Bayrou à la rescousse du service public
Tous les ministres et toute l’opposition politique semblent partis en vacances. Sauf ce cher François Bayrou, sur le pied de guerre et bien décidé semble-t-il, à ne pas laisser le gouvernement faire passer en douce des mesures durant l’été. Après la privatisation de certaines autoroutes et après le nouveau contrat de travail de Villepin, notre croisé s’attaque à la préservation du service publique à travers notre réseau de chemin de fer.
En effet, pour des raisons
évidentes de rentabilité,
D’où la question : quelle est la mission d’un service public aujourd’hui et jusqu’où cette "obligation de ervice pulic" doit-elle aller ?
A la
base, le service public se doit d’offrir à chaque citoyen, un service minimum
nécessaire (eau, électricité, transport) à un tarif accessible, même si ce
dernier n’est pas rentable pour l’Etat. Soit. Mais en 2005 ? Alors que le
réseau routier est de bonne qualité, jusqu’à quel déficit
Alors, privatisation et libéralisation de la société aux dépends du plus grand nombre ou aberration économique, étant donné l’évolution de la société ?
La question mérite sans doutes d’être posée, mais la solution choisie, sûrement pas imposée.
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