Après la présidentielle, partie 1 : la résignation au candidat de l’oligarchie
On peut retenir les 66,1% réalisés par Emmanuel Macron au second tour dimanche et se dire, catastrophé, que les Français se sont donnés au candidat de l’oligarchie, de Jacques Attali, Alain Minc ou Bernard Arnault, pour poursuivre ces politiques qui font mal à notre pays. Sauf qu’en réalité, ces votes étaient largement des votes de résignation, faute d’une bonne alternative.
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