattre du taux d’incidence covid19 nécessaire sur un bilan pour bénéficier ou non du Prêt PGE ? C’est-à-dire du critère précis de vie ou de mort de milliers d’entreprises françaises ? (à ce jour, le nombre d’entreprises défaillantes se compte par dizaines de milliers ! Nous attendons avec impatience les chiffres du registre du commerce de février 2021…).
Heureusement, des banquiers ont sauvé l’honneur de leur profession en contournant –à leurs risques et périls– cette exigence paperassière et juridique imbécile, en prêtant simplement sur la base du chiffre d’affaires déjà effectué. Et ce, contre l’avis de nombre de syndicalistes et politiciens de gauche refusant par principe tout cadeau au « patronat exploiteur ». Alors qu’il était si simple d’exiger le maintien de l’emploi en échange de la généralisation (à l’allemande) de ces PGE qui devront être remboursés. Notons que les grandes entreprises internationales licencieuses ont obtenus bien plus facilement ces précieux PGE, justement parce que leurs charrettes de licenciement leur ont permis de présenter un bilan « comptablement acceptable » par les banques françaises (rendues encore moins prêteuse par la garantie gouvernementale crétine limitée à 90%).
Résultat : l’incidence chômage due à cette épidémie très mal gérée par le gouvernement a déjà entraîné 840.000 suppression d’emplois au 6-10-2020 (AFP), qui se rajoutent aux drames sociaux vécus par les entrepreneurs en faillite n’ayant pas droit au chômage (statistiques occultées en raison du nombre de suicides qui s’y rattachent ! car, hélas, il n’y a pas que les agriculteurs, les enseignants et les policiers épuisés qui se suicident).
A tous les rapiats institutionnels (juppéïste ou non) utilisant les jumelles financières à l’envers, je leur signale que chaque chômeur a un coût. Ce coût se répercute, de façon directe et indirecte, sur toute la collectivité. Du plus riche jusqu’au plus pauvre. Sans exception. Les faillites entrainent des défauts de paiement en cascade touchant à la fois les salariés et les consommateurs, les sous-traitants et les collectivités locales, in fine, l’Etat ET les banques. Le gouvernement allemand et leurs banques ont parfaitement intégré cela. Par notre action collective, aidons le gouvernement français à le comprendre à son tour…
Quant aux plans d’investissement national et européen annoncés, ils s’avèrent en partie tout aussi « Shadock » (voir article du 9 Mai 2020) puisqu’invitant surtout la France, sous couvert d’un habile « green-washing » à acheter allemand, américain, chinois, etc., sans véritable cap éthique, sans imposer de production en France, donc sans y créer beaucoup de richesses et d’emplois (cette exigence est possible puisque devenue la norme dans presque tous nos propres pays clients). Ces plans bureaucratiquement conçus, très faiblards dans un grand nombre de domaines et faisant l’impasse dans d’autres (comme les centrales nucléaires sécuritaires SANS uranium), on ignore en fait quand ils verront véritablement le jour. Quinze mois voire deux années après le début de l’épidémie ?
Sous la pression de cet appel (complété et relayé par les réseaux), un remaniement ministériel sera t-il nécessaire pour obtenir le clair et urgent « changement de braquet » ? Y compris pour ce curieux horaire de couvre-feu ? (économiquement suicidaire !). La fin du massacre des entreprises aura-t-il lieu AVANT la manifestation « massive » prévisible de mars 2021 qui suivra la deuxième énorme vague de chômage prévue en février 2021 ? (NB/ Le bilan des entreprises est en majorité déposé chaque année en janvier).
PRECISIONS
Nom de la manif du printemps 2021 : « révolte des bouquets ». En raison des mots d’ordre cadrés, bien clairs, impulsés par les initiateurs (dont le think tank « En marge ») et, surtout, en raison de son état d’esprit rassembleur et pacifique. Nous accueillerons les policiers et les pompiers avec des bouquets de fleurs en veillant à ce que ces gestes pacifiques citoyens soient soigneusement médiatisés (n’oublions pas que nous avons de la famille ou des amis dans ces dures professions. La plupart d’entre eux veulent aussi des solutions de bon sens face à ce « grand bordel »). Ces trois caractéristiques seront garantes de son image de marque et de sa non récupération politicienne. Elles permettront à ce mouvement citoyen trans-partis d’être la plus vaste possible. Y compris avec des enfants en bas âge et de jolis ballons. Des bleus blancs rouges, bien sûr, mais aussi des verts, jaunes, roses, etc. (volonté de large rassemblement oblige). Vos idées d’organisations festives sont les bienvenues.
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