Les idiots utiles du néocapitalisme mondial
Ce très court billet se veut un prolongement de celui publié récemment par Christian Laurut1. Cet auteur pointait un amalgame déprédateur entre deux valeurs sociétales des modèles politiques régulièrement contestés et combattus par les idéologues des gauches en général : le capitalisme, et le libéralisme.
Christian Laurut nous invitait à une réflexion au-delà de la partie visible de l’iceberg, dans le but de sortir de cette con fusion, éminemment toxique pour les individus et les peuples. Il semble salutaire de sortir de cette dévastatrice méprise entre :
- Le néocapitalisme mondialiste monstrueux, broyeur des libertés, des responsabilités individuelles, des diversités humaines, pourvoyeur d'inégalités, d'exclusions et de divisions sociales pour mieux régner.
- Le libéralisme, pourvoyeur de libertés et de responsabilités individuelles, emprunt d’humanisme respectueux des différences dans la diversité humaine, autant que les valeurs égalitaires en droit et devoir pour assurer la cohésion sociale.
Sur le plan des idéologies politiques, les dirigistes s’opposeraient aux libéraux, pour imposer un idéal d’égalité, prétendu générateur de libertés. Il est donc question de la dialectique liberté-égalité, que j’aborderai davantage sous l’angle de la philosophie de Hegel que celui de la politique et du droit républicain. Pour faire simple, j’emprunte à Loup Rebel son exemple du modèle relationnel entre un maître et son esclave2. Hegel montre que l’inégalité des statuts de l’un et de l’autre est sans rapport avec les libertés respectives de l’un et de l’autre à l’intérieur de la relation : chacun voit sa liberté entamée par sa dépendance à l’autre. « La conscience de soi ne parvient à la satisfaction que dans une autre satisfaction de soi », disait Hegel. C’est, pourrait-on dire, darwinien :
Deux personnes – deux consciences, dit Hegel – s’affrontent dans une lutte de pur prestige. Chacun cherche la reconnaissance, c’est-à-dire veut que l’autre s’incline devant lui, admette sa valeur, renonce à la contester. Le combattant qui a été jusqu’au bout de son désir, sans faiblir, y compris devant la peur de la mort, devient le « maître » de celui qui n’a pas su faire la même preuve de sa liberté. Mais du coup, le maître est doublement lié à son esclave :
- Par le désir de se faire durablement reconnaître comme libre.
- Par la nécessité d’interposer, entre lui et le monde, son serviteur dont le travail lui assure les moyens de se maintenir au-dessus des contingences de la vie.
Ce qui est exposé ici entre deux personnes, deux consciences individuelles, peut s’appliquer à deux groupes de personnes qui s’affrontent pour asservir l’autre. Comme je le disais plus haut, c’est darwinien…
Si on relit ces considérations au célèbre aphorisme de Nietzche – le désir de reconnaissance est un désir d’esclave –, on est obligé de reconnaître, par simple raisonnement logique, que le désir de reconnaissance du maître n’est pas différent de celui de son esclave. Voilà au moins un point d’égalité entre un maître et son esclave : ils sont l’un et l’autre des êtres sensibles, soumis à des désirs communs, des émotions, des sentiments, capables de ressentir la souffrance et la jouissance.
Revenons à la lutte contre le libéralisme :
l'abbé Pierre était-il – sans le savoir – un libéral pur et dur, lui qui n'a jamais participé à la lutte des classes, pas plus qu'à combattre les inégalités ?
Lui qui a consacré sa vie à lutter contre la pauvreté et l'exclusion ?
Va-t-on bientôt nous dire que la communauté d’Emmaüs est une agence du MEDF ?
Les Emmaüs se foutent totalement des idéologies, fussent-elles de droite ou de gauche. Ils revendiquent seulement le droit à vivre dans la dignité, dans la différence, et le respect des particularismes individuels. Autrement dit, la liberté d'exister, sans se soumettre au dictat du formatage d'une quelconque pensée unique.
L'autoroute médiatique est la voix – et la voie – facile pour les bobos lobotomisés, incapables de penser autrement qu'en mode citation des propos d'idéologue, idoles politiques qui – dixit ces bobos – font autorité. Bref, des soumis à « ce qui fait autorité » dans la pensée unique.
L'égalité, dans l'hypothèse improbable de son avènement, ne pourrait qu'être imposée par la volonté législative. En réalité, c'est une utopie des idéologues qui la prônent et la vendent aux faibles pour calmer les sentiments de culpabilité que leur cupidité impose à leur conscience.
L'égalité est incompatible avec la lutte des classes, car elle impliquerait qu'il n'exista plus aucune classe (en Inde on ne parle pas de classe, mais de caste. C'est du pareil au même).
Or, ce sont les mêmes forcenés que l'on retrouve sur les deux fronts :
- front de la lutte des classes,
- front de la lutte contre les inégalités.
Et ceux-là, au non de la défense de leur statut de bobo-classe-moyenne, montent au créneau pour dénoncer toute mesure de lutte contre la pauvreté qui diminuerait les inégalités... entre eux et ceux de la classe en dessous ! Des tartufes, prêts à trouver dans la littérature politique l'idéologue illuminé qui confortera leur position inhumaine.
Ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain.
Au bout du chemin de l'antilibéralisme, c'est la victoire assurée du néocapitalisme mondial, et son dirigisme tout puissant et absolu. La suite ? = Disparition des valeurs qui fondent notre civilisation : déni des différences, alignement mondial des citoyens et des peuples, théorie du genre, etc. Et cette victoire sera cautionnée par les États, complices sans le savoir, quand ils se revendiquent de la lutte contre le libéralisme à l’échelle nationale.
Au final, les antilibéraux, États en têtes, sont les idiots utiles du néocapitalisme mondialiste. Ma mentalité de résistant m'impose de lutter contre ces alliances pour une cause dévastatrice, et à me rallier au peloton des libéraux à l’échelle de ma nation : la France. Ce qui me semble le meilleur moyen de résister au totalitarisme mondialiste.
Au risque de subir un lynchage par les susnommés idiots utiles, je remercie AgoraVox et les modérateurs qui ont permis la publication de ma modeste participation à défendre une fois encore des valeurs démocratiques d’une France résistante aux asseaux de la mondialisation.
72 réactions à cet article
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On voit où vous voulez en venir, car ceux qui ne pensent pas comme vous sont « des bobos lobotomisés ». Du genre « Moi je suis intelligent, les cons taisez-vous ».
Il n’y a pas de liberté sans égalité et fraternité (solidarité). C’est tout.-
AlainV,
« A l’évidence, vous ne connaissez rien au sujet. »
(je me borne à citer de mémoire votre bref message à mon endroit qui démontre que vous, vous savez tout)
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Je vais intervenir ici sans avoir lu l’article, qui est surement très bon puisqu’il a beaucoup de réactions. C’est d’ailleurs pour ça que je l’ai choisi. C’est qu’il y a urgence, et il faut qu’on me lise.
Vous savez sans doute comment se passe le choix des articles sur agora : on propose, et les autres rédacteurs disposent, sous forme de plussage ou de moinssage.Quand le chorum est atteint, c’est diffusé.Il se trouve qu’en ce moment même est proposé aux choix des rédacteurs un article très intéressant sur la pédophilie au Pays-Bas, qui met en cause principalement un Ministre de la Justice mais aussi des membres de la famille royale.Cette famille a un passé nazi très sulfureux, et semble se mettre à nouveau en valeur. J’ai ouï dire que la famille royale de Belgique était aussi régulièrement impliquée dans des scandales du même ordre, dont l’affaire Marc Dutrou.Il est d’ailleurs constant que ces familles, qui font partie des 150 familles importantes du monde, aient à faire face à ces accusations, et de mauvaises langues prétendent que ces fins de race soient parfaitement dégénérées.Ça la fout mal à deux jours de l’ouverture du Bilderberg, ou la famillle royale de Hollande a un rôle prépondérant.Mais où veux-je donc en venir, me direz-vous ?Eh bien à ceci, que cet excellent article de Donde Vamos a été plussé 16 fois au moment où je l’ai moi-même plussé.Mais imaginez-vous qu’il a été également moinssé ...16 fois.Et qu’il sera moinssé 50 fois s’il est plussé 50 fois.Et qu’il ne paraîtra pas, réservé aux rédacteurs.Où, dites-moi, a-t-on pu trouver 16 moinsseurs pour ce scoop fantastique ?De deux choses l’une : au sein des chiens de garde qui ont infesté la rédaction, ou bien par un petit coup de pouce de la direction d’agora. Il n’y a pas d’autre choix.Méditez bien la-dessus, et pardon à l’auteur pour cette intervention subversive. -
Doctorix, je viens de plusser l’article en question et, vous avez raison, il y a 20 positifs pour 19 négatifs. En fait,la différence étant de mon fait !
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C’est bien ça keskejdis. Il y a magouille, entourloupe : ce serait intéressant de savoir d’où ça vient. Mais il est certain que l’article ne pasera pas.
Je crois que la rédaction d’Agora craint les procès en diffamation, et elle n’a pas tort, car ces crapules sont puissantes, et organisées.Pour le fun, je cite la conclusion de l’article :« Aujourd’hui, un réseau pédophile puissant, installé dans les plus hautes sphères du pouvoir hollandais, et qui est en contact avec son homologue pédophile en Belgique, verrouille la pseudo démocratie qu’on nous vante à tour de bras. Un témoin a parlé d’une secte d’environ 300 personnes, dont beaucoup évoluent dans le domaine de la Justice ou dans la police. « Les membres tiennent des meetings[14] dans des bâtiments ruraux [15] où des abus sont commis sur les enfants. Il y a une préoccupation particulière à maintenir un désordre de dissociation de l’identité chez ces enfants », lit-on dans la retranscription du témoignage. Ces « meetings » sont des orgies sataniques au cours desquelles des enfants sont violés, torturés et parfois tués. Exactement le même procédé que l’on retrouve dans l’embrigadement des victimes du réseau pédophile d’élite belge (qui n’existe pas), le même qu’on retrouve avec le réseau pédophile du Var (16 meurtres d’enfants jamais investigués), ou encore dans l’affaire Franklin aux USA, pour ne citer que quelques exemples. »Allez, les plusseurs, allez plusser, même si ça ne servira finalement à rien, j’en ai peur. -
Hum, il me faudrait lire l’article en détail, cependant, si aucun nom n’est donné il n’y a pas diffamation.
Enfin, si la raison de la modération d’Agoravox est le caractère accusatoire de l’article sans preuve, il appartient à celle ci de motiver son refus et de ne plus laisser l’article en attente de publication, plutôt que de faire comme si l’article était refusé par les autres « modérateurs ».
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Bonjour Doctorix,
cet article en modération que vous citez, fait à cette heure le score : ’’+21 ; -20’’
Service pour service, j’en ai un en modé qui parle de génitalité, et je crois savoir que c’est un mot qui fait peur au lobby qui a œuvré pour faire adopter la loi Taubira et qui s’apprête à aller très loin dans cette dérive catastrophique si l’on en juge par les propos d’Attali. Il ne faudrait pas que les activistes de cette chose ne soient les seuls à voter : l’article ne passerait pas.
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Les Emmaüs se foutent totalement des idéologies, fussent-elles de droite ou de gauche. Ils revendiquent seulement le droit à vivre dans la dignité...la charité sans prise de conscience m’a toujours posé probléme, quelqu’un à dit « quand je fais l’aumône aux pauvres, on dit que je suis un saint. Quand j’explique pourquoi ils sont pauvres on dit que je suis communiste »...........
voir : COMPASSION ET CHARITE
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@ ROBERT GIL
L’auteur de ce billet est également un défenseur du revenu d’existence... Probablement un altermondialiste aussi, à en juger par son avatar et sa fiche auteur. En tout cas, quelqu’un qui a une « conscience citoyenne responsable ».
Je ne peux qu’approuver ses positions : dénoncer la con fusion, la père version des mots, et les tromperies politiciennes. Tout ça n’est finalement que la partie visible de la corruption des politiques.
Merci pour le lien. Votre blog est une mine d’or
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la con fusion des mots, des concepts (pas cons eux), la perversion des mots, c’est justement ce que fait bur k dans cet article qui ne vaut pas un clou.
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alter mondialiste tendance extreme droite elle est bien bonne celle la... rien que le pseudo « bur k » et le drapeau bien ostendible affiche la couleur... reveille bonhomme !
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L’article, assez confus, semble être écrit par un étranger à notre culture tant les concepts employés le sont à contresens.
Quoiqu’il en soit, posant un débat, il n’y aucune raison qu’il ne soit pas publié sur Agoravox.
A mon avis, l’’égalité n’est pas l’égalitarisme et le libéralisme n’est pas la liberté.
En France, la revendication est l’égalité des droits et des devoirs. L’égalité des talents comme des perversions et autres particularismes individuels, propres à chacun, n’a pas de sens.
Pour les Français, le libéralisme est une idéologie qui prône la liberté du loup et du mouton dans la bergerie, pour utiliser une image simple à la Hegel. On peut en penser ce qu’on veut, c’est cela la liberté.
La liberté est une liberté au sens existentiel. Faites de que vous voulez mais soyez prêt à en assumer les conséquences, bonnes et mauvaises.
Avec cet axiome : La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres.
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"Pour les Français, le libéralisme est une idéologie qui prône la liberté du loup et du mouton dans la bergerie, pour utiliser une image simple à la Hegel. On peut en penser ce qu’on veut, c’est cela la liberté.«
Pour les libéraux, le socialisme c’est la famine à égalité pour tous.
Par pitié, un peu de sérieux.
Tout comme Staline/Mussolini/Hitler n’est pas le modèle du »socialiste" qui restera dans l’histoire, le financier véreux biberonné aux plans de sauvetage et à l’optimisation fiscale n’est pas le modèle du « libéral » qui restera dans l’histoire. Par définition, les opportunistes vont piocher dans toutes les philosophie politique, raconter n’importe quoi, pour aboutir à leur fin que ce soit leur intérêt personnel, la satisfaction de leurs désidérata ou de leurs perversités.
Le libéralisme, à la base, c’est une philosophie politique dont la seule prétention est d’affirmer qu’il n’existe aucune autorité de droit divin, que son but est la maximisation du bien être collectif, entendu que le bien être collectif est la somme du bien être individuel de chaque « souscripteur » du droit en question.
Ce qui veut dire que si des moutons libéraux se trouvent dans une bergerie libérale avec un loup libéral, c’est parce que les moutons ont eux même ouvert la porte au loup. I.e, cela veut dire que ce sont des moutons suicidaires, ou tarés au sens biologique du terme, et qu’aucune philosophie politique ne peut rien pour les sauver, pas plus la philosophie socialiste que la philosophie libérale.
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oui, l’égalitarisme (uniformisation ) et le libéralisme, sont autant éloignés l’unque l’autre de l’égale liberté, la seule liberté qui respecte toutes les définitions de la liberté sans les contredire ( par exemple : La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres.).
L’opposition de la liberte face à l’égalité sur la base de l’opposition entre le libéralisme face à l’égalitarisme, ne repose que sur des confusions fallacieuses, mais que chacune des deux parties ( libéraux et égalitaristes) ont intérêt à entretenir car l’autre étant une mauvaise caricature des concepts associés à l’égale liberté ( l’autonomie et l’égalité ).
On retrouve dans l’article les trav ers de cette confusion. -
Bur K, dans une bergerie ce ne sont pas les moutons qui ouvrent la porte au loup, ils n’en ont pas les moyens, c’est le berger qui le fait !
Eh oui, dans votre métaphore il manque le berger qu’est censé incarner le politicien à travers le pouvoir de l’Etat. Il se trouve que le berger, devenu aveugle et sénile, confond le loup avec le chien de garde, autrement dit, il à mis les chiens dehors et le loup à la place. Et ne demandez pas aux moutons de se défendre, car eux ils comptent sur le berger et les chiens pour cela.. Même si au final le berger et les chiens se nourrissent du mouton tout comme le loup, ils avaient la délicatesse de le faire avec discrétion et rationalité, faisant croire au mouton qu’ils étaient là pour le protéger.
Mais si le berger n’est plus capable de contrôler sa bergerie où en garantissant la sécurité relative du mouton il obtient le meilleur de celui ci, il risque de perdre tout le troupeau en provocant un stress trop grand et donc destructeur. Le mouton cherchera alors à fuir pour trouver une autre bergerie avec un berger protecteur !
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Bien vu, Daniel Roux,
quand vous dites : ’’L’article, assez confus, semble être écrit par un étranger à notre culture tant les concepts employés le sont à contresens.’’
Bur K le confirme quand il m’écrit plus bas : ’’ ... Il ne vous reste plus qu’à apprendre ma langue. Moi j’ai bien appris le français... ’’
Je crois que ce monsieur qui m’a insulté et raillé ailleurs à plusieurs reprises et plus que de raison, ferait bien de faire preuve d’humilité : on n’insulte pas les gens quand on comprend de travers leur langue.
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L’argent c’est a l’origine une reconnaissance de travail fournis.
Cette reconnaissance est donc échangeable contre un autre travail de quelqu’un d’autre.Lorsque le travail est taxé a plus de 50 % il y as un problème avec l’état qui ne sait pas gérer ou qui est gangréné par la corruption.-
Bonjour, je trouve votre article très confus, et le sens de vos propos m’échappent.
Tout ce que je pourrais dire, ce n’est pas contre l’égalité, mais contre l’interprétation mensongère qui en est faite.
Par exemple, les hommes et les femmes : sous prétexte d’égalité, le discours des groupuscules extrémistes (type femen) ou les théories farfelues et artificielles (celle du genre) consiste à refuser les différences les plus évidentes.
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"Et ceux-là, au non de la défense de leur statut de bobo-classe-moyenne, montent au créneau pour dénoncer toute mesure de lutte contre la pauvreté qui diminuerait les inégalités... entre eux et ceux de la classe en dessous "
cela a l’air d’être une évidence pour vous ; pas pour moi, vous pourriez préciser de qui vous parlez et de quel créneau assailli ?
Laurut est un libertarien, des gens qui osent d’afficher anarchistes en promouvant l’idéologie la plus mortifère qui soit !
Le libéralisme économique est un jungle mais contrairement à celle-ci, les lois imposées à l’homme sont faites par des hommes et non par la nature ; il n’y a donc aucune raison que chacun s’y adapte : c’est ça aussi la liberté, ne pas accepter les lois des autres !
Dans toute la première partie de votre texte, je vous suis volontiers mais vous tombez abruptement dans des conclusions qui ne sont pas les miennes. La liberté ne peut s’exercer qu’à l’intérieur de limites définies pour tous ; c’est cela l’égalité ! Je pense qu’on est tous d’accord pour dénoncer l’égalitarisme qui inhibe la créativité de l’homme, ce communisme tenté en Chine et en URSS ; mais le néolibéralisme capitaliste d’aujourd’hui parvient aux même résultats sans assurer la subsistance : on perd donc sur les deux tableaux !
Quant au commentaire de Loup Rebel, moi je suis d’accord avec celui de JL qui le suit ! Loup Rebel semble confondre dépendance, interdépendance , aliénation et esclavage. De ces quatre-là, seule l’interdépendance est obligée, et positive !-
@ Alinéa
La liberté ne peut s’exercer qu’à l’intérieur de limites définies pour tousJe suis entièrement d’accord avec vous, mais avec une condition que vous avez omis de préciser :... les limites définies pour tous, par tous.Ce qui n’est pas le cas dans la Ve république. -
C’était sous-entendu vu qu’elles ne sont pas définies pour tous non plus !
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le néolibéralisme capitaliste d’aujourd’hui parvient aux mêmes résultats sans assurer la subsistance : on perd donc sur les deux tableaux !
Vous avez raison. Je dénonce comme vous l’amalgame néolibéralisme capitaliste, et je précise mondial.Mais je n’ai pas parlé de néolibéralisme dans mon billet... J’ai parlé des valeurs libérales, et j’ai dénoncé le détournement des mots par les néocapitalismes mondialistes, en particulier des valeurs que recouvre le mot « libéral ». Le néocapitalisme est le contraire du libéralisme : il est mortellement dirigiste. Il prend le pouvoir sur les citoyens et les peuples, et c’est ça que je dénonce. Pas vous ?Vous êtes anarchiste, et à ce titre votre choix entre le libéralisme et son contraire le dirigisme ne peut pas prêter à confusion. Bien entendu, avec les limites que vous avez précisées des libertés, définies par tous, pour tous. C’est ça, les vraies valeurs du libéralisme.Sauf si mon style est touffu au point de laisser entendre le contraire de ce que je veux dire, il me semble que nous dénonçons les mêmes choses. En tout cas je me sens en parfaite adéquation avec les valeurs de l’anarchie (= an archie). J’ai même publié ici un billet sans équivoque dans ce sens, qui m’a valu d’être cloué au pilori par les inconditionnels de la soumission à un chef. -
Le choix des mots est toujours difficile ; certains sont entachés à jamais : libéralisme, communisme, entre autres.
Je me garde bien d’imaginer le monde ; ma réflexion se situe au niveau des moyens de se libérer. Le sujet est assez vaste pour m’occuper tandis que je déteste penser pour les autres tant je déteste qu’on pense pour moi et que l’on m’impose quoi que ce soit !
Mais ne confondons pas une utopie : l’anarchisme et son absence de pouvoir hors soi-même, l’absence d’ État donc, et le monde actuel où il faudra bien s’entendre si on veut s’en sortir ! Naviguer entre ces deux eaux les rend probablement impures ; mais ce n’est qu’apparence, car rien n’est jamais acquis de toutes façons ! -
"
La liberté ne peut s’exercer qu’à l’intérieur de limites définies pour tous... les limites définies pour tous, par tous. "
C’est cela l’égalité , c’est la base des socialsimes, pas du libéralisme.
C’est jsutement la différence entre le socialisme et le libéralisme.
POur rappel ce ne sont aps les libéraux qui ont proposé le suffrage universel, mais la gauche par rapport aux libéraux par exemple, d’aileurs des penseurs historiques du libéralisme sont contre el suffrage universel. Les premiers libéraux ont défendu le suffrage censitaire, c’est à dire réservé aux plus riches.
Comme par hasard, il n’y a a jamais eu beaucoup de progrès social lorsque le suffrage censitaire était la règle.
De même le libéralisme admet aussi une inégalité au niveau économique entre ceux qui possèdent les moyens de production et a capacité monétaire, et ceux qui n’ont ni l’un ni l’autre se contentant du salaire accordé par leur patrons.
Donc le libéralisme économique s’exerce dans des limites définies par certains pour les mêmes certains.
Le combat de la gauche, et avant tout des socialismes, c’est bien que la liberté économique deviennent l’affaire de tous, avec des limites définies par tous et pour tous. -
Bonjour à tous, et merci de vos commentaires.
Comme je le précise en introduction, ce billet est un prolongement de celui de Christian Laurut : Peut-on être libéral et anticapitaliste ?Article à lire avant pour comprendre le sens du propos, car je confirme dans mon billet que oui, être libéral n’exonère pas d’être anticapitaliste quand il s’agit du néocapitalisme mondial.Je note que j’ai à faire des progrès dans ma rédaction pour être moins confus-
Je dois faire également des progrès en grammaire...
il faut lire :Si on relie ces considérations au célèbre aphorisme de Nietzcheet non pas :Si on relit ces considérations au célèbre aphorisme de NietzcheMa confusion entre le verbe relier et relire a échappée à ma relecture... -
« Néocapitalisme mondial » dont nous devrions admettre, selon l’auteur, que nous en sommes les idiots utiles en tant qu’anticapitalistes pour qui les moyens de production et d’échange doivent être socialisés afin de mettre fin à l’esclavage salarié et donc à l’oligarchie dirigeante et exploiteuse......
Ce « néocapitalisme mondial » est un concept bien fumeux pour qualifier un système où la mondialisation capitaliste n’est rien d’autre que la volonté hégémonique de l’impérialisme américain d’unifier ce monde sous son leadership.
Volonté impérialiste agressive qui se heurte déja et se heurtera de plus en plus à la résistance des autres blocs, Russie et Chine en premier lieu, dans cette lutte titanesque pour la domination mondiale....Imaginer un monde en voie d’unification est un non sens. Le Monde aujourd’hui comme hier est multipolaire et la lutte des grandes puissances pour s’assurer la main mise sur les ressources et débouchés de la planète fait et fera de plus en plus rage...
Jusqu’à probablement une prévisible nouvelle guerre de repartage entre ces grandes puissances rivales....« L’égalité est incompatible avec la lutte des classes, car elle impliquerait qu’il n’exista plus aucune classe »
Là aussi on ne voit pas où l’auteur veut en venir dans la mesure où l’objet même de la lutte des classes c’est de parvenir à l’égalité sociale entre toutes et tous. Une fois cette égalité acquise il n’existe effectivement plus aucune classe... Leur disparition, l’abolition des classes sociales c’est ce qu’ont toujours voulu aussi bien les communistes que les anarchistes...
C’est l’aboutissement ultime de la lutte des classes ! la société sans classes....-
@ jaja, vous écrivez :
nous en sommes les idiots utiles en tant qu’anticapitalistesMerci de contribuer à démontrer ce que je dénonce : l’amalgame, la con fusion, entre le libéralisme et le capitalisme.Non, pas en tant qu’anticapitaliste, au contraire, ne changez rien à ça. Moi je parle des antilibéraux, pas des anticapitalistes que je dénonce aussi vigoureusement que vous et tant d’autres.Pour vous comme pour des millions de citoyens, capitalisme et libéralisme sont deux mots interchangeables, qui désignent une seule et même chose. Preuve que les valeurs sémantiques du mot libéralisme ont été détournées et perverties par la rhétorique politicienne. C.Q.F.D.Ce qui permet aux néocapitalismes de prospérer, et d’asseoir leur dirigisme absolu en lieu et place du libéralisme, aidé en cela par les antilibéraux :Vous ne voulez pas du libéral ? Çà tombe bien, nous non plus. Nous, on veut diriger le monde, et que les peuples se soumettent à notre dictat.Voilà ce que disent les néocapitalismes forcenés de la mondialisation.C’est ce que vous voulez ?Ça m’étonnerait beaucoup, à moins que vous soyez partisan du dirigismePlaton disait : La perversion de la république commence avec la perversion des mots. C’est là mon propos. -
capitalisme et libéralsime sont de proches parents car reposant sur le particularisme économique ( tout comme le féodalisme et l’esclavagisme, les deux modes économiques archaïques ).
SI le capitalisme n’est aps forcément libéral, le libéralisme s’incarne au mieux dans une économie capitaliste.
Le discours libéral est utilisé pour renforcer l’emprise des puissances économiques capitalistes, surtout en défendant des positions antisociales, c’est à dire contre toutes les protections colelctives des individus face aux puissants possédants.
C’est pour ça que libéralisme et capitalisme sont condondus, car l’abouttissement de la logique économique libérale c’est bien un système hypercapitlaiste, dénué de toute protection colelctive des besoins, droitts et libertés de la plupart des gens dans une société dérégulée laissée à certaiens initiatives privées ( ceux qui auront le plus de moyens ). -
@ Bur K,
Vous écrivez : ’’ (CL) pointait un amalgame déprédateur entre deux valeurs sociétales des modèles politiques régulièrement contestés et combattus par les idéologues des gauches en général : le capitalisme, et le libéralisme. ’’
Outre que vous n’avez pas expliqué ce que vous entendez par ’’un amalgame déprédateur’, il me semble que vous voulez introduire ici une notion du libéralisme qui ne serait ni le néolibéralisme qualifié de libéralisme économique ni le libéralisme de gauche, celui qui vient de nous fourguer le mariage homosexuel.
En témoigne cette phrase : ’’... libéralisme, pourvoyeur de libertés et de responsabilités individuelles, emprunt d’humanisme respectueux des différences dans la diversité humaine, autant que les valeurs égalitaires en droit et devoir pour assurer la cohésion sociale.’’
D’ailleurs, j’ai envie d’ajouter : quel charabia.
L’erreur sur laquelle est bâti ce billet est d’opposer liberté et égalité.
Ce n’est pas l’aspiration à l’égalité qui s’oppose à notre liberté, c’est notre aspiration à la sécurité. Harpagon qui craint plus pour son argent que pour sa vie, n’est guère plus libre que le mendiant qui n’a aucune sécurité.
Comme Daniel Roux plus haut, je pense que l’article est confus parce que l’auteur malmène les concepts qu’il emploie à torts et à travers et juxtapose des affirmations péremptoires, par exemple : ’’L’égalité est incompatible avec la lutte des classes’’.
Mais qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire ? Où a-t-il été chercher ça ? S’ensuit un blabla abracadabrantes que supposé démontrer cette absurdité.
Une seule réponse : l’auteur est un acharné du RU qu’il considère comme la panacée susceptible de réduire la pauvreté en même temps que les inégalités entre je cite : ’’ Ces forcenés que l’on retrouve sur les fronts de la lutte des classes et de la lutte contre les inégalité (et qui) au nom de la défense de leur statut de bobo-classe-moyenne, montent au créneau pour dénoncer toute mesure de lutte contre la pauvreté qui diminuerait les inégalités... entre ceux et ceux de la classe en dessous ’’
On ne saurait mieux résumer son mantra : d’un coté les riches hors compétition et de l’autre une classe moyenne travailleuse chargée de partager leurs petits salaires avec les pauvres inactifs, par choix ou par obligation !
Soit l’auteur est protecteur des riches, et dans ce cas il est leur idiot utile - en effet, personne ne peut payer pour un travail aussi médiocre - soit il est pauvre de chez pauvre, ceci explique cela, je veux parler de sa médiocrité et de son espoir de faire advenir le RU.
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Source : Observatoire des inégalitésPauvres = 30%Riches = 20%Classe moyenne = 50 %جعل لكم أعدائك أصدقائك، لأن العين هو سيءC’est un autre mantra, puisse-t-il vous aider à chasser la méchanceté qui habite votre esprit. -
Ce qu’on appelle le néocapitalisme est un oxymore. Le capitalisme est toujours le même. C’est le pragmatisme économique poussé jusqu’au bout. La liberté d’entreprendre et de s’enrichir est une façon de voir anglo-saxonne qui est d’origine protestante : Dieu a apporté la manne. Il m’apporte l’argent, c’est pareil en plus moderne. Dans ces conditions discuter de libéralisme ou de capitalisme ne prend de sens que selon les époques, quand c’est l’un ou l’autre qui l’emporte. Les Lumières du catholicisme contre le« laisser faire » du protestantisme". Chacun son tour.
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Bien que je n’ai pas tout compris, je crois que vous pointez bien le cœur de la question. Comment « brider » ces cerveaux reptiliens qui, libérés de toute contraintes à l’échelle internationale, ont pu dans la démesure faire fonctionner leur avidité en s’affranchissant de tout principes philosophiques et morales et en enfermant les consommateurs dans un« égoïsme moutonnier ».
Oui le néolibéralisme et le « grand marché » enferme l’individu, l’oppresse mais en aucun cas ne le libère. L’homme est condamné à être le spectateur passif de son propre désastre.J’encourage à lire Le philosophe Dany Robert Dufour et en particulier « L’individu qui vient après le libéralisme » « » nos sociétés occidentales souffrent non pas d’un excès mais d’un manque d’individualisme. Elles manquent de cet individu qui pense et agit par lui-même« .
L’individu doit pouvoir s’émanciper en sachant que la conquête de cette autonomie passe par l’aide et le respect de l’autre. Le nouvel individu doit être un »individu altruiste et sympathique"-
’Le nouvel individu doit être un »individu altruiste et sympathique’’ (Karol)
Putain, il n’en rate pas une celui-là !
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« Sympathique » ou « altruiste » sont des mots qui vous indisposent ?
Mais je suis idiot ( comme vous me le répétez si souvent ) vos réactions montrent que tout cela vous est étranger. -
Karol,
vous confirmez ce diagnostic qui vous peine tant : c’est idiot de conclure de cet échange, que les mots sympathique et altruiste m’indisposent, voyons.
Vous le faites exprès ?
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Liens utiles pour une meilleur compréhension de mon vocabulaire :
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Bonjour,
Plus la provocation est forte et trouble dans ses propos, plus elle amène d’audience.
Rien qu’une provocation imbécile et confuse .
En dire plus c’est perdre son temps.
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les anarchistes, on les voit pas beaucoup ici ?
que du coco, gaucho, socialo et autre bobo.payé à la pige, cet article vaut 150 euros, si j’en juge au pif. je dirais entre 4600 et 4700 signes, à 50 euros les 1500 signes.vous devriez pas leur faire des cadeaux comme ça, monsieur bur k.je sais bien que c’est pas le style d’article de votre support préféré, mais là, vous donnez de la confiture à des cochons.-
’’cet article vaut 150 euros’’ signé antitroll
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te vexe pas, mon pote j l, les tiens y valent le double.
peut-être plus, si on considère la rareté du produit.sinon le tarif syndical c’est 50 euros les 1500 signes.comme je t’es déjà dit l’autre jour chez toi, pourquoi t’en écris plus depuis février 2011 ?pas pour les vendre, tes articles, mais pour montrer ici à tout le monde que t’es le meilleur.t’as plus d’inspiration pour autre chose que te ridiculiser à commenter des trucs qui te gonflent ?c’est pas top, pour toi qu’aimes pas perdre ton temps.y en a qui sont payés pour dire des conneries, toi, t’es pas payé, et tu réponds aux conneries.tiens, comme t’es sympa, je peux te le dire :toi aussi tu me fais rigoler, si si, sérieux -
antitroll,
après les lazzies, les menaces, maintenant la flagornerie ?
Vous en avez d’autres, des stratégies pour essayer de m’empêcher de poster sous les articles ridicules anti-gauche ?
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« Je pense que vous pourriez dire, déclara un jour le diplomate américain George McGhee, que le traité de Rome, qui a créé le Marché commun, a été mûri pendant ces réunions de Bilderberg et aidé par le flot de nos discussions. »« L’Europe sociale n’aura pas lieu », de François Denord et Antoine Schwartz, édition Raisons d’agir, page 40.Concernant les participants aux réunions du Groupe de Bilderberg, Jean Monnet est sur la première page, à la dernière ligne :Concernant l’idéologie de Jean Monnet et du Groupe de Bilderberg, lisez cet article :Jean Omer Marie Gabriel Monnet (né le 9 novembre 1888 à Cognac et mort le 16 mars 1979 à Bazoches-sur-Guyonne) est un fonctionnaire international français, un agent d’influence au service des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale, un des artisans de la planification française au moment de la reconstruction, et un des principaux fondateurs de l’Union européenne.Promoteur de l’atlantisme, du libre-échange et d’une disparition des États-nations au profit d’une Europe fédérale sur le modèle des États-Unis d’Amérique, ses admirateurs le désignent comme un des Pères de l’Europe.Samedi 14 novembre 2009 :Van Rompuy se dévoile devant le groupe de Bilderberg.Le Premier ministre Herman Van Rompuy (CD&V), jusqu’ici très discret sur ses ambitions européennes, a présenté jeudi soir sa vision sur l’Europe au groupe de Bilderberg, qui réunit des personnalités de l’élite mondiale de la politique et des affaires, lors d’un dîner à Val-Duchesse, affirment samedi les journaux économiques L’Echo et De Tijd.Il a notamment expliqué, « avec toutes les nuances possibles », devant ce club très « select », que les esprits mûrissaient parmi les dirigeants européens en faveur d’un impôt « vert » propre à l’Union européenne, afin de réduire les contributions financières des Etats-membres.La reprise économique ne suffira pas à réduire les déficits budgétaires « gigantesques » de nombreux pays de l’UE, a ajouté M. Van Rompuy.« De Tijd » rapporte également que l’actuel Premier ministre belge a semblé « embêté » par une question d’un participant italien sur ce nouvel impôt « vert » - alors que la question d’une fiscalité européenne propre reste très délicate.Ses propos circulent désormais dans toutes les capitales européennes, au risque d’hypothéquer ses chances dans la course à la présidence du Conseil de l’Union, à quelques jours du sommet européen extraordinaire du 19 novembre, souligne le journal.Les discrètes conférences Bilderberg réunissent des décideurs et leaders d’opinion occidentaux pour une sorte de Forum de Davos secret et interdit à la presse. La première a eu lieu en 1954 aux Pays-Bas, dans l’hôtel Bilderberg de Oosterbeek (centre des Pays-Bas), dont elle a gardé le nom.Quelques jours plus tard, Herman Van Rompuy apprend une bonne nouvelle : il a réussi son examen oral devant le Groupe de Bilderberg ! Herman Van Rompuy apprend qu’il est reçu !Herman Van Rompuy est choisi le 19 novembre 2009 par les 27 chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne, réunis en conseil à Bruxelles, pour devenir le premier président permanent du Conseil européen à compter du 1er janvier 2010.-
Merci pour votre participation.
Je prendrai le temps de visiter vos liens. -
Salut Bur K, désolé, mais je ne comprend pas comment on peut écrire que le maître soit dépendant de l’esclave.
Vous écrivez :
chacun voit sa liberté entamée par sa dépendance à l’autre. « La conscience de soi ne parvient à la satisfaction que dans une autre satisfaction de soi », disait Hegel. C’est, pourrait-on dire, darwinien :
Deux personnes – deux consciences, dit Hegel – s’affrontent dans une lutte de pur prestige. Chacun cherche la reconnaissance, c’est-à-dire veut que l’autre s’incline devant lui, admette sa valeur, renonce à la contester. Le combattant qui a été jusqu’au bout de son désir, sans faiblir, y compris devant la peur de la mort, devient le « maître » de celui qui n’a pas su faire la même preuve de sa liberté. Mais du coup, le maître est doublement lié à son esclave
Je ne comprend pas comment on peut croire que le maître soit « doublement lié à son esclave ».
As t’on déjà vu un esclave commander à son maître contre la volonté du maître ? C’est vraiment n’importe quoi.
Faut il croire une connerie aussi grosse parce qu’elle est sortie par un supposé grand philosophe ? Que le maître ait besoin de l’esclave pour ne pas faire la vaisselle ne le conditionne à l’esclave que pour laver la vaisselle, mais pas pour le reste, alors que l’esclave lui est bel et bien réduit à ne laver que la vaisselle de manière existentielle. Dire que le maître est doublement lié à l’esclave est donc totalement absurde...
Car c’est oublier une donnée fondamentale... Le sens du rapport ! Celui ci va du maître vers l’esclave et non l’inverse. L’esclave travaille pour le maître et non l’inverse et pour qu’il en soit ainsi, le maître devra user de ruse ou de force pour convaincre l’esclave d’accepter ce rapport. la ruse c’est l’argent et de dire « cher technicien de plonge, comme vous lavez bien la vaisselle, vraiment, je ne saurait laver aussi bien, continuez donc comme cela, vous avez toute ma reconnaissance et comme le dit Hegel, je suis dépendant de votre art du lavage de vaisselle. » Est ce que je grossis le trait ? Ben non, c’est ce que vous écrivez !
Les maîtres ont besoins des esclaves pour ne pas êtres obligés de travailler, pour se libérer de celui ci. Ils sont donc dépendant de l’esclave pour garantir leur liberté, et ne pas êtres réduit à leur propre esclavitude. Aussi, tant qu’ils ont des esclaves, ils sont libres des tâches qu’ils ne veulent pas s’acquitter.
Alors, ils veulent bien tout ce que vous voulez de dépendance, double et même triple dépendance tant que l’esclave n’oublie pas de bien laver la vaisselle, vite et bien sinon il ira en chercher un autre !
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Bonjour Hervé Hum,
vous avez raison : si on peut dire que le maître dépend de l’esclave, c’est de la même façon que Harpagon dépend de sa cassette.
Mais le plus absurde c’est clairement le commentaire de Loup Rebel mis en lien dans l’article de Bur K.
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Salut JL
j’aime bien Loup Rebel, mais pour le coup je ne suis pas du tout d’accord. Et le commentaire que vous cité est incompréhensible de la part de Loup Rebel.
On peut faire tout les discours que l’on veut, la relation maître esclave à un sens et un seul
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Salut Hervé Hum,
peut-être que c’est l’idée que vous vous faites de Loup Rebel qui ne colle pas avec ce qu’il dit. Vous savez, l’autorité est en nous comme une deuxième nature (on parle ici de moutons, ce n’est pas un hasard), et c’est pourquoi je me méfie comme de la peste de ceux qui se présentent sous les traits de l’autorité : psychanalyste, ça pose son bonhomme !
Peut-on attendre autre chose de la part de ceux qui vouent une haine féroce à la République et sa devise nationale ?
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Franchement faire un article à partir d’un copier/collé d’un maucvais message c’est pas terrible, on lui montre la stupidité de ses propos dans une message, il en fait un article !!!!!!
Ca donne envie de citer audiard ....
Donc sans faire de copier/collé de ma réponse à sonmessage donc je réponds à sa tartufferie.
Puisque l’auteur ne se rend même aps compte qu’l montre son ignorance du sujet qu’il aborde, c’est à dire l’égalité.
aller voyons le florilège de tartufferie :
« L’égalité, dans l’hypothèse improbable de son avènement, ne pourrait qu’être imposée par la volonté législative. »
L’égalité est avant tout une histoire de volonté populaire, là où l’inégalité est avant tout le résultat de la force. Souvent la volonté législative ne fait que suivre la volonté populaire.
La loi sert souvent à propotéger de la volonté d’une minoritaité agressive génratrice des inégalités.
Pour maintenir un système fortement inégalitaire, il faut unsystème de lois, de règles, de traditions, et surtout de la violence pour contenir ceux qui pourriaent faire fi du système inégalitaire. Comme par exemple les esclavagistes qui chatiaient sévèrement les esclaves qui voulaient s’enfuir, les femems qui se rebellaient contre leur infériorisation, ou quand les ouvriers du 19ème siècle manifestaient contre le capitalisme de droit divin, etc.....
Czexu qui disposent de privilègent sont prêts à tous pour garder et imposer ces privilèges aux autres.
Pour ce qui est de ’lattitude égalitaire, pas besoin de loi, de force pour l’imposer avec les gens de bonne volonté. ALors que l’inégalité se fait toujours contre la volonté d’autres personnes.
« En réalité, c’est une utopie des idéologues qui la prônent et la vendent aux faibles pour calmer les sentiments de culpabilité que leur cupidité impose à leur conscience. »
Tiens que vient faire cette phrase après l’autres ? à aprt de mettre à jours la vrai pensée de l’auteurVoilà le discours d’un idéologue qui veut vendre aux faibles qui ne raisonnement pas que les inégalités qui nourrissent sa cupiudité pourriaent leur être bénéfique.
Bref un disocurs digne de nos néo- libéraux conservateurs qui dominent la mondialisation actuelle Un discours typiqument manipulateur qui fait culpabiliser la juste révolte vis à vis des oppressions générées par les inégalités en lessayant de la faire passer pour de la cupidité Alors que els cupides ce sont ceux qui génèrent les inégalités et en profitent pour disposer de pouvoir et privilèges
et voilà le summum de la tartufferie :
"L’égalité est incompatible avec la lutte des classes, car elle impliquerait qu’il n’exista plus aucune classe (en Inde on ne parle pas de classe, mais de caste. C’est du pareil au même).
Or, ce sont les mêmes forcenés que l’on retrouve sur les deux fronts :
- front de la lutte des classes,
front de la lutte contre les inégalités. «
Voilà un qui fait des con fusiosn, qui n’a pas compris que la utte des classes est au marxisme ce que la maladie est à la médecine
Tout come le médecin met en avant la maladie pour la combattre et la faire disparaitre, le marxisme (et courants voisins) stigmatise la lutte des classes pour la faire disparaitre à terme
La lutte des classes n’est pas un but du marxisme, son but c’est bien l’égalité, et pour ça il faut faire disparaitre les inégalité, hors ces inégalités sont générées par le phéomène que marx appelle lutte des classes, le communisme chez marx marque la fin de la lutte des classes par une société égalitaire
La lutte des classes est en fait menée avant tout par la grande bourgeoisie capitaliste par ses actions et ses politiques favorisant les inégalités à son grand bénéfice, ces trentes dernières années en fait sont un champs de bataille de la lutte des classes où les capitalistes utilisent des armes de destruxction massive de tout ce qui favorise l’égalité sociale
Donc oui la lutte des classes est incompatible avec l’égalité comme la maladie est incompatible avec la bonne santé, mais avant la disparition de la lutte des classes ou de la maladie, il y a des combabts à mener
DOnc la lutte des classes contre les inégalités ne peut être que la logique du combat pour l’égalité CQFD
DOnc au final la fin de l’article est inutile puisque ne reposant sur rien
Le vrai idiot utile dun »aocaapitalisme, c’est donc bien celui qui prend la défense des idées du néaocapitalisme, c’eest à dire la défense des inégalités en attquant la seule chose qui peut aller à l’encontre du néocapitalisme, c’est à dire l’égalité
Puisque le néocapitalsime est basé uniqument sur les inégalités, le différentialisme, le particularisme, ce qui s’opose au néocapitlaiseme, ce qui peut réduire son action c’est donc lce qui va dans le sens inverse c’est à dire l’égalité, l’universalisme.
De plus la liberté ne peut se concevoir que dans l’égalité, c’est à dire quand personne n’est au dessus des autres, et que chacun peut faire, décider des mêmes choses que els autres. Alors qu’il n’y a plus de liberté quand une personne opu certains (les capitalistes par exemple) peuvent tout décider, et les autres voient leurs choix et libertés réduits par le pouvoir et les privilèges des premiers, comme dans la relation maitre esclave.
Donc attaquer l’égalité, c’est attaquer la liberté.
De plus le néocapitlaisme n’est aps égalisateur du tout, au contraire, il accroit els inégalités, il encourage les communautarismes, les divisions, il particularise les individus, en en faisant des êtres séparés par leurs particularités., etc...
QUe certaines différences culturelles « archaiques » disparaissent ne signifie pas que le monde devient plus égal, les différences peuvent être d’un autre ordre
Bref le propos de l’article est soit illogique, soit trompeur.-
Souvent la volonté législative ne fait que suivre la volonté populaire.
En ce moment, elle suit plutôt la volonté des néocapitalistes.Ne l’avez-vous pas remarqué ?N’avez-vous pas remarqué que l’État français est à la botte du néocapitalisme ?N’avez-vous pas remarqué que les libéraux de la France profonde luttent avec acharnement contre la concurrence déloyale du néocapitalisme mondial qui les fait crever, et met les salariés au chômage ?Vous confondez – et c’est ce que je dénonce dans ce billet – le libéralisme et le néocapitalisme.Pour le reste, je ne partage pas votre position du déni des différences. Je revendique mes particularismes, mes différences, et je les assume. Si elles sont déniées, je n’existe plus, car je suis différent. Et en ce qui me concerne personnellement, plus que vous ne pouvez l’imaginer.Vous avez le droit de vous considérer comme un mouton parmi les autres moutons, moi j’ai le droit de le refuser pour moi. Votre idéal égalitaire me rappelle la Chine de Mao Tsé-toung, l’URSS de Lénine, et d’autres soumissions à un dirigisme totalitaire dogmatique. Idem pour les théocraties islamiques montantes. Je n’en veux pas, et combattrai sans relâche ces dirigismes, y compris par les armes s’il le faut.Le néocapitalisme mondialiste est la forme de dirigisme totalitaire la plus destructrice, car il détruit l’humanité tout entière, en même temps que la planète.Le libéralisme « national » des créateurs de richesses dans notre pays tente désespérément de lutter contre ce fléau mondial, alors je me rallie à ce libéralisme.أي علامة على العهد مع خصمك،أو سوف تجعل أعدائك أصدقائكEt ça, si ce n’est pas une différence, c’est quoi selon vous ?-
On a compris Bur K,
vous êtes néo-frontiste : vous êtes sympathisants du néo-FN, celui qui s’est refait une façade libérale.
Ceci dit, ce que vous appelez néo-capitalisme c’est ce que l’on appelle néolibéralisme, autrement dit, la mondialisation libérale du capital.
Et votre libéralisme national n’est qu’un poujadisme qui a découvert que son ennemi personnel principal n’est pas cet État devenu libéral qui nous tue tous, mais ce sont ses concurrents étrangers.
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جعل لكم أعدائك أصدقائك، لأن العين هو سيء -
Bur K,
c’est quoi cette langue ? De l’arabe ? Qui va avec votre pseudo burqa ?
Ceci dit, je n’apprécie guère ces façons de faire : vous publiez sur un site francophone, vous n’avez pas à envoyer des messages codés incompréhensibles pour les personnes avec lesquelles vous échangez.
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Vous n’aimez pas les Arabes ?
Google traduction, vous ne connaissez pas ?Cliquer sur جعل لكم أعدائك أصدقائك، لأن العين هو سيء
En Français le sens n’est pas aussi précis, désolé.
Il ne vous reste plus qu’à apprendre ma langue. Moi j’ai bien appris le français...
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Bonjour Bur K,
« Cliquer sur » : جعل لكم أعدائك أصدقائك، لأن العين هو سيء
Tient ?!!!
Pur hasard du « calendrier »... J’en parle ici mais en d’autres termes (en plus, j’connaisais pas ce dicton, même traduit en français et j’arriv’ pas à trouver sous le coup, comme ça, une quelconque équivalence).
Il y a longtemps que j’ai pour projet d’étudier les religions (les principales à commencer par le soufisme qui m’est apparu, du peu que j’en connais, proche du bouddhisme. Mais là... faut qu’ j’m’y mette vraiment).
Bonne journée
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Bonjour Philippe Vergne s
Depuis le temps que le langage subit les pires détournements de sens, je crains que les experts eux-mêmes en perdent leur latin.
Avec les commentaires sur ce fil, Agoravox peut maintenant revendiquer un nouveau surnom : la tour de Babel des experts agoravoxiens. La prochaine fois je tâcherai de traduire ma pensée avec d’autres mots, pour éviter aux experts qui pullulent ici de se fier à des jugements dogmatiques.La traduction que je donnerais de l’adage cité serait proche de ça : tu fais de tes amis tes ennemis, car ton regard est mauvais. Mais ça n’en traduit pas toute la subtilité. Une traduction est toujours une trahison.
Peut-être trouverez-vous votre bonheur avec Sami Aldeeb Abu-Sahlieh, à mon avis l’un des experts les plus avisés de la planète sur l’histoire des religions abrahamiques. Juriste et politicien avisé par ailleurs.
À propos de la parole de Dieu descendue du ciel, j’adore l’entendre dire :
Les seules choses qui tombent du ciel sont les météorites, la pluie, la grêle, et la neige. Un livre qui serait tombé du ciel ? Alors c’est quelqu’un qui voulait s’en débarrasser et l’a jeté par la fenêtre d’un avion. -
Ce proverbe arabe (?) est l’opposé d’une tautologie, car il porte en lui sa contradiction.
Voyons ça : ’’tu fais de tes amis tes ennemis, car ton regard est mauvais’’
Comment peut-on se dire l’ami de quelqu’un dont on prétend que son regard est mauvais, et sans même le connaitre, ou alors en le niant, pire, après l’avoir insulté et systématiquement gaussé ? Pfff !A ce dicton, j’opposerai donc celui-ci : ’’Dieu me garde de mes amis ; mes ennemis je m’en charge ’’.
Et j’ajouterai cela : ceux qui nous aiment et que l’on n’aime pas sont souvent les plus redoutables.
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@ Bur K,
Merci pour le lien que j’ai survolé et qui me paraît effectivement très intéressant. Toujours difficile d’aborder un sujet à l’aveuglette un sujet que l’on ne connait pas.
Quant à notre JL national, je crois que s’il n’existait pas il faudrait l’inventer. Je ne me suis pas du tout méfié au départ, mais une fois que l’on a compris comment il fonctionnait, ça relativise grandement.
Je lui ai fait une demande en mariage le jour de l’adoption de la loi par le Conseil Constitutionnel, mais j’ai pas compris sa réponse. Quoi qu’il en soit, je l’aime quand même.
JL : "Voyons ça : ’’tu fais de tes amis tes ennemis, car ton regard est mauvais’’ Comment peut-on se dire l’ami de quelqu’un dont on prétend que son regard est mauvais, et sans même le connaitre, ou alors en le niant, pire, après l’avoir insulté et systématiquement gaussé ? Pfff !"
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Alors Vergnes ! Toujours dans les paradoxes, à ce que je vois ?
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... je disais donc :
JL : "Voyons ça : ’’tu fais de tes amis tes ennemis, car ton regard est mauvais’’ Comment peut-on se dire l’ami de quelqu’un dont on prétend que son regard est mauvais, et sans même le connaitre, ou alors en le niant, pire, après l’avoir insulté et systématiquement gaussé ? Pfff !«
Ce genre de »retournement", si je ne le lisais pas, j’aurais du mal à le croire.
JL ou comment interpréter un texte à l’envers de ce qu’il signifie :
@ JL : vous me faîtes rire, c’est bien pour ça que je vous aime.
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Mais oui, c’est bien ce que je dis : ce texte est un paradoxe, et c’est pour ça que vous vous présentez derechef en expert es interprétation !
Qu disiez vous sur les experts ?
nb. Vos multiples stratégies aussi velléitaires que contradictoires sont un chef d’œuvre de paradoxe.
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JL : "Mais oui, c’est bien ce que je dis : ce texte est un paradoxe, et c’est pour ça que vous vous présentez derechef en expert es interprétation ! Que disiez vous sur les experts ? nb. Vos multiples stratégies aussi velléitaires que contradictoires sont un chef d’œuvre de paradoxe."
C’est bien ce que je dis : JL = incapable de comprendre un texte en con-texte. Tant il est vrai que pour vous, tous les textes que vous ne comprenez pas sont « con ».
Je résume mon article en quelques mots spécialement pour vous : expertise en « environnement instable » (politique, économie, affaire, etc.) = jeu de roulette russe ; expertise en « environnement stable » (sémantique, urgentiste, goûts et préférences, etc.) = fiabilité du diagnostic. En l’occurrence, mes « paradoxes » ne sont que le reflet de votre absence d’empathie (miroir), de ce fait, vous ne faites que parler de vous (projection).
Lorsque l’on pointe un paradoxe chez quelqu’un, encore faut-il être en mesure de le démontrer pour tenter de lui « ouvrir les yeux » et ne pas l’affirmer de façon péremptoire comme vous en avez coutume. Vous n’êtes jamais parvenu à en déceler un seul chez moi (pourtant, il y en a eu quelques uns que j’ai pu corriger moi-même après relecture ou l’aide de certains). Quant à moi, j’ai si souvent démontré les vôtres que vous avez fini par dire que je vous traitais de schizophrènes ce à quoi je n’aurais pas pensé si vous ne me l’aviez pas suggéré. Mais depuis que vous l’avez dit... je vous aime : vous êtes mon idole, mon « ment-or » attitré.
Je dois vous concéder que j’étais à la recherche d’exemples et vous êtes si prolixe que je n’ai pas à parcourir le net pour en déceler ici ou là. Suffit juste que je vous « titille » un peu pour que vous fassiez le reste. Aussi, ne m’en veuillez pas, je vous promet que c’est pour la bonne cause et qu’en aucun cas je ne vous tiens rancune pour toutes les calomnies que vous avez pu proférer à mon encontre. Vous me faîtes gagner un temps si précieux que je ne peux que vous aimer.
Allez promis, prochaine fois que je monte sur Paris, je me rendrais disponible pour venir vous rendre visite manière de boire un coup ensemble, refaire le monde et vous sortir un peu de votre solitude.
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Je n’avais pas vu votre dialogue (je ne consulte mes mails qu’une à deux fois par jour)
Comme je le disais, une traduction et toujours une trahison.En vous lisant, d’abord je précise que ce n’est pas un proverbe, mais une simple phrase de moi. Finalement j’opterai pour une variante en traduisant : « tu fais de tes amis tes ennemis, car ton regard est faussé (ou ton œil est trompé) ».Mais j’aurais pu ajouter ce qui peut être prix pour le pendant, mais ne l’est pas tout à fait :جعل لكم أعدائك أصدقائك، لأنه خدع العينSoit : « tu fais de tes ennemis tes amis, car son œil est trompé ».Pour l’explication de texte, je dirais que la première phrase indique qu’il y a une fausse interprétation sur la personne : tu la prends pour ton ennemie, alors qu’elle est ton amie (ton œil est trompé par les apparences et ton manque de discernement).Dans la seconde phrase, elle désigne une alliance avec ton ennemi clairement identifié, auprès de qui tu te fais passer pour son ami : tu trompes son œil pour fausser son discernement et qu’il croit que tu es son ami.C’est ce qu’a fait JL avec Philouie, qui s’est fait avoir comme un gentil poisson qui mort à l’hameçon.Je ne porte aucun jugement moral sur les faits. Mais je trouve que c’est révélateur des personnalités. Et je ne peux m’empêcher une fois encore de me répéter :« Deux personnes – deux consciences, dit Hegel – s’affrontent dans une lutte de pur prestige. Chacun cherche la reconnaissance, c’est-à-dire veut que l’autre s’incline devant lui, admette sa valeur, renonce à la contester. Le combattant qui a été jusqu’au bout de son désir, sans faiblir, y compris devant la peur de la mort, devient le “maître” de celui qui n’a pas su faire la même preuve de sa liberté. »Ça me rappelle à l’école primaire un garçon qui répétait souvent : « dans la vie, il y a les Q botteurs, et les Q bottés. » On se moquait de lui, parce que son père était un élu communiste et militant dans le village, et qu’il se comportait en tyran avec tous ceux qui n’étaient pas communistes.Chiche, on se retrouve tous les trois, un de ces quatre, à Paris ? À la Sorbonne ?Bonne fin de journée -
salut Bur K,
pas trop le temps de lire article plus haut, mais je supp’ose qu’il est bond, com dab.now concernant vos prétentions arabes, allons l’ami, pas de burka avec nous.il me semble que vous êtes à l’arabe ce que demis roussos aurait été au patinage sur glace, l’ami Constant confirmerait...la phrase que vous citez comporte une erreur grossière : un verbe à la deuxième personne du pluriel suivi d’accords à la deuxième du singulier, foirage complet, mais le sens y est.ça se prononce (une fois corrigé) :ja’ala lakom a’adâ’akom asdikâ’akom, li’annahou khada’a al-a’ayn.il a fait (ou réussir à faire) de vos ennemis vos amis, parce qu’il a trompé/trahi/fait glisser l’oeil ou la vision.bien évidemment, l’inverse est possible ou impliquée.bref, faut pas confondre entre la couronne de louis XV et un sextoy, ni prendre un hippopotame pour un chaton, faut s’en tenir à son rang, dur dur de garder l’oeil ouvert.c’est alors que ce trompeur, qui est « tapi à l’ouverture » comme disent les textes sur caïn, c’est-à-dire une fois les signes d’air activés, donc ce trompeur on disait renverse les points cardinaux, il vous fait passer pour désirable et bénéfique votre perdition, et pour rejetable et horrible ce qui vous relève. à méditer.pour philippe, je vais vite, juste un passage, sur les soufis, vérifier que le grand ouvrage de « al-sarrraj al-Toûssi » est traduit, ça m’étonnerait, sinon, il y a le traité de soufisme de kalabadhi en babel ou enore le memorial des saints de attar, la vie des soufis de jâmi, le grand massignon sur hallâj, mais il vaut mieux d’abord en passer par corbin en tel gallimard en islam iranien, chef d’oeuvre absolu. -
@ volt,
Vous dites : ’’article je supp’ose qu’il est bond, com dab.’’
C’est exprès que vous avez écrit bond ?
Vous avez lu ce qui arrive en tête des com les plus appréciés ? ça : ’’L’article, assez confus, semble être écrit par un étranger à notre culture tant les concepts employés le sont à contresens.’’
De fait , je sais bien que Bur K n’est pas plus Arabe que Denis Roussos n’est médaille d’or en patinage artistique. Mais c’est vrai aussi qu’il emploie les concepts à contresens.
Je ne sais pas ce que vous leur faites, mais vous avez l’air de les impressionner, aussi bien Vergnes que BurK ou Rebel.
Amusez vous bien avec eux.
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salut JL,
non j’ai pas l’impression que impressions,oui « bonD » volontaire au vu de précédents articles,sur demis roussos, pas sûr, vu que faute de frappe sur une seule lettre,sur commentaires, pas un critère pour moi,j’arrive un peu tard pour cet article,enfin, sur votre vaste pugilat intensif qui déjà fait datej’ai déjà, ailleurs, été assez bucoliquement clair sur le fait qu’il ne me concernera pas,bonne chance quand même. -
volt,
je ne comprends rien à votre parler lacanien.
Mais je vous sais gré d’avoir démasqué Bur K qui se faisait passer pour Arabe. Dans que but ? Mystère.
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Faute d’othographe sur une seule lettre ?
Denis Roussos, ça vaut bien demis roussos.
La bonne ortho c’est Demis Roussos.
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JL je n’ai pas de « parler lacanien » sauf quand c’est la question,
il me semble avoir été clair ici,lacan c’est mon p’tit bateau, un peu mon CE1 quoi,je suis très loin du jacquot depuis, quelques restes cependant ;question arabité, il se peut que Bur K soit un grammairien chevronné,sur une seule lettre glissant au clavier, on peut chatouiller & taquiner, pas au-delà.quant à s’amuser allant tours, bien sûr, dès qu’à nouveau le temps m’ouvrira ses plages. -
volt,
si vous savez lire vous verrez que ce n’est pas moi qui ’chatouille & taquine.
C’est Vergnes et Burk.
Mais cessons là ces enfantillages, je n’ai de comptes à rendre à personne ici.
Tchao.
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