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Accueil du site > Actualités > Economie > Pourquoi sommes-nous en récession ?

Pourquoi sommes-nous en récession ?

Le problème de la récession est seulement celui du choix d’un modèle économique. Outre le problème de faire dépendre une civilisation de l’économie, comme si elle était la mesure de toutes choses, ce qui mériterait tout un débat qu’il faudra bien tenir tôt ou tard, le modèle économique dominant dans le monde actuel est celui de l’économie de marché et de son corollaire, la croissance économique. Le problème est que ce modèle fonctionne sur une base fausse. En effet, il suppose que les ressources de base seront disponibles indéfiniment et en quantité illimitée. Or il n’est pas besoin d’être sorti de l’université bardé de diplômes pour savoir que les ressources de la planète sont limitées. Par conséquent, puiser dans ces ressources de façon exponentielles est le comble de l’absurdité.

Mais si ce problème est bien connu et commence à être débattu sur la place publique, il reste l’autre face du problème, c’est à dire une « classe », oligarchie serait le mot le plus juste, d’individus qui se nourrit de ce système en vampirisant de plus en plus les richesses produites pour leur profit. Et ces gens ne représentent qu’un pourcentage infime de l’humanité. Il faudrait détailler rubrique par rubrique la nature des problèmes causés par ces personnages dans tous les domaines de l’activité humaine, mais ce serait trop long.

De toute manière, au niveau économique, le nœud du problème est là. Il faut supprimer radicalement cette oligarchie parasite, vampire de l’économie. Elle ne sert à rien, elle est par essence destructrice de toutes les valeurs et ne cherche que son profit maximal, quel qu’en soit le coût social, environnemental ou culturel. L’on nous dit qu’il faut trois pour cent de croissance, mais ce que l’on ne nous dit pas, c’est que 2,5% vont directement dans les poches des plus riches et que l’on fait tourner le pays avec moins de 0,5% !

C’est sans doute aux peuples qu’il appartiendra de faire changer les choses, car les politiciens, toutes tendances confondues, sont totalement, hormis quelques rares exceptions, au service cette classe parasite. D’ailleurs, cette dernière s’est assurée leur docilité en leur facilitant l’accès à des magouilles de toutes sortes, et si par hasard ils manifestaient une quelconque volonté de changement, un bon petit scandale les concernant ressortirait, histoire de les mettre hors d’état de nuire. Le processus est bien rôdé.

Donc, tout le reste sur les problèmes de récession de la France et de la zone Euro, pour ne pas dire de beaucoup de pays dans le monde, ne sont que des discours creux. Ils ne remettent jamais en question ce modèle absurde qu’est le capitalisme. Donc, aucune solution sur le long terme ne pourra tenir si on ne remet pas en question ce modèle. Il n’y a pas d’autre alternative. Ou on continue ainsi et on finira par détruire la planète, et donc toute vie sur Terre, ou on change radicalement de modèle de société en créant un système de civilisation qui mettra l’être humain et son épanouissement sur tous les plans, du spirituel au matériel, en passant par le culturel, au centre des préoccupations.

Inutile de se voiler les yeux en faisant comme si il n’y avait pas d’autre solution que l’économie de marché, la réalité nous rattrapera bien assez vite. Pourrons-nous avoir la possibilité de changer les choses au moment où tout va s’effondrer ? Pas sûr. Et même si c’est encore possible, à quel prix ? Des centaines de millions de morts, une Terre dévastée, polluée, une terre largement improductive car empoisonnée par les pesticides, brûlée par les engrais chimiques et rendue stérile. Sur quoi vivront les gens à ce moment là ? Sur des lopins de terre qui produiront peu et pour longtemps ? Alors combien de fois et combien de temps encore faudra t-il avertir pour réveiller les gens avant qu’il ne soit trop tard ? Si vous ne me croyez pas, informez-vous, regardez autour de vous avec lucidité, et vous verrez que non seulement je n’exagère pas, mais que je suis peut-être en dessous de la réalité !

D’après D.POSITAIRE

http://2ccr.unblog.fr/2013/10/20/pourquoi-sommes-nous-en-recession/

Lire également : DE QUOI AVONS-NOUS BESOIN ?

« Il vaut mieux se lever sans savoir ou l’on va que rester assis à ne rien faire »…Proverbe Touareg


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18 réactions à cet article    


  • Lisa SION 2 Lisa SION 2 23 octobre 2013 09:15

    Bonjour RG,

    " mais ce que l’on ne nous dit pas, c’est que 2,5% vont directement dans les poches des plus riches et que l’on fait tourner le pays avec moins de 0,5% " on ne dit pas assez non plus que ces O,5% sont inférieurs au taux de croissance de la population annuelle française...et donc, que pèse ce chiffre s’il est moindre que le nombre de bouches à nourrir ?
    Le matin on lit un article qui parle de 6OO milliards de manque à gagner pour l’État par la fiscalité sur les entreprises, et le soir au jt on entend une taxe qui rapportera 6OO millions...cherchez l’erreur.


    • anomail 23 octobre 2013 09:46

      <<En effet, il suppose que les ressources de base seront disponibles indéfiniment et en quantité illimitée.>>

      C’est déjà le début de la fin :
      http://petrole.blog.lemonde.fr/2013/02/13/la-production-de-petrole-total-decline-pour-la-8e-annee-consecutive/

      La croissance étant adossée à l’énergie, il est logique que nous entrions en récession.

      Donc quand les politiciens nous promettent le retour de la croissance,
      - Sois ils savent parfaitement que c’est impossible et nous mentent : Ce sont des traîtres.
      - Sois ils l’ignorent réellement : Ce sont des abrutis inconséquents.

      Je penche pour la première hypothèse, car comme vous le soulignez, ils sont entièrement dévoués à leurs maîtres financiers et ne visent qu’une chose : tenir le plus longtemps possible.


      • spartacus spartacus 23 octobre 2013 09:47

        Que de propagande basé sur l’absence de formation économique de base.

        On va donc vous expliquer !

        L’absence de formation économique en France fait croire à cette ineptie que les ressources sont limitées...FAUX.

        En économie, les ressources ne sont pas jamais « naturelles » mais « crées » par l’homme ou les besoins économiques.

        Telle matière première clairement identifiée (le charbon, le pétrole, etc.) est évidemment limitée et donc épuisable. Mais qui décide qu’un matériau est une ressource ? L’homme. L’économie est un flux qui s’adapte aux changements de ressources. La ressource du mammouth est épuisée depuis longtemps, même si elle a permis a des générations d’hommes de vivre. Le monde a régulièrement changé de ressources.

        On n’exploite même pas 0,1% des matériaux présents dans les profondeurs de la terre et des océans. Et l’espace n’a jamais fait l’objet d’exploration.


        On vous rassure y’a de la marge avant la fin des ressources naturelles, quelques millions de générations. En plus le PIB est fait maintenant fait de nouvelles richesses immatérielles de services, qui n’exploitent pas de ressources.


        La croissance déjà il faudrait que chacun sache ce que c’est, et comment elle est calculée.

        C’est le PIB comparé de N-1 à N+1 moins l’inflation.

        En simplifiant, le PIB est le total de toutes les factures (ou dépenses), émises par un pays sur une année. Parfois appelé à tors « richesse ».

        Donc plus il y a de factures, plus il y a de chiffre, plus il y a besoin d’emplois. Voilà pourquoi une croissance élevée réduit le chômage. La décroissance est une chimère.


        L’économie de marché c’est quoi ?

        L’économie de marché est un système qui régule les prix dans la paix. C’est le vendeur et l’acheteur qui se mettent en accord volontairement sur les prix sans contrainte coercitive. L’acheteur n’a pas d’obligation d’acheter, et bénéficie du choix. La concurrence oblige le vendeur à innover et produire moins cher pour créer et satisfaire la demande.

        Le communisme c’est quoi ?

        C’est l’état qui fixe les prix par dirigisme sans se référer à la réalité économique. Les prix en dessous des coûts de production n’intéressent pas les producteurs, sans la pression de la concurrence inexistante ne se préoccupe pas de la qualité. Les monopoles étatiques se créent. L’absence de choix et de concurrence entraîne un mauvais rapport qualité/prix, et peu d’innovations. L’approvisionnement indépendant de la demande crée des pénuries. Les talents ne peuvent émerger. La liberté est totalement phagocyté par l’état totalitarisme.

        Le socialisme c’est quoi ?

        Le socialisme c’est du « clientélisme ». En intervenant par la contrainte étatique sur l’économie de marché le socialisme prétend agir pour « l’intérêt général ». En réalité le socialisme intervient que pour le compte de la demande de groupe de pression qu’il a créé lui même.

        L’interventionnisme socialiste crée la demande d’un nombre sans cesse croissant de clients de l’État, et son caractère exponentiel.

        L’interventionnisme crée des monopoles dans le marché. Les obligés de l’état, groupe de pression le plus. Le chômage se nourrit de l’absence de débouchés privés

        La majorité des partis politiques depuis la guerres sont « socialistes » même s’ils se prétendent de droite. La moitié du salaire du SMICARD est nationalisé en chimères appelées « solidarité » mais qui en réalité cache le clientélisme le plus inique qui soit.

        La chronophagie de ce système hors réalité économique des prix ne peut allez qu’a la faillite comme tout syyème basé sur le collectivisme et l’absence de responsabilité individuelle.


        • anomail 23 octobre 2013 11:23
          • Etape 1 : Le refus <== Vous êtes ici
          • Etape 2 : La colère
          • Etape 3 : La négociation
          • Etape 4 : La dépression
          • Etape 5 : L’acceptation

        • anomail 23 octobre 2013 11:32

          C’est marrant dans votre profil vous vous décrivez comme opposant à la pensée unique, alors que je trouve que vous en êtes le meilleur représentant que j’ai pu lire.

          On vous dit que notre société est droguée au pétrole, que cette ressource touche à sa fin et que la transition n’a apparemment pas été correctement anticipée.

          En réponse, vous nous dites qui le communisme c’est mal smiley


        • spartacus spartacus 23 octobre 2013 13:46

          @demosthène

          ls ressources renouvelables mondiales sont consommées au neuvième mois

          Mince nous sommes milieu septembre, le 10 eme mois. Mais pourquoi y a t-il du carburant à la pompe des supermarchés et des stations ?

          On nous aurait menti ????

        • tf1Goupie 23 octobre 2013 15:03

          @Démosthène,

          Vous voulez dire qu’en 9 mois on a déjà consommé la totalité de l’énergie solaire que la Terre reçoit en un an ? Sérieux ?!

          Au moins quand vous n’insultez pas vous nous faites rigoler !

          Plus sérieusement, arrêtez de répéter des slogans marketing qui n’ont aucun sens.


        • BA 23 octobre 2013 11:56

          Mercredi 23 octobre 2013 : Eurostat publie les chiffres de la dette publique du deuxième trimestre 2013.

           

          La Grèce, l’Italie, le Portugal, l’Irlande, la Belgique, Chypre, la France, l’Espagne, le Royaume-Uni sont en faillite.

           

          La dette publique de ces Etats atteint des sommes inimaginables.

           

          La question est donc :

           

          « QUAND vont avoir lieu ces défauts de paiement ? »

           

          1-  Médaille d’or : Grèce. Dette publique de 316,969 milliards d’euros, soit 169,1 % du PIB.

           

          2-  Médaille d’argent : Italie. Dette publique de 2076,182 milliards d’euros, soit 133,3 % du PIB.

           

          3-  Médaille de bronze : Portugal. Dette publique de 214,801 milliards d’euros, soit 131,3 % du PIB.

           

          4-  Irlande : dette publique de 204,495 milliards d’euros, soit 125,7 % du PIB.

           

          5-  Belgique : dette publique de 397,851 milliards d’euros, soit 105 % du PIB.

           

          6-  Chypre : dette publique de 16,906 milliards d’euros, soit 98,3 % du PIB.

           

          7-  France : dette publique de 1912,205 milliards d’euros, soit 93,5 % du PIB.

           

          8-  Espagne : dette publique de 943,410 milliards d’euros, soit 92,3 % du PIB.

           

          9-  Royaume-Uni : dette publique de 1422,213 milliards de livres sterling, soit 89,6 % du PIB.

           

          http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/2-23102013-AP/FR/2-23102013-AP-FR.PDF



          • Stof Stof 23 octobre 2013 12:42

            En premier j’aurais mis le Japon.


          • jef88 jef88 23 octobre 2013 12:48

            Et les USA ?
            Ils vont bien ! merci !
            LOL  ! ! !


          • Bulgroz 23 octobre 2013 15:02

            Dernier avertissement à la bourgeoisie et aux élites corrompues

            Baisons, brisons la dictature capitaliste.

            Nous appelons toutes les forces pacifiques à s’unir et à développer dans chaque pays, et à l’échelle du continent, de vastes campagnes, des actions de masse pour exiger des mesures pratiques immédiates pour le redressement économique. Nous les appelons à appuyer de toute leur énergie l’idée de la convocation d’une conférence des Etats européens.

            Baisons, brisons la dictature capitaliste.

            Nous militons pour changer l’ordre d’un monde démoli par la logique libérale et la domination du capital. Nous nous inscrivons dans une visée de transformation sociale et nous sommes partie prenante du mouvement antilibéral.mondial et non aligné.

            Baisons, brisons la dictature capitaliste.

            Chaque communiste, dans les conditions particulières où il est appelé à lutter, porte la responsabilité de sa politique devant la classe ouvrière et les masses laborieuses de son propre pays, devant son propre peuple. Mais, en même temps, chaque parti est conscient de sa responsabilité internationale, pour la sauvegarde de la paix, pour la création de nouvelles relations entre les peuples dans l’esprit de notre temps. Ce sentiment de responsabilité exige de nous, partis communistes d’Europe, que nous unissions nos forces pour résoudre ces problèmes. Plus forte sera l’unité et la solidarité des partis communistes et ouvriers d’Europe et dans le monde entier, et plus efficace sera notre lutte.

            Baisons, brisons la dictature capitaliste.

            Ce sentiment de responsabilité exige que nous nous adressions tout d’abord à la classe ouvrière qui est le principal créateur des richesses matérielles, la classe la plus consciente, l’avant-garde de la société moderne. Nous nous adressons à l’allié le plus proche de la classe ouvrière, la paysannerie, ainsi qu’aux couches moyennes travailleuses, toutes intéressées de façon vitale à la paix et au bien-être. Les ouvriers et tous les travailleurs d’Europe, unissant le patriotisme à la solidarité internationale, sauront jouer un rôle déterminant dans la lutte pour la paix, la sécurité européenne, le redressement économlqiue,la démocratie et le progrès social sur notre continent et une juste répartition ds richesses.

            Baisons, brisons la dictature capitaliste.

            Nous nous adressons aux partis socialistes et sociaux-démocrates disposant d’une forte influence dans la classe ouvrière européenne et assumant des responsabilités gouvernementales dans plusieurs pays. L’expérience de dizaines d’années atteste que seule l’action unie des communistes et des socialistes permet à la classe ouvrière d’exercer une influence décisive sur la vie politique et de rassembler autour d’elle toutes les couches sociales intéressées à la sauvegarde de la paix et à des transformations politiques et sociales.

            Nous réclamons aujourd’hui le retour triomphant du communisme radieux, ce communisme qui va illuminer le monde et qui va enfin nous amener la belle et valeureuse dictature du prolétariat, qui doit être, selon le mot de Lénine, « un million de fois plus démocratique que n’importe quelle démocratie bourgeoise »

            Signé par le groupe d’experts anticapitaliste : Staline, Pol Pot, Ceausescu, Enver Hoxha, Aleksandr Bogdanov , Feliks Dzerzhinskij Edmundovic, Grigorij Zinovev Evseevic, Umberto Terracini, Sergej Ejzenstejn Michajlovic, Molotov, Kim II Sung, Leonid Breznev, Lin Piao, Nguyen Giap,Ernesto Che Guevara, Wojciech Jaruzelski, Thomas Sankara, Roberto Gil



            • mpag 23 octobre 2013 20:23

              ahahah pas mal 

              En clair, ce sont bien les hommes qui sont responsables de leur propres maux par leur adaptation psycho-évolutif.......pas le système en lui même qu’il a crée à son image
              L’un est moins pire que l’autre, on devine facilement lequel.........

              Vous voulez un monde de papillon, commencez à changer l’homme
              Espoir, espoir........... 

              Montrez la lune a un social-communiste dogmatique , il va regardé le doigt


            • Jean-Philippe 23 octobre 2013 18:37

              Bonjour,

              La réponse à la question, en long, en large et avec de l’humour, en une demie heure en suivant ce lien.


              • marmor 23 octobre 2013 21:08

                Hum................. ha....................... oui.............................peut-être................bof.................
                Ha oui mais..................... Bon, tanpis................................ Voilà, c’est tout


                J’ai bon là ? J’aurai pas de punition ?

                Alors merci de votre mansuétude, Mr Gil !


                • Oliver HACHE Oliver HACHE 24 octobre 2013 08:05

                  Bonjour Bob.

                  L’homme est-il naturellement mauvais ou est-ce la société qui l’a corrompu. ? Des philosophes bien plus compétents que moi ont déjà largement travaillé sur le sujet.
                  Il est évident, à la lecture des dernières pages d’histoire tournées, que vous ne souhaitez pas un système communiste. Chercheriez vous a nous orienter vers un mode vie proche des ces communautés hippies qui ont fleuri dans les 70’s pour disparaître comme elles sont nées.. ?
                  La vie est rythmée par les échanges. Les hommes, si on s’efforce de se convaincre qu’ils naissent égaux en droits, ne le sont cependant pas devant la nature. Les plus malins ou les plus forts ont toujours dirigé les plus crédules ou les plus faibles. A chacun de trouver sa place dans le système.
                  Quant à votre théorie sur le pétrole, il me semble qu’il y a eu une vie avant son exploitation.
                  Cordialement,
                  Oliver Hache

                  • Peretz1 Peretz1 24 octobre 2013 18:53

                    La récession a une origine simple : pas d’investissements, ni de pouvoir d’achat. Et l’Etat qui lui non plus n’investit pas sauf pour aider les entreprises en croyant les naïfs que cela va faire diminuer le chômage. Les « pauvres » dirigeants qui nous dirigent depuis des lustres n’ont rien compris à l’Economie malgré leurs diplômes. A croire qu’ils n’ont rien appris de sérieux.


                    • Oliver HACHE Oliver HACHE 24 octobre 2013 21:37

                      @Peretz1


                      Pour investir le premier euro, l’entrepreneur à besoin de visibilité. Visibilité économique, certes, mais aussi fiscale et sociale. Le moins qu’on puisse dire, c’est que le gouvernement offre tout sauf cette visibilité. Un pas en avant, deux en arrière, un sur le côté,...
                      Pour investir aujourd’hui, eh bien... je crois qu’il faut tout simplement être con.

                      Nous mêmes, particuliers, ne savons pas à quelle sauce fiscale nous serons mangés l’année prochaine. Et nous sommes bientôt en novembre... Que vais-je faire pour les fêtes de fin d’année.. ? Claquer un peu ? Beaucoup ? Pas du tout ?

                      Cordialement,
                      Oliver Hache

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Robert GIL

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