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Second réferendum irlandais, où la perte de souveraineté des peuples Européens


« La naissance et la perte de souveraineté des pays Européens est un processus qui a traversé trois stades principaux. »

* Le premier est celui de la fin des empires, et de la formation des Etats Nations issus des traités de Westphalie et qui prône l’identité nationale (l’état nation) comme identité première. Cette ‘nationisation’ des identités Européennes a neutralisé les conditions de la guerre de 30 ans qui a ravagé notre continent dans la première moitié du 17 ième siècle. Les traités de Westphalie mettant fin à une guerre civile européenne de 30 ans, et a vu l’éclosion des Etats Nations que nous connaissons depuis lors et qui gênent énormément les néo-colonialistes anglo-américain dans l’établissement de leur empire européen !
 
* Le second stade est celui de la régio-fragmentation. Au XXI iéme siécle, ce processus que l’on nous affirme comme éminemment politico-progressiste (les régions seraient le stade ultime de l’intégration politique européenne) est en fait le résultat d’un processus politique extérieur volontaire afin d’affaiblir l’Europe en la morcelant en entité qui de par leur petite taille n’ont plus aucune autonomie économique ni de souveraineté politique, ni bien sûr militaire…
Ces mêmes « lignes » politiques sont partagées par les commissaires de Bruxelles, agents zélés des intérêts Américains en Europe….

Evidemment cette Europe de Bruxelles est l’inverse de l’Europe puissante, pacifique et indépendante que nous voulons, extrémité occidentale de l’Eurasie et pendant de l’alliance orientale que constitue l’OCS (Organisation de coopération de Shanghai ).
 
 L’union Européenne charnelle et réelle (et non légale, ce sera à nous Européens de lui donner une légalité traduisant sa légitimité) est néanmoins le seul objectif à défendre pour que les Européens maîtrisent leur destin et redeviennent acteur et non seulement spectateurs. »
 
A cela, si nous ajoutions que dans le processus de « réunification » européenne restaurant la souveraineté des peuples et pays européens, il aurait fallu, à la réunification allemande et à la chute du mur, poursuivre par la réunification avec la Russie, nous compléterions l’exposé du processus de perte de souveraineté des pays européens.
 
*Le troisième stade étant bien entendu l’imposition aux peuples européens de l’Europe de Bruxelles (mUE ou multinationale UE, ou europe colonie anglo-américaine, ce qui a le mérite d’être clair !).
 
Il suffit pour cela de réaliser que le référendum truqué irlandais du 2/10 n’est qu’une réédition d’un vote avec « préparation à l’afghane », enfumage, désinformation, lavages de cerveaux médiatiques, corruptions à tous les niveaux et bourrage d’urnes pour finir, les forces armées marine et aérienne, les forces « spéciales » de l’OTAN en alerte discrète mais répandue par la « rumeur » entretenue par les « ouistes » si le comptage des votes est contesté, accompagné depuis 18 mois du sabotage de l’économie. la différence du 1er référendum, non 53,4% au dernier oui 67,3%, étant de 20,7%. Notez la finesse d’avoir ajouté 0,7%, pour faire vrai, ils auraient pu arrondir !
 
 Les conditions économiques se dégradant de plus en plus en Irlande, une augmentation du chômage très importante en punition du 1er vote, 20% des électeurs auraient retourné leur veste en 18 mois à peine !!!
 
Elle est pas belle la manip. des eurocrates ?
Je cite, lue sur Rue89 du 4/10  ;
 « les nonistes dénoncent une « démocratie au forceps ». Déjà, en France et aux Pays-Bas, les gouvernements ont ratifié le Traité de Lisbonne par un vote parlementaire, de peur que leurs citoyens ne votent « non », comme ils l’avaient fait sur le Traité constitutionnel européen, voisin du traité de Lisbonne.
« Tous les moyens ont été mis en œuvre pour tenter de faire changer d’avis les Irlandais. A commencer par les moyens de communication, à coup de campagnes largement financées par les grandes entreprises comme Ryanair et Intel, qui ont donné des sommes énormes pour la cause du oui. »
Selon l’organisation ATTAC, le oui de vendredi ne traduit pas une adhésion enthousiaste à la façon dont est construite aujourd’hui l’Union européenne : C’est avant tout un « oui » obtenu « par la peur et l’insécurité provoquées par la gravité de la crise ».
Ne parlons plus de démocratie et de droits des peuples à choisir leur destin, la mUE n’est qu’une dictature néo-coloniale qu’il convient d’abattre par tous les moyens, le premier étant de s’en retirer en établissant un cordon sanitaire contre ses effets pervers pour la construction d’une organisation de coopération européenne indépendante capable d’anéantir définitivement la main mise colonialiste des anglo-américains sur l’Europe occidentale et l’Eurasie en construction !
 
 « L’Europe a besoin du fabuleux potentiel que représente la Russie, tant le potentiel humain avec ses 140 millions d’habitants, que géographique avec ses 17 millions de Km² et le débouché sur le pacifique. Elle deviendrait ainsi un acteur de premier plan notamment avec le monde asiatique, qui en en plein développement.

· La Russie à également besoin de l’Europe et des Européens, tant pour l’acheminement de ses matières premières que pour ses technologies ou son capital humain, qu’elle pourrait utiliser afin de combler le dépeuplement à l’est de l’Oural. Enfin et surtout, elle a besoin de l’Europe comme d’un allié naturel, complémentaire car issu de la même civilisation.

En effet cette unité Euro-Russe (seule garante de paix et d’indépendance pour les peuples du continent) n’est pas seulement vitale, elle est souhaitable car les Européens d’Occident ou de Russie appartiennent avant tout à la même civilisation.

Comme le disait récemment Natalia Narotchnitskaïa (historienne spécialiste de l’histoire de la Russie au XIXe siècle) lors d’un colloque à Paris : « La vraie coopération entre la Russie et l’Europe pourrait cependant donner un nouvel élan à notre continent à l’aube du troisième millénaire. Les grandes cultures romano-germanique et russe-orthodoxe partagent un seul et même fondement apostolique, chrétien et spirituel. Les Européens, qu’ils soient Occidentaux ou Russes, ont donné au monde les plus grands exemples de la spiritualité latine et orthodoxe ».
 
Mais surtout, c’est essentiel et devrait être amélioré et conforté pour l’avenir de l’humanité, les européens ont su convertir à l’époque moderne (siècle des Lumières, révolutions française et européennes, leçons tirées des aventures internationales et coloniales des 3 derniers siècles), ces concepts spirituels latins, germains et slaves en règles de vie communes à tous, et permettant à tous de s’exprimer dans le respect des autres, à travers les lois de la république et l’application de l’égalité, de la tolérance, la laïcité étant ou nom codifiée, mais toujours omniprésente dans les lois qui régissent les différends états. 
Alors que rien de semblable ou même d’humain n’existe dans la dictature du libéralisme marchand à laquelle on veut nous asservir.

Voilà pourquoi, l’avenir de l’Europe souveraine existera d’abord avec les pays états-nations de l’Europe et la Russie puis les pays de la partie orientale de l’Eurasie !
 
Pour éradiquer la plus grave et dangereuse menace sur l’avenir de nos états-nations, de l’Europe et du monde libre, il est plus que jamais à l’ordre du jour de restaurer nos valeurs et nos souverainetés nationales en nous « réunifiant » avec un de nos plus grands peuples européens qui lui a su se libérer de la tyrannie de ses oligarques, et ajouteras à nos forces contre l’OTAN, bras armé du néo-colonialisme anglo-USraélien dont le siége officiel est à Bruxelles et les commanditaires à La City et Wall-Street.
 

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12 réactions à cet article    


  • UnGeko 5 octobre 2009 15:08

    L’Europe était un beau projet. Elle a été vendue par des atlantistes qui ont trahi leurs pays pour du pognon  !


    • paul 5 octobre 2009 20:10


      La libre circulation des capitaux et des marchandises à très faibles couts salariaux, c’est tout ce
      qui les intéressent .Droits sociaux a minima, un peu de vernis écologique, et hop, suivez moutons de Panurge....


      • Paul Muad Dib 6 octobre 2009 09:37

        Salut d’Irlande, en général quand un camp gagne une élection ,même truquée,c’est un débordement enthousiaste, ici ,absolument rien , sauf messages publicitaires dans les journaux ,les radios..je vous avoue être surpris, franchement, .
        a part ceux qui votent pseudo libéral automatiquement , les autres sont terrorises par les charges inouïes qu’ils ont sur le dos..la peur se sent ,la peur se voit,la peur se touche ,sauf pour les + pauvres et les plus riches en argent réel (pas en bien a crédit..)
        il n’y a pas que les banques de touchées, de gros promoteurs aussi , et qui sait encore..
        j’habite a cote de Cork, le centre ville a été refait a neuf par des ouvriers polonais ,lituaniens qui retournent dans leur pays maintenant et bien c’est entièrement vide ,environ 35 magasins neufs attendent le gogo qui ne viendra pas, idem pour les appartements,c’est vide et ca va le rester..ca ressemble a l’hiver nucléaire , un signe...les églises se remplissent de plus en plus, pleines a craquer
        je me souviens d’une discussion avec un agent immobilier en 1999 en Irlande qui me disait : le marche est trop haut ,ca n’a plus de sens, je ne peux même pas m’acheter une maison sur Cork ! or la hausse vertigineuse s’est prolongée sur 9 ans de plus...voila, un échec programmé ou pas de plus pour les vautours, une hausse hyper raisonnable aurait été intelligente, n’aurait pas mis les banques et autres dans cet état, mais voila,tout ceci était programmé ,ici comme ailleurs. l’opacité de ceux qui tirent les ficelles est de mise, partout....
         Sinon ,je ne suis pas inquiet pour l’Irlande, il reste encore de la vraie solidarité ,c’est un petit pays, et il reste encore beaucoup de bonnes volontés associatives, de vrais syndicats, des anciens qui manifestent, etc..quand aux politiques ce sont les mêmes partout, que ne ferait on pas pour une grande maison, une grosse voiture, deux maîtresses ,des vacances au soleil et pour passer a la télé...ca fait très sale gosse mal élevé quand même,non ?


        • Francis, agnotologue JL 6 octobre 2009 09:49

          Bonjour Paul Muad Dib, savez-vous si des machines à voter ont été utilisées ?


        • Paul Muad Dib 6 octobre 2009 09:56

          Salut JL, je ne crois pas,je me renseigne ,si oui je vous le laisserais savoir sur ce fil ou un autre .....salutations..


        • Francis, agnotologue JL 6 octobre 2009 10:44

          @ Paul Muad Dib, vu.

          Pour répondre à la question de votre post à BA : « doit on laisser des malades gouverner la planète ? »

          Cette citation : « C’est le malheur du temps que les fous guident les aveugles. »
          (William Shakespeare).

          Il existe deux sortes de gens qui croient que deux et deux font cinq : ceux que ça arrange bien et ceux que ça dérange beaucoup. Les premiers sont fous, les seconds aveugles. Qu’est-ce qui est le plus utopique ? Vouloir guérir les fous ou bien guérir les aveugles ?


        • Francis, agnotologue JL 6 octobre 2009 10:47

          Une suggestion qui pourrait fair l’objet d’un débat : vouloir moraliser le capitalisme c’est vouloir guérir les fous. Prôner la décroissance c’est vouloir guérir les aveugles.


        • BA 6 octobre 2009 09:49

          Encore un ouiste qui vient de comprendre que l’Union Européenne va exploser dans quelques années. En ce moment, de plus en plus de ouistes écrivent que l’Union Européenne va vers l’éclatement. Les ouistes commencent à comprendre.

          Le ouiste Jean Quatremer écrit :

          « Profitant de la crise, les « antimaastrichtiens » de 1992 ne prennent-ils pas leur revanche ? Car le Pacte de stabilité n’est pas seulement mis entre parenthèses, il a volé en éclat. Les chiffres annoncés jeudi 1er octobre par Christine Lagarde, la ministre des Finances, donnent le tournis : un déficit de - 8,5 % du PIB en 2010, contre - 8,2 % cette année, un retour sous le plafond des 3 % du Pacte de stabilité renvoyé en 2015 (je répète : 2015) et encore à condition que la croissance soit d’au moins 2,5 % d’ici là, une dette qui atteindra les 86 % du PIB l’année prochaine (contre 22 % en 1981), l’effet spirale vers les 100 % et au-delà paraissant bien engagé.

          Autant dire que le retour à l’équilibre des comptes publics n’aura sans doute jamais lieu, comme le note ironiquement un diplomate allemand : « c’est toujours demain avec la France, ce qui veut dire jamais ».

          Il n’a pas tout à fait tort, puisque les 2,5 % de croissance nécessaire à un simple retour dans les clous du Pacte de stabilité paraissent hors de portée : dans sa dernière « EU Economy Review », la Commission européenne estime ainsi que la croissance potentielle de l’Union Européenne sera limitée à 1,5 % durant plusieurs années, les effets à long terme de la crise se conjuguant au vieillissement de la population…

          Bref, l’Hexagone s’enfonce inexorablement dans les déficits et la dette. Même si, aujourd’hui, personne ne conteste que cela soit nécessaire pour faire face à la crise, on peut néanmoins déjà s’interroger sur les choix de politique économique et fiscale (du bouclier fiscal au cadeau TVA restauration, en passant par l’exonération des droits de succession) de Nicolas Sarkozy qui ont aggravé une situation qui n’avait pas besoin de l’être. En 2008, il faut le rappeler, le déficit français était déjà de - 3,4 % alors que la crise n’avait pas encore produit ses effets.

          À la même époque, l’Allemagne était quasiment à l’équilibre (- 0,1 %), faut-il le rappeler ?

          Ce n’est pas un hasard si les comptes publics allemands sont bien moins dégradés qu’en France : partant de beaucoup moins loin, le déficit allemand est inférieur à 3 % en 2009 (contre 4 % attendu) et sera sans doute sous les 6 % prévus en 2010. Ce qui pose la question de la stratégie de sortie de crise, la reprise étant annoncée, même si elle demeure fragile.

          Côté français, le choix est fait : le chef de l’État semble avoir définitivement enterré le Pacte de stabilité, poussé par son conseiller spécial Henri Guaino, opposant de toujours à la monnaie unique, comme le montre sa décision de lancer un « grand emprunt » dont personne ne sait quoi faire (la preuve : il a fallu créer une commission ad hoc…).

          Le problème est que parallèlement, et tout aussi unilatéralement, l’Allemagne a choisi de renouer avec la rigueur budgétaire dès la crise terminée : en juin 2009, le Bundestag et le Bundesrat ont introduit dans la Loi fondamentale allemande l’interdiction des déficits pour les Länder à partir de 2020 et, à compter de 2016, sa limitation à - 0,35 % du PIB pour l’État fédéral.

          L’arrivée au pouvoir des libéraux du FDP ne va pas arranger les choses : adeptes de la rigueur budgétaire, ils restent totalement opposés à tout « gouvernement économique » de l’Union Européenne qui, pour eux, signifie laxisme généralisé, ce qui n’est manifestement pas tout à fait faux comme le montre la période récente…

          C’est à un vrai retour aux fondamentaux auquel on assisterait : une France endettée et dépensière, une Allemagne vertueuse et économe… Mais un tel couple infernal peut-il partager la même monnaie ? On peut en douter : car la Banque centrale européenne (BCE), seul gouvernement économique de la zone euro, sera contrainte de jouer les « pères fouettards » à l’égard des mauvais élèves en augmentant ses taux d’intérêt. Autrement dit, l’Allemagne sera privée du fruit de ses efforts, c’est-à-dire de taux d’intérêt bas, à cause d’une France impécunieuse, et sera donc condamnée à une croissance anémiée. À l’avenir, l’euro ne servira plus qu’à protéger les mauvais élèves de la classe, et à pénaliser les bons qui seront condamnés à faire des efforts pour tous.

          En clair, le pacte fondateur de l’euro (la stabilité du mark contre l’orthodoxie budgétaire) est rompu au détriment de l’Allemagne : combien de temps mettra-t-elle avant de sortir de la monnaie unique ?

          Henri Guaino et ses amis doivent bien s’amuser de cette revanche qui s’annonce. Le problème est que ce n’est pas l’Allemagne qui paiera les pots cassés d’une implosion de la monnaie unique, mais la France.

          Ce scénario n’est pas écrit d’avance : mais on voit mal la France effectuer des révisions déchirantes avant la présidentielle de 2012. Les Français ne paieront l’addition qu’ensuite.

          Jean Quatremer, sur son blog.

          http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2009/10/la-france-contre-leuro-.html


          • Paul Muad Dib 6 octobre 2009 10:30

            @ BA salut ,merci de ce passage..
            une question que je me pose, a vous et a tous bien sur...
            est ce que tout simplement nous n’assistons pas , au delà du désir maladif de pouvoir absolu, a l’explosion en vol d’une bande de vrais incompétents, purs intellectuels par fainéantise, purs vampires du travail communautaire, et je ne dis pas cela par argumentation pure pour contredire, mais comme une réalité..ces gens de pouvoir ont ils une autre compétence que de capter le résultat du travail collectif de la planète,comme le bandit de grand chemin va voler sa nourriture chez celui qui travaille réellement , le paysan.. ? or ne sont ils pas en train de casser leur propre enfant ,ce pseudo libéralisme plus vampire et guerrier que bienfaiteur de l’humanité ?
            N’ont ils pas bénéficie du vent très favorable des « révolutions » industrielles et techniques, qui ont apporte une explosion exponentielle de biens a fabriquer et vendre................................
            dont ils ont revendiqué la paternité unique, alors que cette vague jusqu’à présent conquérante est en train d’échouer sur la plage, le pseudo progrès est fini ,basta..et pour très longtemps...certes ici et la des améliorations sur des techniques existantes continueront ,mais de révolution technique radicale et entièrement nouvelles pour relancer une machine qui rêvait au mouvement perpétuel ,non je ne crois pas..et vous ?
            sachant cela ainsi que la fin proche du pétrole, annonçant la fin d’un mode de vie occidental, ils sont simplement en train de mettre en place, par peur, une société totalitaire mondiale,simplement pour essayer protéger leurs privilèges desquels, leur esprit malades et névrosés, sont totalement dépendant, tel un junkie a sa drogue favorite...ainsi ceux qui réclament a corps et a cris leur liberté, ne seraient en fait que des drogués entièrement dependant de leur drogue favorite, et a ce titre des malades donc, alors, doit on laisser des malades gouverner la planète ?


          • Paul Muad Dib 6 octobre 2009 11:25

            @ JL..je viens de me renseigner, pas de machines a voter en Irlande..
            on me confirme l’immense propagande européenne dans les médias, avec diabolisation des pro non...sur toutes les radios,journaux bref une campagne officielle infecte et des gens absolument effrayes ,voila ce que je comprends....
            je viens de lire un article sur globalresearch.ca en anglais qui prédit que la récession en a pour très longtemps.....la guerre contre les peuples est engagée ,ce serai faire preuve d’aveuglement que de ne pas le voir, le sentir, et pourquoi cela pour un gros compte en banque, une grosse voiture, quelques maisons,et passer a la télé ,etc...pitoyable mais risible si ce n’était pas démoniaque..
            salutations celtique, ou la grisaille est dans les têtes ,malgré le oui a l’Europe..
            dernier point ,mon interlocuteur ne comprends pas du tout comment les paysans ,gros bloc féroce pour le non ,est entièrement passe dans le camp du oui..
            salutation l’heure est a l’intériorité qui même dans une société juste et sécurisante serait de mise, car ayant solutionné les questions matérielles d’un manière harmonieuse, l’ego humain bute toujours sur sa mort a venir , je veux dire par la que , quelques soient les temps l’humain n’a toujours pas compris sa nature, rejetant la mort qui est une partie de sa vie, d’ailleurs a cause de cela ,imaginons une société qui arrive a être bonne et juste, très rapidement elle se délabrerait a nouveau a cause d’un humain en fuite permanente de sa nature qu’il ne comprends pas , ne tentant pas de comprendre ,mais fuyant la mort de toute son énergie, je pressens que la voie du pouvoir,des honneurs et de l’argent est une cause de la peur primaire de la mort de l’ego ,que l’ego est le problème ..ainsi je pense que la malédiction de notre ego malade serait toujours sur nous, et que seul le pire peut arriver, a titre personnel rien n’empêche un humain de suivre une autre voie ,alors bonne réflexion et bonne chance..


          • Francis, agnotologue JL 6 octobre 2009 13:54

            @ Paul Muad Dib, merci pour l’info. Cordialement.


          • Paul Cosquer 6 octobre 2009 11:51

            La Ballade irlandaise (ou couplet sarkozo-barrosien pour l’Irlandais réticent)

            Si tu ne votes pas, moi je te quitte
            Et tu seras quitte à prendre une cuite.
            Si tu es gentil et que tu réponds « oui »
            Je te ferais une petite gâterie. Olé olé !

            Si tu votes « non » de quoi auras-tu l’EIRE ?
            Crois-moi, c’est pour ton bien que je te chante cet air.
            T’oseras plus te regarder dans une bière.
            Alors tu sais ce qu’il te reste à faire...


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