La société est à un grand virage vis à vis de l’image de l’Homme. On commence seulement à envisager les couple homosexuel, et encore c’est pas mal tabou, on leur interdit d’avoir des enfants, et pourtant, certains y arrive par le biais de mère porteuse.
L’homme n’a plus cette image de dur à cuire, l’homme doit être plus fort que la femme, l’homme ne doit pas pleurer... On assiste non pas à une féminisation de l’homme mais à la médiatisation de son coté émotionnel. Les garçons aux cheveux long ne sont plus un tabou.
Mais passons au vrai contenu de l’article.
Tu parle d’une chose importante sans désigner de vrai coupable. Mais en fait les véritable coupable c’est nous tous. On as laisser faire. Laisser faire quoi ?
Commençons par le député qui souhaite interdire les châtiment corporel. La claque ou la fessé sert à quoi ? A dire à l’enfant que là il va beaucoup trop loin. Si l’enfant ne dépasse pas les bornes on peut lui accorder un cadre plus grand, donc se passer de la claque ou de la fessé. Par contre à ceux qui teste constamment les limites que peut-on faire ?
Les enfants lorsqu’ils sont dans une structure autre que la maison et qu’ils dépassent les bornes, ils disent aux adultes : « de toute façon tu ne peux pas me frapper, t’es pas mon père ! »
La société de maintenant pose problème dans la gestion de conflit. il n’existe aucun lieu, aucun temps ou on peut désamorcer les petit conflit avant qu’ils ne devienne plus important. Les gens qui vont trop loin c’est à cause de tout ce non-dit qui s’accumule durant le conflit, ne savant pas comment s’exprimer la personne explose et fini par tomber dans la violence. Mais la société se rabat sur l’école.
L’école est responsable, quand un élève va mal, elle le laisse dépérir. L’école est un lieu de savoir et pas d’éducation me dit-on... Je suis tout de même étonné que le ministère qui s’occupe de l’école s’appelle l’éducation nationale !!
L’école est devenue un trou à savoir où on ne s’amuse pas, on ne prend pas plaisir à apprendre, donc on apprend pas ou mal.
Quand un élève baisse dans les notes, fait des bêtise, c’est un appel au secours. Ça peut être grave (problème à la maison) mais aussi moins grave (j’ai regardé un film violent hier soir à la télé) mais dans tout les cas il faut que l’enfant s’exprime.
Aucun temps ni aucun lieu n’est donné. Le temps de vie de classe c’est bien pour les problème du groupe (quand il n’est pas utilisé à rattraper le programme), mais les problème personnels, qu’est ce qu’on en fait ? Vous voyez un élève dire devant toute une classe « je me suis fait violer » ! Qui est à même d’écouter cet enfant en détresse ?
Du coup l’école se rabat sur les association de jeunesse.
Dans les associations (je suis animateur), on se retrouve confronter à 12 enfants par animateur qui demande d’être écouter. Dans une journée on a pas le temps, pas les moyens nécessaire (quand on dit qu’un enfant à un problème psychologique [associabilité, plaie sentimentale ouverte] on nous dit simplement « mais vous êtes qui pour dire ça ? Quel diplôme vous avez ? »
Pour avoir dit ça mon association se retrouve dans le collimateur de l’éducation nationale, de la circonférence, de la préfecture, des assistante sociales, des éducateur spécialisé...
Du coup on se rabat sur les parents.
Les parents quand à eux sont complètement dépassé par les événement. Vous ne pouvez pas imaginer que votre enfants vous ment, vous as raconter une histoire de toutes pièce sur la maîtresse parce qu’elle lui as collé une punition. Du coup vous y aller avec votre hache de guerre à la main et dans ce lieu saint qu’est l’école, il n’y a personne pour vous aider à l’enterrer cette hache de guerre. Du coup l’enfant à un perte de confiance en l’école.
Les parents n’ont pas de formation nécessaire pour faire face au nouveaux médias. A mon travail, j’ai vu un enfant de 7 ans faire sauter le contrôle parentale et pourtant je n’ai que 23 ans, je suis un enfants de l’informatique.
Les enfants adorent les jeux vidéo mais bien souvent les adultes leurs achète pour avoir la paix, un peu de temps à eux mais ne font pas du tout attention à la PEGI. Du coup dès 7 ans les enfants jouent à des jeux comme GTA qui sont censé faire intervenir la catharsis de l’adulte. Mais à 7 ans réalité et fiction n’ont pas de frontière claire. Regarder dans les cité ghetto comment les enfant se comporte ou s’habille, on se croirait dans GTA.
Les parent n’arrive pas à dire non à leurs enfants. Pourquoi ? pas parce que se sont de mauvais parents mais ils voient sans pouvoir l’exprimer les erreur qu’ils ont faite et les compenses avec le matériel.
Du coup on remet la faute sur la télé et les jeux vidéos
Sur les consoles comme la Xbox360 et la PS3 les jeux violents sont légions. Mais à qui s’adresse ces consoles ? Avant tout aux adultes. Seul la Wii et la DS vise la famille.
Alors pourquoi des enfants ont ces consoles dans leurs chambre (aucun contrôle parentale) avec des jeux qui ne sont pas adapté à leurs âge malgré la PEGI qui est pourtant très claire.
Pourquoi ces enfants ont la possibilité de regarder des films jusque tard le soir dans leurs chambres ? Et ces film sont bien sur pas du tout adapter à leurs âges, passé le film de 20h30, la télé ne concerne que les adultes, et encore, les film de première partie de soirée ne sont pas toujours adapté aux enfants et concerne les ados.
Du coup on remet la faute sur la société.
Et là vous retournez en haut du poste et vous redescendez, et recommencez, recommencez... Tout le monde se balance la faute sur le dos et personne ne fait rien.
Un enfant violent qui ne cesse de se confronter au cadre est un enfant qui a peur. De tels peurs qu’ils en viennent à poignarder leur professeur et au poste de police il explique qu’ils se sont senti agressé.