Le Dr Hélène Rossinot répond à 7 questions sur les vaccins contre le Covid : effets secondaires à long terme, baisse d’anticorps, cancer…
Face au flot de désinformations qui circulent sur les vaccins ARNm, le Dr Hélène Rossinot rétablit quelques vérités. Oui, aucun vaccin n'a eu d'effets secondaires qui ont été découverts après deux ou trois mois. Non, le vaccin n'est pas cancérigène, car il n'altère pas l'ADN. Et non, le vaccin ARNm n'est pas une thérapie génique. Et oui, on a assez de recul, ces vaccins sont en test depuis 20 ans. Et non, le vaccin ne fait pas baisser les défenses immunitaires, contrairement à ce qu'une déclaration maladroite d'Emmanuel Macron a pu laisser penser ; au contraire, comme tous les vaccins, il les booste. Et non, les vaccins ne sont plus en phase expérimentale, contrairement à ce qu'affirment des individus qui ne sont pas très au courant du fonctionnement des essais cliniques. Bref, une vidéo d'utilité publique.
Effets secondaires à long terme, baisse d’anticorps, cancer… Le Dr @helenerossinot répond à 7 questions sur les vaccins contre le Covid pic.twitter.com/UUeRAH1quF
— Konbini news (@konbininews) July 20, 2021
Tags : Vaccins Santé Science et techno Cancer Coronavirus Covid-19 Médecine
204 réactions à cet article
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@Vulpes vulpes
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SPR ça ne s’invente pas...
Hélène Rossinot s’y est présentée sous l’étiquette SPR, comme « soutien au président de la République »..
Clémentine, la Pulpe de l’info... Avariée. -
« Chère Hélène.
J’ai noté, depuis l‘ouverture de la campagne électorale, la clarté et la vigueur de votre engagement pour soutenir l’action du Président de la République et du gouvernement afin de lui apporter une majorité à l‘Assemblée nationale.
Vous êtes candidate dans la 6e circonscription de Meurthe-et-Moselle dont je connais la sociologie, les comportements électoraux et surtout l’importance de cet espace au cœur de la Lorraine, le long de la vallée de la Moselle, entre la métropole de Metz et la métropole du Grand Nancy.
La force de cet engagement, la jeunesse de votre parcours personnel, comme interne des hôpitaux de Paris, votre engagement européen, tout cela constitue indubitablement une chance pour cette circonscription.
Je souhaite donc vous dire tous mes encouragements et vous apporter mon soutien pour la poursuite que je souhaite réussie de votre exemplaire engagement.
Je compte sur vous pour donner au Président la majorité dont la France a besoin !
Avec tous mes encouragements »
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@Vulpes vulpes
Bref, elle a beau s’appeler Hélène, vu son profil, « ce n’est pas une fille comme les autres » (comme le proclamait la chanson d’une série hautement intellectuelle des années 90)
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@micnet
Le problème est que tous ces médecins ne connaissent pas la science. On ne peut leur en vouloir quand on voit les programmes universitaires de médecine en France. Les médecins sont devenus les techniciens de l’industrie pharmaceutique.
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Si je me souviens bien, l’ARN messager crée ses protéines à partir de l’ADN. Tant que le vaccin est présent, ça se fait.
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@mat-hac
Du coup ce que dit Hélène est plausible. Seulement, on ne sait pas ce que fait la protéine. Elle peut continuer à se produire quand même. -
@Vulpes vulpes
C’est vraiment devenu tellement ridicule putain !
Les corleone au moins avaient la classe .
Je m’occupe pas de la modération de la partie TV mais y’a un truc qui va pas . -
@mat-hac
"Si je me souviens bien, l’ARN messager crée ses protéines à partir de l’ADN."Mais, Temin en 1970 pour les virus, puis Beljanski en 1973 pour les bactéries, ont montré que ces 2 entités peuvent être porteuses d’une enzyme, la transcriptase inverse, qui permet, dans certaines conditions de remonter, de l’ARN à l’ADN.
Ce que vous rappelez est le schéma de Crickx de 1958.
Or, d’après Tadeudz Nawrocki, l’assistant de Beljanski à l’Institut Pasteur à l’époque de sa découverte, cette conception est très dépassée et parler d’ARNm ici est une simplification trompeuse. Il existe, en réalité, de nombreux types d’ARN différents, ayant des fonctions diverses et, dans le cas qui nous occupe, il s’agirait plutôt d’ARN transformant.
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@Clémentine
Clémentine : Et non, les vaccins ne sont plus en phase expérimentale, contrairement à ce qu’affirment des individus qui ne sont pas très au courant du fonctionnement des essais cliniques.
FAUX !!!
Pour la BNT162b2 des essais cliniques de phases 1, 2, et 3 sont TOUJOURS EN COURS !
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@abolab
Plus que ça :
La formation des médecins est hautement hiérarchisée , pyramidale .
En règle générale , et il existe des exceptions , ça se passe comme ça :
Vous avez un grand patron CHU , qu’on appelait autrefois mandarin mais ça ne change pas grand chose, qui enseigne un secteur de la médecine , directement ou qui délègue son enseignement à un de ses médecins adjoints qui lui est tout dévoués.
Car sa carrière hospitalière en dépend .
Lequel enseigne le corpus médical du "grand patron" , qui s’il est imprégné ou sous contrat de big pharma , va transmettre les données et "études" liées aux produits des entreprises pharmaceutiques qui ne sont pas avares en marketing et ses déclinaisons .
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Ca se situe principalement dans la cadre de la pharmacologie ou de la thérapeutique, mais ça rejoint toutes les spécialités .
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Et ainsi de suite dans la chaîne de transmission du savoir ...
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Si l’étudiant veut avoir son examen il a intérêt à recracher les cours et les hobbies du grand patron et à ne pas faire preuve de beaucoup d’originalité ni de curiosité .
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D’ailleurs j’ai connu de ces enseignants qui refusaient que leurs cours soient polycopiés pour obliger leurs étudiants à assister à leurs cours ....
(ce qui empêche au passage l’étudiant médecin d’avoir un job qui l’aiderait à subsister )
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Voilà comment on peut rencontrer des perroquets , qui n’ont aucun recul sur ce qu’ils enseignent , ou sur ce qu’ils exercent mais qui n’ont qu’une bonne mémoire à leur actif .
Bref bachotage à haut débit .
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On appelait ce cloisonnement aussi des "écoles" : untel a été formé par le professeur machin chose chef de fil de , concurrent du professeur truc muche . -
@Flash
’’Temin en 1970 pour les virus, puis Beljanski en 1973 pour les bactéries, ont montré que ces 2 entités peuvent être porteuses d’une enzyme, la transcriptase inverse, qui permet, dans certaines conditions de remonter, de l’ARN à l’ADN.’’
Il faut savoir que
« L’article 13 de La loi européenne de 1997, dite Convention d’Oviedo ratifiée par la France, stipule que toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite. Beaucoup de pays ont hésité à la signer, craignant que cette disposition entrave leur recherche médicale. »
D’où j’en déduis que les injections de substances dites à ARN messager sont à ce jour, illégales en France.
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Suite :
« Les juristes du gouvernement vont certainement expliquer qu’il y a des exceptions, ce qui est exact.
Mais celles-ci sont soumises à de strictes exigences :
La personne sur laquelle l’expérimentation est faite doit avoir préalablement signé un document donnant la composition détaillée du médicament concerné, ses effets immédiats, ses effets secondaires potentiels. Elle certifie l’avoir lu, se l’être fait expliquer, avoir tout compris et être d’accord pour recevoir le produit concerné.Ils vont objecter qu’ils n’y a pas dans la loi française de chapitre spécifique consacré auxdits « vaccins », ce qui est évident, puisqu’à l’époque tout le monde pensait, à l’exception de quelques scientifiques précurseurs, que l’on ne saurait jamais bricoler et modifier le génome humain par des manipulations de ciseaux protéiniques inventés en 2015.
Cela ne change rien au principe global de la Convention d’Oviedo : toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite.
La vaccination est bien une intervention médicale ? Oui.
Celle qu’envisagent les laboratoires consistent bien à injecter un ARNm pour modifier le comportement de l’ADN ? Oui.
Donc c’est interdit. » -
suite et fin :
Cette crise fabriquée du Covid aura entre autres bénéfices pour les labos, de rendre caduque du fait accompli, de notre ratification de cette loi d’Oviédo, et ainsi, d’ouvrir en grand la porte aux expériences de manipulations génétiques sur les êtres humains dont rêvent les transhumanistes depuis si longtemps. -
@JL
Dites-le à tous ces virus qui nous injectent leur ARN depuis des millions d’années, que c’est illégal en France. -
@jozwa
Selon le Professeur Christian Perronne entre autres,
« nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits ’’ endogènes ’’ intégrés dans l’ADN de nos chromosomes.
Ces rétrovirus ’’domestiqués’’ qui nous habitent sont habituellement inoffensifs
(contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.
Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.
nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes >> intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. »
Dites le à tous vos amis.
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Ils sont rares les médecins santé publique mais ce sont les mieux formés et c’est leur rôle d’analyser les épidémies.
Par le passé elle a parfois été très critique vis a vis des décisions gouvernementales, elle était contre le port du masque en extérieur et était très critique contre les protocoles scolaires, elle préconisait plus de ventilation.
Ici ce n’est pas le gouvernement qui ne va pas aprécier son intervention mais plus les covidiots.
Comme quoi la voie du milieu dérange les extrêmes ou extrémistes.
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@sls0
"la voie du milieu dérange"...
(copier-collé du poste de Jcroapasplus bas)
Candidate parmi quinze autres, elle se revendique du président de la République
Hélène Rossinot s’y est présentée sous l’étiquette SPR, comme « soutien au président de la République ».
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(copier-collé du post de Jcroapas
plus bas)
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@Yakaa
J’aurais préféré une attaque sur ses arguments plutôt que sur le messager.
Je suis aussi allergique à LREM et Macron, mais je ne regarde que les arguments.
Elle a beau être LREM mais d’un point de vue professionnel elle a mis à terre pas mal d’arguments ou décisions gouvernementales qui n’ont pas dû plaire à certains de son bord politique. C’est dans ce sens que je parle de voie du milieu. Elle a une réponse professionnelle et non partisane.
Au moment de ses attaques contre les décisions gouvernementales, comme ça allait dans votre sens, vous avez dû l’encenser, maintenant que son discours ne va plus dans votre sens, vous la rejetez. -
@sls0
sls0 20 juillet 13:07"@Gaspard Delanuit
Ben oui, l’édition contre Kulture c’est pour relayer l’idéologie de Soral.
TVL c’est pour relayer l’idéologie ultracatho et pétainiste.
La complosphère et la fachosphère ne sont pas mes références et ils sont connus pour être des usines à fakes.
Je généralise."Les adeptes de la REMsphère ne sont pas mes références, et ils sont connus pour être des usines à fakes.
Je généralise. -
@sls0
Tous les arguments qu’elle énonce sont facilement contredits et montre qu’elle ne connaît pas véritablement la science. Elle est une béhate de la technoscience comme la plupart des médecins en France. Elle ne répète que les vieux dogmes et se positionne en autorité médicale, alors que l’information qu’elle délivre est très incomplète. Une voix de plus pour la vaccination pour tous qui n’est pourtant clairement pas ce qui est demandé par l’OMS dont l’objectif est 30% de vaccinés par pays, les soignants et les personnes âgées et vulnérables, le reste faisant barrage par immunité naturelle, la plus efficace contre la pandémie.
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@abolab
Le Dr Tedros (directeur général de l’OMS) a certes appelé tous les États à faire en sorte qu’au moins 10% de la population de chaque pays soit vaccinés d’ici septembre et au moins 30% d’ici la fin de l’année. Mais il a aussi dit : « Aucun pays ne doit considérer être sorti d’affaire, quel que soit son taux de vaccination. » Plus récemment, Bruce Aylward, expert de l’OMS, a déclaré : « Il faut vacciner autour de 60 % de la population mondiale pour stopper l’épidémie de Covid-19. » -
@abolab
Si c’est si facilement contredit, il vous sera facile de trouver des études scientifiques qui la contredisent.
Si j’ai bien compris votre commentaire, la plupart des médecins seraient des buses car ils suivraient les avancées de la science.
Au sujet de l’immunité naturelle il y a 8 mois on aurait été d’accord mais le fait que la ville de Manaus qui avait atteint un taux d’infection de 70% donc l’immunité de groupe s’est prise une deuxième vague qui a mis son système de santé à genoux m’a fait changer d’avis du moins par rapport au SARcov2. -
@Clémentine
La position de l’OMS est claire : 30% de vaccinés par pays : les plus vulnérables, les personnes âgées et le personnel soignant.
En France, alors que près de la moitié de la population est vaccinée, il y a toujours un grande nombre de personnes âgées et à risque qui ne le sont pas : ce sont eux qui vont finir à l’hôpital.
Les opinions personnelles de Bruce Aylward (basées sur quoi ?) ne sont pas la position officielle de l’OMS. L’immunité naturelle est documentée comme étant la meilleure protection individuelle et collective contre la pandémie et donc devrait être la norme pour toutes les personnes à risque.
Faire le contraire est non seulement non scientifique, mais également un signe de corruption, financière ou idéologique, notamment de la part de l’Etat Français.
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Correction :
L’immunité naturelle est documentée comme étant la meilleure protection individuelle et collective contre la pandémie et donc devrait être la norme pour toutes les personnes non à risque. -
@sls0
Non, vous m’avez mal compris, la plupart des médecins sont des "buses", pour reprendre votre terme, parce que justement ils ne suivent pas les avancées de la science, et sont béats devant la technoscience et l’industrie pharmaceutique qui accumulent pourtant échecs sur échecs dans tous les domaines médicaux.
Il ne s’agit pas d’immunité naturelle pour tout le monde, car les gens fragiles remplissent les hôpitaux. La seule décision raisonnable concernant la vaccination est celle officiellement adoptée par l’OMS qui est de vacciner les 30% de la population les plus à risque et de laisser faire l’immunité naturelle pour le reste de la population non à risque.
Et pour les personnes réfractaires aux vaccins, au moins les informer des moyens de réduire leur risques de COVID grave, comme principalement, l’alimentation végétale saine.
Mais apparemment la majorité de la population préfère être rassurée sur les vaccins et croire qu’elles peuvent manger n’importe quoi et être en surpoids tout en étant vacciné. C’est irraisonnable et c’est apparemment ce que promeut le Dr Hélène Rossinot.
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@abolab
Vous dites : "L’immunité naturelle est documentée comme étant la meilleure protection individuelle et collective contre la pandémie et donc devrait être la norme pour toutes les personnes non à risque."Des chercheurs ont certes découvert que l’immunité naturelle, acquise après une infection au SARS-CoV-2, durerait au moins un an, soit la même durée que celle conférée par les vaccins. Ces mêmes chercheurs soulignent pourtant que leurs conclusions ne doivent pas détourner le public de la vaccination.
Voici ce qu’ils écrivent :
"Avant de supposer que les personnes atteintes d’infections documentées par le SRAS-CoV-2, que ce soit par des tests de diagnostic par réaction en chaîne par polymérase ou par la présence d’anticorps, sont protégées contre de futures infections, il y a 2 mises en garde. Premièrement, nous ne savons pas combien de temps dure l’immunité naturelle. Deuxièmement, nous ne savons pas si l’immunité naturelle contre le virus de type sauvage est également protectrice pour les variants du SRAS-CoV-2 (virus avec des variations génétiques). Comme l’ont indiqué Spellberg et ses collègues, parvenir à une immunité collective par infection naturelle est un processus long et douloureux et, historiquement, la seule maladie humaine à être éradiquée, la variole, a été éradiquée par la vaccination, et non par l’infection naturelle.Parce qu’il est probable que la vaccination et les antécédents d’infection naturelle soient une meilleure protection que l’infection naturelle seule, toutes les personnes doivent être encouragées à se faire vacciner même si elles ont déjà été infectées par le SRAS-CoV-2. Bien que non prouvée, il est possible que la vaccination confère une immunité plus large aux variants que l’infection naturelle. Et parce que nous ne savons pas combien de temps durera la protection vaccinale ou s’il y aura des variants qui échapperont à la protection vaccinale, nous pourrions avoir besoin de rappels de vaccination et/ou de vaccinations reformulées à l’avenir."
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@Clémentine
L’opinion personnelle de Mitchell H Katz n’est pas représentative de la science.
Croire que la vaccination est supérieure à l’immunité naturelle pour les personnes non à risque est de l’idéologie technoscientiste.
Le fait même de dire pour certains que l’immunité naturelle est au moins aussi effiace que celle des vaccins témoigne d’un biais irrationnel en faveur des vaccins, qui cache le plus souvent un intérêt financier de la part de nombreux chercheurs, dont les laboratoires sont financés par l’industrie pharmaceutique.
Tout laisse à penser que la vaccination sélectionne des variants différents de l’immunité naturelle, du fait de la partialité de la stimulation du vaccin, ce qui favorise l’échappement immunitaire de variants potentiellement plus problématiques.
L’immunité acquise de manière naturelle est très efficace sur les variants les plus contagieux, même lorsque l’on est asymptomatique, et de longue durée, probablement des décennies.
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@Clémentine
Il n’y a rien de long et douloureux dans le fait de faire une infection naturelle asymptomatique, bien au contraire, et c’est le cas pour une majorité de la population.
La COVID-19 n’a rien à voir avec la variole... quoi que manifestement tous ces virus proviennent de l’élevage. La COVID-19 est une maladie première métabolique qui touche un sous-groupe de la population qui est à risque de développer la maladie.
Pousser la vaccination pour tous est non seulement irraisonnable, compte tenu de l’incertitude associée aux vaccins, mais également irrationnel du point de vue de la pandémie.
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@Clémentine
Mitchell H Katz, éditeur du Journal JAMA, aucun lien avec l’industrie pharmaceutique ?
"Les preuves sont solides que les entreprises obtiennent les résultats qu’elles souhaitent, et cela est particulièrement inquiétant car entre les deux tiers et les trois quarts des essais publiés dans les principales revues—Annals of Internal Medicine, JAMA, Lancet et New England Journal of Médecine—sont financés par l’industrie [9]"
"Les revues médicales sont une extension de la branche marketing des entreprises pharmaceutiques" (Smith, 2005)
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@sls0
Elle fait comme toi : raconter n’importe quoi et elle se dit médecin alors qu’elle n’est qu’une représentante de commerce. Ce doit être son manque de client qui l’incite à se lancer dans la politique.aucun vaccins n’a eu d’effets secondaires qui ont été découvert après 2 ou 3 mois
il n’y a pas de raison que ce soit différent pour celui-ci
L’ADN c’est ce qui donne des ordres à l’ARNm et l’ARN derrière fait fabriquer les protéines, comme un ordinateur ordonne à l’imprimante d’imprimer un bouquin
On n’a jamais vu une imprimante hacker un ordinateur
https://www.01net.com/actualites/il-est-possible-de-pirater-un-ordinateur-avec-de-la-lumiere-628890.htmlL’ARNm se détruit en très très peu de temps
Une-preuve-qui-met-fin-au-narratif.-Professeur-SucharitLes vaccins à ARNm ça fait plus de 20 ans qu’ils sont en test donc on a assez de recul.
J’arrête là parce qu’au delà de 3 lignes tu ne lis plus. Comment a-t-elle eu son diplome ????? Danger extrème pour ses patients, mais elle ne doit pas en avoir si elle essaie de changer de métier. -
@Clémentine
Un autre article qui montre que non seulement la majorité des études parues dans le JAMA et autres journaux similaires sont financées par l’industrie pharmaceutique, mais qu’en plus de ces publications, ils font également de la publicité rémunérées pour des produits pharmaceutiques et reçoivent donc une somme importante d’argent directement de cette publicité dans leurs journaux...
Plus de deux cents publicités pharmaceutiques dans le JAMA...
Comment donc ne pas voir l’aspect biaisé et pro-vaccination de la part d’un éditeur du JAMA ?
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@abolab
Je suis allée voir les 4 liens que vous donnez pour fonder votre affirmation selon laquelle l’immunité naturelle suffit et la vaccination est inutile.Premier article, je lis ceci (traduit) : "Prises ensemble, ces données établissent la justification d’un schéma de rappel vaccinal qui peut être utilisé pour induire sélectivement des réponses immunitaires qui augmentent l’étendue et la puissance des anticorps ciblant des régions RBD spécifiques de la glycoprotéine de pointe".
Le deuxième article montre que l’infection induit des anticorps capables de tuer les cellules infectées quelle que soit la sévérité de la maladie (mais ça ne dit pas que l’immunité naturelle suffit).
Le troisième article semble bien défendre le principe de la vaccination : "Après une seule dose de vaccination, le taux d’anticorps augmente fortement quel que soit le taux pré-vaccinal et quel que soit le type de vaccin administré. (...) En augmentant de manière significative les titres d’anticorps protecteurs, une vaccination à dose unique renforce la protection contre les variants. (...) En augmentant les taux d’anticorps neutralisants, le vaccin contre le SARS-CoV-2 peut renforcer leur capacité protectrice, en particulier contre les variants hébergeant des mutations d’échappement d’anticorps comme le variant sud-africain."
Enfin, voici ce que conclut le quatrième article (traduit) : "L’équipe d’Ellebedy a observé les premiers signes que le vaccin à ARNm de Pfizer devrait déclencher la production des mêmes cellules. Mais la persistance de la production d’anticorps, qu’elle soit provoquée par la vaccination ou par l’infection, ne garantit pas une immunité durable au COVID-19. La capacité de certaines variants émergents du SRAS-CoV-2 à atténuer les effets protecteurs des anticorps signifie que des vaccinations supplémentaires peuvent être nécessaires pour rétablir les niveaux, explique Ellebedy. "Ma présomption est que nous aurons besoin d’un rappel.""
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@Clémentine
D’après le même article, le prix d’une publicité pleine page et en couleur "one-time" dans le journal JAMA : 14 847 dollars...
Le journal est estimé avoir une audience de plus de 300 000 lecteurs. Le prix d’une publicité par milliers de lecteurs exposés : 43 dollars.
Mitchell H Katz doit se faire un paquet de tunes en provenance de l’industrie pharmaceutique en tant qu’éditeur de ce journal. Et après, vous nous demandez d’avoir confiance quand il dit que la vaccination est plus efficace que l’immunité naturelle et "sans preuve" comme il l’affirme lui-même ?
Tout cela n’est vraiment pas sérieux, comme recommandation de santé publique.
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@Clémentine
Les chercheurs découvrent c’est leur travail.
Les conclusions sont des apréciations sujettes à l’erreur, on sort de la science pure.
L’histoire démontre, au moins jusqu’à présent, que l’homme n’a jamais fait mieux que la Nature, n’en déplaise aux bigots scientistes fanatiques.
L’on ne sait pas combien dure l’immunité naturelle, mais l’on sait maintenant qu’elle dure plus que celle fournie par les vaccins, de plus sa fourchette d’action est plus large. Les anticorps ne sont pas la seule défense, il y a aussi les lymphocites T :
Une-preuve-qui-met-fin-au-narratif.-Professeur-Sucharit
Conclusion mieux vaut faire confiance à ce qui a toujours marché et qui est une valeur sûre qu’à des docteurs Folamour qui ne cherchent qu’à péter plus haut que leur Ku. -
@Clémentine
Evidemment, tous les articles parus dans les journaux à impact médical sont pro-industrie pharmaceutique et pro-vaccins... C’est leur fond de commerce...
Il faut savoir lire entre les lignes. Quand une étude indique que les anticorps de l’immunité naturelle sont ultra-efficaces contre de très nombreux variants et les plus contagieux, cela veut dire ce que ça veut dire : l’immunité naturelle est la protection la plus efficace.Quand cette même étude entend faire un nouveau médicament de cette découverte, il faut voir ce que ça veut dire : intérêt industriel et pharmaceutique, qui est intrinsèquement incompatible avec l’idée de promouvoir l’immunité naturelle, qui, quant à elle, est gratuite et que l’on ne peut pas vendre ou enfermer dans un vaccin ou une pilule.
C’est pourquoi en se basant sur les études et leurs "conclusions", l’on ne peut qu’avoir un avis biaisé en faveur d’une intervention vaccinale ou pharmaceutique, alors que les données scientifiques elles-mêmes qui sont publiées indiquent que l’immunité naturelle est supérieure.
Citer les données scientifiques, d’accord, citer les conclusions biaisés de la plupart de leurs auteurs en faveur de placements de produits, attention...
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@abolab
OK, autant dire les choses clairement : vous lisez entre les lignes. Autrement dit, vous ne vous fondez sur aucun avis scientifique (réputé toujours corrompu), mais vous essayez de deviner, à travers leur prose, ce que les scientifiques auraient dit s’ils n’avaient pas un intérêt matériel à dire autre chose. Le postulat de toute votre démarche est donc que le monde scientifique ment. Il est certain qu’il est difficile alors de s’entendre avec ceux qui pensent que, globalement, les scientifiques sont honnêtes et disent ce qu’ils pensent être le vrai. -
@Clémentine
Ne déformez pas mes propos... Ce qui est important ce n’est pas l’opinion d’un tel ou tel, mais les données scientifiques. Ouvrez les yeux, la plupart des études scientifiques finissent par un appel implicite au financement de la part d’investisseurs pharmaceutiques, en suggérant l’efficacité de telle ou telle molécule...
La plupart des études scientifiques se basent également sur des données et des hypothèses incomplètes. C’est pourquoi la médecine doit se fonder non pas sur telle ou telle étude, mais sur un faisceau d’indications qui ensemble suggère qu’elle est la meilleure approche.
La position de l’OMS de ne vacciner que 30% de la population (les plus fragiles et exposés), est raisonnable. La position du gouvernement français de vacciner la totalité de la population sur la base de deux ou trois études de l’industrie pharmaceutique est non seulement irraisonnable mais scandaleuse.
Les données scientifiques montrent que les convalescents de la COVID-19 ont une forte réponse immunitaire acquise, supérieure à celle des vaccins, qui est efficace sur les variants les plus contagieux. C’est une indication que la COVID-19 n’est pas du fait d’un manque de réponse immunitaire acquise mais d’un problème associé à l’immunité innée, du fait de problèmes métaboliques préexistants (la forte concentration tissulaire en cholestérol en est un, d’où l’association de la maladie avec l’obésité).
Vacciner les personnes à risque ne les protège donc pas de futurs variants ou de nouveaux virus, car leur terrain métabolique n’est pas soigné... C’est juste une course contre la montre contre la prochaine infection quelle qu’elle soit.
Pour les personnes non à risque, aucun avantage ou bénéfice de la vaccination, d’autant plus que ce sont elles qui peuvent assurer une immunité collective plus robuste avec l’immunité naturelle.
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