Les FAITS concernant la Covid-19 contredisent les bavardages médiatiques scientifiques et politiques
Lorsqu'un fait, un constat, une déclaration objective, perturbe ou contredit des déclarations "officielles" des politiques et des scientifiques y afférents, ces vérités premières sont occultées et ignorées : le salut doit venir de la vaccination de masse, volontaire ou imposée par des mesures coercitives. La quatrième vague doit être absolument évitée en France pour éviter l'explosion du système hospitalier de santé, et pour enfin montrer aux électeurs l'efficacité des élites gouvernementales et faire oublier les couacs et contradictions à répétitions multiples ! Le retour sur les faits et leurs interprétations objectives est une nécessité de salubrité publique et de retour du bon sens !
Le SRAS-CoV-2 existe ; il est la cause de la CoViD-19. Qu'importe que son origine chinoise reste floue, par manque réel d'analyses rétroactives ou par volonté politique du Gouvernement de la Chine !
Les coronavirus ont des réservoirs animaux pour leur conservation et leur diffusion : sans épiloguer sur le pandolin chinois, des coronavirus ont été découverts sur des visons en Europe et ailleurs dans le monde. Ces vecteurs animaux restent marginaux devant l'ampleur du portage humain et de la pandémie induite.
Les premières réponses chinoises à l'épidémie naissante et au risque de pandémie
Les scientifiques chinois ont analysé et caractérisé le virus incriminé dès le début d'épidémie de Wuhan, en un temps record (selon la chronologie officielle ! ). Ils ont diffusé les caractéristiques biologiques (génétiques) essentielles aux scientifiques du monde entier pour qu'ils puissent rechercher des antiviraux efficaces et des vaccins.
La peur justifiée du développement d'une grave épidémie pouvant rapidement évoluer en pandémie, a incité les Autorités chinoises de santé et de protection civile, à mettre en place un CONFINEMENT strict de la totalité de la ville de Wuhan puis étendu à la province de Hubei. Confinement mis en oeuvre en association avec les masques obligatoires, des bouclages stricts, des livraisons de victuailles à domicile par des agents protégés dans des combinaisons/scaphandres, des tests en grand nombre et des isolements des hôpitaux, des malades et même avec le montage de structures hospitalières de "campagne". Apparemment les traitements se sont limités à des antidouleurs (paracétamol) et à des assistances respiratoires en oxygène, les antiviraux existants manquant d'efficacité. Le confinement intégral chez soi, sans sorties extérieures a sévi du 23 janvier au 8 avril 2020 : le résultat, bien avant la disponibilité de vaccins est -avec le recul du temps- d'une grande efficacité, au vu du nombre de décès (quelques milliers) et du nombre de cas positifs porteurs de la maladie (quelques dizaines de milliers). Même si la réalité des chiffres est contestable, il serait ridicule de prétendre qu'il faudrait multiplier par 100 les chiffres officiels, afin de retrouver des taux de décès et de contamination par million d'habitants comparables aux valeurs occidentales et indiennes ! Si l'on affecte tous les contaminés malades et les décès de la Chine à la seule province du Hubey (40 millions d'habitants) il y aurait dans ce cas : environ 2000 contaminations positives par million d'habitants et une centaine de morts par million d'habitants. Pour rappel les chiffres pour la France, l'Europe et les USA sont d'environ 100 000 cas de contamination par million d'habitant et le nombre de morts proche de 2000 par million d'habitant ! Ce qui prouve la grande inefficacité des mesures prises par les gouvernements occidentaux !
En outre, les biologistes chinois ont découverts différents niveaux d'infection et de réaction des contaminés allant des cas sévères graves, aux cas "invisibles" de contaminations sans symptômes apparents (asymptomatiques) en passant pas les cas de maladies/contaminations moyennes et légères. Les cas légers, détectés avec retard après multiplication des virus, apparaissant plus contagieux que les cas graves/sévères en phase d'intervention du système immunitaire.
La politique sanitaire chinoise a aussi dès le début isolé les territoires concernés et fermé les frontières, principalement les aéroports, avec des contrôles redondants (caméras multispectrales (dont infrarouge pour la température), tests PCR et génomiques) et mise en quarantaine systématique de 14 jours pour tous les entrants). Les détections de cas individualisés par mesure infrarouge de température a été étendu aux gares de trains, de bus et de métros et aux zones de rassemblement de population. Le suivi informatique des contaminés et de leurs contacts a été généralisé : ce n'est qu'une application nouvelle du suivi et du contrôle de la population et des mouvements de chacun !
La Chine a ensuite retrouvé rapidement un état sanitaire antérieur : seuls quelques cas sporadiques (traités avec célérité, sérieux et fermeté) ont empêché de considérer la Chine totalement libérée de la pandémie depuis l'été 2020. Il n'y a pas eu, contrairement au reste du monde, de retour d'épidémie sous la forme de nouvelles vagues (automne, hiver 2020 et printemps 2021). Bien avant la mise au point d'un vaccin et la campagne de vaccination préventive, la Chine s'était libérée de la CoVid-19 !!! La Chine a retrouvé dès l'été 2020 un très bon niveau d'activité économique poursuivi en 2021 par le retour de la croissance habituelle !
Pour mieux vendre à l'exportation ses vaccins, ou pour rassurer ses citoyens, la Chine s'est enfin lançée dans une méga campagne de vaccination ; à moins que les statistiques officielles chinoises ne correspondent pas à la réalité !
Les réponses des pays asiatiques voisins
Taïwan, la Corée du Sud, le Japon, Singapour et le Vietnam, avec leurs populations solidaires et disciplinées, ont vite mis en place des politiques préventives similaires aux chinoises (avec un suivi des cas-contacts et fermetures des frontières intérieures et extérieures). Leurs résultats en terme de nombre de décès et de faible baisse du niveau d'activités économiques sont remarquables, toujours indépendamment des vaccinations (non disponibles) !
L'Australie et la Nouvelle-Zélande, sans mettre en place un suivi des individus type Big Brother du roman 1984 d'Orwell, ont pris des mesures d'isolement des contaminés et de leur entourage, de confinement de villes et de régions, de fermeture drastique des frontières avec tests et mises en quarantaine systématiques. Tout cela pour aboutir a un état de zéro-covid, sans faire appel à la vaccination -non disponible lors de la prise des mesures sanitaires- ! Mais on ne sait si cettte politique est tenable à terme sans l'introduction d'une campagne massive de vaccination, à condition qu'elle soit efficace !
Les réponses des nations occidentales, européennes et américaines
Celles-ci ont d'abord minimisé cette petite épidémie chinoise et asiatique. Ensuite leur esprit de supériorité les a conduit à considérer que leurs moyens auto-réputés efficaces et les meilleurs du monde, allaient leur permettre de dominer et réduire l'épidémie naissante s'il advenait qu'ellle se répandait sur leurs territoires. Et ce, tout en conservant un maximun de liberté de circulation à l'intérieur de chaque nation et entre les nations (selon Schengen en UE). Résultat pour la France : en plus de l'impréparation à une réponse massive, à l'absence de masques, de tests, de produits, de médicaments, de matériels (blouses scaphandres, respirateurs/générateurs d'oxygène, lits supermédicalisés dits de réanimation) et insuffisance de personnel soignant, les cacophonies de communication médiatique ont engendré un discrédit des politiques et des acteurs (dans tous les sens de ce mot) du monde de la santé ! Pour les autres pays comparables, à l'exception de l'Allemagne mieux pourvue en équipements (masques, lits médicalisés, tests) les situations sont comparables en terme de contaminations et de décès -rapportées à la population- environ 10 000 cas de contaminés par million (10% de la population) et 2 000 décès par million (2% de la population), valeurs en fin de la dernière vague en cours. Les pays occidentaux ont adopté -en version dégradée ou simplifiée- les mesures chinoises de confinement, de couvre-feux, de masques, de détection et de suivi, et de distanciation : les résultats, à l'image des mesures prises, sont dégradés et insuffisnts.
Les pays occidentaux ont mis en place des programmes massifs de vaccination, limités par les capacités de production. Ces vaccins mis au point pour le coronavirus initial, semblent bien adaptés au variant anglais. Il y a des inconnues et des interrogations sur l'efficacité contre les variants brésiliens, sud-africains et indiens. Les grandes campagnes de vaccination gratuite sont vantées -souvent de façon excessive- par les communications gouvernementales et par les diverses autorités de santé : tous ces communiquants se gargarisent de l'efficacité de leurs décisions, alors que leur rôle réel est de "déclencher des financements" -à crédit- pour la partie médicale et pour la partie de soutien économique aux entreprises et à leurs employés en chômage partiel.
Premières conclusions à l'aube de la vaccination massive
Pour des épidémies à virus telles la variole ou la poliomyélite, la vaccination systématique de la population éradique la maladie. Par contre, pour les rhumes il n'y a pas de vaccin et pour la grippe le vaccin fortifie les défenses immunitaires et les adapte au variant concerné. Donc les vaccinés contre la grippe doivent l'être à nouveau lors de l'apparition de chaque variant, et en absence de variant nouveau la vaccination doit être reconduite chaque année. Les vaccinés de la grippe ne sont pas toujours satisfaits car ils attrapent souvent la grippe mais sous une forme bénigne : c'est normal car le vaccin ne tue pas toute charge virale entrant dans les voies respiratoires, il n'est qu'un initiateur/révélateur du programme interne de mise en branle du système immunitaire, avec les anticorps se fixant sur les intrus et les marquant afin que les lymphocytes macrophages les phagocytent et les détruisent. Et de plus pendant la phase initiale d'infection/incubation les virus se multiplient et sont en partie rejetés vers l'extérieur pour contaminer d'autres personnes. Ce mode opératoire est identique pour les vaccins contre le Sars-CoV2, virus responsable de la CoViD-19 : le directeur scientifique de Moderna l'a clairement dit lors de la présentation de son vaccin à l'été 2020, précisant même la très forte probabilité pour les vaccinés d'être contaminés par le virus, tout en ne déclenchant qu'une légère maladie car le système immunitaire du vacciné se met très rapidement en ordre de marche et limite fortement le développement de l'infection virale, donc évite toute forme grave de la maladie ! Mais le vacciné soumis à une charge virale, avec une infection légère, sera cependant contagieux par rejet respiratoire de virus. Ce directeur et tous les virologues responsables et sérieux sont en accord sur ce point capital, même s'ils espèrent que les expirations respiratoires ne porteront qu'une faible charge virale, laquelle après dispersion et dilution dans l'atmosphère ambiante, sera insuffisante pour contaminer des tiers. Les résultats actuels sur les vaccinés ne permettent pas encore de statuer sur ce point.
Le déroulement de la contamination et de la maladie
Phase préliminaire
La contamination a lieu principalement par voie aérienne respiratoire et secondairement par des contacts sur des surfaces contaminées par dépôt du virus et portées par la main jusqu'à la bouche et le nez. Dans la voie aérienne les virus sont le plus souvent portés par des microparticules liquides aqueuses ou solides (fumées, pollutions diverses) ; ils peuvent aussi être sans support. Les virus transportés dans les poumons lors de la respiration se déposent très faiblement sur les surfaces des alvéoles pulmonaires et des voies respiratoires : ce sont de grosses nanoparticules qui, comme pour les particules des fumées de tabac et pour les pollutions par micropoussières de l'air, ne se déposent que très, très faiblement, sur les parois humides recouvertes de film de muccus et de microbes (bactéries et virus) comme pour la peau avec son microbiote spécifique. Comme pour les fumées inhalées de tabac et de pollutions, la quasi totalité des microparticules ou des virus est exhalées et retourne dans l'air ambiant.
Ainsi dans une atmosphère confinée et mal aérée, un porteur contaminé de virus en phase de contagion, voit ses virus répartis dans l'atmosphère ambiante par passages successifs dans les poumons des personnes présentes dans le local concerné. Chaque personne est un containateur/disperseur avant d'être un contaminé !
Phase d'incubation
Si la charge virale est importante (en concentration initiale ou par accumulations successsives) des virus se déposent ou s'accrochent sur la surface des épithéliums ( alvéolaire, bronchioles, bronches, larynx, pharynx, cavité nasale, cavité buccale), surface protégée par des films de muccus chargés de bactéries et de virus "non pathogènes", films plus ou moins importants et parfois localement dégradés. Le coronavirus ne peut se multiplier que s'il entre dans une cellule disposant de logiciels actifs de copie des composants de l'ARN ou de l'ADN, et de leurs recombinaisons : les cellules concernées sont celles des bactéries éligibles à l'infection par ce coronavirus, et surtout les cellules de l'épithélium respiratoire (dans les poumons la surface développée est de l'ordre de 100 m2). Mais avant de contaminer les cellules épithéliales les coronavirus doivent "nager ou patauger" dans la couche de muccus dont l'épaisseur normale peut être de l'ordre du millier de fois la dimension du coronavirus. A titre de comparaison, la forte protection de muccus nasal lors d'un rhume s'oppose à l'infection par voie aérienne des virus spécifiques au rhume. Actuellement trop peu de virologues se penchent sur le "microbiote respiratoire" et ses intéractions avec des contaminants potentiels !
A défaut d'incubation dans les bactéries du microbiote du système respiratoire, les virus (porteurs des bonnes "clés" de pénétration) vont entrer dans les cellules de l'épithélium pulmonaire chargées des échanges de gaz (O2 et CO2) avec le sang (capillaires artériels et vaineux), pour s'y répliquer en nombre avant d'être rejetés vers l'atmosphère. (contagion) ou vers le réseau sanguin. Certaines cellules contaminées sont même détruites : zones visibles au scanner. Les virus se fixent aussi sur les cellules des cavités buccales et nasales, cellules du goût et de l'odorat, et s'y multiplient. Pour les cellules de l'odorat la réplication entraîne leur destruction ou les endommage fortement, avec perte de l'odorat et en outre, les cellules non seulement vont se propager dans le réseau sanguin, mais encore dans le système nerveux par les neurones de l'odorat traversant le bulbe olfactif de liaison entre la cavité nasale et la cavité cranienne. C'est, déjà là, une origine des maux de tête symptomes de la Covid-19 ! Les virus rejetés vers le réseau sanguin vont se disséminer dans tout le corps et interagir avec celui-ci engendrant différents symptômes.
Phase de réactions : maladie et réaction du système immunitaire
Une fois les cellules de l'épithélium attaquées pour répliquer les virus, des anticorps spécifiques adhèrent à des spicules du coronavirus pour empécher les virus d'infecter d'autres cellules et "marquer" les virus pour que les lymphocytes macrophages du système immunitaire les phagocytent et les détruisent. Selon la population et le niveau d'efficacité du système immunitaire, et selon l'ampleur de l'attaque virale, l'infection virale peut être bloquée ou se poursuivre en cas de protection immunitaire dégradée ou insuffisante : c'est le cas des personnes affaiblies ou à risques. Dans le système respiratoire les virus non seulement détruisent les cellules de l'épithélium en provoquant une sérieuse détresse respiratoire, mais encore vont se répandre dans d'autres organes pour les dégrader ou pour se stoker (adipocytes des masses graisseuses).
Des analyses fines de la réponse type du système immunitaire une fois que les intrus ont été détectés présentent le déroulement suivant :
- pendant 2 à 5 jours, selon la charge virale, les coronavirus envahissent progressivement les cellules de l'épithélium se multiplient et à la fois sont rejetés en agents de contagion et sont introduits dans les capillaires et le réseau sanguin ;
- puis les anticorps se fixent à des coronavirus et lancent des informations au corps pour la production de nouveaux anticorps et de lymphocytes :
- les lymphocytes T4 ou CD4 entrent en action progressive pour tuer les coronavirus, pendant plusieurs jours ;
- des lymphocytes T8 ou CD8 prennent le relais pour terminer la phase de destruction. Mais ces lymphocytes très efficaces sont moins nombreux et parfois inexistants selon les personnes et selon leur état physiologique ;
- in fine, soit le système immunitaire reprend le dessus avec une guérison accompagnée de séquelles dites de covid long, soit c'est la mort du patient par des insuffisances de fonctionnement des organes, dont le respiratoire, ou par un orage de cytokines dues à des réactions trop fortes pour la résistance du patient, réactions dues soit à la réponse du système immunitaire soit au complément de médicaments spécifiques traitant les organes attaqués par les coronavirus diffusés dans l'organisme.
La vaccination
Elle se veut préventive, mais elle ne sera que curative !
Les infectés dont l'attaque virale a déclenché l'activation du système immunitaire avec production d'anticorps bien adaptés aux virus, sont "immunisés" pendant une durée, pas encore déterminée, contre une nouvelle infection, ou plutôt leur système immunitaire a suffisamment d'anticorps pour déclencher une réponse rapide et efficace dès que les virus de la nouvelle attaque seront détectées dans le système sanguin des cellules épithéliales concernées.
La vaccination a pour but d'éduquer le système immunitaire global en lui faisant créer des anticorps spécifiques au coronavirus concerné (et pas nécessairement à tous ses variants à venir), spécifiques pour s'accrocher aux spicules d'adhérence aux cellules pour y pénétrer ; les dits anticorps étant reconnus par les lymphocytes chargés de détruire les attaquants pathogènes, et ayant une durée de vie suffisamment longue (une ou plusieurs années). La vaccination dans son procédé éducatif va aussi favoriser la production de lymphocytes en plus de celle d'anticorps.
La vaccination en injectant un vaccin provoquant indirectement des réactions du sytème immunitaire de base, si elle a lieu alors que le sujet est soumis à une attaque virale récente devant également déclencher une réaction immunitaire, peut provoquer une sur-réaction néfaste pour le sujet : c'est pourquoi, dans les recommandations initiales avant la vaccination il fallait, entr'autres, faire un test PCR ou équivalent. Depuis la folie vaccinatoire de certains pays, sans contrôles sérieux préalables, la France a aussi abandonné ses dispositions préventives !
La vaccination n'aura sa pleine efficacité qu'après un délai de 3 à 4 semaines après la seconde injection, donc après un délai supérieur à la protection acquise après avoir subi une attaque virale (suffisante pour réactiver le système immunitaire) : c'est normal car la vaccination, comparable aux anciennes vaccinations avec des virus atténués, provoque une "infection" légère pour faire réagir le système immunitaire.
Les vaccins actuels à ARN messager, centrés sur quelques séquences génomiques actives, ne sont pas adaptés à toute la multitude de variants potentiels du coronavirus : les recherches en cours pour un vaccin "universel" pour tous les variants potentiels n'ont pas encore abouti. Alors les laboratoires modifient leurs vaccins tout juste mis sur le marché pour les adapter aux variants indiens, sud-africains, brésiliens et autres à venir : d'où des nouvelles campagnes de vaccination pour la planète entière !
Le piège de l'immunité collective !
Que ce soit en laissant la population contracter massivement la Covid-19 pour obtenir une "immunité naturelle collective" ou en vaccinant la grande majorité de la population dans ce même but, l'espérance est vouée à l'échec pour deux raisons :
- la première est qu'il y aura toujours des variants insensibles à la première protection généralisée ;
- la seconde est que la résistance ou "l'immunité" acquise par le vaccin ou par l'infection naturelle n'agit qu'après une nouvelle contamination, avec sa phase de contagion : le vaccin n'est pas une thérapie préventive tueuse de virus !
Quelques recommandations
Ainsi, la première et principale protection pour éviter d'être infecté par le coronavirus, réside dans un confinement/isolement des malades (et des cas contacts) avec les mesures barrières comme le port d'un masque performant (FFP2 au minimum) et/ou la distanciation entre les personnes.
La vaccination, avec les vaccins actuels, est une bonne mesure de protection pour éviter les formes graves du covid-19, surtout pour les personnes à risques, et aussi pour tout un chacun car il y a de plus en plus de jeunes adultes victimes létales de cette maladie.
Il faudra s'habituer à cohabiter avec la Covid-19 et autres formes de maladies virales !
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