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Du droit de vote à la parité dans la représentation politique des femmes

"Car le monde n'est pas humain pour avoir été fait par des hommes, et il ne devient pas humain parce que la voix humaine y résonne, mais seulement lorsqu'il est devenu objet de dialogue", Hannah Arendt, Vies politiques.

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Il y a 81 ans, le 21 avril 1944, c'est par une ordonnance signée par le Général de Gaulle que le droit de vote et d'éligibilité est enfin accordé aux femmes françaises, à la suite de leur grande implication dans la résistance au cours de la Deuxième Guerre mondiale. Citons ici Germaine Tillion, Lucie Aubrac, Gilberte Pierre-Brossolette, sans oublier toutes celles restées dans l'ombre.

Accroissement de la présence des femmes dans la vie politique

La parité, qui relève d'une logique de représentation a été inscrite dans la constitution française en 1999. Les dispositions en sont les suivantes : la loi "favorise l'égal accès des hommes et des femmes aux mandats électoraux et aux fonctions électives", et l'article 4 précise que "les partis et groupements politiques contribuent à la mise en œuvre de ce principe". À cette issue, on observe de nombreuses législations de plus en plus contraignantes au niveau des scrutins. Il a fallu une nouvelle loi du 6 Juin 2020 concernant l'égal accès des femmes et des hommes aux fonctions électives pour obtenir un élargissement de la parité. C'est ainsi qu'aux dernières élections européennes un pourcentage de 49% de femmes a été établi.

En rompant avec notre héritage méditerranéen de domination masculine, décrit par Pierre Bourdieu au siècle dernier qui attribue traditionnellement la sphère publique aux hommes et la sphère privée et domestique aux femmes, elle ouvre aux femmes un espace de liberté et de réalisation en fonction d'aptitudes et de choix et non plus de représentations sociales archaïques. Cependant, 26 ans après l'engagement de la France en faveur de la parité, le pouvoir politique apparaît encore très masculin. Il reste aux femmes la volonté d'occuper des places stratégiques au niveau des partis politiques et de leur représentation dans les assemblées.

On observe, en France en 2024, seulement 36% de femmes élues à l'Assemblée nationale et au Sénat. Les têtes de liste aux élections locales sont très majoritairement masculines, les femmes président deux départements sur 10 et 21% d'entre elles sont élues maires d'après une étude de l'Insee, le 6 mars 2025 ( 1). Il a fallu attendre 2007 et le gouvernement de François Fillon pour s'approcher de la parité ministérielle, enfin réalisée en 2014 par Manuel Valls.

Les citadelles tombent-elles vraiment ?

En France, les tremplins ont été ouverts par quelques pionnières qui se sont imposées au plus haut niveau de l’État.En 2007, pour la première fois de notre histoire, Ségolène Royal a été en position d'accéder au poste de Président de la République, acquis au second tour par Nicolas Sarkozy.

Avant elle Simone Veil, magistrate, ministre de la santé de Valery Giscard d'Estaing a permis de faire promulguer le 17 janvier 1975 la loi autorisant l'interruption volontaire de grossesse malgré de violents débats au Parlement et dans les médias. Sa reconnaissance fut tardive, à l'issue de son entrée au Panthéon le 1er juillet 2018.

Françoise Giroud, sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing devint secrétaire d'État auprès du premier ministre, chargée de la Condition féminine, entre 1974 et 1976, où elle lança "cent une mesures" en faveur des femmes (mise en place de droits propres pour les femmes, lutte contre les discriminations, ouverture des métiers dits masculins...).

Christine Lagarde, ministre française de l'Economie en 2007, la première à ce poste dans un pays du G8, a pris la tête de la Banque Centrale Européenne en 2019. Elle doit faire face actuellement à l'affaiblissement de l'UE face au renforcement du protectionnisme américain sous la nouvelle administration Trump.

En 2022, Elisabeth Borne est nommée première ministre sous la présidence d'Emmanuel Macron, 31 ans après Edith Cresson, toutes deux contraintes à démissionner en se heurtant à l'hostilité du monde politique et des membres de leurs partis.

En 2022 encore pour la première fois Yael Braun-Pivet est élue à la présidence de l'Assemblée nationale, la conduisant à devenir le quatrième personnage de l'Etat.

Toutes ces pionnières ont ouvert la voie du pouvoir politique, de conquêtes en résistances surmontées. Elles ont contribué à mettre en place des actions concrètes allant dans le sens de l'histoire. Les discours évoluent et le décalage entre le rôle des femmes dans la société et leur sous­-représentation dans les instances de pouvoir est considéré comme de moins en moins pertinent en France, comme dans l'espace européen. Mais au même moment avec le retour de Donald Trump aux Etats-Unis, en Europe la montée des partis populistes et leur cohorte de déni de démocratie, la place des femmes est reniée, discréditée confortant de nouveau l'image conservatrice d'une vision patriarcale du monde, au risque de réfuter toutes leurs avancées. Et ce en toute impunité.

( 1) https://blog.insee.fr/evolution-inegalites-femmes-hommes-v2025/

 

Eliane JACQUOT


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13 réactions à cet article    


  • Étirév 24 avril 09:07

    Le problème des féministes « égalitaire ».
    Rappelons tout d’abord que le désordre social, moral et mental qui règne sur la terre depuis les temps reculés de l’Évolution humaine, les systèmes absurdes qui se sont succédé et les aberrations de tous genres qui ont engendré tant de maux, n’ont qu’une cause : l’interversion des rôles de l’Homme et de la Femme.
    Aussi, on n’aime pas à reconnaître que si musculairement l’homme est le plus fort, moralement la Femme est plus forte que l’homme.
    L’homme a la force musculaire, l’action, l’exécution ; à lui la charrue, le champ, l’usine, la mine, l’outil, le navire, l’industrie. A la femme, la connaissance de la Nature et l’application morale de ses lois.
    Dans l’état primitif et naturel de l’humanité, nous voyons l’homme se livrer à la chasse, à la pêche, à la construction des habitations, des instruments, à la culture de la terre. Il fait ce que son instinct lui dit de faire et il le fait bien.
    La Femme s’occupe de la direction intérieure, de l’administration, de l’éducation des enfants ; elle est Reine au foyer, elle dirige et gouverne, à elle incombe tout ce qui demande du discernement, de la prudence, de la patience, du raisonnement, de la persévérance.
    Cette famille primitive représente la première forme de l’Etat.
    Dans les nations modernes, dites civilisées (ce qui, aujourd’hui veut dire, par antithèse, soumises au régime de la force), on a renversé cet ordre de choses. On a donné à l’homme les fonctions féminines, celles qui ne peuvent être remplies qu’à la condition de posséder des facultés de femme, telles que l’administration, la direction morale, l’enseignement sous toutes ses formes, la médecine, le droit, la justice, fonctions qui demandent de la logique, du raisonnement, de la patience, de l’équité, de la prudence, de la persévérance.
    On a donné ces fonctions « sensitives » à des hommes « moteurs » qui n’ont ni patience, ni prudence, ni équité, ni raisonnement, ni logique, ni persévérance, puisqu’ils n’ont pas l’intensité sensitive qui donne ces facultés. Mais, en échange, ils ont l’égoïsme, l’emportement, l’inconstance, l’interversion de l’esprit, l’injustice, qualités négatives qui existent, à des degrés très divers, il est vrai, dans les hommes et qui rendent impossible l’exercice de ces fonctions sensitives.
    Les hommes, en prenant pour eux les fonctions des femmes, ont, en même temps, pris, pour eux, les droits des femmes, droits qui sont inhérents aux facultés que ces fonctions supposent. Ces droits sont les privilèges de l’aristocratie de l’Esprit. C’est le véritable « droit divin », sur lequel doit reposer toute autorité.
    Ce n’est que peu à peu que les hommes ont envahi le domaine des femmes et les en ont chassées. Mais, une fois établis, en conquérants, sur ce terrain, ils s’y sont maintenus par la force et par la ruse.
    C’est en effet la force brutale qui a assuré, à l’homme, une position à laquelle il n’avait pas de droits naturels. En agissant ainsi, il violait les lois psychiques et les lois morales, qui en sont la conséquence, il violait le Droit.
    Mais comme tous les hommes ne sont pas aussi avancés dans l’évolution du mal, comme l’héritage naturel que chacun apporte en naissant lui remet dans l’esprit un germe de Vérité, il s’est trouvé, dans tous les temps, des hommes meilleurs que les autres qui ont eu une sorte de honte de cette injustice, qui l’ont comprise, et même, qui ont protesté, quoique cette injustice était établie à leur profit. Tout ce qui restait de droiture, de logique, dans leur esprit, clamait contre cette façon de renverser les choses, leur conscience se révoltait à l’idée d’écraser, dans la femme, ce qu’il y avait de meilleur en eux. Ce sont ces hommes-là qui, toujours, élevèrent la voix pour défendre le droit des femmes. Cependant, jetant les yeux autour d’eux et ne rencontrant, partout, que des femmes privées de toute culture sérieuse, et livrées à toutes les futilités, on comprend qu’ils n’aient pas encore reconnu, dans la femme, la Déesse, la Prêtresse et l’Éducatrice de l’avenir. Ils ont demandé, seulement, que la femme soit considérée comme l’égale de l’homme.
    Restons encore un peu dans le présent, et, après avoir montré brièvement comment l’homme s’est emparé des fonctions de la femme, voyons, maintenant, comment la femme se défend, c’est-à-dire quels sont les programmes soutenus par les féministes « égalitaires », et comment ces « revendicatrices » mènent leur campagne.
    Les femmes, aujourd’hui, prétendent devenir les égales de l’homme, donc, prendre leurs défauts (exagérations, injustices, brutalité, mœurs libertines, ruses, mensonges, etc.). Toutes choses qu’elles n’ont pas, en effet, dans leurs conditions sexuelles normales.
    Pourquoi donc, elles qui, malgré toute leur ignorance, sont vertueuses, désintéressées, charitables et bonnes, veulent-elles descendre jusqu’à l’homme ? Est-ce pour imiter ses bêtises, car il en fait ? Est-ce pour partager ses ambitions déréglées, car il en a ? Est-ce pour trafiquer avec lui dans les affaires financières, car il trafique ? Si c’est pour tout cela, ce n’est vraiment pas la peine de revendiquer. Le nombre est assez grand, dans le camp des agitateurs masculins, sans qu’il soit besoin de l’accroître encore en y annexant des femmes.
    Si c’est pour faire autre chose, alors, c’est parfait, mais, dans ce cas, il ne faut pas réclamer l’égalité car l’égalité suppose les mêmes occupations. Il faut donc faire autrement… et mieux, et c’est cela que les hommes attendent des femmes, et non une vaine rivalité sur leur terrain.
    Ce qui prouve le défaut de la méthode des « égalitaires », c’est le peu de succès de leur campagne. Que d’années, que d’activité et que d’argent, même, dépensé dans une cause qui ne progresse pas, car leurs succès sont illusoires, ce qu’elles obtiennent ne change en rien la nature de l’homme.
    Tant que les femmes se sont diminuées en demandant une égalité qui les rabaisse, elles n’ont pas abouti. C’est Celle qui remontera sur son piédestal qui réussira.
    Tant que les féministes n’auront pas montré aux hommes une femme ayant produit quelque chose de féminin, quelque chose que les hommes n’aient pas pu faire, ils ne seront considérés par ceux-ci que comme une armée de nullités, et si beaucoup d’entre eux ne sont pas devenus féministes, ce n’est pas parce qu’ils tenaient beaucoup à garder des privilèges injustifiés, c’est parce qu’on ne leur offrait pas une seule femme digne de leur admiration. Et changer les médiocrités masculines pour des médiocrités féminines, n’est que piètre besogne. Car on ne change, en réalité, que le costume et le timbre de la voix, mais quant aux idées, elles restent aussi fausses avec les « égalitaires » qu’avec les hommes seuls, ce sont toujours « les idées régnantes ».
    Les hommes intelligents veulent mieux que cela, ils veulent une Femme « qui ne soit pas leur égale », afin qu’ils puissent trouver, en elle, toutes les grandes qualités que l’homme droit se plait à respecter, à vénérer. Ils veulent, dans la femme, une manière de penser différente de la leur, ils veulent trouver, près d’elle, quelque chose à apprendre, quelque chose de nouveau qui les tire de l’ennui qui les endort, et donne à leur vie une direction nouvelle, à leur esprit une lumière directrice. Mais les criailleries pour obtenir des droits politiques ou sociaux les fatiguent sans les intéresser.
    De plus, n’est-il pas naïf que certaines d’entre elles attendent que ce soit l’homme qui vienne les proclamer supérieures à lui, ou même ses égales, alors que c’est lui qui, dans son orgueil, les a abaissées ? Les plus intelligents, seuls, arrivent à accepter l’égalité, mais les pervertis n’y arriveront jamais.
    Donc les personnes, bien intentionnées, nous le reconnaissons, qui ont demandé l’égalité des sexes, se sont trompées, tant au point de vue philosophique qu’au point de vue psychologique. Il n’y a pas plus égalité entre l’homme et la femme qu’il n’y a égalité entre le voleur et le volé. Deux êtres aussi différents ne peuvent pas remplir, dans la société, les mêmes fonctions, avoir les mêmes droits et les mêmes devoirs. Là est toute la question ; définir les fonctions, les droits et les devoirs de chacun, leur donner une éducation qui les y prépare et non, comme on le fait maintenant, une éducation qui les en éloigne.
    L’harmonie sociale régnerait encore si chacun d’eux, dès l’enfance, avait obéi aux lois physiologiques et psychiques de leur nature, rectifiées dans le sexe mâle, par la LOI MORALE.


    • Jason Jason 24 avril 10:57

      @Étirév

      « fonctions qui demandent de la logique, du raisonnement, de la patience, de l’équité, de la prudence, de la persévérance. « On voit là les vieilles vertus cardinales (la prudence, la justice, le courage et la tempérance)., de pair avec les vertus théologales (foi, charité, espérance, obéissance).


      Vous déplacez votre récit sur un plan traditionnel et convenu, celui de la vertu ou vertus : Du latin virtus qui désigne l’énergie morale, la force  ; venant du nom latin vir , il était possible qu’elle désignât la qualité virile par excellence. Cela consiste à limiter les relations humaines à des concepts peu féconds.


      Cela pour dire qu’avec la notion de nature humaine (autre lieu commun) votre papier s’égare sur le terrain d’une tradition de pensée qu’il faut élargir à celle d’un vivre ensemble débarrassé de ces notions anciennes et réductrices.


      Ce que les mouvements féministes essaient de faire, je crois, c’est de réinventer les relations homme-femme, quitte à bouleverser la tradition multi-millénaire du paternalisme. Ce n’est pas une mince affaire. Car écarter les notions de nature humaine et de vertus se heurte aux grands schémas de notre culture, autre notion très vaste et sujette à de nombreuses polémiques.


      Votre long billet ne me déplait pas, car il ouvre la porte à des débats nombreux et utiles. Débats, qui, je dois le dire, me dépassent.


    • mursili mursili 24 avril 11:59

      En 2022 encore pour la première fois Yael Braun-Pivet est élue à la présidence de l’Assemblée nationale, la conduisant à devenir le quatrième personnage de l’Etat.

      Ah, dis-donc, un cadeau pareil, quelle victoire pour les femmes !


      • Seth 24 avril 13:19

        @mursili

        Vous vous laissez aller : on commence comme ça et on finit en dégoisant des horreurs forcément injustifiées sur Leyen dont le genre féminin n’a jamais été mis en doute.  smiley


      • Seth 24 avril 12:03

        Allons jusqu’au bout de la question : pour qu’il y ait parité complète, il faut commencer par dénombrer les zélecteurs mâles et femelles et s’assurer de leur parfaite égalité en nombre sinon tout ça n’est que de la façade.


        • mursili mursili 24 avril 12:42

          La vraie parité c’est quand tous les genres seront également représentés, il faut donc tenir compte de la non-binarité, et donc aussi des agenre, bigenre, demi-genre, genre fluide, genderqueer, neutrois, et autres pangenre et transgenre...

           





          • Seth 24 avril 13:20

            @mursili

             smiley

            Vous allez contraindre Mme Jacquot à prendre du doliprane.  smiley


          • Octave Lebel Octave Lebel 24 avril 13:44

            Ce qu’il y a derrière l’histoire et les dynamiques des mouvements féministes dans leurs luttes courageuses et difficiles, leurs diversités, leurs explorations, leurs expériences, leurs impasses ou erreurs ou errements quelquefois, mais c’est un passage obligé semble-t-il et qui n’en commet pas, c’est outre la recherche de la simple justice et égalité matérielles et morales entre êtres humains, ce qui est quand même la moindre des choses, la recherche d’un accomplissement humain conjoint dans l’humanité commune d’une espèce connaissant deux sexes. N’oublions pas la chance et le bonheur d’être ainsi humain.


            • La Bête du Gévaudan 24 avril 20:53

              Sous la IIIème république, c’est la gauche qui s’est opposée au vote féminin... En effet, les femmes étaient réputées « catholiques et conservatrices », et la gauche avait très peur du vote des femmes. C’est un militaire aristocrate catholique nationaliste (de Gaulle) qui a finalement accordé le droit de vote aux Françaises. 

              Quant à la « parité », c’est comme la « discrimination positive » : cela viole la liberté des suffrages. C’est un principe anti-démocratique. 

              En outre, ces tendances affaiblissent la débat politique, et portent notre cité politique à la mathématique identitaire. Chacun vote pour sa « catégorie identitaire ».

              Problème, la catégorie la plus nombreuse est assurée de gagner toutes les élections, et les catégories structurellement minoritaires sont assurées de ne jamais participer au gouvernement. C’est la ruine de l’effet pacificateur de la démocratie. 

              On voit cela dans des pays du tiers-monde, où la rémanence tribale conduit à une ethno-mathématique électorale. On voit ce phénomène émerger chez nous, avec un « vote musulman » monolithique (82% pour Hollande en 2012, 70% pour Mélenchon en 2022, etc.).


              • Hector Hector 25 avril 00:48

                D’un point de vue social on constate deux choses :
                 La perte d’autorité à tous les échelons
                 Une forte dénatalité
                Avec les conséquences que cela entraîne et que nous vivons aujourd’hui.
                A cela une seule raison : La pilule contraceptive.


                • LeMerou 25 avril 07:43

                  @ Eliane Jacquot

                  Bonjour.

                  « est enfin accordé aux femmes françaises, à la suite de leur grande implication dans la résistance au cours de la Deuxième Guerre mondiale »

                  Il était grand temps, toutefois n’oublions pas non plus leur efforts prodigieux lors de la première guerre mondiale, bien plus élevé que lors de la deuxième.

                  Alors que les hommes se broyaient bestialement entre eux, elles ont tout assumées derrière, toutes les tâches que soit disant seul les « hommes pouvaient réaliser grâce à leur soit disant »force musculaire« . 

                  La femme est elle l’égal de l’homme ?

                  A l’évidence non, comment vaincre 2000 ans d’histoire biblique, qui a fini par s’inscrire dans nos gènes, comment oublier, que notre sort, que nos problème, n’est que du seul fait de la perversité de la femme originelle. Démonstration flagrante de toute la perversité du genre humain en plus écrite..................

                  Rendez vous compte 2000 ans et cela perdure encore dans beaucoup de religion. Comme éradiquer cela ?

                  Ce n’est pas pour cela qu’il leur faut cesser le combat, dans cette société patriarcalement religieuse. Par contre ne nous leurrons pas, nombre d’actions menées aujourd’hui sous le couvert de ’l’indépendance féminine » et autres ne vont pas dans le bon sens. L’homme n’a pas non plus à se féminiser, faire ressortir ses faiblesses, ni l’inverse d’ailleurs.

                  A mon sens, seule une véritable évolution culturelle, digne de ce nom, peut progressivement changer les choses. Mais cela sera long, très long, tant que certaines religions se maintiendrons.

                  La femme est elle l’égal de l’homme ?

                  A mon sens oui, mais hélas nous sommes fort peu à le penser. la femme n’est pas l’égal de l’homme elle est son complément, l’inverse est aussi vrai.

                  Dans une société aujourd’hui régit par l’émoi influençant considérablement les comportements, l’égo, favorisant l’intolérance, ce n’est pas gagné....


                  • chapoutier 25 avril 08:11

                    @ Eliane jacquot

                    En rompant avec notre héritage méditerranéen de domination masculine


                    les saxons seraient donc moins enclins à la « domination masculine » que les latins ?

                    Autrement dit les saxons seraient plus « évolués sociologiquement parlant » que ceux du sud ?


                    He oui, on trouve tout partout l’expression de l’arrogance méprisante et raciste de l’occident génocidaire.

                    Ces saxons qui ont inventé l’holocauste seraient donc sociologiquement parlant moins attardés que ceux du sud d’après l’auteur. Donc aucun intérêt à poursuivre la lecture de son texte. En tant que mâle du sud de l’Europe, je suis trop attardé...mais au moins mes ancêtres n’ont « génocidé » personne.


                    • Jason Jason 27 avril 14:25

                      @chapoutier

                      D’où est-ce que vous tirez ces idées complètement farfelues ? Les Anglo-saxons sont de culture gréco-latine, càd. Méditerranéenne.


                      Réfléchissez un peu avant de vous lancer dans ces inepties. Bonnes lectures !

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