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Accueil du site > Actualités > Politique > Pour un débat électoral sur les questions de géopolitique

Pour un débat électoral sur les questions de géopolitique

Face aux enjeux géopolitiques à venir, il devient urgent d’orienter la campagne électorale sur cette question, même si elle n’intéresse a priori qu’un nombre restreint d’électeurs. La lutte contre le terrorisme pourra-t-elle encore longtemps masquer la montée des tensions internationales ? Certains analystes considèrent que les risques de guerre entre les nations, y compris nucléaires, ont rarement été aussi palpables. En supposant que cette question soit l’objet de débats internes au sein des appareils politiques, elle reste difficilement accessible à l’électeur qui ne peut dès lors se forger une opinion.

La guerre économique n’aura pas lieu

Bien plus que les idéologies, l’économie est la source historique des conflits. Au-delà des prises de position simplifiantes sur le patriotisme économique, il s’agit de réfléchir sur les potentialités de guerre liées aux enjeux géoéconomiques entre les nations, et notamment le contrôle des ressources vitales (eau, pétrole et autres matières premières). Car la prochaine guerre pourrait être mondiale et portera à l’évidence sur le contrôle de territoires (sous-sols) et de voies d’accès (détroits, pipelines...). Elle verra naître des coalitions, des alliances, des haines alimentées par des propagandes et la montée des nationalismes. Rien que de très classique en somme, et d’une effrayante banalité. La société de l’information, le nouvel ordre mondial et tous les concepts nés de la « mondialisation heureuse » (la croissance par la consommation) ne pourront empêcher, bien au contraire, une nouvelle « guerre du feu ». Le scénario ayant été envisagé par nombre d’analystes (lire notamment J.F. Susbielle, Chine-USA, La guerre programmée, First Editions, 2006), il mériterait d’être débattu.

L’intelligence stratégique en question

De fait, au lieu d’observer avec curiosité la progression de la Chine en Afrique, d’aucuns s’interrogent sur ses intentions et sur les conséquences de sa politique expansionniste. Dans la course aux contrats commerciaux, il semblerait également nécessaire de réfléchir sur le risque de « vendre la corde qui pourrait servir à nous pendre », à l’instar de Mme Lauvergeon qui refuse de transférer les technologies nucléaires d’Areva à l’empire du Milieu. De la même manière, le citoyen serait en droit d’attendre une réflexion de nos candidats sur la politique énergétique russe, et notamment la menace qui pèse sur l’approvisionnement en gaz. On pourrait encore s’interroger sur la signification d’une hausse des budgets militaires américains et chinois, ainsi que sur le réarmement du Japon et la montée du nationalisme dans ce pays. La liste serait très longue mais elle ne doit pas nous décourager.

Une Europe géopolitique

La construction de l’Europe économique a partiellement occulté la question majeure d’une Europe stratégique où l’économie serait plus qu’un simple marché commun, mais l’expression d’un bloc géopolitique cohérent et puissant. Si le non au référendum illustre probablement le refus d’une Europe sous influence américaine, il n’empêche pas d’envisager une construction autour d’une volonté de maintenir son indépendance et de défendre ses intérêts vitaux. Cette Europe indépendante, qui constituerait une entité décisionnelle de poids, doit-elle émerger d’un recentrage autour du couple franco-allemand ? L’éparpillement actuel affaiblit-il l’identité européenne, aux dépens de son influence ? Quid des pays membres de l’Union qui défendent ouvertement ou secrètement les intérêts d’autres puissances ? L’affaire Airbus révèle-t-elle une fragilité du couple franco-allemand à travers l’effritement de son modèle politico-industriel ? D’un point de vue géopolitique, si les Allemands basculaient dans le « camp anglo-saxon », l’Europe serait-elle dès lors neutralisée, telle un glacis vulnérable entre les Etats-Unis, la Russie et la Chine ? Quelle serait alors la position de la France ?

Avant de choisir l’homme ou la femme qui présidera la France dans les cinq prochaines années, il semble important d’obtenir une réponse à ces questions.

 


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11 réactions à cet article    


  • pouter (---.---.121.76) 12 mars 2007 11:21

    Seul les francais veullent une europe gépopolitique (comme remède au déclin géopolitique de la france).

    Je le déplore mais c’est comme ca.

    les Anglais voient le marché commun comme un deuxième commonwealth.

    Les autres pays sont atlantistes, ( ils font plus confiance aux US pour leur sécurité qu’a un espece de machin avec a sa tete la france et l’allemagne).

    Franchemment, si tu est letton, et que ca chauffe avec la russie a propos d’une enclave russe en europe (Kaliningrad), tu ferai plutot confiance aux américains qu’aux franco-allemands pour te protéger contre les russes ? Tu crois que les francais iraient s’engager ou se débalonneraient lamentablemment ? Pour l’instant on n’a pas gagné leur confiance sur ce point.


    • non666 non666 12 mars 2007 13:42

      C’est bien parce que aucun des « grands candidats » n’a de reponses a ces questions geopolitiques que le debat presidentiel est deplacé sur des sujets gouvernementaux.

      Le debat que nous avons est celui qui devrait avoir lieu aux legislatives en fait. Car le mandat presidentiel est clairement celui de la representation de la France a l’etranger et en particulier en Europe.

      Or OUI, la vision anglaise, celle d’une Europe simple « common-market », vassalisé par les etats unis dans l’Otan est bien CELLE du TCE, celle qu’ils veulent tous ! Comment nous l’avouer alors que nous avons repondit NOn a cette question a 55% et que les 3 « grands » candidats valenbt 75% des votent (selon les instituts de sondages, il est vrai)

      Quelles frontières pour l’Europe ? Celles comprises dans le mot Europe, que nous avons compris comme etant celle du continent ? Ou celles de l’espace euro-mediterranéen que voulait DSK et que semble aussi suggerer Sarkozy ? Un Nato-Land en fait...

      Quelle frontière pour la Palestine et Israel ? Celles que nous avons approuvé, en 1947 ? Celles issues de la guerre de 1967 ? Celles qu’occupent aujourd’hui l’etat hebreux qui occupe 93% des territoires palestiniens ?

      La parole de la France a quelle valeur ?

      Quand l’Europe et la France condamneront ils enfin l’invasion Turque de Chypre ? Quand remarquera t’on que la GB est l’Autre occupant de l’ile chypriote ? Quand remarquera t’on que les anglais sont le seul etat a avoir encore des colonies sur les autres pays de l’UE ? (les iles normandes de la France, Gibraltar a l’Espagne, le Nord de l’Irlande, les 2 bases chypriotes...)

      Si nous avions encore un DeGaulle, il repondrait surement a ces questions. Heureusement la collaboration s’etend de plus en plus et notre classe politique s’est deja agenouillé devant les anglo-saxons, voir les sert volontairement(Sarkozy).


      • labaule (---.---.252.249) 12 mars 2007 15:27

        Il est certain que l’immobilisme Francais n’empeche pas le reste du monde d’avancer. En visionaire,Bush a tout de suite vu que le terrorisme etait le fleau dans le monde et malheureusement pour longtemps. Ces realites s’imposent meme si la France voudrait les occulter.


        • gus (---.---.151.17) 12 mars 2007 16:41

          Le problème d’ une défense européenne , c’ est qu’ elle ne peut-être basée sur un patriotisme européen : les nations existent et leur histoire les différencient .

          Par ailleurs , les soldats se battent plus efficacement pour leur patrie que pour les entités floues . La réflexion stratégique est effectivement absente de la campagne mais cela peut se comprendre . Nous avons miné l’ Europe , nous n’ avons pas l’ argent nécessaire pour augmenter notre budget militaire , notre dimension internationale se retrécit , comme notre inluence en Afrique .

          Nous en sommes réduits à prôner en permanence la négociation , ce qui est probablement louable au plan moral mais assez stérile au plan international : si nous arrivons à lancer des négociations , c’ est pour assister à leur captation par les grandes puissances .

          La montée de l’ influence chinoise en Afrique , pour douloureuse qu’ elle soit pour notre sensibilité d’ ancienne puissance colonisatrice , pourrait peut-être et paradoxalement nous ouvrir des opportunités . Sans nous sentir concernés par les dommages que cette percée pourrait infliger à terme aux pays africains (développement atrophié des petites entreprises , par exemple , ou dépendance excessive par le clientélisme ), nous pourrions diminuer une aide qui est malheureusement en grande partie détournée ,revoir tous nos accords de défense et d’ immigration : l’ attitude de certains dirigeants africains ( en Côte d ’ Ivoire , par exemple ) nous autoriserait à cette prise de distance , plus de 30 ans après la décolonisation .

          Il est par ailleurs évident que la parapluie américain est jugé autrement plus efficace que l’ ombrelette européenne !C ’est alors dans les accords de défense avec les USA que réside le meilleur bouclier pour se défendre .

          Nous pourrions néanmoins dans ce domaine militaire , développer certaines de nos capacités, en particulier dans le secteur , par exemple , de la projection rapide de détachements relativement modestes mais hautement spécialisés . Notre bonne connaissances des théatres extérieurs seraient ainsi un de nos points forts à entretenir avec soin et probablement appréciable dans le cadre d’ une alliance.


          • frederic9 (---.---.232.32) 12 mars 2007 17:48

            Pourquoi les Allemands s’enfermeraient-ils dans un « noyau dur » et dans un dialogue exclusif avec la France ?

            Il sont plus intelligents et se tiendront soigneusement à égale distance de la France et de l’Angleterre, afin de faire pencher la balance d’un côté ou de l’autre, au gré de leurs propres intérêts.

            Nous devrions bien sûr essayer d’en faire autant et nous tenir à égale distance de l’Allemagne et de l’Angleterre, afin de défendre au mieux les notres.

            La constitution de ce fameux noyau dur, qui est un des serpents de mer de la diplomatie fraçaise et dont on nous rabache les oreilles, est impossible.

            Poursuivre cette chimère, c’est prendre les Allemands pour des idiots.

            Autre chimère : comment nous imaginer que nous allons pouvoir entrainer nos partenaires européens dans la constitution d’un soi-disant « pôle politique européen » :

            Lequel de nos partenaires aura envie de s’éloigner des USA, pour les beaux yeux des français ?

            Lequel de nos partenaires ne comprend pas que les français veulent les entrainer en fait dans une politique anti-américaine ?

            Ca se voit pourtant comme le nez au milieu de la figure ! Au Moyen-Orient et ailleurs !

            Tout le drame de la France et tous ses échecs en politique étrangère (car les résultats de la politique étrangère française sont déplorables partout dans le Monde,c’est un fait que l’on cache soigneusement au français) vient du fait qu’elle n’est qu’une grenouille qui veut se prendre pour un boeuf, qui sait bien qu’elle n’en a pas les moyens, et qui se contente désormais de hurler avec les loups.


            • non666 non666 12 mars 2007 20:07

              Peut etre parce que nous souhaitons faire, nous autres , europeens authentique c’est l’Europe, pas l’antichambre des etats unis ?

              Peut etre que n’etre que la première des vassales des yankees n’est pas notre ambition ?

              Peut etre que si il n’y a pas de projet plus federateur que n’etre qu’une marché commun et un protectorat, il faut mieux se contenter de rester autonome et de ne plus payer pour les autres , au nom d’uhne unité qui n’existe pas ?

              Peut etre qu’il faudrait identifier ceux qui veulent uniquement voir la France comme un element neutralisé d’un ensemble europeen emasculé ? A qui profiterait donc cette Europe qui ne serait pas une grande puissance ?

              Planning defence Guidance(1992) : « Il faut empecher tout autre ensemble de pouvoir s’eriger en rival des etats unis... »


            • frederic9 (---.---.232.32) 13 mars 2007 01:47

              « Peut etre que si il n’y a pas de projet plus federateur que n’etre qu’une marché commun et un protectorat, il faut mieux se contenter de rester autonome et de ne plus payer pour les autres , au nom d’uhne unité qui n’existe pas ? »

              .............

              Je pense que vous avez raison sur ce point : en votant « non » à une constitution européenne, qui a été adoptée par nos partenaires et qui donc ne sera pas modifiée de façon substantielle, la France a fait un pas vers la sortie.

              Comment pourrions nous empêcher nos partenaires de continuer sans nous et de s’en tenir à un texte qu’ils ont déjà adopté ?

              Ce qui porte le germe d’une déchirure de notre pays, car il sera impossible de retenir tous ceux qui refuseront de s’enfermer (mentalement ou physiquement) dans l’hexagone et qui préféreront se sentir européens plutôt que français.

              Rester français ne signifie-t-il pas « payer pour les autres » (les pauvres, les vieux, les immigrés), comme vous le dites si bien ?


            • Blablabla (---.---.83.126) 13 mars 2007 08:07

              @ l’auteur

              Le problème est posé :« Face aux enjeux géopolitiques à venir, il devient urgent d’orienter la campagne électorale sur cette question, même si elle n’intéresse a priori qu’un nombre restreint d’électeurs ».

              A lire et compter les commentaires, il n’ y pas foule effectivement pour s’intéresser à la diplomatie.

              Ce manque d’enthousiasme procède largement d’un aveuglement programmé des populations à tout ce qui touche l’international, le point de départ de ce programme étant l’abandon des guerres idéologiques (pragmatisme des gouvernants) et son terme actuel étant la PESC.

              Le projet de traité européen, qui n’a pas été ratifié par tous les membres mais demeure d’actualité, prévoit la création d’un poste de ministre des Affaires étrangères de l’UE, défini comme suit :

              Le ministre des Affaires étrangères de l’UE, également vice-Président de la Commission européenne, assure à la fois :

              * le suivi de la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) au sein du Conseil (ancien rôle du Haut Représentant pour la PESC) ;

              * le suivi de la PESC et des autres aspects de l’action extérieure au sein de la Commission européenne (ancien rôle du commissaire européen chargé des relations extérieures).

              Il est l’interlocuteur stable de l’UE face aux responsables nationaux des Affaires étrangères des pays tiers et renforce ainsi le rôle et la visibilité de l’Union sur la scène internationale.

              Le Haut Représentant pour la Politique étrangère et de sécurité commune, M. Javier Solana, sera, à l’entrée en vigueur du traité, le premier ministre des Affaires étrangères de l’Union.

              On peut s’étonner qu’avant l’entrée en vigueur du traité, le même SOLANA soit déjà en place. Une simple continuité donc pour ce faire valoir atlantiste.

              Toujours dans les termes du traité, la présidence des formations du Conseil, à l’exception de celle des Affaires étrangères, est assurée par des groupes prédéterminés de trois États membres, composés par rotation égale des États, pour 18 mois. Chaque membre du groupe assure la présidence de ces formations du Conseil à tour de rôle. La présidence semestrielle, supprimée au niveau du Conseil européen, est donc maintenue pour le Conseil des ministres, sauf pour le Conseil Affaires étrangères.

              Ces dispositions sont fixées par un projet de décision du Conseil européen annexé au projet de Constitution, qui doit être « automatiquement adopté le jour de l’entrée en vigueur de la Constitution ».

              Douste-Blazy, alors ministre des affaires étrangères, disait lors d’une réunion de l’OTAN le 8 décembre 2005 :« Il faut poursuivre l’opération d’adaptation de l’OTAN engagée il y a trois ans au Sommet de Prague...Nous concevons d’ailleurs nos engagements dans l’Union européenne et dans l’OTAN comme parfaitement compatibles ».

              La PESC est, pour l’essentiel, régie par l’unanimité. Des exceptions à cette règle existent, comme la désignation du secrétaire général du Conseil et haut représentant pour la PESC et des représentants spéciaux de l’Union européenne, qui peut s’effectuer à la majorité qualifiée. La recherche de l’unanimité et du consensus demeure cependant la principale voie par laquelle les partenaires européens prennent leurs décisions dans le domaine de la PESC. En pratique, les décisions sont prises par consensus et les votes sont exceptionnels.

              Comment dès lors la France peut-elle faire valoir ses intêrets privilégiés, puisqu’ils sont indissolubles de l’UE ?

              Jadis domaine réservé du Président, la politique étrangère de la France passe d’abord par l’Europe. A ce sujet, pourquoi finalement se doter d’un Président de la République qui désormais n’en possède plus que le titre mais plus la fonction ?

              Plus inquiétant encore pour notre chère démocratie : ce pacte de « stabilité consensuelle » autour des décisions de politique étrangère, avec un haut représentant immuable et désigné par ses pairs, ressemble étrangement au Pacte de l’Otan.

              Ainsi, pour tous les sujets touchant à la politique étrangère (en particulier l’immigration), la France n’est plus maître de son destin.


              • (---.---.140.177) 13 mars 2007 10:04

                L’auteur est spécialiste de la manipulation ?

                Vous êtes dans la mouise Monsieur ! Nous aussi, mais pas pour les mêmes raisons !

                Le débat géopolitique ? Quel débat ? Déjà que sur les questions intérieures rien n’est soulevé à part les petites phrases assassines et la mauvaise fois des uns des autres !

                L’économie ? La guerre ?

                L’Europe va très bien, elle fait ce qu’elle veut ! Et depuis toujours ! Non ? Vous en doutez ?

                Peu importe le futur président ! L’Europe continuera son chemin, même si c’est l’échafaud qui l’attend !

                Vous décrivez fort bien une situation que nous subissons déjà depuis 20-30 ans ! Pourquoi voulez-vous que cela change ?

                Vous voilà rassuré ! Vous me voyez fort aise...


                • Jules Lebenet (---.---.112.31) 14 mars 2007 23:29

                  Bon sujet qui devrait être pourtant du niveau d’une Présidentielle. Bonnes remarques aussi.

                  Mais toutefois, sur le Livre de J.F. Susbielle, Chine-USA, La guerre programmée, je suggère de ne pas omettre l’hypothèse d’une alliance objective Chine-USA-x pour l’endiguement de L’Europe-Russie.

                  Apparament les USA au travers de leurs Multinationnales ont déjà beaucoup d’intérêt en CHINE. Et ... c’est comme aux Galeries Lafayette, il se passe toujours quelque chose :

                  Carlyle... bientôt communiste ! Carlyle est-il passé à l’Est ?

                  http://www.infoguerre.com/article.php?sid=1126

                  Effectivement nos Présidentiables petit bras ne sont pas très rassurant sur leur niveau GéoSTRATEGIQUE dans ce CHOC des PUISSANCES qui se prépare. smiley

                  Heureusement que notre capitale a sa devise « Fluctuat Nec Mergitur ». smiley


                  • Jules Lebenet (---.---.181.25) 15 mars 2007 17:23

                    Faisons-nous réellement partie d’un monde globalisé dans l’esprit des Citoyens ?

                    Notre monde est-il devenu plus sûr selon une affirmation de GWB entre deux attentats hors USA ?

                    Comment ne pas voir que la main mise sur l’économie d’un pays par un autre ou plusieurs autres est porteur d’un acte de GUERRE ECONOMIQUE pour soumettre l’existence d’une VOLONTE POLITIQUE propre ?

                    N’est-ce pas du NIVEAU PRESIDENTIEL ??? Au secours VILLEPIN ils sont devenus FOUS !!!!

                     smiley

                     smiley

                     smiley

                     smiley

                    Résultat d’un tel sujet : * 26 votants à 17h après 3 jours, * 10 messages * combien de lecteurs Mr AGORA ??? SVP

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Auteur de l'article

Franck Bulinge


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