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La JEUNESSE, l’IMMIGRATON et le CHÔMAGE : les OUBLIÉS de la DÉMOGRAPHIE dans le MÉLODRAME des RETRAITES !

Les bavards médiatiques s'ébrouent sur les "éléments de langage" des "playmobil" et sur les colères contestataires de la réforme macronnienne des retraites. Quelques "sages du petit écran" osent affirmer que le vrai problème de financement des retraites ne se posera vraiment que vers 2030 lorsque le grand flôt d'ex-babyboomers dépendra des cotisations des actifs en nombre réduit (déjà nés avant 2015). Certes, la Démograhie a toute son importance à condition de ne pas oublier les grandes catégories de jeunes, d'immigrés et de chômeurs : alors la situation devient différente !

Comme le met en évidence Nicole CHEVERNEY dans son excellent article sur "LE MAGOT CACHÉ des RETRAITES" dans AGORAVOX, les différentes réserves du "Fonds de réserve des retraites (32 Md€)" et de la disponibilité future en 2023/2024 "des prélèvements du CDES et du CRDS (24 Md€/an)" permettent de tenir de longues années avec le système actuel, même avec les plus sombres prévisions de déficits pour 2023.

Le véritable moteur de la réforme macronienne n'est pas d'instaurer un régime universel par points "plus juste" et où personne n'est perdant et tout le monde est gagnant "à terme" : c'est la quadrature du cercle ! Le calcul des pensions en fonction du nombre de points accumulés au cours de sa carrière, est déjà en pratique, depuis de nombreuses décennies, dans les régimes des professions libérales : dans ces régimes seules les régles d'âge de départ (avec des malus éventuels) sont repris des régimes généraux des retraites. Ces cotisations avec attribution de points (selon la cotisation effectivement versée) est analogue à un régime de capitalisation individualisé à chaque cotisant : la constitution de réserves (placées par les gestionnaires, dans des structures financières sécurisées) est inhérente au système, de façon qu'une forte diminution du nombre de cotisant n'affecte pas la pension due à verser. Si les différentes professions libérales manifestent leur profond désaccord c'est que le grand système universel reprendrait les passifs des différents systèmes, mais aussi les actifs de ceux qui sont bien gérés : quel bel hold up ! Car leur système a des réserves de 116 Md€ !!

La réforme macronienne est dans la ligne du programme présidentiel promettant des réformes pour que la France et les Français puissent enfin entrer pleinement dans l'économie de marché, dans le capitalisme néolibéral pour s'adapter à la mondialisation. Les quelques rares électeurs qui se sont souciés des éléments du programme, (pas pour la masse de ceux qui ont voté contre la réprésentante du Front National), ont crû ou rèvé que le dynamique candidat, bien au courant des entourloupes du système dominant, allait, au prix de menus efforts, les soutenir, les assister, les défendre contre l'emprise des féroces et voraces thuriféraires du système, prédateurs de richesses humaines et fossiles : il faut accroître au plus vite la masse de transferts de richesses et de pouvoirs vers cette magnifique classe élue des dieux de la finance, tellement "désintéressée"... du sort des "riens et moins que rien" ! D'où la ligne de conduite : suppression de l'ISF (valeurs mobilières), flat taxe libératoire à taux réduit, augmentation de la CSG, en particulier pour les retraités, loi PACTE mieux adaptée aux entreprises, CICE maintenu pour les entreprises ne réinvestissant pas en France, réductions de charges patronales, baisse de l'impôt sur les sociétés, etc... En outre, notre Président élu, tente de mettre en pratique le GOPE préconisé par l'UE, avec une généralisation des privatisations des prestations publiques (santé, retraites...) car la concurrence du privé serait synonyme de la baisse des coûts et des prestations et non pas des profits : sinon pourquoi investir si ce n'est pas rentable à coup sûr ??

Effets de la NATALITÉ et de l'allongement de la durée de vie

Pour qu'un système de retraite reste à l'équilibre, il faudrait que la natalité assure le renouvellement des générations, selon l'idée dominante couremment admise, soit un taux de natalité un peu supérieur à 2E/F (Enfant par Femme) (supérieur pour tenir compte des femmes renonçant au mariage et à la maternité (telles les religieuses). Dans ces conditions la population resterait stable : seulement la réalité infirme cette assertion ! 

 

En France, la population ne cesse de croître "naturellement" par excédent de naissances sur les décès. Si dans les années 50 à 70, pendant 20 ans le taux de natalité était entre 2,48 et 2,95 E/F, avec 850 000 à 862 000 naissances par an, et entraînait une forte augmentation de la population, depuis le début des années 70, jusqu'à nos jours, (soit pendant 50 ans) le taux est resté légèrement inférieur à 2 E/F avec des naissances annuelles comprises entre 750 000 et 800 000, et cependant la population a augmenté "naturellement" (sans prendre en compte les immigrés) d'environ une douzaine de millions du fait d'un excédent de naisances/décès de l'ordre de 200 à 250 000/an. (La stabilité de la population française aurait pu être maintenue avec un taux voisin de 1,5 E/F ) ! La situation démographique n'a jamais été stable car la durée moyenne de vie, dite "espérance de vie à la naissance" augmentait de une année tous les 4 ans ! Avec en conséquence, pour un même âge de départ à la retraite, un allongement moyen de la durée effective de retraite, et la nécessité d'affecter plus de ressources nationales aux pensions de retraite pour maintenir un niveau de vie décent de nos anciens. Heureusement avant l'arrivée massive des babyboomers dans la catégorie des retraités (à partir de 2010/2015), depuis 1965 le nombre d'actifs de la tranche d'âge 20/65 ans a augmenté en moyenne d'environ 200 000 par an, soit "un paquet" de près de 10 millions. Par contre, à partir de 2010/2015, pour ce qui concerne l'accroissement naturel de la population, le nombre potentiel des actifs se stabilise et pourrait même baisser avec la natalité, car si le nombre de naissances reste sensiblement constant, le nombre de départs à la retraite est sensiblement égal à celui des arrivées sur le marché du travail, et sera même supérieur avec le papyboom.

Les nécessaires adaptations n'ont pas été prises en temps utile. Si l'âge initial de départ à la retraite retenu en 1945, soit 65 ans, était "une arnaque" pour des catégories de travailleurs dont la durée de vie moyenne atteignait difficilement cet âge, et a été heureusement corrigé en 1981 pour être réduit à 60 ans, depuis les nécessaires évolutions n'ont pas été prises. En 1981, les travailleurs avaient une durée de vie augmentée de l'ordre de 9 ans (un an tous les 4 ans sur une période de 36 ans). Maintenant, 39 ans plus tard, le gain en durée de vie est voisin de 10 ans et pour ne pas faire porter la charge corrspondante sur la masse des actifs/cotisants, il aurait été souhaitable d'augmenter l'âge de départ à la retraite : en coupant la poire en deux l'âge de départ aurait augmenté de 5 ans, et la durée effective de retraite également de 5 ans. Ce raisonnement digne des élites administratives qui régentent nos conditions de vie, doit être fortement corrigé car la durée de vie n'est pas uniforme selon les catégories de travailleurs  : les ouvriers affectés à des taches pénibles, aux trois huit, aux travaux de nuit, aux décalages horaires incessants, aux nuisances sonores, chimiques, thermiques... ont une vie écourtée et méritent donc une compensation par un âge de départ avancé de quelques années, avec un taux plein pour les allocations. A l'inverse, certains cadres de haute direction, comme chez Dassault, doivent partir à la retraite au plus tard à 70 ans. Quelques anciens directeurs-génraux poursuivent une carrière "allégée en responsabilités décisionnelles" en siègeant au Conseil d'Administration.

Si la situation financière des retraites en France n'est pas aussi tendue que veulent nous faire croire certains jeunes idéologues du gouvernement vendus au capitalisme néolibéral, à l'économie de marché, aux délocalisations et à l'heureuse mondialisation, c'est qu'intervient le facteur bénéfique de l'immigration  :

L'immigration de travail apporte des travailleurs formés pendant leur jeunesse au frais de leurs pays d'origine (le coût de leur "élevage" depuis la conception, les années d'écoles et de formation professionnelle, n'est pas pris en charge par les pays d'accueil). Ces immigrés légaux cotisent pendant leur vie active et, jusqu'à récemment, leur grande majorité n'avait pas atteint l'age de départ à la retraite. En France, dans la tranche d'âge 18/50 ans, il y a 70% de Français sans ascendant issu de l'immigration, 10% de résidents immigrés directs avec leurs deux parents étrangers, 6% issus de l'immigration avec un ascendant immigré et 6 % issus de l'immigration avec deux ascendants immigrés. Il en résulte que le nombre des actifs cotisants en France, est nettement majoré par des actifs issus de l'immigration. Les 6 + 6% issus de l'immigration sont classés comme Français (par le droit du sol) et sont inclus dans l'accroissement naturel. Au total, dans toutes les tranches d'âge, il y aurait 5,34 millions d'immigrés directs et 6,5 millions de descendants d'immigrés : les pays d'origine étant d'abord les pays européens, puis ceux du Magreb à égalité avec le reste du monde. Même s'il y a un apport continu de jeunes immigrés, leur nombre compensera dans quelques années le départ à la retraite des anciens, avec les allocations-retraite à verser comme pour les travailleurs français.

Ainsi du fait de l'accroissement naturel (par l'excédent de naissances) de la population jusqu'à l'an 2000 et de l'apport des immigrés directs (jusqu'à maintenant), l'accroissement de la population des actifs/cotisants est de l'ordre de 16 millions, nombre auquel il faut retrancher les chômeurs et sans emploi, soit un total résiduel de 10 millions ! Ce nombre est représentatif du nombre d'emplois nets créés depuis 1945 ! Rapporté à la population totale avant 2015 (65 millions) ce nombre est de 15% !!

 

En Allemagne, depuis les années 72 il y a une forte baisse des naissances avec des taux de natalité inférieurs à 1,5 E/F et surtout des décès en nombre supérieur à ceux des naissances ; la perte "naturelle de population depuis 1972 est d'environ 5,4 milions (en 2018). Le nombre de naissances a chuté de plus de 1 million/an (année 50 à 70) (et même de 1,3 million dans les années 62/67), pour plonger dans la gamme de 750 000 à 800 000/an. Cette forte baisse s'est d'abord traduite par une baisse progressive des enfants à scolariser et former professionnellement (gains budgétaires globaux de l'ordre de 1000 Md€ (aux conditions actuelles) et par une moindre arrivée sur le marché du travail (moins de chômeurs potentiels). Cette économie budgétaire s'est doublée des économies réalisées par l'ouverture des portes du marché du travail à des travailleurs immigrés formés dans leurs pays d'origine, car non seulement le manque de naissances a été compensé, mais au total ce sont plus de 9 millions d'immigrés directs qui sont arrivés, nombre porté à plus de 17 millions (avant l'arrivée des réfugiés syriens) en comptant les travailleurs dont au moins un parent est issu de l'immigration. L'Allemagne en portant l'âge de départ à plus de 65 ans et en bénéficiant des cotisations des travailleurs immigrés conserve un régime proche de l'équilibre, tout en s'inquiétant de l'arrivée prochaine en retraite des babyboomers en masse. L'effet de la sous-natalité dégage des excédents budgétaires qui seront les bienvenus pour équilibrer les régimes de retraites ! En comparaison avec la France, le nombre d'emplois créés par l'économie allemande doit retirer du nombre total d'immigrés (selon ses statistiques)du le nombre total des immigrés et des descendants d'au moins un parent immigré. L'Allemagne affiche en 2015, avant la vague de réfugiés, 64 millions d'allemands d'origine et 17 milions issus de l'immigration (dont 6,4 millions d'immigrés directs, et 10,6 millions nés en Allemagne avec un ou deux parents immigrés directs). Ce dernier groupe comprend donc les enfants de couples mixtes et de couples de deux immigrés mais pouvant bénéficier maintenant du droit du sol : seule une partie de ces enfants est entrée dans le marché du travail, ceux nés avant 2000, soit environ 8 millions. Le nombre d'actifs nouveaux, en Allemagne, comprend donc ces 8 millions plus les 6,4 milions d'immigrés directs auxquels il faut intégrer le bilan naturel (augmentation (+ 7,2 millions) de 46 à 72, puis diminution (- 3,6 millions) de 72 à 2000, soit un solde naturel cumulé de 3,6 millions. L'accroissement potentiel du nombre d'actif serait alors de 6,4 +8 +3,6 = 18 millions. En retirant le nombre de sans emplois et de chômeurs allemands, (2,3 millions de chômeurs plus une estimation de 1,7 millions sans emplois et non chômeurs déclaré), il reste une augmentation potentielle du nombre d'actifs de 14 millions ! Rapporté à la population totale avant 2015 (82 millions) ce nombre est de 17% !

Les performances des deux économies, française (+ 15%) et allemande (+ 17%), en terme d'augmentation du nombre d'actifs au travail, sont comparables avec un avantage pour l'économie allemande.

 

Influence de la proportion de jeunes dans la population

Les analystes du financement des retraites retiennent un critère majeur, à savoir le rapport du nombre d'actifs sur celui des inactifs, en fait uniquement sur le nombre de retraités. Les actifs étant supposés financer les retraites, ou du moins les régimes de retraites actuels par répartition (plus les retraites complémentaires légales).

Pour équilibrer financièrement nos régimes "sociaux" de retraite, les cotisants (employés et employeurs) se refusent d'augmenter les cotisations (représentant entre 13 et 14% du PIB), alors les élites gouvernementales tentent subrepticement d'entrouvrir la porte des retraites par capitalisation gérées par de grands fonds de pensions internationnaux. Prendre en charge par le budget de l'État une partie des retraites n'est pas envisageable ! La riche Allemagne, au budget en excédent, elle, peut l'envisager.

Il existe un grand oubli : les jeunes dans leur phase d'élevage, d'éduction et de formation professionnelle sont des inactifs à la charge de la population active. Rien qu'en dépenses publiques (état (édiucation nationale, santé, allocations familiales, réduction quotient familial...), régions, départements, communes) le coût public de la conception à l'arrivée sur le marché du travail varie entre 200 000€ et 250 000€ (éudes supérieures). On ne peut faire de comparaisons objectives entre la France et l'Allemagne si l'on ne prend pas en compte les effets de la natalité dans nos deux pays.

Le budget excédentaire de l'Allemagne est principalement dû à sa sous natalité avec perte naturelle de population. Les "enfants manquants" sont remplacés par des immigrés élevés et formés aux frais de leur pays d'origine : soit un gain annuel de plusieurs dizaines de M€.

En France, le constant excédent des naisances sur les décès (et sur les départs en retraite) pèse 70 à 80 Md€/an sur les budgets nationaux et territoriaux. Avec un taux de natalité à l'allemande, le budget national pourrait plus que boucher les trous des retraites, de l'assurance maladie et des Assedic !

 

Nota Bene  : Un autre facteur négligé est le taux d'emploi ou de chômage. Les mesures gouvernementales proposées dans le grand chantier de la réforme font l'impasse d'une réduction du chômage : passer de 8,6% à 5 ou 6%, réglerait les problèmes de financement avec le retour à l'équilibre !! C'est trop évident ! Le fameux ruissellement issu de la baisse de l'ISF et de la flat taxe, devait aboutir à ces niveaux de chômage : le ruissellement s'est transformé en séchersse !!


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13 réactions à cet article    


  • mmbbb 21 décembre 2019 11:45

    «  Le fameux ruissellement issu de la baisse de l’ISF et de la flat taxe, devait aboutir à ces niveaux de chômage » ISF rapporte 5 milliards d euros ; coût de la formation professionnelle en France pres de 30 millairds d euros .

    Nous avons un des taux de prélèvement obligatoire les plus élevés des pays de l OCDE 

    Cout de l aide medicale en situation irreguliere en France 1 milliards d euros

    Cout indirect de l immigration iréguliere en France , silence elle ne coute rien parce que l on pose comme postulat que tout est gratuit en france 

    Quant a l Allemagne elle a une industrie de pointe , je doute que les immigres n ayant pas de formation elevee puissent s adapter . C est un pays plus robotise que la France 

    C est ce qui se passe en Suede , ou cette immigration ne trouve pas sa place 

    Les Suedois ont des problemes desormais mais je ne vais pas les plaindre

    Que de lacunes dans cet article ..



    • quijote 21 décembre 2019 15:53

      c’est qu’intervient le facteur bénéfique de l’immigration  :

      Bien sûr... Y a qu’à dire ça, hein... Alors voyons :

      L’immigration de travail apporte des travailleurs formés pendant leur jeunesse au frais de leurs pays d’origine (le coût de leur « élevage » depuis la conception, les années d’écoles et de formation professionnelle, n’est pas pris en charge par les pays d’accueil).


      Et il faut reconnaître que les formations professionnelles des pays du tiers-monde, c’est très recherché partout en europe. Prenez par exemple la formation de gardien de chèvres. Un peu partout en europe, et tout spécialement en France, les patrons cherchent désespérément des gardiens de chèvres bien formés ( bac moins 12 ). Et se désolent : on n’en trouve pas ! Région parisienne, région lyonnaise : 300 000 postes de gardien de chèvres non pourvus ! C’est pour ça que l’arrivée de nos amis érithréens est une bénédiction pour notre pays. Sans compter tous les médecins, les ingénieurs et les futurs Montaigne !

      Ouais. Y a qu’à dire ça...


      En Suède, 4 ans après l’arrivée des réfugiés syriens ( la Syrie étant un des pays les plus avancés de la région ), ils sont... 10% à travailler. Autant dire que les suédois sont ravis : ça cotise sec pour les retraites suédoises... L’intégration par le chômage...

      Des immigrés qui travaillent ? Ouais, c’est vrai, y en a. La plonge dans les restaurants. Au noir, dès que c’est possible. Tu vas payer nos retraites avec ça, monsieur Botopo ?

      Sans déconner, personne n’y croit plus à tes salades mélanchoniennes. Tu les vendra plus ici : on est très majoritairement vaccinés. On y a goûté, ça nous fait gerber.

      D’autant plus que si on veut parler du « facteur bénéfique de l’immigration », il faut avoir l’honnêteté d’aller voir l’autre côté : le facteur, hum..., pas si bénéfique, voire même, selon certains, totalement pourri, de l’immigration. Il y a le parasitisme. Pas franchement idéal pour payer les retraites. Il y a nos prisons qui sont remplies de ces gens dont les activités tournent autour des « formations » suivantes : délinquance, criminalité, agressions, viols et terrorisme. Il y a nos hôpitaux, où on retrouve nos amis du tiers-monde fous ou malades. La rubrique des faits divers dans les journaux de province de toute l’europe est pleine de ton soi-disant « facteur bénéfique de l’immigration ».

      La police, ça coûte cher. La justice, ça coûte cher. La prison, ça coûte cher. Les hôpitaux, ça coûte très cher. Les centres pour « mineurs » isolés, ça coûte cher.

      Merci de refaire vos calculs pour intégrer ces coûts-là, immenses, monstrueux, dans votre idée de ce qu’est le « facteur bénéfique de l’immigration ». Tant que vous ne l’aurez pas fait, vous serez dans l’idéologie droitdelhommiste. Dont les français ont soupé. Maintenant, on préfère rester entre nous. Beaucoup moins de problèmes comme ça. Beaucoup moins.


      • quijote 21 décembre 2019 16:03

        Ah, j’oubliais : on pourrait aussi ajouter, dans « le facteur bénéfique de l’immigration », les résultats spectaculaires de notre éducation nationale dans les études pisa. Très bénéfique.


        • SERA SERA 21 décembre 2019 23:20

          @quijote
          CONFIRMATION sans aucun détour : un remplaçant en primaire, depuis mater. jusqu’au CM2 en villes avec pas/peu d’immigration (entre 0 et 1/6 des élèves) et avec immigration (environ sup. à 1/4) > CONSTAT : Le niveau baisse pour la très grande majorité des élèves. En REP c’est facilement et globalement d’un an, voire plus, deux ans, trois ans pour des plus petits groupes d’élèves ; sans parler des nouveaux arrivants qui eux aussi ralentissent la vitesse d’apprentissage, n’étant pris en charge par des profs spéciaux  que nous payons  qu’une partie de la semaine.


        • quijote 21 décembre 2019 17:33

          le facteur bénéfique de l’immigration :

          https://voiceofeurope.com/2019/12/netherlands-convicted-immigrant-rapist-charged-with-three-more-sex-offenses/

          Tellement bénéfique, le facteur...

          https://voiceofeurope.com/2017/12/life-sentence-for-afghan-refugee-who-raped-and-burned-finnish-girl-alive/

          Les 2 « facteurs bénéfiques » ont été arrêtés par la police ( de leur pays d’accueil ), ont été jugés par la justice ( de leur pays d’accueil ), seront gardés dans les prisons ( de leur pays d’accueil ) où ils vont vivre pendant des années, intégralement pris en charge par les contribuables ( de leur pays d’accueil ).

          Les traumatismes générés chez les victimes ( de leur pays d’accueil ) seront traités par des psychologues ( de leur pays d’accueil ) et, peut-être, remboursés par la sécurité sociale, payée par les contribuables. Du pays d’accueil. Sauf la seconde : elle est morte brûlée vive après avoir été violée. Par un « facteur bénéfique de l’immigration ». Mais bon, c’est le prix à payer, si on veut profiter du « facteur bénéfique de l’immigration ».


          Je t’ai pourri ton article ? Ouais. Et je le ferai pour tout autre article qui viendra nous vendre « le facteur bénéfique de l’immigration ».


          • titi titi 21 décembre 2019 19:44

            @l’auteur

            J’ai pas été plus loin que

            « Comme le met en évidence Nicole CHEVERNEY dans son excellent article sur »LE MAGOT CACHÉ des RETRAITES«  »

            Son excellent article qui contient tous les poncifs du genre aurait été plus juste.


            • quijote 22 décembre 2019 13:25

              le facteur bénéfique de l’immigration :

              https://sputniknews.com/society/201912181077604058-sweden-in-uproar-over-video-of-immigrant-gang-abusing-urinating-on-swedish-boy/

              Pour qui ne comprendrait pas l’anglais : un gang de migrants a agressé un garçon, en Suède, avant de finir par... lui pisser dessus. Le tout filmé, pour pouvoir envoyer ça au pays. Et montrer qu’on a trouvé sa place...

              Quoi ? C’est drôle ! On rigole ! Le facteur bénéfique de l’immigration ! Pas vrai, Botopo ? Curieusement, les commentaires des autochtones, devant cette farce bon enfant, font état d’une colère exacerbée et certains parlent de « renvoyer les animaux » dans leur pays. Enorme scandale chez nos amis socialistes dans l’âme...

              Monsieur Botopo, visiblement, les Suédois ont besoin de vous pour comprendre le facteur bénéfique de l’immigration...


              • quijote 22 décembre 2019 13:34

                @quijote

                Ah, petite erreur de ma part... Ils ne lui ont pas pissé dessus. Non. Mea culpa.
                Ils lui ont pissé dans la bouche.


              • jlouisjoly 23 décembre 2019 20:56

                Le gauchisme est vraiment une maladie mentale.Te faire passer de la pisse pour du nectar , ou de l’immigré pur un jeune formé gratos a l’étranger.


                • Spartacus Lequidam Spartacus 24 décembre 2019 08:46

                  C’est assez rigolo de voir un constat assez clair en refusant de reconnaître la cause et la dénier...

                  Le constat, c’est que le plus gros problème que pose la répartition est qu’elle traite les futures générations bien pire que les plus âgées.

                  Parce que la répartition n’est pas un programme d’épargne mais un programme de transfert de revenus, c’est au mieux un jeu à somme nulle : personne ne peut gagner un revenu net grâce à la sécurité sociale sans que quelqu’un d’autre le perde.


                  Et d’en conclure qu’il ne faudrait pas passer à un programme d’épargne sous des procès d’intention que ceux-ci sont privés, par obscurentisme idéologique...




                  • hugo BOTOPO 26 décembre 2019 16:49

                    @Spartacus
                    Oui, la répartition est un programme de transfert de revenus, ce n’est pas un programme d’épargne.

                    Si les futures générations seront plus mal traitées que les générations plus âgées à la retraite, c’est du fait qu’avec l’augmentation de la durée de vie, sans augmentation de l’âge de départ à la retraite, le nombre de retraités augmentera en pourcentage de la population : sans augmentation des taux de cotisations, avec un « magot » de revenus disponibles quasi constants, les retraites baisseront en valeur.

                    Pour la retraite par capitalisation issue de l’épargne individuelle, les revenus affectés à l’épargne sont soit « placés » dans un bas de laine (attention à l’inflation) ou dans une banque dont la solvabilité et l’existence n’est pas garantie dans 2 ou 3 décennies, soit « investie » en actions, en placements financiers (vive les emprunts russes) ou dans l’immobilier. Dans ces derniers cas, qui peut garantir la valeur future de l’immobilier, avec la forte décote possible à la revente, avec un manque de demande de locataires (villes en décrépitudes), et quels seront les placements, les investissements réellement rentables au moment de la retraite, quelle sera le niveau de l’économie ?
                    De toute façon ce sera le niveau réel de l’économie, la rentabilité des investissements (et leur sélection) qui conditionnera la « rentabilité » future de l’épargne d’aujourd’hui.
                    Enfin, si la retraite par capitalisation ou épargne se développe rapidement au détriment des cotisations de la retraite par répartition, l’économie actuelle et du futur proche devra assurer le versement de retraites à ceux qui ont cotisé toute leur vie dans la système à répartition : alors par l’impôt la collectivité nationale, y compris les épargnants par capitalisation, financera, à titre gracieux, une part progressive des retraites par répartition !


                  • quijote 24 décembre 2019 10:28

                    Bonne nouvelle pour vous, amis gauchistes et des minorités « opprimées » qui attendent et réclament plus de migrants du moyen-âge pour « sauver nos retraites » :

                    votre projet de destruction barbare des sociétés occidentales suit son cours malgré le rejet des peuples européens. On savait que des gangs de pakistanais ont pu pendant des années violer impunément, torturer et exploiter sexuellement des milliers de gamines mineures anglaises bien blanches... Dont la vie avait bien moins de valeur pour la police que le risque d’être suspectée de « raciste », grâce à votre idéologie ( le « Bien » ! le « Bien », Bon Dieu ! ).

                    Eh bien, on apprend qu’en Finlande aussi, ces chouettes pratiques d’enrichissement culturel collectif ont cours aussi : une gamine de 10 ans ! Ils peuvent pas s’empêcher, nos amis du moyen-âge : enrichir, enrichir et encore enrichir ! Des enfants de 10 ans !

                    Je vous laisse lire le résultat réel de votre idéologie ( le Bien ! ) :

                    https://www.breitbart.com/europe/2018/12/07/finland-crackdown-evil-migrant-rape/

                    Je souhaite qu’un jour, vous et les élites de nos pays, dont vous êtes les pires collabos, ayez à répondre des saloperies qui se sont déroulées avec votre complicité... Un Nuremberg pour l’idéologie du mélange obligatoire. On peut rêver...

                    Cliquez sur « pas intéressant », c’est un ordre ! Et retournez vite à votre idéologie de destruction : vous êtes là pour ça. Détruire par procuration...

                    Plus ! Plus de migrants pour « enrichir » nos enfants !


                    • quijote 24 décembre 2019 14:00

                      Plus de migrants ! Plus de viols ! Plus de destruction ! La gauche et les minorités réclament notre destruction ! Hein, amis gauchistes ? Et vous les soi-disant « minorités opprimées »... Voilà le Bien que vous réclamez :

                      https://www.valeursactuelles.com/faits-divers/roissy-en-brie-une-femme-retrouvee-denudee-le-visage-tumefie-un-migrant-congolais-multirecidiviste-ecroue-114269

                      "L’agresseur aurait pu être expulsé depuis 2006, après une condamnation pour viol, mais son statut de réfugié politique a toujours joué en sa faveur, empêchant la France de procéder à son expulsion."

                      Toutes ces victimes, ce sont celles de votre idéologie. De merde. Mais ne vous sentez pas coupables : malgré les apparences, vous êtes le Bien ! Pas vrai ? Encore ! Encore des victimes ! Au nom du Bien !

                      Joyeux Noël ! Vive les droits de l’homme ! Vive la destruction de l’occident aux mains de tarés venus tout droit du moyen-âge !

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hugo BOTOPO


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