Et si le neutrino confirmait les théories d’Einstein ?

On attendait le boson de Higgs à la une des dépêches scientifique mais la vedette a été volée par une particule assez étrange, le neutrino, qui aurait eu l’audace de dépasser la vitesse de la lumière. Du coup la presse s’est emparée de l’affaire et le laboratoire où se sont produit les faits a été assailli avec une ferveur inégalée, dépassant le loin l’agitation médiatique lors de l’affaire DSK. Il faut dire que cette découverte est prise au sérieux, remettant en cause le postulat fondamental de la relativité restreinte. La vitesse de la lumière aurait été dépassée de peu, quelques kilomètres par seconde. Ce qui infirmerait le postulat fondamental et remettrait en cause le pilier fondamental de la relativité restreinte. La matière grise des chercheurs n’a cessé de phosphorer depuis, sans apporter d’évidence nouvelle, évoquant comme dans toute découverte effectuée au millimètre une erreur de mesure, voire un artefact. Il existe pourtant une éventualité que je livre aux physiciens, n’ayant pas les compétences suffisantes pour la discuter.
En fait, il se peut bien que le neutrino ait confirmé la relativité d’Einstein, pas une mais deux théorie. Rappelons que la relativité restreinte formalisme l’espace-temps et que la relativité générale formalisme l’espace-temps ajusté au masses dans l’univers. Le champ électromagnétique est courbé et les masses influent sur le champ des photons au point que le GPS doive incorporer des corrections relativistes sinon l’instrument se trompe de quelques mètres. La masse de la terre introduit en effet une infime modification du temps qui se s’écoule pas identiquement selon qu’il est dans l’espace au niveau des satellites géostationnaires ou à la surface de la terre.
Voici maintenant l’hypothèse. L’effet de la masse introduit une courbure dans l’espace temps. La vitesse de la lumière est donc dépendante de l’influence de la terre. Supposons que le neutrino ne soit pas influencé par la masse, autrement dit que le champ de neutrino ne soit pas ajusté à la présence des masses contrairement au champ électromagnétique. Le neutrino ne respecte alors pas la courbure de l’espace et va un peu plus vite que le photon. Il suffit de se représenter le déplacement de A à B dans un arc de cercle, si vous tracer une ligne droite, vous irez plus vite. L’image est simple, sauf qu’il faut se représenter la chose avec quatre dimensions, trois d’espace et une de temps. Ce n’est pas le neutrino qui va plus vite que le photon mais c’est l’inverse, le photon qui, sous l’influence de la masse, se déplace moins vite et doit faire l’objet d’une correction relativiste.
La solution est donc plus simple qu’il n’y paraît si on suppose que le neutrino n’est pas couplé au champ de masse. Des vieux travaux datant de 1966 et signés Françoise Moret-Bailly ont formalisé le champ de neutrino avec force formules mathématiques. Il apparaît que la fusion de deux champs neutriniques donne naissance à un champ électromagnétique pur singulier et un champ gravitationnel pur. Je ne peux dire si ces travaux sont utiles dans ce contexte mais ils semblent indiquer qu’un champ neutrinique serait découplé du champ gravitationnel.
Au lieu d’infirmer la relativité restreinte, cette expérience serait en fait la confirmation de la relativité générale. Si tel était le cas, les physiciens n’auraient pas eu l’idée de supposer le découpage du champ neutrinique avec celui de la gravitation. A voir…
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58 réactions à cet article
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Ca m’étonnerait que des physiciens experts dans ce domaine aient oublié de prendre en compte le phénomène que vous décrivez.
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En effet, un calcul géométrique montre que la courbure imposée à la lumière entraînerait une déviation de 45 mètres pour 732 km ce qui est facilement mesurable et de toute façon supérieur à au diamètre du tunnel.
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Or sur une durée de 20 millisecondes (temps de parcours de la lumière sur 730km) la déviation imposée par la gravité terrestre au niveau de la mer n’est que de 0,0004 mètres en tenant compte de l’effet relativiste.
Erratum : il n’y a pas besoin de tunnel pour étudier les neutrinos.
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En fait 0,00004 mètres et non 0,0004 (j’ai oublié un zéro).
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Peut-être que tout simplement Einstein s’est trompé de particule et que la constante cosmologique n’est pas la vitesse du photon mais celle du neutrino. Si le photon subit la gravitation, possède-t-il une masse ?
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Oui je viens de lire à peu près ça dans l’article de JP BASQUIAT (Automates intelligents).
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Bonjour,
Ce n’est pas une histoire de masse mais de courbure d’espace-temps
Comme je l’ai expliqué, c’est comme si le neutrino allait tout droit alors que le photon décrit un arc de cercle. Le champ neutrinique n’ayant pas la même forme que le champ électromagnétique qui lui est « tordu » par le champ de gravité. -
Un petit rectificatif
Comme souvent, ma pensée allant trop vite, je fais des raccourcis sémantiquesA la place de « le photon sous l’effet de la masse »
il faut lire
« le photon, sous l’effet de la courbure spatiotemporelle liée à la masse de la terre »
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Bon, moi j’ai une autre hypothèse. Elle vaut ce qu’elle vaut, elle est peut-être ridicule, mais bon, je l’écris ici.
Et si le photon se déplaçait dans un espace à n dimensions ? Imaginons par exemple que le photon se meuve dans nos dimensions habituelles, plus une dimension repliée sur elle-même à échelle très petite. Ainsi la vitesse que nous mesurerions ne serait que la composante selon nos dimensions de la vitesse réelle de la lumière. Imaginons maintenant que le neutrino a une vitesse qui n’a aucune composante dans cette petite dimension dont j’ai parlé : la vitesse mesurée du neutrino serait donc la norme de la vitesse de la lumière, et non sa composante selon une dimension particulière. Ainsi ce n’est pas que la vitesse de la lumière ait été dépassée, mais qu’en réalité la mesure connue n’était que la mesure d’une composante. La découverte serait donc celle d’une dimension supplémentaire d’espace, dimension qui serait utilisée par les photons mais pas par les neutrinos.
Je ne sais cependant pas si ce que je dis est pertinent dans un cadre relativiste. Si un spécialiste parcourt ces lignes, qu’il me dise ce qu’il en pense. -
Sauf que la théorie d’Einstein fut pour concilier les équation de Maxwell et l’effet photoélectrique, donc le comportement de la lumière, dont la vitesse est c avec c² = 1/ϵₒμₒ... (ϵₒ étant la permittivité électrique du vide, μₒ la perméabilité magnétique du vide).
Le souci est que le Neutrino n’est pas issu de la théorie électro-magnétique de Maxwell, mais est une particule postulée par Fermi pour expliquer la non quantification de l’énergie des rayons β (ou électrons ou rayons cathodiques) dans certaines réactions nucléaires, et pour besoin d’assurer une conservation de l’énergie lors de ces réactions. Il n’y a donc pas d’équation d’onde pour déterminer une vitesse aux neutrinos.
Einstein ayant postulé c (=1/√ϵₒμₒ) vitesse limite pour toute particule, comme nous sommes dans l’incapacité de déterminer par une équation d’onde la vitesse des neutrinos,... ça fait sérieusement désordre. Il n’y a aucune justification théorique, du point de vue de l’histoire scientifique, de prendre la vitesse du neutrino comme référence de vitesse limite.
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Einstein aurait déclaré : Poincaré et Hilbert vous n’êtes que des pauv’cons... j’ai copié sur vous et j’ai signé et maintenant c’est moi qui passe pour un con ! et toi le photographe je t’emmerde !
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Est-il possible de penser que le neutrino est en fait la seul particule qui ne bouge pas ? (rêve d’Archimède de trouver un point fixe dans l’univers)
Étant dans un univers en expansion et mouvement sa donnerais l’impression qu’il bouge, je ne parle pas d’émission, car si il n’est pas soumis au loi de la gravité, l’ont peu considéré qu’il est fixe ?
Un peu comme une trainé d’avions si vous voulez, si c’est correcte ont peu calculer précisément la vitesse d’expansion de l’univers...
C’est trop cavalier ?
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En jouant le rôle du candide :
OK le plus court chemin d’un point à un autre est la droite, chemin du neutrino à une infime exception près
OK pour la courbure de l’espace-temps par le champ de gravité qui « ralentit » le photon
Dans un trou noir, le neutrino est captif, le photon aussi, l’espace-temps disparaît
Ben dis-donc !
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En jouant le rôle du candide :
OK le plus court chemin d’un point à un autre est la droite, chemin du neutrino à une infime exception près
OK pour la courbure de l’espace-temps par le champ de gravité qui « ralentit » le photon
Dans un trou noir, le neutrino est captif, le photon aussi, l’espace-temps disparaît
Ben dis-donc !
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J’attends toujours partout la réponse à l’objection suivante :
Lorsqu’un photon (ou un neutrino) est censé me quitter à la vitesse de la lumière c, ça veut dire par récirpocité que vu de lui je m’éloigne à -c, ce qui en relativité me confère aussitôt une masse infinie......résultat absurde.
Tout les spécialistes de la relativité en ont conclu que le principe de réciprocité ne s’appliquait pas à cette classe d’entités. Conclusion colatérale : il devrait donc être tout simplement interdit de parler de la vitesse de ce type d’entités puisque parler de la vitesse de ces entités présuppose la validité pour elles du principe de réciprocité, VRAI ou FAUX ?
La vitesse de cette classe de particule ne pourrait être évoquée que par rapport à un repère absolu immatériel et universel, celui de Newton, c’est à dire celui là même que Leibniz puis Einstein prétendaient éliminer....cruel paradoxe n’est-ce pas ?-
il devrait donc être tout simplement interdit de parler de la vitesse de ce type d’entités puisque parler de la vitesse de ces entités présuppose la validité pour elles du principe de réciprocité, VRAI ou FAUX ?
Faux, car vous continuez à penser des phénomènes relativistes avec des présupposés newtoniens. Ce que vous appelez « principe de réciprocité » s’appelle en mécanique newtonienne un changement de référentiel. En mécanique newtonienne, pour un référentiel en mouvement de translation uniforme par rapport à un autre, l’opération est en effet une simple addition, comme vous le faites dans votre exemple. Mais en mécanique relativiste le changement de référentiel se fait par une opération plus compliquée : la transformation de Lorentz.
Vos efforts pour questionner la relativité sont honorables car ils montrent une volonté d’appliquer votre esprit critique à toute chose, mais demandez-vous deux minutes si des objections aussi simples n’auraient pas pu traverser l’esprit des milliers de physiciens qui se sont penchés sur le sujet et anéantir la théorie bien plus tôt. -
Tout à fait et j’ajoute que ça n’a pas trop de sens de parler du photon comme s’il était un point mathématique immatériel dont on peut établir la trajectoire. D’ailleurs, l’expérience des interférences de Young a montré que la trajectoire n’a plus de sens. La physique contemporaine est assez éloignée de la mécanique rationnelle de Newton Lagrange Laplace. C’est une physique des champs.
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La vitesse de cette classe de particule ne pourrait être évoquée que par rapport à un repère absolu immatériel et universel, celui de Newton
Au contraire, la vitesse du photon peut être exprimer dans n’importe quel référentiel, quel qu’il soit. Donc pas de référentiel absolu. -
Mr Dugué,
le photon, point matériel, est indispensable pour l’explication de l’effet photoélectrique (choc élastique et donc conservation de quantité de mouvement entre photon et électron). Mais évidemment, cette explication n’est pas compatible avec les équations de Maxwell. D’où ces multiples tentatives de conciliation qui ont abouti à la relativité et à la MQ.A mon avis, mieux vaudrait réviser les catégories que l’on emploie à la base.
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Mr Dugué :
qu’est-ce qu’un champ en physique ? -
@ffi
Le champ dérive du potentiel et est donc mesurable .... le potentiel ne peut l’être... seule une différence de potentiel (en éliminant la constante) est mesurable.
Ceci dit nous sommes fait de matière, et la matière cherchant à s’expliquer ne peut être que de parti pris. -
Un champ, c’est associer chaque point de l’espace à un vecteur.
Le plus souvent, ça revient à donner les accélérations ou les vitesses en chaque point (q.E = m.a, g.H = m.a).Je me suis toujours demandé quel besoin avait eu Einstein de trafiquer les notion d’espace et de temps. N’aurait-il pas suffit d’imaginer un champ de courbure et laisser l’espace euclidien ?
Si le but est juste de retrouver le champ des vitesses Képlerien (v²=K/r), mais de manière compliquée, ça ne sert à rien.
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mes excuses pour le doublon
Dans cet ordre d’idée, la crainte que nous avions que le CERN crée des trous noirs n’aurait pas de sens ?
comment ces particules se rejoignent-elles ?
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Des trous noirs dans l’esprit de nos oracles de la physique, si.
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Par Roungalashinga (xxx.xxx.xxx.123) 28 septembre 11:05
La vitesse de cette classe de particule ne pourrait être évoquée que par rapport à un repère absolu immatériel et universel, celui de Newton
Au contraire, la vitesse du photon peut être exprimer dans n’importe quel référentiel, quel qu’il soit. Donc pas de référentiel absolu.
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Vous tournez en rond, c’est justement parce que le principe de réciprocité n’est pas valable pour ce type de particule, que la notion même de vitesse relative est inadéquate pour décrire leur cinématique (fut elle décrite avec le formalisme relativiste).
Tiens un autre exemple au hasard : comment se fait-il qu ’il y ait asymétrie de la situation des jumeaux de Langevin (je sais bien que dans ce cas on y rajoute des accélérations, mais par rapport à quoi sont référencées ces accélérations d’après vous ?)-
mais par rapport à quoi sont référencées ces accélérations d’après vous
Par rapport au référentiel du jumeau qui reste sur Terre, par exemple, non ? -
vote : 1mais par rapport à quoi sont référencées ces accélérations d’après vous
Par rapport au référentiel du jumeau qui reste sur Terre, par exemple, non ?
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Ben justement non, sinon, vous pourriez tout aussi bien dire que c’est la terre qui s’est éloignée du second jumeau et de son vaisseau à la même vitesse mais en sens inverse.
Or on affirme que seul l’un d’entre eux vieillit vous voyez bien qu’il faut un référencement des accélérations extérieurs au 2 jumeaux pour expliquer ça. -
Ou alors, la référence est par rapport à Dieu (qui ne joue pas aux dés) ?
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@Jean :
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la seconde est définie comme égale à 9 192 631 770 périodes de la radiation de transition entre les deux niveaux hyperfins d’énergie de l’état fondamental de l’atome de césium 133
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Qu’y a-t-il de relatif là-dedans ? -
C’est simple, le neutrino vole de ses propres ailes :
http://www.atramenta.net/lire/plus-vite-que-la-lumiere/35202
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Le temps reste partout le même oui, mais la théorie du mec dis que la gravité joue sur le temps et l’espace.
De ce fait le temps s’écoule normalement ou vous êtes mais différemment (c’est pas vraiment le mot) selon la gravité.
exemple pratique :
Des horloges font le tour du monde
L’un des buts des ingénieurs du CNES est d’améliorer des expériences de « manipulation du temps », dont l’une des plus incroyables a été celle de Joseph Hafele et Richard Keating, en 1971.
Ces deux physiciens américains avaient placé des horloges ultraprécises à bord d’avions de ligne.
De vol en vol, les horloges avaient effectué un tour du monde, certaines voyageant vers l’Ouest, d’autres vers l’Est.
À leur retour au point de départ, les horloges avaient été comparées avec celles restées à terre : les heures ne coïncidaient plus !
Celles voyageant vers l’Ouest avaient avancé de 275 milliardièmes de seconde par rapport à l’horloge terrestre, alors que celles traversant le ciel par l’Est avaient pris un retard de 59 milliardièmes de seconde.
Autrement dit, le voyage avait accéléré le temps pour les unes et ralenti pour les autres !
Je sais sa fait mal au crâne... difficile à croire hein ?
Ce qui fait en pratique que le voyage dans le temps est (théoriquement possible mais humainement irréalisable), mais le ralentissement et l’accélération n’est affaire que du point de vue de l’intéressé,
car le temps est relatif ^^ (il n’est pas fixe)
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Cela dit, partir du principe que c’est le temps lui-même qui varie est excessif. On peut aussi très bien dire que c’est la période de l’objet cyclique qui varie.
En altitude, les rayons cosmiques ont peut-être plus d’influence qu’à la surface.
D’autre part, j’avais entendu que ces expériences n’était pas si claires que cela. Les variations pour un même voyage semble assez importantes, ce qui est masqué par le recours à la moyenne.
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Le problème principal de l’homme c’est qu’il confond la réalité objective avec les interprétations sensorielles que donne son cerveau de l’extérieur de lui même.
Le cerveau met en forme cohérente une série d’impulsions qui par la suite donne un semblant d’harmonie scientifique à ce qu’il entoure mais c’est une illusion, ce n’est pas parce que 2 points sont très proches l’un de l’autre dans l’espace et dans le temps qu’il y a réellement un continuum objectif entre les deux par exemple. La mécanique quantique nous indique même que l’espace et le temps eux même ont toutes les chances d’être quantifiés.-
Compliqué comme explication.
L’homme identifie les choses du monde selon un système de catégories qu’il a déjà en mémoire (le savoir). Mais parfois ce système de catégories est faux, et donc toutes les interprétations qu’il tire du monde sont erronées.
Dans un tel cas, il faut réviser les catégories de bases, ce qui est délicat, car elles sont, d’une part, solidement ancrées dans les têtes, et, d’autre part, beaucoup de savants tirent profit leur savoir à travers un métier qui les faits vivre. Ce travail de révision est rendu d’autant plus difficile que les expériences ne sont jamais énoncées brut, mais toujours emmêlée par des interprétations.
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Par ffi (xxx.xxx.xxx.3) 28 septembre 15:39
Compliqué comme explication.
L’homme identifie les choses du monde selon un système de catégories qu’il a déjà en mémoire (le savoir). Mais parfois ce système de catégories est faux, et donc toutes les interprétations qu’il tire du monde sont erronées.
Dans un tel cas, il faut réviser les catégories de bases, ce qui est délicat, car elles sont, d’une part, solidement ancrées dans les têtes, et, d’autre part, beaucoup de savants tirent profit leur savoir à travers un métier qui les faits vivre. Ce travail de révision est rendu d’autant plus difficile que les expériences ne sont jamais énoncées brut, mais toujours emmêlée par des interprétations.
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C’est exactement le même problème qu’avec un hologramme, éclairé par une lumière inadéquate, il apparait comme un fatras informe, mais éclairé par un LASER, il donne de la cohérence à l’objet éclairé. Certains pensent que la réalité ne serait que le compromis de ce que tout les cerveaux qui le peuplent en pensent. Ce n’est pas seulement je pense donc je suis, mais je pense donc je fais devenir, ou j’actualise ma toute petite portion de la réalité. -
Sauf qu’avec l’hologramme, l’image préexiste et a été « photographiée » par un LASER du même type auparavant.
Nous ne sommes pas forcément dans ce cas. L’image du monde ne préexiste pas nécessairement en l’homme. Mais il est vrai que l’image du monde est préconçue par l’éducation donnée aux catégories issues du savoir dogmatique antérieur. Donc l’on tend à voir ce que l’on sait déjà à priori.
D’où les difficultés à changer de paradigme.
Personnellement, je commence même à douter de la pertinence du modèle atomique, notamment que les rayons cathodiques soient des électrons préalablement contenus dans les atomes.
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Atomes d’ailleurs postulés dès Démocrite, ce qui montre encore que l’on « lit » le monde avec des catégories préconçues.
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Je n’ai jamais cru que la vitesse de la lumière était indépassable, même quand j’ai entendu parlé de cette théorie la première fois (à 10 ou 12 ans ?) Intuitivement, cela me semblait déjà idiot. Déjà il me semblait que la vitesse de la pensée devait être évidemment plus importante que celle de la lumière (de plus la pensée voyage dans le temps aussi).
A chaque fois qu’un homme de science dit qu’une chose est indépassable, il se trompe. Même la prétention humaine est probablement dépasable. On doit bien trouver d’autres habitants de l’univers plus arrogants que les humains, non ? (Chuuut, ne parlons pas trop fort, ils se croient probablement seuls dans le grand cosmos... comme nous)-
La vitesse de la pensée, c’est quoi et ça se mesure comment ?
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Vous pouvez directement quantifier votre hypothèse en estimant la courbure d’espace-temps produit par la terre et en calculant la longueur de l’Arc.
Mais, à mon avis, le problème est bien plus profond. Pour le percevoir, il faut reprendre l’histoire des sciences.
Déjà, en mathématique, dès le XIXème, il y a eu une embrouille : les quaternions d’hamilton. Première tentative de correction avec Gibbs (analyse vectorielle), mais le produit vectoriel est fort mal défini et les symétries sont erronées. Puis le délire continue avec les « spineurs », utilisés à fond par Einstein. Les physiciens ont pris le goût d’utiliser des « opérateurs » dont ils ne comprennent même plus le sens. Aujourd’hui, il faut souligner l’effort produit par David Hestenes, qui reprend l’algèbre de Clifford et réinterprète les équations du XXème siècle en s’efforçant d’en former une image géométrique (Les physiciens théoriciens ont utilisé des algèbres de Clifford sans le savoir).
Ensuite, en physique. Sur ce point, la situation est plus complexe à dépatouiller. Il y a eu constamment deux école d’interprétation au sujet de la lumière : onde (Fresnel, Fermat, Maxwell), corpuscule (particule de feu de Descartes et Newton, photon d’Einstein).
A la fin du XIXème Maxwell avait produit ses fameuses équations, modélisant la lumière comme une onde électromagnétique. Mais la découverte de l’effet photoélectrique ne pouvait s’expliquer convenablement dans ce cadre ondulatoire.
En revanche, en considérant la lumière comme un flux de particule (les photons, postulés par Einstein), et en s’appuyant sur la théorie de Thompson (les rayons cathodiques sont des électrons, petites briques de l’atome), l’explication était simple et mécanique : les photons percutaient les atomes, en expulsant les électrons.
Mais du coup, la théorie de Maxwell prenait du plomb dans l’aile. Notamment, aucun référentiel particulier n’était indiqué. Par rapport à quoi mesurait-on la vitesse de la lumière ? Or si la lumière était composée de particules, alors celle-ci devait suivre les lois de transformations galiléennes.
Comme la théorie de Maxwell s’appuyait sur le concept d’éther, vu comme le milieu où se propage l’onde lumineuse, certains se sont dit que l’on devait mesurer la vitesse de la lumière dans un référentiel fixe, lié à l’éther, et que les lois de compositions devaient s’appliquer normalement. Lorenz, lui, avait remarqué que postuler une vitesse limite, et faire certaines transformations mathématiques de l’équation de Maxwell (transformations de Lorentz), permettait de s’assurer que ces équations de Maxwell soient correctes dans tous les référentiels en mouvement de translation uniforme par rapport à l’éther.
Lors de l’échec de l’expérience de Michelson-Morley (Relatif, lire Maurice Allais sur ce sujet), la composition des vitesses n’apparut pas pertinente. La voie suivie fut celle de Lorenz. Selon ce point de vue, Poincaré démontra que la lumière était analogue à un fluide de masse m = E/c². Einstein repris la chose, postulat le photon, et décréta E=mc².
Le soucis est que Einstein généralisa cette conception, correcte pour la lumière, à toute la matière et à toute les particules, dont le neutrino. Ce postulat est sûrement issu de sa culture Kabbalistique, dont la cosmogonie enseigne que le monde est issu d’un faisceau de lumière lancé par Dieu dans les ténèbres quand il se retire (i.e. toute chose est de la lumière piégée).
Maintenant qu’il semble démontré que des particules vont plus vites que le photon, c’est le paradigme central de la relativité qui s’effondre : la vitesse du photon n’est pas l’alpha et l’oméga de la physique... Voilà donc que la courbure de l’espace-temps n’est plus.
L’auteur essaye de s’en tirer en ramenant la courbure de l’espace-temps à une simple courbure du champ électromagnétique, mais cela contredit la théorie de manière intrinsèque. En relativité, c’est l’espace-temps lui même qui est « courbé », en propre. C’est le temps et l’espace qui se « dilatent » ou se « contractent »... Cela revient à relativiser la généralité de la relativité générale...
Il y a eu suffisamment de relativisations et de généralisations.
Mieux vaut repartir sur de nouvelles bases.-
Et si la logique scientifique est « fausse » ?
Et si la logique mathématique systémique se révèle plus réaliste ... einstein a suivit un instinct « magique », il faut peut être compléter ....
Si : plusieurs lois se chevauchent ... et dépendent de la localisation spatiale, en plus de données locales
Peut être que chercher une lois universelle n’est pas le bon cas de figure : peut être est ce une fonction
alors là ... ca changerait tout
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Vous connaissez le
Le réfrigérateur d’Einstein
(encore un truc qu’il a surement piqué un peu mais bon ) -
« Mieux vaut repartir sur de nouvelles bases. »
Là j’ai compris , je ne saisi pas toute les subtilités mais bon.
Il ne faut jamais ne rien remettre en cause, le vole et le plagiat ont toujours existé, bien souvent pour favorisé les puissant (surtout dans les mathématiques et la physique)
certaine chose sont passé sous silence pour ne par ruiner certaine industrie (logique, c’est la banque qui finance, et les recherches et les entreprises)
Mais tous ne doit pas être faux, prenez un autre point de vue
voyez l’univers comme étant cyclique car j’ai l’impression que cette voie annonce une remise en cause quasi total de notre vision du monde.
(comment il font les gens comme vous pour s’y retrouvé ? non non ne m’expliquer pas svp )
(j’avais un ancien prof de math fan de Pythagore, quand ont sais que le mecs qui découvrira pie sera multi-multi millionnaire sa aide)D’ailleurs Pythagore avais crée une sorte de secte ou toutes chose portais un nombre défini, sentiment compris http://fr.wikipedia.org/wiki/Pythagore
tous bonnement incroyable ! et sans ordinateur messieurs cet homme devais être fou pour être un si grand génie, et a cette secte nous devons les mathématiques moderne ! mais il l’ont pris aux babylonien ! (savoir d’où viens la connaissance est une chose superbe !)
et je ne parle pas d’archiméde !! http://www.cosmovisions.com/Archimede.htm
http://images.math.cnrs.fr/Le-codex-d-Archimede.html(les archives du vatican sa doit forcément y être grrrrr)
elle sont là les bases !!!
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Il n’y a pas vraiment de subtilités.
Depuis le XVIème, il y a eu deux conceptions de la lumière.
Pour certains, il s’agissait de particules de feu.
Pour d’autres, il s’agissait d’une onde (les ronds dans l’eau, ondulations)La théorie de la lumière comme onde électromagnétique (Maxwell) expliquait parfaitement la radio. En revanche, elle n’expliquait bien pas l’effet photoélectrique, qui était explicable par la mécanique (les boules de billards qui s’entrechoquent).
Mais en mécanique, on a ce qui s’appelle composition des vitesses. Si vous êtes en voiture et que vous tenez une balle en main, par rapport à vous, la balle est immobile, mais par rapport au passant, elle va à la vitesse de la voiture (v). Si vous lâchez la balle, vous voyez la balle reculer à une vitesse v1, tandis que le passant voit la balle avancer à la vitesse v2. La composition de vitesse classique énonce que v2 = v - v1 (c’est la vitesse de la voiture perçue par le passant moins la vitesse du recul de la balle que vous percevez).
Ainsi, si l’on considère la lumière comme un flux de particule mécaniques, comme ce fut fait pour expliquer l’effet photoélectrique, on devrait avoir une composition de vitesse comme en mécanique. Or, rien ne tel ne fut trouvé : l’expérience de Michelson escomptait la découvrir, la terre étant considérée comme la voiture circulant autour du soleil et l’éther - l’analogue de l’eau qui ondule : la vague est à l’eau ce que la lumière est à l’éther - étant considéré comme le passant voyant passer le véhicule terrestre.
Par conséquent, certains on émit l’idée que la lumière avait la même vitesse dans tous les cas :
- pour le passager de la voiture qui allume une lampe, la vitesse de la lumière est c.
- pour le passant de la rue, voyant la voiture et la lumière passer à une vitesse v, la vitesse de la lumière n’est pas c+v, mais c.Pour cela, il fallait « tordre l’espace-temps ». En fait, tordre les équations qui décrivent la lumière par des transformations (transformation de Lorenz).
Bref, c’est juste une astuce mathématique au niveau des équations pour concilier équations de la radio et description de l’effet photélectrique.
De ce problème lumineux, Einstein a voulu en déduire une théorie générale valide pour toute la matière.
En ce qui concerne l’univers cyclique. Le problème est qu’un cycle perpétuel n’a jamais été observé sur terre. Il faut une alimentation en énergie régulière pour prolonger le mouvement.
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« Par conséquent, certains on émit l’idée que la lumière avait la même vitesse dans tous les cas »
cette hypothèse ne tiens pas la route, le trou noir est justement invisible car il avale la lumière, un un trou noir c’est surtout la chose qui as la plus grande gravité, tenez un astrologue a découvert un trou noir en utilisant cette méthode, fixer une étoile et une déformation de la lumière (déplacement) indiquais qu’un trou noir passais à proximité.
Selon certain les trou noir crache du neutrino, comme le soleil, et le trou noire vient de l’effondrement d’une étoile ^^ (j’ai été choquer d’apprendre qu’un trou noir n’est pas plus gros qu’une poussière)
Pour « l’univers cyclique », ont as la théorie du big bang, « univers en perpétuel expansion » (comme le capitalisme) sauf que certain affirme qu’il ralenti (dans sont expansion), là vient la théorie du big crunch, bah si après (bon ont saura jamais ^^) si il y a un nouveau big bang, l’univers est donc cyclique (comme un coeur qui bat)
J’aime parfois me dire que nous sommes des microbes dans une mare d’eau incapable de distinguer les bords ^^
Par contre l’énergie dans l’univers il y en as a profusion, c’est pour cela que je m’intéresse à tesla, car selon certain il avais décris le neutrino, et aurais été capable de le capter.
Par exemple j’ai été étonner que le vatican lui donne le nom de « particule de dieu » rien que ça ^^
Le catholicisme est arriver en europe et as effacer une partie de l’histoire qui ne lui convenais pas et conserver voir recopier ou bruler certain livre....Plus vieux encore, sur les celtes, ils avais un calendrier très mais alors très avancer (pour l’époque bien sûre )
http://fr.wikipedia.org/wiki/Calendrier_de_Coligny
La ou wiki se trompe, c’est qu’il faut des connaissances en math pour faire un calendrier aussi précis, en math et en astronomie (ont note le degré scientifique d’une civilisation a sont calendrier)
Et les maya avais une manière de compter toutes particulière, un calendrier au top, et certaine civilisations (avancer en astrologie) disais qu’il y à une autre planète plus éloigné de pluton à notre système solaire, dans les mythes et légendes, ça je n’ai pas eu besoin de le lire sur des site bizarre mais dans des revue sérieuse sur les culture du monde.
http://www.nasa.gov/topics/earth/features/yoemans20091110.html
http://science.monempire.net/t3341-nibiru-2012-identifie-par-la-nasa-nomme-sedna-ou-planete-xvous voyez ou je veut en venir ^^, nous ne sommes que des buses
Les astrologues de l’Inde ancienne nommaient Yuga le cycle de 3600 années
Maintenant regarder que ce cycle n’est pas seulement présent en Indes...mais dans toutes les civilisations ou l’astrologie étais avancer ainsi que les mathématiques hum...
Pessimiste ? non, troublant oui, des peuples qui a cet époque arrive à la même conclusion (mathématiquement parlant) me laisse perplexe, car les mythes et légende sur ces sujet sont comme qui dirais pas heureux...( les nom de divinité concernant ces mythes ont un sale caractère !)
J’en viens à la conclusion que le déluge n’est pas un mythe, car non seulement les 3 religion monothéiste y crois (bon là je suis d’accord avec vous c’est partial), mais bien plus troublant certaine croyance écrite/oral et ce sur chaque continent parle justement de déluge pourtant aucun contacte d’aucune sorte n’a pu être établis à cette époque sous quelques que manière que ce sois.
Avec le lien de la nasa c’est bien plus plausible, une année pour cet astre 3600 ans, n’ayant pas la même orbite, il est possible qu’un frôlement même à plusieurs millier de km puisse faire des marée très importantes (comme la lune)
ce qui serais pris pour les autochtones pour une punition divine...
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Ce n’est pas le Vatican qui nomme le neutrino « particule de Dieu », c’est « science & vie » qui nomme le boson de Higgs « particule de Dieu ».
C’est parce que « science & vie » (et le paradigme actuel) sont panthéistes, ils considèrent que « tout est Dieu », que « l’univers est Dieu » et qu’il se transforme à mesure du temps. Chercher la particule primordiale revient à chercher la particule de Dieu.
Pour le christianisme, au contraire, Dieu est extérieur à l’univers, donc parler de « particule de Dieu » n’a pas sens dans le cadre chrétien, il faut parler du monde créé par Dieu, vu comme son législateur.
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« science & vie » j’ai lu ça avant, c’étais intéressant mais là je m’étais risquer à acheter
nexus (science et alternative),car je trouvais science et vie trop figé. Si vous le dite je vous crois pour « la particule de dieu » je ne fait pas de théologie mais est frillant d’analogie .
C’est bizarre au début, mais sa parle d’actualités sur des sujets varier et à mon grand étonnement ils ne se trompe pas sur certain sujet ^^ , et c’est sérieux en plus ^^.
A certain égard ils sont mieux informé que nos journaux aux ordres !
(massacre d’indien pour des intérêts d’entreprises)Et là dans le numéro 73 dans la rubrique bref en écosse des physiciens ont réussi a créé l’analogue d’un trou noir grâce à une implusion laser dans un bloc de verre, avec émission de photon ^^ "source phy. rev. lett. 2010
Bref sa vas vite ^^ la percé n’est vraiment pas loin
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Les théories d’Einstein,
a)le capitalisme c’est des cons qui font des conneries
b) le socialisme c’est déjà un peu moins con
c) la lumière c’est cool
par contre pour être socialiste il faut approche l’intelligence et la conscience d’Einstein
pour être capitaliste, il suffit d’etre un imbécile
ceci expliquant cela, le socialisme ne peut pas gagner sauf dans la tyrannie
inversement, le capitalisme ne peut que gagner, dans la tyrannie
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Une fois j’ai ouvert le quid sur la théorie de la relativité, j’ai pas compris grand chose, mais heureusement il y avais un résumer.
C’est tous bonnement incroyable, mais mais, il faut se rendre à l’évidence c’est telsa le premier à avoir découvert ça et aurais su en tirer une forme d’énergie
http://rr0.org/personne/t/TeslaNikola/index.html
Là ont a vue à la tv la découverte du neutrino qui traverse la croute terrestre made by france :)
Là j’ai regarder cette théorie (très farfelu, mais étrangement plausible) atacher vos basket ;) la terre retiendrais une partie de ses neutrino et grossirais tentant d’expliquer la dérive des continent et remet la terre comme un ballon de baudruche... Pourquoi pas ?
Des fois c’est si simple qu’on y pense pas.
concernant l’hypothèse si le neutrino n’est pas soumis à la masse (je préfère dire gravité) sa fou en l’air complétement les lien ci-dessus, par contre dans l’autre cas hum vous finirez riche ou mort
j suis perdu a ce moment là :
L’image est simple (pff menteur, ) sauf qu’il faut se représenter la chose avec quatre dimensions, trois d’espace et une de temps.
"Il apparaît que la fusion de deux champs neutriniques donne naissance à un champ électromagnétique pur singulier et un champ gravitationnel pur. Je ne peux dire si ces travaux sont utiles dans ce contexte mais ils semblent indiquer qu’un champ neutrinique serait découplé du champ gravitationnel. "
Heu je suis sûre de bien comprendre là ? Je met rien en doute car je suis une buse, mais là vous nous expliquer qu’un champs neutrinique n’est pas soumis à la gravitation c’est moi ou ont est pas loin du machin qui vole avec des bonhommes vert dedans
Sinon cette étude pourrais tous simplement démolir Einstein selon certain ou tous du moins attaquer sévèrement sa théorie.
Ce siècle vas être formidable en découverte, beaucoup moins pour sont utilisation...
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Au PS : « nous ne voulons pas de vos emplois à la con », ni d’un « dividende dans l’entreprise » (cela s’appelle un stock option ou un salaire ) il a pas compris holande l’allocation universelle ( trop compliqué pour son cerveau )
raté ...
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C’est simple, le neutrino vole de ses propres ailes :
http://www.atramenta.net/lire/plus-vite-que-la-lumiere/35202
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l’univers est régit par DES lois d’automates cellulaires avec horloge commune
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Bonjour,
il faut se méfier des analogies avec la vie qutidienne : une petite précision utile sur des notions de topologie (c’était une de mes matières favorites en mathématiques avancées). Si l’espace est courbe, la ligne droite y est une courbe. Toute autre « ligne droite » est une sortie de l’espace temps, comme la corde d’un arc de cercle est une sortie de la courbe du cercle. Pour que votre analogie marche, il faudrait donc vraisemblablement que le neutrino disparaisse et réapparaisse.
Mais pourquoi pas.
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En fait, il se peut que le neutrino suive un espace-temps qui n’est pas sous l’inflluence de la gravité.
A réfléchir en relation avec la mécanique du vide ou les processus observable sont sur la couche d’action et les autres, considérés comme virtuel.
La réalité physique dépasse l’espace-temps relativiste
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les commentaires de ffi sont lumineux ,j’approuve totalement
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Merci, c’est gentil.
10 ans à réfléchir sur mes cours d’école d’ingé, à reprendre l’histoire des sciences, la philosophie des sciences.. J’en suis arrivé à la conclusion que l’homme ne peut connaître la nature des choses, et que la science ne devrait s’en tenir qu’à des analogies. En effet, si j’ignore la nature exacte des choses A, B, C, D ; quand j’énonce A est à B ce que C est à D, ce problème de nature disparait de cette simple mise en rapport.
Je rêve d’une science tout en analogie.
Ravi que cela vous ait servi.
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J’ai aussi pensé au fait que le faisceau traverse une corde de la terre et donc ce faisceau ne voyage pas sous une influence constante de l’espace-temps. On peut alors supposer que le neutrino pourrait avoir une intimité avec la courbure de l’espace-temps inférieure à celle du photon. Ainsi sans se déplacer plus vite que le photon, le neutrino pourrai arriver avant le photon qui lui, est contraint de suivre la courbure induite par le centre de masse de la terre.Oui mais voilà l’étalon n’est pas un photon qui parcourt le même chemin que le neutrino de l’expérience. L’étalon est un photon dans le vide en espace-temps plat. Donc s’il n’y a réellement aucun problème d’incertitude sur les instruments de mesure, si la distance est réellement exactement celle qu’on pense être (730km), on est vraiment en présence d’une bombe atomique dans le monde de la physique. Un calcul simple montre que pour que la précision atteinte sur le temps (1 ns) ne soit pas dégradée par une imprécision sur la distance, il faut que cette dernière soit précise à 30 centimètres près. Ils affirment connaitre la distance à 20 centimètres près ce qui est encore mieux. Effectivement ça me met le ravioli en ébullition.Et Pourquoi ne pas délirer un peu :Voici une proposition d’interprétation qui suppose que l’expérience est valide.A proximité d’un corps massif on assiste à une distorsion de l’espace-temps. Un photon passant à proximité du corps massif voit alors la distance réelle de son parcourt augmenter à cause de cette distorsion.Et si pour un neutrino cette distance au contraire diminuait ? On l’interpréterai comme une augmentation de vitesse. L’espace-temps serait alors composé de 2 enveloppes. La relativité générale décrit une de ces enveloppe. En l’absence de masse, les 2 enveloppes sont superposées et l’espace est plat. En présence de masse les 2 enveloppes d’espace-temps se déforment de façon opposées de sorte que si l’on additionne les 2 déformations on retrouve un espace plat. Le neutrino serait soumis à la seconde enveloppe. Quoi qu’il arrive racine(Vphoton*Vneutrino)=c et l’effet ne serait observable que sous l’influence d’une champ de gravitation (comme sur terre). Ceci serait en accord avec les observations de l’explosion de la supernova « SN 1987A » qui a bombardé la Terre de neutrinos en 1987 : les neutrinos sont arrivés sur terre en même temps que les photons. Peu importe le nombre de perturbations gravitationnel subit tout au long de leur parcourt, l’effet est local. De retour en espace-temps plat, il n’y a ni avance ni retard les 2 paticules sont au même endroit. C’est un peu comme l’effet hall pour un courant composé d’électrons et de positrons. On pourrait alors parler d’effet hall gravitationnel.-
Une chose me turlupine. Un scientifique rapportait que lors de la détection de l’explosion d’une Supernova dans les années 80, on a détecté l’arrivée des photons et des neutrinos émis, à peu près au même moment.
Si les neutrinos vont à la vitesse qu’on a mesuré, ils auraient dû arriver bien avant...
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