Victimes du vaccin hépatite B, rétablissons la vérité !
Devant les très nombreux appels reçus depuis le 14 août de la part du public à propos de l'arrêt de la Cour d'Appel de NANCY du 2 juin 2014, le REVAHB tient à vous communiquer cette Information,ci-jointe, qui permettra de rétablir certaines contre-vérités lues ou
entendues et rapportées par le public.
En effet, la somme totale de plus de 2 millions d'euros ne sera pas perçue par l'intéressée, d'une part, et il est inexact de dire que l'intéressée n'a développé des signes de sclérose en plaques que 3 ans après la vaccination, d'autre part.
Le Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative, retient dans ses critères pour reconnaître le lien de causalité entre pathologie, SEP dans ce cas, et vaccination anti-hépatite B un délai d'apparition des premiers symptômes neurologiques avérés et constatés
par un médecin dans les 2 à 3 mois.
Je compte sur vous pour rétablir la vérité des faits.
Catherine GACHES, Présidente de l'association REVAHB
Une infirmière psychiatrique a développé une sclérose en plaques (SEP) suite à une vaccination obligatoire contre l’hépatite B. Un Tribunal Administratif a condamné l’Etat, dans un arrêt de la Cour d’Appel de NANCY du 2 juin 2014, à l’indemniser à hauteur de 2.384.000 Euros. Un Tribunal Administratif a condamné l’Etat, dans un arrêt de la Cour d’Appel de NANCY du 2 juin 2014, à l’indemniser à hauteur de 2.384.000 Euros.
En réalité, la majorité de cette somme sera distribuée aux différents organismes qui prennent en charge les frais engagés : soins, aide à la personne, aménagements du logement... La victime ne touchera qu’environ 20 % de cette somme au titre des dépenses et préjudices personnels et professionnels. L’Etat a été ici condamné dans le cadre de sa décision d’obliger les professionnels de santé à recevoir ce vaccin. Le laboratoire fabricant ne peut pas être mis en cause par un Tribunal Administratif. Les Tribunaux Administratifs ne peuvent rendre des jugements qu’en faveur de victimes de vaccinations réalisées dans le cadre de leur profession.
Cependant, il existe une réelle discrimination, puisque les personnes qui ne peuvent saisir que les Tribunaux Civils n’obtiennent pas la même reconnaissance, ni d’indemnisation. L’absence de consensus scientifique (malgré 3 études épidémiologiques indépendantes qui ont conclu à une augmentation significative des risques de SEP après cette vaccination) ne permet pas aux juges de reconnaître le lien de causalité, ni à la victime de faire la preuve de la défectuosité du produit.
Le REVAHB, association de défense des victimes du vaccin hépatite B, recueille quotidiennement les témoignages de maladies auto-immunes ou neuro-dégénératives post-vaccinales : SEP, SLA, diabète insulino-dépendant, thyroïdite, lupus érythémateux, polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite, sclérodermie, hépatite auto-immune, myofasciite à macrophages... Le REVAHB a assuré la transmission en pharmacovigilance de plus de 72 % des cas répertoriés auprès de l’ANSM (ex-AFSAPPS), agence qui n’assure pas le suivi de ces personnes. Sachant qu'en 1998, le Docteur Costagliola avait retrouvé dans une étude statistique « capture-recapture », un taux de sous-notification situé entre 2,5 et 3 pour les SEP post-vaccinales, on peut légitimement se poser la question de savoir combien de victimes a occasionné réellement le vaccin contre l’hépatite B ?
Le REVAHB dénonce :
- La discrimination existant entre les personnes vaccinées obligatoirement dans le cadre de leur travail et les personnes vaccinées volontairement à la suite de fortes incitations excessives (Campagne du Ministère de la santé, désinformation de certains médecins et des laboratoires…).
- La discrimination et le manque d’homogénéité dans les décisions rendues par les divers tribunaux.
- Le fait que seul l’État, et donc la collectivité, soit condamné, exonère les laboratoires responsables de la sécurité des produits qu'ils mettent en circulation et dont ils tirent bénéfice sans en assurer le moindre « service après-vente ».
- Le manque de suivi par l’ANSM des effets indésirables collectés, ce qui minimise la gravité de l'état de santé de victimes (les décès ne sont, par exemple, pas comptabilisés).
Le REVAHB espère que cette condamnation fera jurisprudence et permettra aux différents tribunaux de prendre des décisions en faveur de TOUTES les victimes des vaccins anti-hépatite B, sans discrimination, ni une justice à deux vitesses qui permet actuellement d’exonérer totalement toute responsabilité des laboratoires fabricants.
Divers liens :
2. Interview de Marc Girard : la falsification
3. La question des vaccins hépatite b
Diverses lectures : Différents livres retracent l’histoire de la vaccination hépatite b
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