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Accueil du site > Tribune Libre > Subversion en Gaule d’hier et d’aujourd’hui

Subversion en Gaule d’hier et d’aujourd’hui

Oui, c’est bien le sens de subversion ou de révolution qu’il faut donner au mouvement que Vercingétorix a déclenché en Gaule en s’appuyant sur une population de miséreux et de malheureux (DBG VII, 4) que César dit être issue de la plèbe (VII, 42). Et c’est bien avec l’intention de mettre en place cette révolution que Drappès et Luctérius marchaient vers la province, suivis - toujours d’après César - d’une troupe de gens sans aveu, d’esclaves, de bannis et de voleurs (VIII, 30).

César avait exigé des notables éduens qu’ils lui envoient en renfort, à Gergovie, une armée de 10 000 fantassins.

Voici ce que dit très exactement le "De bello gallico" : à environ quarante kilomètres de Gergovie, Litavic arrêta soudain la marche de son armée. Il réunit tous ses hommes et leur posa la question suivante : « Soldats ! Quel chemin faut-il prendre ? (note de l’auteur : celui qui mène à César ou celui qui mène à Vercingétorix ? Les soldats pensent qu’ils vont au secours de César) Décidez vous-mêmes ! Je viens d’apprendre que nos nobles cavaliers, tous ces hommes que vous connaissez pour leurs mérites, ont été tués par les Romains (Litavic ment. C’est une ruse pour dresser ses soldats contre César). Accusés de trahison, on ne leur a même pas laissé le temps de s’expliquer. Ecoutez le témoignage de ceux qui ont échappé au carnage. Pour ma part, j’ai perdu mes compagnons et tous mes proches, je ne peux prononcer un mot de plus, tant ma douleur est grande. »
Alors, il fit avancer des hommes à qui il avait expliqué ce qu’il fallait dire
(ces hommes mentent. Les nobles Eduens réapparaîtront par la suite, bien en vie). Ils confirmèrent ce que Litavic avait déclaré : « Les nobles Eduens étaient morts. On leur avait reproché d’être entrés en pourparlers avec les Arvernes. Quant à eux, ils avaient réussi à se cacher dans la foule des soldats et ils avaient ainsi échappé au massacre. »
Une grande clameur s’éleva des rangs. Les Eduens conjurèrent Litavic d’étudier lui-même les mesures qu’il fallait prendre. « Réfléchissons un peu, répondit celui-ci : le temps est-il aux délibérations ? Avons-nous une autre solution que celle de rejoindre Gergovie et de nous rallier aux Arvernes ? Après le crime abominable qu’ils ont commis, les Romains vont maintenant accourir pour vous massacrer, n’en doutez pas ! Si nous avons du cœur au ventre, vengeons nos morts ! » Puis, montrant les citoyens romains du convoi de ravitaillement, il ajouta : « Massacrons ces voleurs ! »
(Il compromet ses soldats de façon qu’ils ne puissent plus revenir à l’amitié romaine).
Le blé et les vivres furent alors livrés au pillage et les Eduens s’en rassasièrent. Dans leur fureur aveugle, ils s’en prirent aux marchands, les soumirent aux plus effroyables tortures et les mirent à mort (DBG VII,38) ».

Fausse information ou information orientée, intoxication, compromission, nous découvrons ici les trois règles d’or de la guerre subversive. Ces trois règles seront strictement appliquées par Mao-Tsé-Toung dans sa conquête du pouvoir ; je cite Wikipedia : il découvre une méthode soviétique qu’il n’oubliera plus par la suite : les purges. Il parvient à asseoir une certaine autorité en procédant ainsi à un régime de la terreur, s’appuyant sur le prétexte de contrecarrer des anti-bolchéviques...

Subversion vient du latin subvertere : renverser. La subversion désigne un processus par lequel les valeurs et principes d’un système en place sont contredits ou renversés. Chacun peut lui conférer un sens positif ou négatif en fonction de sa propre position... (cf Wikipedia).

Première question : L’opération "subversive" de Litavic a-t-elle suffi pour faire basculer la population du côté de l’insurrection ? Réponse : En partie, oui, en partie, non !
Deuxième question : Quel a été l’événement décisif qui a fait basculer le reste de la population hésitante contre César ? Réponse : La répression de Cenabum et le massacre par les Romains des 40 000 habitants d’Avaricum.
Troisième question : Pourquoi l’échec gaulois à Alésia ? Réponse : L’abandon prématuré d’une stratégie de guérilla et le retour à une stratégie de guerre classique.

Des organisations populaires face au pouvoir des druides et des nobles cavaliers.

Le texte qui suit est une traduction littérale du De bello gallico. En Gaule, non seulement dans toutes les cités, mais dans tous les pagus, dans toutes les localités et même jusqu’au sein des familles, il y a des associations à la tête desquelles sont placés ceux qu’on estime avoir le plus de poids. En toutes choses et en tous projets, la décision leur revient en dernier ressort. Cette façon de faire a été instituée depuis longtemps, semble-t-il, pour venir en aide aux petites gens contre ceux qui sont plus puissants qu’eux. Un responsable d’organisation ne peut accepter que les siens soient accablés ou trompés ; s’il agit autrement, il perd toute autorité auprès d’eux.
Ce système occupe la première place dans toute la Gaule
(Haec eadem ratio est in summa totius Galliae DBG VI,11).

Entre la traduction courante " le même système régit la Gaule considérée dans son ensemble" et ma traduction, que les professeurs de latin donnent leur avis ! Je suis prêt à débattre sur le sens que César donne au mot "summa".
Ce petit détail est très important, car si ce système d’associations populaires - probablement de type compagnonnage - occupait la première place en Gaule, cela signifie que les druides et les nobles cavaliers n’en occupaient que la seconde.
Ainsi s’explique la prudence des druides quand ils demandaient à César d’intervenir contre Arioviste (sans avoir consulté au préalable les représentants du peuple). DBG I, 20.
Ainsi s’explique l’exécution de Celtillos qui eut des velléités de pouvoir personnel. DBG VII, 4.
Ainsi s’explique la conduite de Vercingétorix, obligé de s’incliner plus d’une fois devant la décision des conseils.

Y a-t-il, aujourd’hui en France, une aspiration à un rééquilibrage du pouvoir actuel pour revenir à l’image de ce qui existait dans la Gaule indépendante ? Peut-être si l’on en croit la proposition de jury citoyens lors des élections présidentielles. Y a-t-il une aspiration à la suppression du pouvoir actuel et à son remplacement par un pouvoir populaire ? Apparemment oui en ce qui concerne les électeurs qui ont voté pour les partis d’extrême gauche. Mais ces électeurs sont-ils conscients que pour un parti révolutionnaire, le but est la subversion du système, c’est-à-dire un bouleversement de fond en comble (but d’ailleurs clairement affiché) ?

Stratégie subversive classique pour la mise en place d’un pouvoir dit populaire.

Initiée par les idéologues bolcheviques, pensée et mise en application avec succès par Mao-Tsé-Toung, cette stratégie a inspiré les mouvements de libération, en Indochine et en Algérie dans leurs combats contre les armées françaises et inspire encore aujourd’hui les mouvements révolutionnaires (il s’agit là d’un lieu commun ; il suffit de consulter Wikipedia).

Le paragraphe qui suit est un extrait résumé de l’enseignement que j’ai reçu à l’école de contre-guérilla d’Arzew. C’est un enseignement tiré des préceptes que propose Mao-Tsé-Toung pour conduire une guerre révolutionnaire.

1re phase : frapper les esprits : des incidents, des scandales sont montés en épingle. Il faut sensibiliser l’opinion et la placer face à un problème. Les instigateurs du mouvement cherchent à paralyser l’action publique en répandant systématiquement le soupçon.

J’ajoute pour les temps qui courent et concernant notre pays : la délation et la désinformation sont de règle. On mélange le faux et le vrai. On utilise l’ironie caustique. On explore toutes les possibilités d’actions judiciaires pour neutraliser l’action publique et pour renforcer le soupçon. On fait pression sur les juges ou on les accuse d’être partisans. On stigmatise les représentants de l’autorité. On les compare aux nazis et, en cas de réaction, on crie à la censure.

2e phase : gagner la complicité passive de la population. Dans un climat de tension et de nervosité, le pouvoir se livre à des actes de répression impopulaires. Les instigateurs du mouvement cherchent à rallier à leur cause la population par la persuasion, l’intimidation, la menace, accompagnée d’agressions verbales et physiques et suivie même d’expéditions punitives. La population ne dépose plus plainte et n’informe plus le pouvoir. Elle devient silencieuse tandis que les derniers défenseurs de l’ordre se font attaquer ou démissionnent.

Phases suivantes : gagner la complicité active de la population en incitant les citoyens à entrer dans des organisations que le mouvement contrôle et à s’engager toujours davantage au sein de ces organisations. Mise en place de structures socio-politiques parallèles à celles du pouvoir pour les contrecarrer dans un premier temps, les équilibrer dans un deuxième temps, les remplacer dans un troisième temps. Infiltration dans les organismes publics et noyautage des rouages de l’État jusqu’à sa déliquescence et sa chute.

La parole est l’arme de combat par excellence. Les protagonistes qui agissent à visage découvert sont spécialement entraînés au débat public, jusqu’à connaître par coeur des réponses qui leur permettent de faire face à toutes les situations (cet entraînement au débat n’est d’ailleurs pas la spécifité des mouvements trotskistes. En ce qui concerne les points suivants, il faut vraiment être aveugle pour ne pas s’en rendre compte).
Ne pas laisser à l’adversaire le fil du débat. Toujours reprendre la main.
L’attaquer sur ses points faibles ou sur des erreurs de détail pour le décrédibiliser sur le reste.
L’accuser de ce dont on risque d’être accusé (violence, intolérance, manipulation, délations, mensonges, etc.)
D’un cas particulier, généraliser (tous pourris, tous vendus, tous riches, tous méchants...)
L’important n’est pas dans la raison mais dans la subjectivité (ce que ressent un auditoire dont une partie est déjà conquise).
Surfer, au départ, sur tous les mouvements contestataires, en marge et d’opposition, religieux ou laïcs, pour exister et se faire connaître, même s’il faut ensuite les combattre, suivant l’avantage qu’on peut en retirer.

Un cas intéressant : la ville d’Asnières.

Située dans la banlieue nord-ouest de Paris, la mairie d’Asnières-sur-Seine mène depuis plusieurs années une politique de densification controversée. Les équipements publics restent très insuffisants compte tenu du dynamisme démographique de la commune : la population est actuellement estimée à 85 000 habitants au moins (d’après Wikipedia). Une explosion de la population d’origine modeste, en partie immigrée, une urbanisation faite dans l’urgence, des zones inondables à problèmes, une dette importante, une opposition politique très active, tous ces éléments représentent un terreau favorable pour une entreprise de subversion.

Apparemment, la phase de mise en place de structures socio-politiques parallèles n’est pas atteinte. Cette phase critique où il est demandé aux citoyens acquis au mouvement de s’engager activement, en nombre conséquent, dans des organisations contrôlées par ce mouvement, exige un sens du bénévolat et une disponibilité difficilement conciliables avec le temps qu’on passe devant un écran de télévision.
Le blog www.asnierois.org, association Adada, en publiant dans sa rubrique, Les Canc’asnières, le compte-rendu d’une brave ménagère acquise au mouvement mais qui ne se rend à un meeting du maire que pour avoir accès au buffet, montre bien la difficulté d’éduquer politiquement les masses populaires pour les amener à s’engager activement dans un processus révolutionnaire. Pour avoir le récit complet, faire "asnierois canc’asnières" sur votre moteur de recherche.

Il n’empêche qu’à Asnières, avec l’explosion des blogs d’opposition dits citoyens comme celui-ci, le climat, aux dires de certains, serait devenu détestable (première phase), qu’une partie de la population soutient ces blogs tandis que l’autre partie, toujours aux dires de certains, commencerait à avoir peur (seconde phase). Faire "asniérois climat détestable" sur votre moteur de recherche, puis peur. Lisez Le Parisien, 31/10/2003 : Les « menaces de mort » qui agitent Asnières. Lisez L’Express du 06/09/2006, je cite : « Insulté, menacé, poursuivi par un vrai déferlement de haine, qui l’oblige parfois à rentrer chez lui sous protection policière, Taittinger (l’ancien maire), par ailleurs malade, jette l’éponge en décembre 1998. » Et je ne parle pas des cocktails molotov et autres joyeusetés.

Et pourtant, Asnières est une ville dynamique et en plein essor où, malgré les difficultés que j’ai évoquées, les conditions sont réunies pour y bien vivre. La municipalité en charge des affaires joue la carte du dialogue, de l’interactivité, de la proximité et de la transparence. Malheureusement, la ville a hébergé - et elle héberge toujours, apparemment - un groupe anarchiste actif dont elle se serait bien passée, surtout en la personne de l’anarchiste Paul Rassinier (†) considéré comme le père du négationnisme des chambres à gaz (cf Nadine Fresco dans Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français).

Mouvement révolutionnaire parmi d’autres, l’anarchisme, qui croit qu’une nouvelle société plus acceptable peut émerger naturellement du peuple sous forme de génération spontanée, ne cache pas sa volonté de remplacer, même brutalement, l’ordre existant par un autre ordre, la fin justifiant les moyens pour y parvenir. Les textes d’étude et de propagande concernant cette soi-disant philosophie abondent sur le web. Il suffit de les consulter. Il est vrai qu’il y a des variantes. On pourra également lire un article paru sur Agoravox le 6 juillet qui en fait l’apologie ainsi qu’un commentaire du responsable du blog d’Asnières cité ci-dessus, ancien instituteur, sympathisant anarchiste, pour le moins.

Post scriptum : bien que j’aie évité jusqu’à maintenant d’aborder des questions d’ordre politique, j’ai cru devoir écrire ce texte suite aux commentaires "no correct" qui ont suivi mon article du 19 juillet. Mais aussi à la mémoire de mes camarades morts au combat, non pas contre le peuple algérien - qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre ! - mais dans leur lutte bien réfléchie face au risque d’extension des subversions soviétique et chinoise (je peux donner mon témoignage et développer mon argumentation si besoin est).

Au moment où Agoravox cherche sa voie dans son rôle de contre-pouvoir, je n’ai pas la prétention d’avoir bien ou tout dit concernant les risques de dérapage qu’il y a à s’opposer, non pas aux institutions comme le veut la subversion, mais aux dérives de certaines actions politiques. Je me contenterais, pour conclure, d’évoquer la grande figure de Régis Debray, ancien compagnon de Che Guevara, qui a fait une distinction très claire entre les pays de dictature où la révolution n’avait pas eu lieu et ceux, dont la France, qui avaient conquis la démocratie et qui veulent la garder (citation de mémoire qui n’est contestée par personne). Egalement le général Delaunay, auteur d’un ouvrage que je n’ai pas encore lu La Foudre et le Cancer et au sujet duquel Roger Mucchielli, ancien officier de la division Leclerc, agrégé de philosophie, écrit : « C’est le cancer moral qu’évoque le général Delaunay ; il atteint à la fois les hommes et les institutions, il tue les esprits et les cœurs, il dissout les intelligences et les volontés. La subversion sème la confusion entre le bien et le mal, la vérité et l’erreur, le juste et l’injuste ; elle intoxique, désinforme, ridiculise, culpabilise ceux qu’elle veut déstabiliser. La subversion est un moyen spécifique de la révolution, que les agents subversifs en soient conscients ou non. »
(Faire Mucchielli Delaunay foudre cancer pour retrouver cette citation.)

E. Mourey

http://www.bibracte.com


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114 réactions à cet article    


  • La mouche du coche La mouche du coche 17 août 2007 10:33

    Chaud devant ! smiley Bravo à la modération d’avoir publié cet article ! smiley

    Agoravox devient « the place to be ». Est-ce que chacun se rend compte qu’il est maintenant le seul endroit d’expression réellement citoyenne ? Comparé à Agoravox, les autres journaux apparaissent des plaquettes de publicité où l’on voit défiler les infos comme à la bourse et des succursales de l’AFP.

    Ames sensibles s’abstenir. Ici est le peuple français, le tiers-état. Si des changements doivent survenir en France, ils auront leurs sources ici et nulle part ailleurs

    Si vous n’êtes pas sur Agoravox, vous n’existez pas. smiley


    • La mouche du coche La mouche du coche 17 août 2007 10:36

      pardon « comparéS »


    • LE CHAT LE CHAT 17 août 2007 11:06

      Merci Emile ,en vla des choses interessantes .et sur les gaulois , et sur Agoravox , l’un des rares lieux où l’on peut sortir de la pensée unique


      • Gasty Gasty 17 août 2007 11:35

        De quoi réfléchir sur notre société et à cette passivité entretenu par différent médias.

        Bravo !


      • Antenor Antenor 17 août 2007 12:37

        Les commentaires de César semblent indiquer que les armées gauloises étaient constituées de soldats de métier. Les armées professionnelles ont toujours recruté le gros de leurs troupes dans les classes les plus démunies, à part les officiers qui sont les héritiers des chevaliers. On est plus proches des grandes compagnies de la Guerre de cent ans que du poilu, paysan conscrit de la Der’ des Der’.


        • Emile Mourey Emile Mourey 17 août 2007 12:43

          @ Antenor

          Oui, je le pense aussi. Faire une carrière courte dans l’armée permettait aux légionnaires de monter d’un cran dans le corps social et de se voir ensuite attribuer une terre ou des privilèges pour une retraite aisée.

          Quant aux officiers, c’était la voie royale pour ensuite poursuivre une carrière politique dans la course aux honneurs.


        • LE CHAT LE CHAT 17 août 2007 12:52

          @EMILE

          on le voit très bien décrit dans la série américaine « Rome » diffusée sur Canal +


        • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 06:08

          Anthenor,

          Notre historien de pacotille du fil n’ayant pas compris que vous parliez des « armées gauloises » en vous répondant sur les troupes romaines, je m’autorise un clin d’oeil amusé et ironique en réponse à votre question.

          Quand les légions romaines de Jules César envahissent les territoires connus comme « Gallia » par les Romains, vous « imaginez » bien qu’elles ont trouvé en face d’elles une armée puissante, disciplinée, bien armée, unie et bien dirigée composée de professionnels hautement qualifiés, payés sur le Trésor Public gaulois de l’Etat gaulois avec un vrai Ministère gaulois de la Défense gauloise.

          Malheureusement, cette armée de vrais professionnels a été battu à Alésia et son chef a dû se rendre sans conditions à l’ennemi.

          Je vous laisse tirer vos propres conclusions sur le professionalisme militaire des deux camps en présence, au vu des seuls résultats officiels connus.

          Sans oublier que Jules César rédigeait lui-même-tellement il était génial et intelligent- ses rapports sur ce qui se passait au sein de l’armée professionnelle gauloise. A moins qu’un espion subversif l’ait (déjà) renseigné sur ses ennemis et leurs intentions.

          Ce qui alors tendrait à montrer que le service de renseignements professionnel des Gaulois était plus que peu fiable, voire franchement mauvais.

          Comme en Algérie...par exemple entre 1958 et 1962 !

          Humoristiquement et amicalement vôtre,


        • Antenor Antenor 19 août 2007 16:56

          @ Phillippe Vassé

          Vous ne m’oterez pas de l’idée que l’image du paysan gaulois abandonnant femme et enfant pour aller bouter l’italien et le germain hors de la Patrie est une invention nationaliste typique du 19ème siècle. Qu’est ce que ça pouvait lui faire au paysan « gaulois » de payer ses impôts aux Eduens aux Romains ou aux Suèves ?

          Les Celtes ont dominé l’Europe pendant 800 ans, ils ont vaincu des armées étrusques, latines, grecques et étaient très recherchés comme mercenaires. On ne fait pas ça avec une armée de paysans chargeant à poil en hurlant.

          Je pense que les effectifs des arméees gauloises que nous donne César sont à diviser au minimum par 10. Le vrai problème de l’armée gauloise (le même que les Grecs) est que son armée n’était pas fédérale mais constituée d’osts fournis par chaque Cité et avec des généraux probablement guère habitués à coopérer. S’emparer du chef-lieu de canton du voisin est une chose et diriger une armée pendant une campagne de plusieurs mois sur un espace de plusieurs centaines de kilomètres en est une autre qu’apparemment les seigneurs de guerre celtes ne savaient plus faire en -52.


        • ZEN ZEN 17 août 2007 14:38

          Mr Mourey aurait-il une guerre de retard ? Est-il Asniérois ? De qui parle-t-il ?....


          • Philippe Vassé Philippe Vassé 17 août 2007 15:13

            Aux lecteurs de cet article hilarant,

            je remercie Emile Mourey de sa prose hilarante et de cet article époustouflant qui sent bien l’ego malmené du faux historien qui veut se venger de ses récents déboires.

            Je ne vais pas reprendre toutes les erreurs et incompréhensions, sans parler de ce Paul Rassinier décédé depuis longtemps, et négationniste avéré dont on ignore ce qu’il vient faire ici, il y en a trop.

            Mais, à Asnières, cet article aura un franc succès :

            - L’auteur a donc réussi à ne pas parler du tsunami judiciaire qui poursuit depuis 2003 élus, citoyens, associations et journalistes sur fonds publics (les frais de Justice les plus élevés de France à commune de taille comparable)- voir Juridoscope et rubrique Justice du site www.asnierois.org

            - Il est parvenu à ne rien dire de la mise en examen du député-maire d’Asnières par le juge d’Instruction Richard Pallain pour complicité de favoritisme dans un marché public.

            - Il a même omis les enquêtes en cours sur les usages de listes ethniques de citoyens (que toute la presse de France a notés pourtant- voir www.asnierois.org).

            - Il a fait erreur sur le chiffre d’habitants qui approche maintenant les 92000, mais cela est secondaire.

            - Il n’a pas noté l’article récent du « Canard Enchaîné » qui stigmatise les délations de couples mixtes sur la commune.

            - Il n’a pas compris les Canc’Asnières et son humour désopilant (parodie qu’Emile Mourey est inapte à apprécier)et il a oublié tous les sites qui animent la ville et vont être jaloux de ses distractions. Sans parler de la personne qui les a rédigés et qui n’est pas une personne inconnue...des médias.

            - Il a oublié les impôts qui augmentent à deux chiffres en 2007 et la dette de la ville qui explose -voir aussi www.asnierois.org.

            - Il a passé étrangement sous silence la belle amitié du député-maire avec le régime islamiste iranien le 21 janvier 2005 et l’affaire ultra-célèbre du DVD de la TV iranienne avant qu’il ne vire son directeur de cabinet franco-iranien condamné pour dénonciation calomnieuse d’un citoyen en septembre 2006

            - Il a bizarrement omis l’article de presse sur la découverte à la mosquée d’Asnières du livre le plus antisémite et violent du radicalisme islamiste « A l’ombre du Coran », trouvé à....10.000 exemplaires entassés et dont les services de police n’ont pas dit grand-chose depuis !!!

            Il aurait pu tout aussi citer tous les livres qui parlent d’Asnières, mais dont ils privent ses lecteurs, par souci de lutte contre la vérité des faits. Les lecteurs les trouveront aussi sur www.asnieoris.org (le 5ème pouvoir, Nicolas Sarkozy, enquête sur un homme de pouvoir, Et si la guerre civile avait lieu, etc.) Tous ces livres apprécient et saluent, comme la presse, le site www.asnierois.org pour son sérieux et sa qualité d’informations, site citoyen qu’Emile Mourey, de Bourgogne tente de discréditer avec ses petits mensonges et ses grosses omissions.

            Merci à lui quand même d’avoir aussi précis et informatif, les lecteurs qui iront taper sur Google Asnières sur Seine vont se régaler de ses galéjades d’ancien militaire qui, n’ayant pu vaincre et mâter la rebellion des Algériens, se lance à l’heure de sa vieillesse, dans la lutte contre...la subversion à Asnières -92, où le danger menace bien plus qu’à Bagdad ou Bassorah comme chacun l’imagine.

            Un petit point : si vous apercevez un groupe anarchiste à Asnières, prière d’en informer tous les médias. Ils ne l’ont pas vu, sauf Emile Mourey et son inventivité.

            Ce doit être la marque de la créativité proverbiale d’Emile Mourey, militaire et historien ratés.

            J’invite donc tous les lecteurs de ce fil à se connecter pour rire d’Emile Mourey et son article sur la subversion, le site citoyen www.asnierois.org, le site www.asnierois.info et à visionner le dernier Conseil Municipal sur le blog du Conseiller Régional PS, Sébastien Piétrasanta.

            Et pour apprécier mieux son côté cirage de chaussures politiques, à lire l’article fondateur de www.asnierois.org, « les 7 trahisons de Manuel Aeschlimann ».

            De ce dernier, Agoravox a déjà parlé et la blogosphère le connaît bien, mais Emile Mourey ne sait que sélectionner ce qui soigne (mal) son ego de raté en toutes choses.

            Et en plus vous allez bien rire. A Asnières, la vie est très instructive et saluons Emile Mourey d’y avoir fait une telle publicité qui va se retourner contre lui et son nouvel ami, le député-maire de la ville.

            Bien cordialement vôtre et excellente lecture informative,


            • La mouche du coche La mouche du coche 17 août 2007 15:19

              M. Vassé, je ne suis pas d’accord avec vous et je pense que c’est moi qui ai raison smiley


            • Emile Mourey Emile Mourey 17 août 2007 15:58

              @ Philippe Vassé

              Je cite un des derniers passages de mon article où j’avais omis de donner le nom de l’agitateur politique, responsable du blog d’Asnières : « On pourra également lire un article paru sur Agoravox le 6 juillet qui en fait l’apologie ainsi qu’un commentaire du responsable du blog d’Asnières cité ci-dessus, ancien instituteur, sympathisant anarchiste, pour le moins. »

              Ainsi donc, c’est donc vous, Philippe Vassé, le sympathisant anarchiste, l’ennemi invétéré du maire d’Asnière, incarnation parfaite de l’agent subversif tel que je l’ai défini plus haut, le délateur condamné pour faits de délations, l’homme qui n’ose pas dire qui il est. Et pourquoi ?

              Il n’y a pas de honte à avoir été ancien instituteur, pas de honte à avoir milité pour un syndicat, pas de honte à être anarchiste ou sympathisant.

              Oui, c’est toujours facile de critiquer, mais construire et essayer de faire en sorte d’aider nos concitoyens à surmonter leurs problèmes et à mieux vivre, cela, c’est plus difficile.

              Je vous avais prévenu. Vous êtes venu me chercher. Ne baissez pas la garde.


            • Emile Mourey Emile Mourey 17 août 2007 17:07

              @ Philippe Vassé

              En tant que simple citoyen qui ne connaît vos petits tripatouillages qu’en en prenant connaissance sur le Web, voici ce que j’en pense :

              Frais de Justice les plus élevés de France à commune de taille comparable.

              Cet argument prouve quoi ? Si ces frais de justice sont élevés, c’est peut-être aussi parce que sont nombreux les faits justiciables dont vous et vos amis sont responsables.

              Mise en examen du député-maire d’Asnières.

              Depuis quand une mise en examen a valeur de condamnation ? Et puis, ignorez-vous que lorsqu’on est injustement accusé, on peut demander sa mise en examen pour avoir connaissance du dossier afin de pouvoir se justifier, soi ou ses subordonnés ? Et puis, tout le monde sait bien qu’avec la complicité de nos lois, il n’y a pas beaucoup de municipalités qui puissent dormir sur leurs deux oreilles, à moins de ne rien faire. Il y a là un terrain favorable où chasse l’agent subversif. Relisez mon petit règlement de l’agent subversif : « On explore toutes les possibilités d’actions judiciaires pour neutraliser l’action publique et pour renforcer le soupçon ».

              Listes ethniques. Vous voulez dire par là que la municipalité d’Asnières mènerait une politique de ségrégation ou raciste ? Prouvez-le, vous qui, manifestement, en tant que Français, tenez des propos plus qu’étranges à l’égard de votre pays.

              Chiffre d’habitants. Vous appliquez là encore un principe d’action de l’agent subversif comme je l’ai indiqué plus haut : attaquer son interlocuteur sur des erreurs de détail pour le décrédibiliser sur le reste. Veuillez noter que s’il y a erreur, c’est une erreur de Wikipédia que je me contente de citer.

              Canard enchaîné : je ne lis pas ce journal.

              Les Canc’asnières : vous faites erreur ! Cela m’a bien fait rire... à vos dépens.

              Les impôts ? C’est un devoir de citoyen. J’espère que vous n’essayez pas d’y échapper.

              Le peuple iranien. Qu’avez-vous contre ce peuple et ses représentants ? Vous êtes en contradiction avec vous-même. N’avez-vous pas pris parti pour une association religieuse iranienne (je dis « religieuse » apparemment).

              Quant à l’islamisme radical, c’est un problème à l’échelon national et si vous pouvez apporter votre énergie et vos connaissances en matière législative, merci !

              En ce qui concerne vos livres anti-Sarkozy et anti-gouvernementaux, après avoir vu sur votre blog une caricature évoquant votre maire en Hitler dans le visage de La Joconde suivie d’un entartrage, j’ai compris tout de suite votre type d’humour et le niveau de votre littérature.

              Vous évoquez le peuple algérien. Respect aux morts, de quelque côté qu’ils se trouvent.

              Vous m’amusez. Ne baissez pas la garde !


            • ZEN ZEN 17 août 2007 18:22

              Mais de quoi se mèle le procureur Mourey ?...Je ne comprends pas ce que la Bourgogne a à voir avec la banlieue parisienne ?...Je préfère encore Mr Mourey en historien amateur, nous parler de l’Atlantide, c’était amusant. Là, ce n’est pas drôle du tout...


            • Emile Mourey Emile Mourey 17 août 2007 19:44

              @ Zen

              Autre principe d’action de l’agent subversif : on accuse celui qui répond de se conduire en procureur alors que c’est le premier qui se conduit en procureur (C’est Monsieur Vassé qui accuse M. Aescliman).


            • Emile Mourey Emile Mourey 17 août 2007 20:22

              Rectificatif : au lieu de complicité, lire complexité.


            • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 03:41

              Cher Emile Mourey,

              Que j’ai ri à votre article d’un drôle désopilant, du titre jusqu’à ses annonces folles, cela est vrai.

              Que les citoyens d’Asnières soient aussi amusés que moi, voilà une vérité claire.

              Que vous puissiez croire que votre « cas » -votre combat- intéresse les gens intelligents et cultivés, cela relève de votre ego blessé.

              La sérénité est une qualité. La compassion est une raison.

              Mais, pour les lecteurs qui ne se contentent pas de vos articles sans sources, brouillons et falsifiés, je laisse quelques faits avérés en fil pour que chaque lecteur honnête -je ne parle pas de vos adeptes rameutés par vous sur ce fil- puisse s’instruire.

              Les sources de l’information sont ouvertes ainsi et tous pourront vous juger sans rancune, ni hargne, juste avec la pitié et la compassion que vous méritez très amplement.

              Bien cordialement vôtre,


            • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 03:48

              Chers lecteurs,

              J’avais oublié un article subversif paru sur www.asnierois.org, qui va intéresser les accusés dans l’affaire.

              Lire attentivement le texte, puis lire ensuite les attributeurs de subventions à l’association parmi lesquels le département 92 à l’époque présidé par...Nicolas Sarkozy.

              Le hasard des faits publics et des subventions tout aussi publiques.

              Bien cordialement vôtre,

              Vie politique : CLEARSTREAM, FLORIAN BOURGES *

              REACTIONS : 1

              Florian Bourges, président de la crèche Toupty d’Asnières et Florian Bourges, celui de l’affaire Clearstream, celui qui apparaît dans la presse, à la télévision, celui dont il est question dans le livre de Denis Robert **, sont-ils une seule et même personne ?

              L’affaire CLEARSTREAM fait couler beaucoup d’encre.

              Asnierois.org s’est donné pour règle de se concentrer sur les affaires d’Asnières.

              Mais souvent les affaires d’Asnières trouvent écho bien au-delà de la frontière communale...

              En janvier 2006, asnierois.org avait annoncé l’ouverture de la crèche TOUPTY, avenue d’Argenteuil. Une nouvelle intéressante car il s’agissait de la première crèche associative privée réalisée grâce à de nouveaux types de financement. Un nouveau partenariat entre public et privé et peut-être un exemple à suivre dans l’avenir pour apporter des solutions au problème de la garde des tout petits (1).

              Le Président de Toupty, Florian Bourges avait à cette époque gentiment répondu aux questions de notre rédaction : La première crèche associative en contrat avec la ville d’Asnières

              Aussi, depuis quelques jours, une question nous taraudait : Florian Bourges, président de la crèche Toupty d’Asnières et Florian Bourges, celui de l’affaire Clearstream, celui qui apparaît dans la presse, à la télévision, celui dont il est question dans le livre de Denis Robert *, sont-ils une seule et même personne ?

              Comment savoir ? Tout simplement en lui posant la question.

              Voici sa réponse :

              Bonjour,

              Il s’agit bien du même Florian BOURGES.

              Mon mandat de Président de l’Association TOUPTY est une activité bénévole sans aucun lien avec mon activité professionnelle actuelle ou passée. Je tiens aussi à préciser que je ne suis politiquement lié à aucun parti et à aucun élu, mon activité associative étant apolitique.

              Je vous autorise à recopier ce propos sur votre site.

              Cordialement,

              Florian BOURGES

              ** La rédaction a lu le livre de Denis Robert : Clearstream, l’enquête. Ce livre se lit comme un roman et éclaire réellement cette sombre histoire. L’apport de Florian Bourges y est fondamental.

              Asnierois.org, le mardi 13 juin 2006

              (1) La crèche est financée par la CAF, le Département, la Région et un emprunt bancaire. Le conseil général des Hauts-de-Seine a accordé une subvention d’investissement de 116 064 €. Selon la convention votée par le conseil municipal de septembre 2005, la ville d’Asnières participe au budget de fonctionnement de la crèche en échange de 20 places, mais nous n’avons pas trouvé trace d’une subvention à Toupty dans la liste des subventions 2006 aux associations. .

              Vous souhaitez réagir à cet article, nous contacter ? Ecrivez-nous à : [email protected]

              LES REACTIONS

              * Le titre initial de cet article a été modifié le 14 juin 2006 à la demande de Florian Bourges :

              Bonjour,

              Suite à votre article, je vous serais reconnaissant de bien vouloir modifier votre titre « Vie politique : CLEARSTREAM, ASNIERES, FLORIAN BOURGES » car la Ville d’Asnières n’a strictement rien à voir avec Clearstream et la proximité de ces 2 noms dans votre titre est ambigue et source de mauvaises interprétations pour vos lecteurs. Cordialement, Florian BOURGES


            • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 04:03

              Chers lecteurs,

              Quand les grincements de l’ego saignant d’Emile Mourey auront cessé de vous faire rire aux éclats, lisez cet article d’Ariel Weinberg sur Asnières, article publié par « l’Observatoire du Communautarisme ».

              On y voit que les sources données y sont citées et que les références sont probantes. Elles n’ont pas été contestées par personne à ce jour, comme tous les autres articles de www.asnierois.org

              De l’anti-Mourey en quelque sorte.Naturel et sain.

              Bonne lecture et bien cordialement vôtre

              Vie politique : Asnières : laboratoire du communautarisme pour la « France d’Après »

              REVUE DE NET

              Un article d’Ariel Weinberg, paru sur le site : OBSERVATOIRE DU COMMUNAUTARISME , lundi 21 Août 2006

              A Asnières, le maire Manuel Aeschlimann, Sarko Boy activiste revendiquant le statut de « laboratoire du sarkozysme » pour sa ville, développe des approches étonnantes sur le thème du communautarisme, outillées par des pratiques agressives de marketing politique. Il n’est donc pas inutile d’y faire un tour pour qui voudrait se faire une idée s’il fera bon ou mal vivre dans la « France d’Après » promise par Nicolas Sarkozy.

              Examinons le tract , glané sur un site d’opposition à la majorité municipale UMP d’Asnières, de la campagne électorale pour les cantonales 2004, dans les quartiers nord d’Asnières à forte population immigrée ou d’origine maghrébine :

              Titre : « Algérie, Maroc, Tunisie, et les autres... avec Patricia Chavinier » : le tract s’adresse à des électeurs - donc de la nationalité française et majeurs. Mais il les identifie avant tout par leur appartenance à une communauté extra-nationale, qu’il entend flatter.

              Suit une litanie des actions de la municipalité en faveur de la « communauté » : « La future rénovation de la mosquée d’Asnières, la création d’un carré musulman au cimetière d’Asnières, ... c’est à Manuel Aeschlimann que nous le devons ».

              Au verso, les témoignages d’allégeance et de reconnaissance fusent, signés « Amar », « Tarik », « Naima »...

              Accompagné d’un tract supplémentaire d’allégeance de M. Bentebra, président du club de football local et intronisé en quelque sorte en « chef de la tribu » des électeurs de la « communauté ».

              A lui seul, il résume l’approche communautariste et ses possibles dérives :

              Traitement différencié du citoyen vu comme une « cible » marketing : un discours différent est tenu selon l’appartenance ethnique, religieuse, l’âge, le sexe, etc. Gageons que ce tract ne fut pas diffusé dans les quartiers cossus d’Asnières, qui ressemblent plus à Neuilly qu’à Gennevilliers... La ville d’Asnières consacre d’ailleurs des moyens considérables à cette communication « ciblée » puisque, comme le relate Le Monde du 7 mars 2006, article « A Asnières, »il faut cibler chaque groupe«  » : «  »Rien de ce qui est groupe organisé sur Asnières ne m’est étranger« , annonce fièrement Manuel Aeschlimann... Les critères plus classiques de l’âge et du sexe ont engendré pas moins de cinq publications mensuelles, éditées par la mairie et »envoyées nominativement« selon des »listes de diffusion propres à chaque support«  : au généraliste Asnières infos s’ajoute Emploi du temps, pour les retraités, et Citadine, pour les femmes ; les jeunes reçoivent Passe l’info. Quant aux »petits Asniérois« , ils peuvent lire un éditorial de leur maire dans Martin malin et Martin junior. »

              Relation clientéliste au citoyen : le politique ne vise plus à créer un espace commun, républicain, laïc, qui rassemble, au-delà des différences, autour de valeurs communes, tout en respectant les choix individuels de chacun, mais de satisfaire chaque groupe selon ses intérêts contradictoires, avec prime au plus fort. Il n’est plus le lieu du rassemblement, autour d’idées et de valeurs mais l’arène de la division et du morcellement, avec pour seul point de rassemblement le chef autocrate qui tient pour vassaux les chefs des communautés qui lui auront fait allégeance et qu’il récompense en retour. C’est ainsi que Manuel Aeschlimann théorise, au sein de l’UMP, la manière de « récupérer » l’électorat d’extrême-droite tout en « draguant » les communautés antillaises et maghrébines, par exemple dans Le Figaro du 7 juillet 2005, « Manuel Aeschlimann : L’homme qui renseigne le président de l’UMP » : « Dans deux notes successives, il analyse la « volatilité » de l’électorat du FN et démontre - chiffres à l’appui - que « la moitié de l’électorat de Jean-Marie Le Pen est susceptible de voter pour Nicolas Sarkozy en 2007 ». « Petit à petit, le vote idéologique est remplacé par le vote sur enjeux, estime Manuel Aeschlimann. Et cela touche de plein fouet le FN, renchérit-il. On peut prendre des voix à la droite dure. » Dans le même esprit, l’élu local expérimente chez lui, à Asnières, ses propres méthodes. En 2002, il lance un conseil des communautés qui permet, dit-il, d’identifier les problèmes de chaque communauté et d’y répondre. « En trois ans, on a vu les courbes électorales s’infléchir. Les trois quarts de l’électorat antillais et les deux tiers des électeurs d’origine maghrébine votent maintenant pour l’UMP », assure-t-il, validant ainsi la vision « communautariste » défendue par le président de l’UMP. Dans une de ses notes, Manuel Aeschlimann écrit « qu’un vote sur enjeux induit inévitablement une stratégie électorale adaptée qui passe par des argumentaires ciblés ». »

              Ces approches de la politique, fondées sur une « proximité » et un « pragmatisme » auto-proclamés, au risque de la contradiction et de la dissolution de la communauté de valeurs, sont prises en défaut, par exemple, sur les points suivants :

              L’utilisation détournée des fichiers électoraux : Manuel Aeschlimann le déclare sans détour au Figaro (cf. article ci-dessus) : « Sans état d’âme, il suggère carrément que l’UMP « récupère » les listes électorales afin de cibler les problèmes des électeurs ». On imagine sans peine quelques agents municipaux de la ville d’Asnières, passant en revue les listes municipales afin d’y dénicher « Amar », « Tarik » et « Naima », supposés musulmans, en prévision d’une lettre « ciblée » annonçant le démarrage des travaux de la future mosquée en présence du Maire...

              Les brimades des associations qui ne font pas allégeance : Le site www.asnierois.org rapporte, le 26 mars 2005 ( « A Asnières j’ai retrouvé l’oeil de Moscou » ), que les présidents des associations d’Asnières qui reçoivent une subvention de la ville auraient été « invités », lors d’un entretien en tête-à-tête avec l’adjoint délégué aux associations à livrer à la mairie les noms de leurs adhérents : quelle est la finalité de ce procédé illégal ? Probablement, compléter la cartographie de l’électorat asniérois en vue d’affiner la « stratégie marketing » de la Mairie ? Dans le même registre, L’Humanité du 8 novembre 2003, article « Asnières Les méthodes musclées du député maire UMP - Totalitarisme municipal » rapporte : « AC !, le MRAP, le Planning familial, la JOC, la Ligue des droits de l’homme, Asnières quartier libre, Cité d’idées... de nombreuses associations qui travaillent dans les quartiers populaires du nord de la commune sont mises au ban : suppression de toute subvention, exclusion du forum annuel des associations, non accès aux salles municipales. La Conférence Saint-Vincent-de-Paul, association caritative locale liée à la paroisse, n’est guère mieux traitée... ».

              Le soutien au développement de lieux de cultes : Dans la rubrique « Mosquée » du site d’opposition www.asnierois.org, le feuilleton de l’aide de la Mairie à l’association al-Hidayah al-Islamya pour la construction d’une mosquée est relaté : l’opposition reproche à Manuel Aeschlimann : 1) de n’avoir communiqué sur le sujet que vis-à-vis des Asniérois d’origine musulmane au lieu d’une concertation avec tous (cf. le tract analysé en introduction) 2) d’avoir laissé outrepasser les règles d’urbanisme pour la construction de la mosquée en question (modification du POS) 3) d’aider financièrement cette association afin de contribuer, de manière détournée (car interdite par la loi de 1905 sur la laïcité), à la construction/agrandissement de la mosquée 4) et surtout, de la position ambiguë de l’association concernée : elle a financé en effet la publication à des milliers d’exemplaires d’une traduction française de l’ouvrage de Sayeb Qutb, « A l’ombre du Coran » - inspirateur des mouvements salafistes les plus radicaux et prônant des moyens de lutte tels que : terreur, martyre et propagande, pour une purification de l’islam...

              Dans un registre très différent, les conditions suspectes voire subreptices d’attribution d’un permis de construire pour une salle du royaume à destination de la communauté des témoins de Jehovah d’Asnières (cf. article ) sont rapportées : aucune communication aux habitants ou aux élus sur le sujet (sujet découvert, par hasard, un an après le dépôt du permis, par un élu d’opposition), apparente illégalité de certaines dispositions du permis, ...

              Enfin, on ne peut clore cette visite du communautarisme de la « France d’Après » sans s’attarder sur les relations privilégiées qui semblent lier la mairie d’Asnières à la République Islamique d’Iran - dans la lignée des relations obscures qui semblent avoir existé de tout temps entre la droite dure française et les dictatures moyen-orientales (charles pasqua ou jean-marie le pen et l’Irak, par exemple). Le site Iran-resist avait déjà écrit sur le « lobbying pro-mollah à la mairie d’Asnières » » en retraçant le parcours du directeur de cabinet d’origine iranienne de Manuel Aeschlimann, et l’organisation d’une manifestation à l’Hotel-de-Ville d’Asnières, en janvier 2005, lors de laquelle Manuel Aeschlimann remit la médaille d’or de la ville à l’ambassadeur de la république islamique d’Iran.

              Francis Ramine Pourbagher, ancien président de la chambre de commerce France-Iran, est le directeur de cabinet et attaché parlementaire de Manuel Aeschlimann, lui-même membre du groupe d’amitié France-Iran à l’Assemblée Nationale. Jusque-là tout va bien. L’affaire n’aurait pas fait grand bruit si Francis Pourbagher n’avait pas - en pleine crise sur le nucléaire iranien sur fond de discours révisionniste et antisémite du président Ahmadinejad - manifesté son allégeance au régime iranien à la télévision publique iranienne en août 2005. Le fait que son frère soutienne officiellement la politique nucléaire du Président Ahmadinejad (cf. article paru fin 2005 dans la presse iranienne, tendance intégriste, « les français mettent à l’écart un directeur pour délit de soutien à Ahmadinejad » ) et que sa mère, résidant en Iran, écrive un article dans laquelle elle explique attendre « l’Holocauste de l’Occident » (cf. article paru fin 2005 dans la presse iranienne, tendance intégriste, « le sens de la démocratie occidentale, c’est l’holocauste » ) ajoutent certainement quelques piments au profil peu modéré de ce collaborateur. L’ironie de l’affaire, c’est que le député Aeschlimann a déclaré récemment sur France 3 (domaine public du 4 février) :

              « J’ai [Manuel Aeschlimann] été le premier à les condamner publiquement [les mollahs au pouvoir en Iran] ... C’est une espèce de polémique lancée par une opposition en mal d’idée, qui considère que mon directeur de cabinet [Francis Pourbagher], sur le principe qu’il est iranien, est nécessairement en phase avec le système, ce qui n’est pas le cas puisque lui et sa famille se sont sauvés justement de l’Iran quand les mollahs sont arrivés ».

              Ariel Weinberg Lundi 21 Août 2006 Asnières : laboratoire du communautarisme pour la « France d’Après »

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            • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 04:12

              Zen,

              Je corrige Emile Mourey qui vous écrit un post ci-dessus : il écrit très mal et avec plein de fautes. Il faut lire Manuel Aeschlimann.

              Et comme chacun le voit sur le juridoscope, Manuel Aeschlimann qui censure les élus, leurs tribunes libres et fait des procès à tout le monde -journalistes, élus de tous bords, associations et citoyens de base, est ...attaqué par le méchant Philippe Vassé !!!

              Il a dû apprendre la technique de la désinformation au Maroc dans ses cours de déchiffrement des guerres coloniales perdues.

              C’est amusant de voir comment ce pauvre Emile- qui a toute ma douce compassion- travestit tout en son contraire, même quand les réferences avérées lui prouvent le contraire.

              La persévérance dans l’erreur est diabolique, dit-on. Comme le mensonge permanent qui en est le corollaire.

              Il ne connaît pas les préceptes du bouddhisme, sinon il aurait cessé d’écrire depuis longtemps, le petit soldat perdu solitaire.

              Bien amicalement vôtre,


            • mandrier 17 août 2007 16:05

              Bravo ! Voici un sujet bien intéressant.... A Arzew, on a du aussi vous parler de l’« identification » ? Puis de la « neutralisation » en cas d’impossibilité de « récupération » et de « manipulation » ? Le capitaine Léger et le colonel Trinquier devaient y faire des conférences fort suivies ! Il me semble ! Encore un effort on va pouvoir appliquer les vieilles recettes en métropole ! La « bleuite » par exemple !


              • Emile Mourey Emile Mourey 17 août 2007 17:44

                @ Mandrier

                Pourquoi ne pas parler franchement ? Vous voulez parler de l’usage de la torture.

                Eh bien non ! Je n’ai jamais assisté à des conférences du colonel Trinquier et du capitaine Léger. Durant mon stage, on a, bien sûr, évoqué l’importance de la recherche du renseignement mais on ne m’a jamais dit de le rechercher par la torture. C’était en 1956. Le commandant de l’Ecole était le Colonel Fontès, ancien combattant de la guerre d’Espagne.

                A cette époque, je me trouvais en garnison au Maroc. En m’envoyant en stage à Arzew, mon chef de corps m’a demandé de lui faire un rapport sur la situation en Algérie, ce que j’ai fait à mon retour. J’en ai conservé une copie dans mes archives.

                Dans ce rapport, j’ai signalé que dans un poste isolé, on pratiquait la corvée de bois et qu’ailleurs, certains actes de torture étaient pratiqués.

                Lorsque j’ai pris un commandement en Algérie, j’ai constaté dès ma première opération que mes supplétifs avaient emporté les téléphones de la compagnie. Je n’ai compris l’usage que mes supplétifs en faisaient qu’à mon retour. Au premier rapport qui a suivi, j’ai fait lire devant toute l’unité rassemblée que j’interdisais formellement l’usage de la torture.

                J’ajoute que je n’ai jamais reçu durant tout mon séjour une note de service qui aurait pu être lue au rapport de l’unité concernant ce sujet. Sur ce sujet qui ne pouvait être ignoré des responsables politiques, il y a évidemment une responsabilité politique.

                J’estime, pour ma part, que de telles pratiques sont contraires à notre humanisme chrétien et contraire également au but recherché.

                Dans une guerre de type révolutionnaire, on ne peut gagner qu’en mettant la population de son côté.

                Qui est responsable de la durée du conflit algérien, Probablement les deux parties. L’un pour n’avoir pas su promouvoir l’élite dite musulmane à des postes de responsabilité jusqu’à l’autonomie puis l’indépendance, l’autre pour n’avoir jamais voulu négocier honnêtement, appliquant par là le fameux précepte de Mao-Tsé-Toung : conduire la guerre jusqu’à l’anéantissement total de l’adversaire.


              • ZEN ZEN 17 août 2007 18:25

                Allo !... je voudrais le 22 à Asnières...oui, Mademoiselle, le 22 !


              • mandrier 17 août 2007 19:45

                Oui ! C’est tout à votre honneur : j’aurais fait la même chose... Cependant en subversion, ou en « techniques indirectes » on ne sait pas de quoi l’adversaire est capable, puisque c’est un adepte de « qui veut la fin, prends les moyens »....

                Je n’ai pas servi durant cette époque (trop jeune).. Mais par la suite ce fut un de nos « grands sujets » de discussion...

                En fait on ne sait pas ce à quoi on peut être confronté. Et à partir de là, on sait très bien que celui qui aime bien sa mamie et son chien peut devenir le pire des carnassiers en quelques heures....


              • La mouche du coche La mouche du coche 17 août 2007 19:56

                Bon, l’artiste a un peu peur du militaire, quoi de plus normal. C’est deux métiers sont un peu opposés. smiley

                Aussi Demian n’a pas peur de Prêtresse et voilà qui est plus étonnant quand on connait le site de celle-ci. smiley


              • Emile Mourey Emile Mourey 17 août 2007 20:05

                @ Mandrier

                Merci. En fait je ne parle qu’en mon nom et ne veux pas porter de jugement. Je sais que certains de mes camarades se sont trouvés dans des cas difficiles à trancher. Je sais aussi que ma harka est tombée deux fois dans une embuscade, peut-être par manque de renseignements, et qu’il m’a fallu deux fois intervenir et limiter la casse -un mort mais tous les blessés sauvés. Je comprends que quelquefois, on se pose des questions mais quand on a reçu une éducation chrétienne, on fait le choix de ses convictions, choix peut-être un peu trop facile et confortable. Aujourd’hui, le cas des interrogatoires « musclés » des terroristes potentiels en est un exemple.


              • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 02:36

                Aux lecteurs du fil,

                Amusons-nous un peu avec les articles jamais contestés de www.asnierois.org car Emile Mourey, en panne de source, n’a plus que sa hargne à exprimer.

                Comme on dit à Asnières, la vérité est sur www.asnierois.org

                En voici un pour comprendre les faits spécifiques que notre cher Emile refuse de donner....le cachottier !

                ELECTIONS : ASNIEROIS.ORG A RETROUVÉ LES TRACTS ETHNIQUES DIFFUSÉS à ASNIÈRES

                ASNIERES

                TRACTS ETHNIQUES ou LA NEGATION DE L’ETHIQUE POLITIQUE

                Depuis quelques jours, l’existence d’une enquête sur des fichiers informatiques à coloration ethnique à Asnières remplit les pages de la presse nationale et locale, suite à la découverte d’un fichier électoral classé en toute illégalité par pays de naissance.

                L’AFP, Libération, Le Monde, l’Express, le JDD, Vingt Minutes, Le Parisien... rappellent que trier les personnes sur des critères ethniques dans un fichier informatisé est interdit.

                Le tri et le fichage informatiques sur des critères ethniques sont interdits. Mais fichiers ou pas, l’envoi de tracts différents à telle ou telle personne, selon qu’elle est née à tel ou tel endroit, ou est supposée appartenir à telle confession, est-il acceptable du point de vue de l’éthique ?

                De tels tracts ont été adressés aux électeurs d’Asnières. Ainsi, lors des législatives de 2002, les électeurs originaires des Antilles ont reçu un tract électoral intitulé « Lettre des Antilles/Afrique Pacifique », portant la signature de Marie-Dominique Aeschlimann, appelant à voter pour Manuel Aeschlimann. Ce tract leur est parvenu sous enveloppe nominative (étiquette adresse) timbrée.

                En 2002 encore, un autre tract intitulé « Comité Asnières Afrique du Nord », a été envoyé aux électeurs originaires du Maghreb, également sous enveloppe timbrée avec étiquette adresse.

                Plus récemment, lors des cantonales de 2004, un tract « Algérie, Maroc, Tunisie et les autres... avec Patricia Chavinier » mérite un examen attentif. Photo officielle de campagne de Patricia Chavinier, mention « vu le candidat », aspect identique aux autres tracts de campagne de la candidate, pas de doute, il s’agit bien d’un tract de Patricia Chaviniern candidate pour le canton nord d’Asnières. Or, qu’y lit-on ? ....nous avons choisi de nous engager pour soutenir Manuel Aeschlimann et sa candidate pour les élections cantonales, Patricia Chavinier. Pourquoi ? Simplement parce que... La future rénovation de la mosquée d’Asnières - La création d’un carré musulman....() ... c’est à Manuel Aeschlimann et à son équipe que nous les devons.

                Plus loin, le tract fait parler « Hassan, Farid, Malika, Amar, Tarik, Kamel, Khaleb, Naima, Ali, Sonia, et ... Karima ». Farid : « J’étais présent à la mosquée quand le maire est venu nous annoncer son soutien pour la rénovation de notre mosquée. L’an dernier, il s’était engagé à faire réviser le Plan d’occuption des sols pour nous permettre d’être en conformité avec l’urbanisme d’Asnières. Il l’a fait. Plus récemment, il est venu à la mosquée annoncer qu’il soutiendrait financièrement notre projet. Aucun maire d’Asnières de toute son histoire, n’avait apporté un tel soutien à notre communauté. »

                Très intéressant, n’est-ce pas ? Le destinataire apprend que Manuel Aeschlimann ferait des annonces à la mosquée à la communauté musulmanne. Il apprend également que Manuel Aeschlimann a fait réviser le POS pour permettre l’édification de la nouvelle mosquée. Toutes informations que les autres électeurs n’ont pas !

                Que nos lecteurs ne se méprennent pas. Le problème n’est pas de modifier le POS pour permettre telle construction, le problème est de modifier le POS dans un objectif que seuls certains connaissent, et qui est soigneusement omis dans la communication destinée aux autres.

                L’utilisation de « courriers nominatifs ciblés » avait déjà été dénoncée en mars 2001 dans un recours contre l’élection de Manuel Aeschlimann à la mairie d’Asnières. Le jugement du Tribunal Administratif dit clairement que ces envois auraient conduit à l’annulation de l’élection si la procédure avait été respectée : « ...l’envoi de courriers nominatifs ciblés qui auraient été de nature à conduire à l’annulation de l’élection... » . Pour une raison de procédure, le tribunal n’a pu retenir ces griefs, parce que présentés tardivement, soit plus de 4 jours après le scrutin.

                UNE QUESTION D’ETHIQUE

                L’ÉTHIQUE POLITIQUE, selon asnierois.org, voudrait que tous les citoyens soient traités également, que tous les électeurs disposent de la même information.

                Toute différence de traitement basée sur l’origine éthnique ou l’appartenance religieuse est porteuse de germes dangereux pour le socle républicain. Ce n’est pas notre culture. Ce n’est pas l’avenir que nous voulons construire, ni pour nous, ni pour nos enfants.

                asnierois.org, le 28 mai 2007

                L’article de LIBERATION : La mairie d’Asnières donne des couleurs aux électeurs

                LETTRE ANTILLES PACIFIQUE 1

                LETTRE ANTILLES PACIFIQUE 2

                LETTRE ANTILLES PACIFIQUE 3

                LETTRE ANTILLES PACIFIQUE 4

                ALGERIE MAROC TUNISIE 1

                ALGERIE MAROC TUNISIE 2

                JUGEMENT PROTESTATION ELECTORALE 2001 page 1

                JUGEMENT PROTESTATION ELECTORALE 2001 page 2

                JUGEMENT PROTESTATION ELECTORALE 2001 page 3

                Lettre ciblée de Marie-Dominique Aeschlimann, élection municipale 2001

                asnierois.org révélait en mars 2004 l’envoi de tracts « communautaires » à de électeurs triés selon leur origine. Lire l’article : DIFFUSION RESTREINTE


              • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 02:41

                Chers lecteurs,

                Les sources exigées par « mouche du coche » étant taries chez l’auteur de le’article à la bile torturée, encore un article d’information sourcée.

                Pour s’amuser un peu plus du cas Mourey.

                Bien cordialement vôtre

                JUSTICE : L’article censuré devra paraître dans le journal municipal

                REVUE DE PRESSE

                Un article signé Marisa Faion, paru dans le journazl LE PARISIEN du vendredi 20 avril 2007

                ASNIERES

                L’AFFAIRE concerne la parution d’un article du groupe Décidons ensemble pour Asnières - emmené par les UDF Bruno Casari et Kamel Zaoui - dans la tribune libre du journal municipal. Le premier adjoint au maire avait, en novembre 2004, refusé de faire paraître l’expression libre de ces deux élus d’opposition sous prétexte que le texte revêtait « un caractère diffamatoire ». En première instance, en novembre 2005, le tribunal administratif avait annulé la décision du premier adjoint et ordonné la publication de l’article dans l’édition suivante du bulletin municipal.

                Mais entre-temps, la ville d’Asnières avait fait appel de la décision. « La justice de notre République a finalement clairement indiqué au maire que notre tribune est correcte. Que d’argent dépensé pour rien ! » estime Bruno Casari, candidat suppléant UDF aux prochaines législatives. Dans son arrêt rendu ces derniers jours, la cour administrative d’appel a effectivement rejeté la demande de la commune et confirmé le jugement qui avait été pris en première instance par le tribunal administratif. L’article censuré devra paraître dans le prochain bulletin municipal.

                Marisa Faion Le Parisien, 20 avril 2007 ?


              • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 02:44

                Chers lecteurs,

                Agoravox a déjà parlé d’Asnières et de ses rapports compexes avec la Justice. En voici la preuve que l’auteur n’avait pas lue.

                Bonne lecture

                Bien cordialement vôtre,

                JUSTICE : La justice mise au pas par l’Etat sarkozyste

                REVUE DE NET

                Un article signé Jean-Charles Duhen, paru sur le site AGORAVOX

                Dans un livre, « OPA sur la justice » , qui aurait du être publié juste avant les élections présidentielles, l’ancien président de l’Union syndicale des magistrats (USM), Dominique Barella décrit comment, depuis quatre ans, Nicolas Sarkozy a mis au pas la justice, en fonction de ses intérêts politiques.

                L’excellent article de Jean-Charles Duhen « La justice mise au pas par l’Etat sarkozyste », paru dans AGORAVOX, pointe ces différentes interférences de l’Etat sarkozyste avec le monde de la justice.

                Asnières sur Seine et son député maire, Manuel Aeschlimann, sont cités à plusieurs reprises.

                L’article pose clairement la question : « Que nous réserve l’Etat sarkozyste au sujet de la séparation des pouvoirs politique et judiciaire ? ».

                La justice serait utilisée par certains lieutenants de Sarkozy contre les élus d’opposition, les associations ou les blogeurs qui dénonceraient les dérives de la vie démocratique locale. Des fonds publics seraient utilisés afin de les harceler judiciairement.

                L’auteur précise : « Par exemple, Manuel Aeschlimann, le maire d’Asnières-Sur-Seine, par ailleurs monsieur « opinion publique » de l’UMP. "Asnières est ainsi devenue le cauchemar du tribunal de Nanterre et de la cour d’appel de Versailles - une grande part des affaires traitées par le tribunal correctionnel de Nanterre proviennent de cette seule commune.

                Il est vrai que le maire mène une guérilla judiciaire sans merci contre les élus, les sites et les blogs qui lui sont défavorables« . A titre d’exemple, »En 2004, sous le mandat de Manuel Aeschlimann, la ville d’Asnières a dépensé en frais d’honoraires la somme de 592 011 euros". » (6 avril 2006 : « Asnières les frais d’honoraires explosent » ).

                Les mêmes lieutenants dénigreraient régulièrement l’institution judiciaire.

                Et l’auteur de citer de nouveau Manuel Aeschlimann : « A Asnières, Manuel Aeschlimann n’est pas en reste, alors qu’il était convoqué par le tribunal de Nanterre dans une affaire de détournement de fonds publics liée à l’organisation du festival folklorique organisé en 1998 - et qu’il allait de source proche du dossier vraisemblablement être mise en examen, le député-maire a envoyé une lettre au juge, qu’il a immédiatement rendue publique, lui demandant de le mettre en examen. Il dénonce ouvertement les méthodes du travail du juge et lui lance des menaces à peine voilées. « Le sport politique national consiste désormais à attaquer les tribunaux et les magistrats », constate l’USM, qui condamne cette pratique « dangereuse et inquiétante pour la démocratie »... « C’est une tentative de pression sur le juge », dénonce Dominique Barella, (...) Et d’ajouter : « Un maire ne supporte pas que ses proches soient mis en examen, c’est le système de la toute-puissance. » (29 juin 2006 : « Les magistrats dénoncent les « menaces » du député-maire »

                Asnierois.org se situe du côté de ceux qui défendent la séparation des pouvoirs, et par la même défendent notre fragile démocratie.

                asnierois.org, vendredi 20 avril 2007

                Asnierois.org vous recommande l’article complet sur Agoravox « La justice mise au pas par l’Etat sarkozyste ».

                A lire dès sa parution (malheureusement retardée ?!?) Le livre « OPA sur la justice », Dominique Barella, Hachette Littératures

                Lire également Le Livre « Nicolas Sarkozy, Enquête sur un homme de pouvoir » , Frédéric Charpier, Presse de la Cité

                L’EXPRESS SPECIAL Asnières, du 28 septembre 2006 : Le Système Aeschlimann En ligne ,


              • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 02:49

                Chers lecteurs,

                Voici un Communiqué de presse d’élus asniérois de toutes couleurs politiques, sauf les anarchistes (il n’y en a pas au demeurant).

                L’affaire est amusante et souligne les errements qui arrivent parfois. Notons que le magistrat impliqué est décédé depuis, selon la mairie.

                Mais, l’indignation unitaire des élus méritait d’être connue, puisque l’auteur ne parle que d’un seul citoyen asniérois.

                Bien cordialement vôtre

                JUSTICE : Appel au Président de la République pour une justice impartiale à Asnières

                COMMUNIQUE DE PRESSE

                Appel au Président de la République pour une justice impartiale à Asnières

                Asnières-sur-Seine, le 28 novembre 2006

                Ayant appris qu’un déjeuner a eu lieu le lundi 27 novembre 2006 au restaurant des élus du Conseil général des Hauts-de-Seine (présidé par Nicolas Sarkozy) entre le Député-maire d’Asnières-sur-Seine Manuel Aeschlimann (par ailleurs mis en examen pour « complicité de favoritisme dans l’attribution d’un marché public »), Marie-Dominique Aeschlimann Maire-adjoint et Conseiller régional d’Ile-de-France, le Directeur Général des Services de la mairie d’Asnières, la directrice de cabinet du Député-maire, le Directeur Général adjoint en charge des contentieux juridiques et le Président du Tribunal Administratif récemment nommé au Tribunal administratif de Versailles Monsieur Gérard Corouge, les élus de l’opposition républicaine au Conseil municipal, au-delà de leurs divergences politiques (PS, UMP, UDF, divers droite) demandent au Président de la République d’intervenir afin que soit respecté le principe de la séparation des pouvoirs, fondamentale pour les garanties des citoyens asniérois.

                De nombreux recours formés par des élus sont en attente de jugement auprès du Tribunal Administratif de Versailles, il est donc inconcevable que le magistrat présidant la juridiction chargée de juger ces recours se retrouve en position d’invité au restaurant des élus du Conseil général des Hauts-de-Seine en compagnie du premier magistrat de la commune responsable des délibérations attaquées et accompagnés de ses collaborateurs directs.

                S’interrogeant sur le risque réel de partialité objective susceptible de priver les requérants asniérois d’un procès équitable, les élus de l’opposition (PS, UMP, UDF, divers droite) qui agissent dans l’intérêt des contribuables d’Asnières demandent au Président de la République de faire respecter le principe de l’indépendance de la justice garanti par l’article 6 de la Convention européenne des Droits de l’Homme avant que ceux-ci n’introduisent une requête en suspicion légitime à l’encontre du Président du Tribunal Administratif de Versailles.

                Les élus PS, UMP, UDF, divers droite au Conseil municipal d’Asnières-sur-Seine (13 élus).

                Sébastien Pietransanta, Luc Bérard de Malavas, Françoise Claireaux, Laurence Lenoir, Philippe Babé, Julien Richard, Serge Danlos (groupe Asnières Pour Tous)

                Laurent Martin Saint Léon, Corinne Previtali (groupe Asnières Républicain)

                Jean-Jacques Semoun, Olivier Chazoule (groupe Asnières Libéré)

                Bruno Casari, Kamel Zaoui (groupe Décidons Ensemble pour Asnières)

                Communiqué paru sur www.asnierois.org le mardi 28 novembre 2006


              • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 02:53

                Chers lecteurs,

                Le détecteur d’anarchsites en panne de sources et d’idées ne voulant pas que les lecteurs du fil sachet ce qui se passe en vérité à Asnières, laissons la parole à la presse.

                C’est amusant et édifiant.

                Bien cordialement vôtre

                JUSTICE : Le député-maire d’Asnières mis en examen

                REVUE DE PRESSE

                Un article signé Valérie Mahaut et Frédéric Choulet, paru dans Le Parisien du 1er Septembre 2006

                L’événement

                IL LA VOULAIT... il l’a. Sa mise en examen a été signifiée à Manuel Aeschlimann, député-maire UMP d’Asnières.

                Le juge d’instruction de Nanterre en charge de l’affaire du financement d’un festival folklorique de 1998 a mis Manuel Aeschlimann en examen pour « complicité de favoritisme dans l’attribution d’un marché public ». Entendu comme témoin assisté à maintes reprises par le juge Richard Pallain, le député-maire avait frôlé plusieurs fois cette mise en examen. C’est chose faite depuis la fin juin, a-t-on appris hier de sources concordantes.

                Avant son départ en congés d’été, le juge avait envoyé au député-maire « une lettre recommandée avec accusé de réception valant mise en examen », affirme un proche du dossier. Et c’est précisément à cette époque que Manuel Aeschlimann s’était fendu d’une longue lettre adressée au juge dans laquelle il réclamait lui-même sa propre mise en examen.

                « Quand on demande sa mise en examen en recommandé, elle est automatiquement prononcée », affirme Manuel Aeschlimann. Mais, de source proche du dossier, on livre un tout autre commentaire. « Le juge n’a pas attendu la revendication de Manuel Aeschliman pour décider de le mettre en examen et envoyer cette lettre recommandée. » Le député-maire ne pouvait l’ignorer. Il a manifestement allumé un contre-feu. Ce qu’il démentait hier.

                Rendez-vous avec le juge en octobre

                Est-ce parce que l’issue de ses nombreuses auditions chez le juge semblait évidente que le député-maire s’était fait porter pâle le 19 juin, jour de sa dernière convocation comme témoin assisté ? « Certainement pas », s’indigne l’intéressé, qui affirme avoir souffert ce jour-là d’une violente sciatique. Certificat médical à l’appui.

                Fin 2003, le parquet de Nanterre avait ouvert une information judiciaire pour « octroi d’avantage injustifié, recel et détournements de fonds publics », liés à l’organisation de ce festival folklorique organisé en 1998. C’est Manuel Aeschlimann, alors premier adjoint, qui avait conçu le projet de cette manifestation, dont l’organisation fut confiée à CDA Production et une association paramunicipale pour 200 000 €, une somme « surévaluée », d’après les investigations de la brigade de répression de la délinquance économique (BRDE).

                Dès le début de l’instruction, l’ex-maire RPR d’Asnières, Franz Taittinguer, avait été mis en examen pour « atteinte à la liberté d’accès et à l’égalité des candidats dans l’attribution des marchés publics ». Cette année, la directrice de communication de l’époque de Manuel Aeschlimann, Fabienne Van Aal, et le député-maire ont été mis en examen pour complicité de favoritisme.

                Mais, tout au long de l’année, l’un et l’autre ont été entendus de longues heures comme témoins assistés. Manuel Aeschlimann fut convoqué à cinq ou six reprises au moins dans le cabinet du juge. Pour des auditions durant parfois sept ou huit heures. Jusqu’à la mise en examen et la lettre de Manuel Aeschlimann fin juin. Une lettre accompagnée d’un communiqué sanglant à l’encontre du juge (lire ci-dessous) dans lesquels il évoque « l’insécurité juridique qui pèse sur les maires et leurs collaborateurs ».

                « Que la justice avance sur cette affaire, c’est normal... mais je n’ai pas été bien traité. Il y a quand même des façons de faire », se justifiait le député-maire hier soir. Le prochain rendez-vous entre le juge et le député-maire est fixé à octobre prochain.

                Jusqu’à sa mise en examen , Manuel Aeschlimann a déjà été entendu de longues heures comme témoin assisté , à cinq ou six reprises au moins, dans le cabinet du juge . ( GAMMA/ JEAN-FRANCOIS DEROUBAIX. )

                Valérie Mahaut avec Frédéric Choulet Le Parisien , vendredi 01 septembre 2006

                « Une instruction entachée de multiples irrégularités »

                MANUEL AESCHLIMANN

                « MONSIEUR le juge, je vous demande très solennellement de procéder à ma mise en examen. » Cette phrase concluait la lettre adressée le 21 juin par le député-maire UMP d’Asnières au juge d’instruction de Nanterre, Richard Pallain.

                Un courrier de deux pages accusateur, l’élu critiquant sans détour les méthodes de travail du magistrat dans le cadre de son instruction de « l’affaire du Festival du folklore d’Asnières ». Témoin assisté dans l’affaire, Manuel Aeschlimann dénonce « une instruction entachée de multiples irrégularités ». Selon lui, le juge « a une vraie aversion pour les politiques. J’ai vu comment il se comportait. C’est insupportable. J’ai envie de mettre les pieds dans le plat en dénonçant cette façon de faire ». Au magistrat, il écrit : « Vous avez remplacé les éléments objectifs - manquant par nature - par des pressions sur certains témoins qui avaient le tort - à vos yeux - de ne pas aller dans le sens que vous désiriez donner à votre instruction »... ou encore, plus loin : « Je vois que l’instruction s’appuie sur de nombreux actes de procédure pourtant absolument falsifiés (...). Le parquet est au courant. Vous êtes au courant. Et les auditions se poursuivent comme si de rien n’était. »

                Des déclarations auxquelles Manuel Aeschlimann, joint hier par téléphone, affirme ne rien retirer.

                F.C. Le Parisien , vendredi 01 septembre 2006

                Lire aussi sur le site de FR3


              • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 02:56

                Chers lecteurs,

                L’auteur avait omis de parler des « menaces », c’est ainsi que les magistrats évoquent une lettre de Manuel Aeschlimann, maire d’Asnières, à un Juge d’instruction.

                Réparons cette omission car la vérité est utile à connaître, malgré l’auteur que l’on remercie d’avoir initié ce fil conducteur et constructeur

                Bien cordialement vôtre

                JUSTICE : Les magistrats dénoncent les « menaces » du député-maire

                REVUE DE PRESSE

                Un article signé Marisa Faion, paru dans le journal Le Parisien du jeudi 29 juin 2006

                LA LETTRE adressée la semaine dernière au juge d’instruction de Nanterre, Richard Pallain, par le député-maire UMP d’Asnières, Manuel Aeschlimann, a vivement fait réagir les syndicats de magistrats, comme l’on pouvait s’y attendre. Et pour cause, dans ce courrier rendu public par l’élu, Manuel Aeschlimann, qui demande sa mise en examen dans le cadre d’une affaire de financement de Festival folklorique organisé sur sa commune en 1998, critique ouvertement les « méthodes de travail » du juge.

                Il lance des « menaces à peine voilées au juge d’instruction », réagit l’Union syndicale de la magistrature (USM), syndicat majoritaire, qui a déjà accusé il y a quelques jours Nicolas Sarkozy, dont Manuel Aeschlimann est l’un des lieutenants, « d’atteinte à l’indépendance de la justice » après ses accusations de laxisme contre le tribunal pour enfants de Bobigny (Seine-Saint-Denis).

                « Une pratique dangereuse pour la démocratie »

                L’USM estime que la missive du député-maire d’Asnières se situe exactement dans la droite ligne de ce qui s’est passé à Bobigny : ce « n’est une fois de plus qu’une instrumentalisation de la justice », lâche son président, Dominique Barella.

                « Le sport politique national consiste désormais à attaquer les tribunaux et les magistrats », constate l’USM, qui condamne cette pratique « dangereuse et inquiétante pour la démocratie ».

                La missive du député-maire d’Asnières qui fait suite à la mise en examen, dans l’affaire susnommée, de sa proche collaboratrice Fabienne Van Aal pour « complicité d’atteinte à la liberté d’accès et à l’égalité des candidats dans les marchés publics », évoque « l’aversion du magistrat pour les politiques... des pressions sur certains témoins... ou encore... des actes de procédure falsifiés ».

                Des accusations considérées avec sévérité par l’USM : « C’est une tentative de pression sur le juge, dénonce encore Dominique Barella, qui souhaite réunir le bureau pour débattre du sujet et peut-être envisager une intervention. Au lieu de répondre sur le fond, on attaque. Le but, ce n’est pas d’avoir un dialogue avec le juge d’instruction, qui, lui, ne peut répondre publiquement. »

                Et d’ajouter : « Un maire ne supporte pas que ses proches soient mis en examen, c’est le système de la toute-puissance. C’est un élu proche du ministre qui considère que tout pouvoir doit être concentré dans les mains de l’exécutif. C’est ce que la politique peut créer de pire. Les juges, eux, ne font qu’appliquer les textes et les lois votés par le Parlement. »

                L’Union syndicale de la magistrature réagit avec force au courrier envoyé par Manuel Aeschlimann (ci-dessus) à un juge de Nanterre. Dans sa lettre, le député-maire réclame sa propre mise en examen et critique les méthodes de travail du magistrat. (LP.)

                Marisa Faion Le Parisien , jeudi 29 juin 2006


              • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 03:02

                Chers lecteurs,

                Une information-scoop en provenance d’Asnières avait échappé à l’auteur et à sa légendaire sagacité.

                L’oubli est ici réparé.

                Car, le spécialiste es-renseignements militaires qui dévoile sur tout sur la subversion en Gaule d’aujourd’hui (pardon : en France) avait des ratés ennuyeux.

                C’est réparé et c’est gratiné.

                Bonne lecture et bien cordialement vôtre

                mosquée : LE « CORAN DES ISLAMISTES » EDITE A ASNIERES PAR AL HIDAYAH AL ISLAMYAH

                Nous apprenons avec consternation que la traduction française du premier tome de « A l’ombre du Coran » a été éditée par Al Hidayah al Islamyah, association domiciliée, comme la mosquée Al Hidayah al Islamyah, au 25 rue de l’Abbé Lémire à Asnières.

                Dans le New York Times du 23 mars 2003, Paul Bermann a écrit à ce sujet un long article intitulé : « The Philosopher of Islamic Terror » (le philosophe de la terreur islamique).

                Sayed Qutb, décédé en 1966, est considéré comme le père spirituel des islamistes les plus radicaux. Son livre « A l’ombre du Coran », devenu leur texte phare, est violemment antisémite, mais chrétiens et « mauvais musulmans » ne sont pas épargnés. Le monde de Sayed Qutb fait peur : c’est le règne de la charia (pureté) dont les mollahs munis de tous les pouvoirs sont les relais.

                Ce livre, écrit par un frère musulman, l’égyptien Sayed Qotb (ou Sayyid Qutb ou Sayed al Qoutb), est qualifié de « Coran des islamistes » par le chercheur Olivier Carré*.

                Le frère de Sayed Qutb eut pour élève un certain Osama Ben Laden.

                La traduction française de « A l’ombre du Coran » a été éditée par l’association Al Hidayah al Islamyah, celle-là même qui a reçu, lors de la pose de la première pierre de la mosquée Al Hidayah al Islamyah, lundi 11 octobre 2004, l’assurance d’aides publiques par la bouche du maire d’Asnières. Le président actuel de l’association, Abdelkader Achebouche, en était déjà le président en 1988, date de l’impression du livre au Liban (10 000 exemplaires). En page 9, à la fin de la préface, il est remercié en tant qu’initiateur du projet. Aujourd’hui, il explique que le stock se trouve à la mosquée d’Asnières (! !).

                Cette traduction s’est arrêtée au premier tome du livre, mais c’est déjà une bonne centaine de pages de propos violents répétés contre les mécréants : Juifs surtout, mais aussi Chrétiens et même mauvais Musulmans.

                Alors qu’un simple surf sur internet permet d’accéder à bon nombre de ces informations , les Asniérois ont des raisons de s’interroger sur ce qu’ils ont appris ces derniers jours :

                La grande mosquée Al Hidayah al Islamyah va s’élever à Asnières, sa reconstruction est initiée par l’association Al Hidayah al Islamyah
                - La première pierre a été posée en présence de Nicolas Sarkozy, Président du Conseil Général, ancien ministre de l’Intérieur et des Cultes, ainsi que de très nombreux élus dont le maire d’Asnières
                - Le maire a annoncé avoir modifié le POS de la ville spécialement pour permettre la construction de la mosquée
                - Le maire a annoncé que la ville aiderait à son financement
                - Les statuts de l’association Al Hidayah al Islamyah ont été modifiés en janvier 2004
                - Le permis de construire présenté par l’association Al Hidayah al Islamyah distingue dans sa notice explicative un programme cultuel de 650 m2 (non subventionnable) et un programme socio-culturel de 670 m2 (subventionnable ?).
                - Trois salles de cours pour trente personnes chacune sont prévues au permis de construire

                - Les réserves de la mosquée Al Hidayah al Islamyah renferment des milliers d’exemplaires de la traduction française du livre-référence des islamistes les plus radicaux « A l’ombre du Coran »
                - L’association Al Hidayah al Islamyah est à l’origine de la traduction de ce livre
                - L’association Al Hidayah al Islamyah est l’éditeur de ce livre

                * Olivier Carré : Mystique et politique, le Coran des islamistes, lecture du Coran par Sayyid Qutb, frère musulman radical . Editions du Cerf.

                A lire, l’article du journal Le parisien Quand la mosquée publiait des textes extrémistes


              • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 03:07

                Chers lecteurs,

                Emile Mourey affirmant que la gestion de la ville d’Asnières est un modèle de vertu financière, il est bon d’avoir l’avis du dangereux et anarchiste journnal financier « Challenges ».

                Un avis de plus donné par de vrais spécialistes qualifiés, bref de l’anti-Mourey.

                C’est drôle : ils disent l’inverse de notre anti-subversif. Seraient-ils membres du complot anarchiste qui menace le monde selon Mourey ?

                Bonne lecture et bien cordialement vôtre,

                IMPOTS FINANCES : Nouveau Challenge pour Manuel AESCHLIMANN ...

                Le magazine CHALLENGES d’avril 2006 publie le classement des meilleurs maires de France pour la gestion de leur ville, sur la base d’une évaluation financière, budgétaire et fiscale. Il classe Asnières et son maire Manuel Aeschlimann dans le peloton de queue des villes et des maires des Hauts-de-Seine.

                Après les révélations du magazine CAPITAL sur la forte augmentation des impôts locaux à Asnières, c’est maintenant au magazine CHALLENGES de classer Asnières dans les derniers rangs pour la gestion financière.

                Point noir et clignotant au rouge pour la situation financière d’Asnières et la gestion de son maire Manuel Aeschlimann dans le classement de Challenges.

                Un classement qui ne surprend pas la rédaction d’asnierois.org. Voilà deux ans que nous tirons la sonnette d’alarme. La ville d’Asnières est mal gérée, sa situation financière est alarmante, pire, elle s’aggrave : les clignotants sont maintenant tous au rouge : dette explosive, service de la dette ascensionnel, réalisation budgétaire décevante, pression fiscale en forte augmentation.

                Nouveau Challenge pour Manuel AESCHLIMANN ... Nous dira-t-il que Challenges se trompe, nous affirmera-t-il une fois de plus que la gestion financière de la ville est exemplaire ? Un discours dont nous avons maintenant l’habitude : l’autofélicitation sans vergogne, alors qu’à l’évidence la situation est critique.

                Deux publications financières sérieuses, hier CAPITAL pour l’augmentation des impôts locaux, aujourd’hui CHALLENGES pour la gestion financière d’Asnières, ont une opinion opposée à celle avancée par son maire, Manuel Aeschlimann.

                Y a-t-il encore un Asniérois pour croire aux messages de propagande, tous à la gloire de la gestion municipale, répétés sur les panneaux d’affichage, les pages d’Asnières Infos, les multiples tracts publiés aux frais des Asniérois par la mairie d’Asnières ?

                S’il en est encore un, qu’il lise d’urgence le dernier numéro de CHALLENGES. En voici les éléments concernant Asnières.

                L’étude a été réalisée par l’agence PES.

                « L’agence Public Evaluation System (PES), spécialisée dans l’évaluation financière des collectivités locales, a passé au crible les budgets principaux de 870 villes françaises de plus de 10 000 habitants pour l’exercice 2004. La collecte des données auprès des ministères de l’Intérieur et des Finances et les délais légaux expliquent ce décalage. La notation des villes prend en compte cinq critères : rigidité financière, service de la dette, solvabilité, réalisation budgétaire et fiscalité. Ces notes sont des indicateurs de gestion financière et budgétaire, elles n’ont pas l’ambition d’évaluer la qualité et la quantité des services des exécutifs locaux, ni le bien-fondé de leur politique ou le bien-être de leurs administrés. L’équipe de PES, composée d’experts en droit public et en finances locales, de mathématiciens et d’informaticiens, dispose d’un panel de consultants varié, dont Yves Marchand, ancien député, Guy Vidal, ancien directeur du budget du ministère des Finances, Philippe Saunier, professeur de droit public, et Pierre-Henri Picq, directeur et créateur d’entreprise. »

                Pour la gestion de Manuel Aeschlimann, les cinq critères d’évaluation financière, budgétaire et fiscale étudiés aboutissent à la plus mauvaise note, symbolisée sur le tableau intitulé : « LES PERFORMANCES DES MAIRES », par un sinistre point noir. Le critère dynamique (amélioration de la situation financière, stabilité ou détérioration) est pour Asnières tout aussi mauvais : un triangle rouge, pointe en bas signale que la tendance pour la gestion financière de la commune est sur la mauvaise pente, celle de la détérioration. Au final, Asnières cumule donc les deux plus mauvaises notes : pour les mauvais résultats financiers et pour la tendance à la détérioration des comptes.

                Dans les Hauts-de-Seine, la première place revient à Puteaux, avec trois étoiles pour la gestion financière de son maire et une orientation positive.

                Le Plessis-Robinson arrive en deuxième position, avec trois étoiles, mais une tendance négative.

                Troisièmes ex-aequo : La Garenne-Colombes, Saint-Cloud, Sèvres, Ville-d’Avray, avec deux étoiles et une tendance positive.

                Une seule étoile pour Antony, Bourg la Reine, Chaville, Clamart, Colombes, Courbevoie, Garches, Gennevilliers, Issy-les-Moulineaux, Malakoff, Meudon, Montrouge, Nanterre, Neuilly, Rueil, Suresnes, et Vanves, qui font tous mieux qu’Asnières.

                Pas d’étoile, mais avec une tendance à l’amélioration : Boulogne et Villeneuve-la-Garenne, font aussi mieux qu’Asnières.

                Enfin, le peloton de queue avec les derniers de la classe : point noir pour les mauvais résultats, et clignotant rouge pour la tendance à la dégradation : Asnières, Bagneux, Bois-Colombes, Chatenay-Malabry, Châtillon, Clichy, Fontenay-aux-Roses, Levallois, Sceaux.

                La conclusion s’impose : selon CHALLENGES, côté finances, Manuel Aeschlimann ne fait pas partie, loin s’en faut, des meilleurs maires de France.

                La page de l’article pour les Hauts-de-Seine : CHALLENGES LES PERFORMANCES DES MAIRES, HAUTS-DE-SEINE

                Pour le droit de réponse, c’est ici : droit de [email protected]

                asnierois.org, le 7 avril 2006


              • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 03:25

                Chesr lecteurs,

                Chacun sait que le régime iranien est un modèle de démocratie.

                Nul ne saurait ignorer qu’Emile Mourey combat la subversion dans toute...la Gaule moderne de 2007.

                Il avait oublié cet acte incroyable de subversion iranien commis à Asnières le 21 janvier 2005 et ses suites burlesques.

                Voilà donc un apport sourcé à la lutte de notre illustre combattant solitaire de la subversion.

                Bonne lecture et bien cordialement vôtre

                Vie politique : AESCHLIMANN FAIT SA MOUSSE A ASNIERES, POURBAGHER FAIT SA MOUSSE A TEHERAN

                REACTIONS : DROIT DE REPONSE DE R.F. POURBAGHER

                REBONDISSEMENT DANS L’AFFAIRE IRASNIERES

                Selon RAMINE FRANCIS POURBAGHER, Directeur de cabinet du maire d’Asnières, la ville d’Asnières a aidé financièrement l’Ambassade d’Iran pour l’organisation d’une grande manifestation à Asnières

                Des Asniérois nous avaient signalé avoir vu le maire d’Asnières et son épouse dans une émission de la télévision iranienne. Aujourd’hui nous en savons davantage. S’il est vrai que les visages de MANUEL AESCHLIMANN et de MARIE-DOMINIQUE AESCHLIMANN apparaissent brièvement à côté de celui de NICOLAS SARKOZY dans ce film, c’est en réalité à RAMINE FRANCIS POURBAGHER, directeur de cabinet du maire d’Asnières, que celui-ci est consacré.

                La copie de cette émission d’une trentaine de minutes nous est parvenue sous forme d’un DVD. Expéditeur inconnu. Nous l’avons visionnée...

                L’émission, principalement en iranien - quelques passages sont en français, a été sous-titrée en français (par l’expéditeur inconnu ?). Nous avons fait vérifier la traduction avant d’en parler. Nous avons pu vérifier également que cette émission a bien été diffusée sur la télévision iranienne.

                Cette affaire met le petit monde asniérois en ébullition, des morceaux choisis de quelques minutes circulent sur le net.

                Voici ce que, pour notre part, nous retenons.

                La télévision iranienne a diffusé en août 2005 une émission consacrée à Ramine Pourbagher, Directeur de Cabinet du maire d’Asnières.

                Il y est présenté comme un exemple de réussite pour les Iraniens.

                Les images le montrent à Asnières, à son domicile, à la mairie d’Asnières, à l’assemblée nationale.

                Ramine Francis Pourbagher s’exprime en iranien (il avoue un défaut : son accent). Il se présente lui-même comme une personne très importante et reconnue pour les relations franco-iraniennes. « Un jour j’ai dit aux hommes d’Etat français : ’’Pourquoi n’avez-vous pas des rapports commerciaux avec l’Iran qui est une superpuissance dans une région qui contient l’avenir du monde ? ’’ Ils ont accepté ma proposition et ont dit : ‘‘ Puisque vous connaissez bien l’Iran et la France, vous avez raison, votre idée est bonne, aidez-nous à améliorer les relations entre la France et l’Iran’’. »

                Beaucoup de vantardises, beaucoup de mousse : tout le poids de la gestion de la ville repose sur Ramine Francis Pourbagher, il est le successeur désigné du maire (selon voix off). Des artifices de mise en image : on le voit descendant les marches de la mairie d’Asnières avec l’incrustation en iranien : ’’LE MAIRE’’... (d’où probablement la confusion initiale). Ramine Pourbagher est présenté d’abord comme l’adjoint (traduction correcte du terme iranien prononcé), puis comme le successeur désigné du maire d’Asnières Manuel Aeschlimann lorsque celui-ci sera appelé par Nicolas Sarkozy, lui-même futur président de la République Française, à de plus hautes fonctions.

                Jusque-là c’est surtout très drôle.

                Après c’est moins drôle.

                Nous voyons Pascale Pourbagher faire l’éloge (en français) de son mari, « aux yeux rieurs, mais ...viril et puissant », chez elle, à Asnières, sa petite fille sur les genoux, voilée d’un fort seyant voile bleu. Il est rappelé dans le film que Pascale Pourbagher est conseillère municipale à Asnières.

                Nous entendons Ramine Pourbagher s’exprimer longuement sur la place que tient l’Iran dans sa vie. « Mon cœur est iranien, mon intérieur est iranien, je n’aime pas qu’ils pensent que je viens d’une autre planète. En Iran...là-bas au moins on ne me regarde pas comme un étranger. Là-bas c’est ma maison. Il y a beaucoup de gens comme moi ; alors qu’ici quand je marche dans la rue je suis seul. »

                De plus en plus ennuyeux

                Ramine Pourbagher s’étend sur la grande manifestation qui s’est tenue à Asnières début 2005. Nous apprenons de sa bouche qu’ont été mises à disposition de l’Ambassade d’Iran toutes les ressources de la ville, « sans économiser sur rien » et qu’une « aide financière a été apportée à l’Ambassade d’Iran ».

                L’émission nous montre le Tazieh qui a été joué dans l’Espace Concorde à Asnières, retraçant le martyre du saint chiite Hosseyn. Le tazieh est un théâtre religieux chiite, qui exalte le sentiment d’appartenance à la communauté musulmane chiite.

                Ramine Francis Pourbagher poursuit : « Ce tazieh est un cadeau que je voulais faire à mes compatriotes iraniens. Ici c’est mon territoire. Mes compatriotes lorsqu’ils viennent en France, ils savent qu’ils peuvent compter sur moi. Si je travaille à la mairie ou pas, peu importe... En Iran je ne connais pas les problèmes aussi bien qu’ici. J’ai mis toute la mairie d’Asnières à la disposition de l’Ambassade d’Iran en France. »

                Nous voyons la poignée de main entre MANUEL AESCHLIMANN et l’Ambassadeur de la République Islamique d’Iran, lors de la réception au cours de laquelle MANUEL AESCHLIMANN a remis à l’Ambassadeur de la République Islamique d’Iran la médaille d’or de la ville d’Asnières.

                « On a pris la décision d’organiser cet évènement avec Monsieur Karazi (NDLR : c’est l’Ambassadeur). Lui sait à quel point j’ai mis à disposition de l’Ambassade et du Centre Culturel iraniens les techniciens de la ville d’Asnières, les bâtiments, tous les moyens de la mairie. Nous n’avons économisé sur rien... De notre côté, de la part de la ville d’Asnières, nous ne leur avons rien fait payer, et en plus de la mise à disposition de la salle, nous les avons aidés financièrement. Je ne dirais pas combien mais nous les avons aidés financièrement. »

                A la fin du visionnage de ce film, nos questions sont multiples.

                Passe que le directeur de cabinet de la ville d’Asnières s’affiche comme iranien d’abord, au service de ses compatriotes iraniens, même si nous aurions aimé entendre Ramine Francis Pourbagher dire de la France aussi qu’elle est sa patrie. Après tout chacun donne son coeur à qui il veut.

                Passe encore qu’une élue de la République Française, présentée comme telle, qui plus est enseignante, accepte d’être filmée chez elle, en France, arborant un voile à l’iranienne, d’une très jolie couleur bleue ... Après tout elle fait ce qu’elle veut chez elle.

                Mais ne passe pas l’affaire IRASNIERES. Quel a été le coût de la réception de l’Ambassadeur d’Iran à Asnières par Manuel Aeschlimann ? Quel a été le coût total de la manifestation ? La ville d’Asnières a-t-elle « aidé financièrement » l’Ambassade d’Iran ? Si oui, pourquoi ? Pour quel montant ? Sur quel budget ? Sur la signature de quel élu ?

                Nous attendons les réponses :[email protected]

                asnierois.org, 12 novembre 2005

                LIRE LA SUITE : IRASNIERES : CHACUN FAIT CE QU’IL CROIT ËTRE BIEN

                POUR BIEN COMPRENDRE

                LIRE AUSSI :

                l’article paru en janvier 2005 sur www.asnierois.org : IRASNIERES : AESCHLIMANN RECOIT L’AMBASSADEUR D’IRAN A LA MAIRIE D’ASNIERES

                ET AUSSI : RELATIONS ASNIERES REPUBLIQUE ISLAMIQUE D’IRAN

                Mieux connaître Francis Pourbagher :

                - AFFAIRE DES CORBEAUX : SEULS LES LAMPISTES PAIERONT

                - CULTURE IRASNIEROISE : PASSAGE AUX TRAVAUX PRATIQUES

                - FRANCIS POURBAGHER NOMINE AUX BIG BROTHER AWARD FRANCE

                - LA VIDEOSURVEILLANCE FAIT SCANDALE

                - A ASNIERES LES METHODES MUSCLEES DU DEPUTE-MAIRE TOTALITARISME MUNICIPAL

                - LE DIRECTEUR DE CABINET DU MAIRE D’ASNIERES MIS EN EXAMEN

                Vous souhaitez réagir à cet article, nous contacter ? Ecrivez-nous à : [email protected]

                LES REACTIONS

                Droit de réponse de Francis Ramine Pourbagher en date du 14 novembre 2005, reçue par LRAR le 16 novembre 2005

                "Vous venez de mettre en ligne sur votre site Internet des éléments d’informations concernant un reportage diffusé sur une chaîne nationale iranienne et qui a pour objet de dresser mon portrait.

                Il m’importe de dénoncer la campagne de dénigrement aux relents de racisme primaire que vous relayez sans précaution (s’agissant du DVD) sachant que la traduction qui accompagne la vidéo que vous mentionnez avoir reçu de façon anonyme est partiellement inexacte et orientée.

                En effet, la télévision iranienne m’a sollicité pour l’enregistrement de ce documentaire dans le cadre d’une série d’émissions dédiées au thème de l’Exemplarité au travers d’émigrés d’origine iranienne ayant réussi leur parcours professionnel et familial à l’étranger.

                C’est d’ailleurs lors de l’exposition « Shiraz Paradis Persan » que les journalistes invités par le Centre Culturel Iranien ont souhaité faire découvrir mon expérience aux jeunes iraniens.

                Sachez que cette manifestation culturelle appartenait à une série du même type organisée dans des villes aussi prestigieuses que Paris, Orléans, Issy les Moulineaaux, Boulogne-Billancourt, Versailles, etc....

                Alors, je tiens à dire que nous n’avons pas à rougir d’avoir proposé aux asniérois de découvrir une civilisation plusieurs fois millénaire (qualifiée par les historiens de berceau de la civilisation).

                C’est pourquoi je trouve votre initiative pour le moins maladroite voire douteuse d’autant que vous affirmez avoir procédé à la vérification de la traduction en votre possession. (...) Enfin, il est bon de noter que j’ai décidé de saisir les juridictions françaises afin de faire toute la vérité sur ces manoeuvres politiciennes et peu glorieuses qui visent uniquement à discréditer mon action, ma famille et ma personne".

                NOTE DE LA REDACTION

                1 - Une phrase n’ayant aucun rapport avec l’article incriminé a été supprimée.

                2 - Monsieur Pourbagher se plaint d’être la victime d’une « campagne aux relents de racisme primaire », mais il ne donne aucune explication. Nous ne savons pas de quoi il parle. S’il est victime de faits de discrimination raciste, qu’il nous en informe, nous serons les premiers à dénoncer ces faits.

                3 - Monsieur Pourbagher affirme que la traduction est inexacte. La rédaction a pris la précaution de faire appel à deux personnes d’origine iranienne, sans lien entre elles et sans lien avec la ville d’Asnières. Ces deux personnes ont visionné séparément l’intégralité de l’émission. Elles ont toutes les deux confirmé la correction du sous-titrage en français et l’absence d’ambiguité dans les termes employés . Puisque l’occasion est donnée ici d’entrer dans les détails, une seule erreur minime a été relevée par nos deux traducteurs. Le commentateur présente Ramine Pourbagher d’abord ainsi : Manuel Aeschlimann l’a nommé son directeur de cabinet et son « successeur ». La traduction exacte est selon nos deux traducteurs non pas successeur mais « adjoint » (ce que Monsieur Pourbagher n’est pas non plus). Mais un peu plus loin, le commentateur annonce : il est « l’adjoint et le successeur », et cette fois c’est bien le mot successeur qui est utilisé. Quoiqu’il en soit, Monsieur Pourbagher n’est pas un élu, il n’est pas l’adjoint du maire, quant à son successeur, ce sont les électeurs qui en décideront selon les lois de la République Française.

                4 - Sur la question principalement posée dans notre article, c’est-à-dire le coût de la manifestation, nous constatons que Monsieur Pourbagher n’apporte aucune réponse. Le maire affirme via le journal Le Parisien que la ville d’Asnières n’a rien payé. Monsieur Pourbagher affirme que la ville d’Asnières « n’a économisé sur rien » et a apporté « une aide financière ». Où est la vérité ? Les Asniérois sont en droit de se poser la question.

                5 - Contrairement aux affirmations de Monsieur Pourbagher, asnierois.org n’a jamais critiqué le principe d’une exposition culturelle, qu’elle soit iranienne ou autre.

                5 - Sur le thème de l’exemplarité, rappelons que Monsieur Pourbagher a été condamné pour diffamation par voie de tracts anonymes dans l’affaire dite « du corbeau ». Cette condamnation est aujourd’hui définitive. Pour les nombreux faits divers dans lesquels Monsieur Pourbagher est impliqué, nous renvoyons le lecteur intéressé à la presse locale et nationale. A chacun de se faire son idée quant à l’exemplarité du parcours de Monsieur Pourbagher.

                asnierois.org, 17 novembre 2005


              • Djanel 18 août 2007 06:16

                C’est l’overdose. Je m’en suis protégé, je n’ai rien lu.


              • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 06:22

                Bonjour,

                Je suis étonné qu’un officier français se demande sur ce fil en 2007 pourquoi SES hommes emmenaient beaucoup de téléphones INUTILES (il aurait pu les en alléger) et découvrent- quand, comment, pourquoi- ? que SES hommes, enfreignant donc ses ordres d’officier sans qu’il les sanctionne- torturaient en Algérie....

                Que penser d’un officier français qui ne contrôle pas SES hommes, ne sait pas se faire obéir D’EUX et ne sanctionne pas LEUR refus d’obéissance après avoir constaté et connu des infractions gravissimes ?

                Et que de plus vient le dire haut et fort sur un fil d’Agoravox ?

                On dirait L’AVEU sans tortures d’un officier qui fait porter aux sous-fiffres des responsabilités de faits que, malheureusement, il n’a pas punis lui-même, ni dénoncés à sa hiérarchie.

                Bizarre, bizarre, cet officier....en Algérie qui jette le discrédit sur SES hommes (des harkis selon ses termes : harka).

                Un remake de l’honneur perdu d’un officier peut-être ? Ou une confession tardive d’un coeur contrit tardivement ?

                Bien cordialement vôtre,


              • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 08:26

                pardon « CES deux métiers sont un peu opposés. » smiley


              • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 08:35

                @ Philippe Vassé

                Ridicule ! Où avez-vous lu qu’un petit courant de magnéto de téléphone EE8 pouvait faire les ravages que vous imaginez ? Et puis, vous croyez qu’à chaque opération, on faisait des prisonniers. Non ! vous parlez pour ne rien dire.


              • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 08:45

                @ Philippe Vassé

                En bon agent subversif, vous profitez maintenant d’agoravox pour faire votre propagande.

                Vos commentaires sont confus et beaucoup trop longs. En revanche, ils montrent bien vos objectifs qui sont de semer le désordre et l’anarchie.

                Je crains bien qu’il n’y ait que Zen pour avoir le courage de lire votre long plaidoyer.


              • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 09:16

                @ Philippe Vassé

                En fait, le seul intérêt de vos posts, c’est d’illustrer mon petit règlement de l’agent subversif que j’ai esquissé dans mon article (manipulation de l’information et des faits, mélanger le faux et le vrai, insinuations, soupçons à la limite de la délation, ironie caustique, militaire donc tortionnaire, on accuse l’interlocuteur d’être violent, agressif etc... etc...alors qu’on l’est soi-même). Comme l’a écrit un lecteur, c’est l’overdose.

                Et maintenant, il ne vous reste plus qu’à me traiter de nazi pour que je marque un point Godwin...Quand une discussion s’échauffe en débat, et que le débat vire au conflit armé, une personne à court d’idées et pensant trouver l’argument ultime finira toujours par déballer le « marteau rhétorique » du régime nazi. Ce moment de la discussion est appelé point Godwin du nom de celui qui a démontré cette loi.


              • Gasty Gasty 18 août 2007 09:18

                J’ai crois que Philippe Vassé est allé se coucher...la nuit fut longue !


              • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 15:43

                Gasty,

                Et je complète : la nuit est reposante. Surtout après deux jours de typhon Sepat.

                Je ne lis même pas le pauvre homme qui a écrit l’article. A quoi bon soutenir la lutte contre la sénilité galopante commencée si jeune ?

                Excellente nuit à vous aussi.

                Bien cordialement vôtre,


              • ZEN ZEN 18 août 2007 08:26

                Mais qu’est venu faire Mr Mourey dans cette galère ?...

                Je ne connais pas plus que lui les dossiers concernant Asnières et je refuse de prendre au sérieux ce qui traine sur le net, sans mises en perspective , sans contextualisation , ni génèse historique, sans critique des sources (ce qui manque tant à la méthode historique de mrMourey).Les longues argumentations avancées par Philippe Vassé me semblent solides, trés étayées et je les prends au sérieux jusqu’à plus ample informé...

                S’il ne s’agit que d’un réglement de compte , suite à une contestation légitime des qualités d’historien sérieux de Mr Mourey (que je partage avec Philippe Vassé, depuis ses premières livraisons sur Moïse), le procédé est petit et la méthode singulièrement vicieuse...

                Retenons la leçon : toute tentative pour affirmer sa citoyenneté, de manière parfois nécessairement véhémente, doit être cataloguée de « subversive »...


                • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 09:20

                  @ Zen

                  Vous êtes bien seul pour défendre M. Vassé. Où sont ses autres supporters ?


                • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 09:22

                  Yes M. Mourey se bat sur tous les fronts. C’est comme ça les militaires smiley Héhéhé, on n’emmerde pas Gérard Lambert, quand il répare sa mobylette. smiley


                • bozz bozz 18 août 2007 11:30

                  et bien Mourey, on n’a plus le droit d’avoir une vie en degors d’AVox ? alors oui M. Vassé a tout mon soutien contre vos méthodes fourbes et sournoises mais que demander de plus à un ancien officier français qui ne condamne pas la « gégène » et oui l’utilisation de dynamo électrique manuelle servant a alimenter les téléphones de campagne sur des être humains est LEGALEMENT reconnu comme étant une torture, d’ailleurs Bigeard dans son manuel de l’officier de renseignement explique très clairement ce qu’il en est.

                  Je ne peux que conseiller la lecture de cet article : http://www.ingentaconnect.com/content/routledg/jss/2002/00000025/00000002/a rt00002?crawler=true sur CIPCG a Arzew et le fameux Lieutenant-Colonel Fontès que Mourey nous cite. Vous y lirez vraiment des choses très interessantes sur les enseignements et ce dès 56 !

                  Sur la partie historique de l’article, mon pauvre Mourey, le jour où vous comprendrez ce qu’est une méthode historique, ce qu’est la critique de la source, nous en reparlerons, tant que vous serez littéraliste vous ne changerez pas...


                • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 11:48

                  @ bozz

                  Je ne suis ni un procureur ni un juge.

                  Et il ne faut pas me faire dire ce que je n’ai jamais dit ni pensé.


                • bozz bozz 18 août 2007 12:26

                  citation de Mourey : « Ridicule ! Où avez-vous lu qu’un petit courant de magnéto de téléphone EE8 pouvait faire les ravages que vous imaginez ? Et puis, vous croyez qu’à chaque opération, on faisait des prisonniers. Non ! vous parlez pour ne rien dire. » et bien le petit courant electrique de magnéto de telephone est la « gégène », vous n’avez pas dû la subir pour oser dire que ce n’est pas de la torture !

                  alors vous ne l’avez pas dit peut-être ?


                • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 12:45

                  Et pourquoi M. Mourey devrait-il avoir honte d’avoir fait une guerre que notre pays la France lui a demandé de faire ? smiley

                  Demian, si tu es là à pouvoir dégoiser tes bêtises librement, c’est grace aux militaires alors ne fait pas trop le malin et camembert !! smiley

                  Même réponse au courageux, planqueux et sermonneux Monsieur Bozz smiley


                • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 14:51

                  @ bozz

                  Vous êtes nul et confondez le courant de la magnéto du téléphone EE8 avec celui du poste radio régimentaire ANGRC9 qui lui, en effet, était non seulement très douloureux mais était susceptible de laisser des séquelles. A l’échelon des petites unités où je me trouvais, il n’y avait pas d’interrogatoires comme vous le pensez.


                • bozz bozz 18 août 2007 15:28

                  Mourey, je suis peut-être nul, n’ayant pas pratiqué de torture, moi, mais le EE8 a aussi été utilisé comme gégène http://www.aidh.org/faits_documents/algerie/nobs_vittori.html je n’invente rien à moins que M. Vittori soit aussi un affabulateur ...

                  à la mouche, je ne reproche pas à Mourey d’avoir fait une guerre mais de ne pas reconnaitre les méthodes de torture qu’employaient ses hommes (selon ses propres mots ici même)


                • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 16:42

                  On s’en fiche de vos reproches Bozz, si vous saviez. smiley

                  Qui êtes-vous pour faire des reproches aux autres ? smiley


                • cyclomal 18 août 2007 09:38

                  Consternante, la manière dont ce rédacteur subvertit le débat en développant des théories aussi personnelles que fumeuses : une caricature dans l’air du temps, malheureusement.


                  • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 10:50

                    Cyclomal est fumeux également comme son nom l’indique smiley


                  • ZEN ZEN 18 août 2007 13:11

                    En une heure, Mr Mourey a fait appel à ses réserves pour descendre en flammes toute contestation. A vos rangs !...


                    • mandrier 18 août 2007 14:21

                      Ce que je trouve consternant c’est de lire certaines imprécations vis à vis d’un texte que je trouve -moi !- bien intéressant....

                      - Oui ! la subversion , est un sujet de premier choix...
                      - Oui le parallèle que fait m. Mourrey avec ce qui se passe dans certaines municipalités peut être comparé avec ce qui s’est passé , ou se passe dans certains milieux politiques : nazis, communistes, trotskystes, islamistes...

                      Ces sujets sont des sujets d’analyse et de synthèse, dans les écoles d’Officier car c’est effectivement un grave sujet de préoccupation...

                      Ceux qui « gueulent » sur l’exposé de m. Mourrey, n’ont jamais eu affaire à ce genre de problème...

                      Si vous agissez ainsi, c’est bien parceque M. Mourrey et ses camarades ont fait ce qu’il fallait -certains ont donné leur vie !...- pour que vous puissiez insulter, gueuler, dire et faire n’importe quoi sans se prendre une balle dans la nuque ou finir dans un camp comme esclave...

                      Ceux qui gueulent là... Vous aviez l’âge de faire votre service militaire ? L’avez vous fait ? Si oui ? où ? Sinon pourquoi ?.... Allez ! Franchement ! Racontez !... Saint-Mandrier


                      • ZEN ZEN 18 août 2007 14:27

                        @ Mandrier

                        J’avais 20 ans dans les Aurès en 1961-62. 21° BCP, en première ligne presque quotidiennement... j’ai perdu pas mal d’amis dans cette cette sale guerre. Et vous ???


                      • mandrier 18 août 2007 14:52

                        Moi ? J’etais un sacco à béret vert..


                      • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 15:04

                        @ Zen

                        Je pense qu’en tant que futur professeur de philo, vous avez fait ce qu’il fallait pour protéger les populations, et contre les exactions de l’adversaire et contre les réactions parfois incontrôlées de vos camarades.

                        En ce qui me concerne, je dois remercier le séminariste de ma compagnie dont la bonne influence sur le contingent m’a été bien utile pour faire contrepoids à certaines têtes brûlées, dans certains moments difficiles.


                      • Philippe Vassé Philippe Vassé 18 août 2007 15:34

                        Zen,

                        Merci de votre sens de l’honnêteté et de la vérité.

                        J’ai abandonné ce fil car il est totalement inutile de vouloir convaincre de leur ignorance et de leur stupidite sans bornes les paranoïaques de « la théorie de la subversion »(type Bush ou Cheney) qu’ils voient partout et en tout individu qui ne suit pas leurs règles ou ne se conforment pas à leurs dogmes.

                        De plus, je n’ai aucun ego à défendre ici, je me sens bien, léger, détendu, calme, heureux, aimé et aimant,malgré le typhon SEPAT qui a frappé le pays.

                        En Irak ou en Afghanistan, comme en Asie Centrale (article à paraître sur AV) ces pauvres gens subissent déjà leur plus terrible défaite parce qu’ils ne comprennent rien- comme en Algérie ou en Indochine- aux choses humaines, aux processus vivants ni aux événements historiques.

                        Les vieilles badernes qui se défoulent ici(au sens péjoratif ancien du mot, ces perdants permanents qui ont perdu toutes les guerres faites contre des vraies subversions (Algérie, Vietnam, etc) sont ici dans leur élément maladif qu’il convient, à mon sens, de leur laisser.

                        Le sage, disent les bouddhistes, laissent aux « idiots » (non-éveillés si vous préférez) leur état et se concentre sur son développement personnel.

                        Il y a mieux à faire et plus fécond. Il y a la beauté de la nature, la justice des faits, la culture qui enrichit, l’art qui embellit, l’amitié qui épanouit et l’amour qui réjouit, entre autres « choses » magnifiques.

                        Tous les hommes intelligents qui ont fait une vraie guerre (pas une répression de population révoltée- mais une où en face les armes en jeu sont égales), ont comme premier souhait d’oublier les horreurs qu’ils ont vues ou...commises, sauf à devenir fous à force de cauchemars nocturnes et parfois diurnes.

                        Tout individu normalement constitué et sain psychologiquement, qui est passé par une vraie bataille MILITAIRE -un affrontement entre deux armées également équipées et entraînées(ou plusieurs, ce qui est encore pire) saura ce que je veux dire.

                        Les autres se vanteront et deviseront à l’infini sur leurs petits « hauts faits » de petits soldats ou officiers. Je les plains sincèrement.

                        Il n’y a que les sots et les imbéciles pour ne pas comprendre que tout ce qui existe est subversif par rapport à autre chose ou quelqu’un d’autre.

                        Même l’amour est subversif pour les amants, comme l’amitié pour les vrais amis : ces sentiments remettent en cause nos égoismes intimes, nos pensées trop usuelles et usées, notre culture des choses crues éternelles, notre schéma ancien et dépassé souvent de la relation amoureuse.

                        Tout ce qui vit évolue et se modifie. Personne ne peut rien contre cela : la société médiévale s’est écroulée alors que ses contemporains la pensaient éternelle. Nous sommes passés de la préhistoire à aujourd’hui, et demain une autre société apparaîtra (de son propre mouvement).

                        Changements, modifications, évolution incessante sont des enseignements de la nature, et du bouddhisme enseigné à Taiwan comme philosophie de la vie.

                        Tout naturaliste, tout scientifique a compris cela aussi.

                        Ces paranoïaques incapables de réflexion flexible et soutenue ne méritent pas une once d’intérêt. Ils sont morts pour le monde vivant et pensant dont l’auteur de l’article qui initie ce fil est un exemple « terrible ».

                        Il est mort en lui-même sans s’en être aperçu, car il n’a jamais éveillé en lui rien de qui est profondément humain et sensible. C’est pourquoi je le complains car il est finalement un être bien malheureux autant que vide.

                        Une petite histoire « morale » pour finir, tirée d’un récit bouddhiste : " Un jour, un arhat (sage qui apprenait du Bouddha) demanda au Bouddha :
                        - Hier, un soldat m’a jeté à terre et m’a insulté. Que doit-on faire en un tel cas ?
                        - Réponse du Bouddha : « Vide ton coeur de toute colère, sinon la colère ruinera ton coeur. Enlève la vengeance de ton esprit, elle n’est qu’une marque de faiblesse. Pense aux beautés du monde qui t’entourent et médite dessus pour continuer ton chemin vers l’état d’éveillé ».

                        Je sais, Zen, que vous comprendres ce que ce récit signifie.

                        Dans toute sa profondeur et dans son intégralité.

                        Bien amicalement vôtre,


                      • bozz bozz 18 août 2007 15:40

                        mon pauvre Mandurier, vous n’avez aucune connaissance sur ce que nous avons fait ou pas, vous ne savez pas non plus ce qu’a fait Mourey, nous non plus, le seul fait que Mourey nie la torture avec le EE8 montre bien que Mourey n’a jamais fait d’autocritique et n’a jamais eu de recul sur ce qui se passait réellement, il va maintenant nous dire que la touque d’eau n’existait pas non plus ...


                      • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 16:08

                        @ Bozzo le clown, smiley

                        « le seul fait que Mourey nie la torture avec le EE8 montre bien que »

                        Le seul fait que vous écriviez une pareille chose montre que vous n’avez pas lu son commentaire ! smiley

                        M. Mourey n’a jamais dit cela. Retournez lire son commentaire calmement en n’essayant pas d’y introduire ce que vous voulez y lire. smiley


                      • bozz bozz 18 août 2007 16:25

                        @ la mouche : voici la citation exacte de M. Mourey

                        Subversion en Gaule d’hier et d’aujourd’hui "par Emile Mourey (IP:xxx.x42.184.186) le 18 août 2007 à 08H35

                        @ Philippe Vassé Ridicule ! Où avez-vous lu qu’un petit courant de magnéto de téléphone EE8 pouvait faire les ravages que vous imaginez ? Et puis, vous croyez qu’à chaque opération, on faisait des prisonniers. Non ! vous parlez pour ne rien dire."

                        le petit courant de magnéto de tel EE8 est considéré comme un acte de torture, il a été utilisé avant les plus gros générateurs par les hommes de troupes et dans un premier temps par les spécialistes formés dans cette base que visita Mourey en 56. Pour votre information la EE8 américaine est l’équivalent de la Feldfernsprecher 33 allemande qui a matyrisé de nombreux compatriotes dont certains de mes proches, si vous aviez vu les traces de brûlures laissées, vous ne diriez pas que ce petit courant ne fait pas de ravages !! mais la schärfte Vernehmung n’a peut être, elle aussi, jamais existé ?


                      • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 16:38

                        @ Bozzo héros éclair de toutes les guerres.

                        Vous ne m’avez PAS écouter et avez encore une fois lu ce que vous voulez lire. M. Mourey n’a PAS dit qu’il ne connaissait pas l’usage de la torture.

                        Comme je suis extrêmement bon , je vous livre un extrait de son commentaire, mais la prochaine fois vous vous débrouillerez tout seul smiley

                        ...................................................................... ...................................

                        par Emile Mourey (IP:xxx.x42.184.186) le 17 août 2007 à 17H44 @ Mandrier

                        Pourquoi ne pas parler franchement ? Vous voulez parler de l’usage de la torture.

                        ......................

                        A cette époque, je me trouvais en garnison au Maroc. En m’envoyant en stage à Arzew, mon chef de corps m’a demandé de lui faire un rapport sur la situation en Algérie, ce que j’ai fait à mon retour. J’en ai conservé une copie dans mes archives.

                        Dans ce rapport, j’ai signalé que dans un poste isolé, on pratiquait la corvée de bois et qu’ailleurs, certains actes de torture étaient pratiqués.

                        Lorsque j’ai pris un commandement en Algérie, j’ai constaté dès ma première opération que mes supplétifs avaient emporté les téléphones de la compagnie. Je n’ai compris l’usage que mes supplétifs en faisaient qu’à mon retour. Au premier rapport qui a suivi, j’ai fait lire devant toute l’unité rassemblée que j’interdisais formellement l’usage de la torture.

                        .....

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                      • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 17:09

                        @ Philippe Vassé

                        Seuls les paranoïaques survivent ! voir ce lien :

                        http://www.lexpansion.com/Resumes/1452.36.57768.html

                        Je me trouve extraordinaire. Qu’en pensez-vous ? smiley


                      • bozz bozz 18 août 2007 17:24

                        c’est marrant vous ne lisez que ce qui vous interesse, ah les faibles d’esprit tel que vous.... on en fait vraiment ce que l’on veut !!

                        pourquoi ne voulez pas lire le passage où il dit que le courant des EE8 ne provoque pas de tels sévices ? je vous ai prouvé le contraire, j’ai aussi prouvé que les EE8 étaient utilisés pour torturer alors que Mourey me trouvait nul de le dire et disait que je confondais... avez vous lu les liens ? avez vous lu l’article sur le camp en question à l’époque où Mourey y était ? (en 56 sous les ordre de Fontès !)

                        pauvre mouche qui se colle à son sujet favori ! vous aimez vraiment quand ça ne sent pas bon, n’est-ce pas ?


                      • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 17:31

                        Bin oui, une mouche du coche se colle à ce qui ne sent pas bon. C’est pour cela que je suis là. Mais en même temps j’y peux rien si vous ne sentez pas bon. smiley (extraordinaire, je vous dis smiley )


                      • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 17:39

                        Bozz le clerc,

                        Je remarque vous vous notez +1 à vos propres commentaires et -1 aux miens ! smiley Je trouve que cette attitude ne sent vraiment pas bon. Vous risquez de me voir coller à vous longtemps encore. smiley


                      • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 17:40

                        pardon :"je remarque QUE


                      • bozz bozz 18 août 2007 18:06

                        vous ne savez pas vraiment à qui vous avez affaire, la mouche ! je pratique le trollage rigolo d’habitude, mais je peux aussi faire du trollage ordurier à votre encontre systématiquement derrière toutes vos interventions...


                      • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 18:18

                        Moi par contre je n’insulte jamais personne. Et je ne suis jamais grossier. smiley


                      • bozz bozz 18 août 2007 19:00

                        c’est vrai vous êtes juste idiot


                      • La mouche du coche La mouche du coche 18 août 2007 19:11

                        Sur le web, les insultes se retournent toujours contre ceux qui les profèrent. Désolé, mais vous venez de perdre cette manche. smiley


                      • bozz bozz 18 août 2007 20:08

                        vous croyez ? je ne pense pas, de toute manière ce n’est pas le but recherché ! votre aveuglement est un véritable émerveillement pour tout les propagandistes.


                      • ZEN ZEN 18 août 2007 20:23

                        @ Philippe Vassé

                        Oui, quittons ces lieux..

                        Le ressentiment et l’ignorance sont sans borne..J’ai bien aimé la citation.

                        Amicalement


                      • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 15:17

                        @ Le Furtif

                        Je suis tout à fait d’accord avec ce vous dites. Le militaire se trouve devant sa conscience, et c’est probablement là où il se trouve confronté à la situation la plus délicate et la plus difficile de son métier. Mandriers le sait bien puisque lui-même dit que c’est un sujet important de réflexion dans la formation des jeunes officiers d’aujourd’hui. Nous sommes d’accord pour que le non militaire soit associé à cette rélexion...


                      • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 15:28

                        @ Le Furtif

                        Vous évoquez les événements de 1942 au Maroc. Que des Français aient tiré sur les Américains qui tentaient un premier débarquement est évidemment absurde quand on sait que Weygand, au moment de l’armistice, avait tout fait pour préserver l’Afrique du Nord dont les troupes devaient repartir à la conquête du territoire avec l’aide des alliés.

                        Ce sont ces situations absurdes qui ont amené le haut commandement à modifier, après la libération, le règlement de discipline général des Armées en modifiant « l’exécution aux ordres sans hésitation ni murmures etc... » par la notion de pouvoir refuser d’exécuter un ordre illégal, d’où la possibilité de faire intervenir la clause de conscience.


                      • mandrier 18 août 2007 15:37

                        Au furtif :
                        - Pas de chance...A côté ! Vous avez dit une connerie ! Moi ? c’est les yeux dans les yeux que ça se passe...

                        Et :

                        - Je suis fils de Français libre, et de la première heure en plus...
                        - Vous parlez de Bir-Harkim ? Sur l’étagère à côté de moi, il y a la photo de mon oncle tué à Bir Harkim : il avait 22 ans... J’appartiens à une famille qui a servi, et le Roi, et la République...

                        Vous en avez après les militaires ? Eh bien, ne vous en déplaise- il y en a aussi qui réfléchissent pour éviter les situations catastrophiques que certains civils (politiques et « intellectuels ») génèrent par calcul ou par connerie...

                        Vous parlez de l’Algérie ? Si certains avaient mieux traité les autochtones en les respectant il n’y aurait pas eu ce merdier.... Ok ? Alors ?


                      • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 15:38

                        @ Le Furtif

                        Alors là, je ne suis pas d’accord avec vous et c’est dommage. Où avez-vous vu que j’ai écrit cet article en tant que militaire ? L’ai-je signé en faisant état de mon ancien grade ? Non, j’ai écrit cet article en tant que citoyen. M. Vassé et Zen ont le droit de s’exprimer en tant que citoyens. Ils ont le droit de pas être d’accord avec ce que je dis, mais moi aussi. Je ne suis pas un sous-citoyen.

                        Quant à mes réponses concernant mon ancien métier, je suis bien en obligé de répondre aux questions qu’on me pose, sinon que va-t-on dire ?


                      • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 15:42

                        @ Mandrier

                        Bien d’accord.


                      • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 16:29

                        @ tous

                        Auteur de cet article en tant que citoyen, et non en tant que militaire, j’ai tenu à répondre le plus honnêtement possible aux commentaires qui m’ont été adressés.

                        En tant que citoyen libre, j’estime avoir été dans mon droit le plus absolu d’aborder la question de la subversion, question qui pose problème, aujourd’hui, en France. Pourquoi ? Je le dis franchement et sans détours, parce que j’ai fait l’objet d’une attaque de type subversif de la part de M. Vassé lors de la publication de mon article non politique du 19 juillet.

                        Je n’ai aucune animosité contre M. Vassé. C’est un sympathisant anarchiste, bouddhiste, dévoué au nouveau gouvernement de Taïwan, c’est son droit. Qu’il soit intervenu sur le fil de mon article, c’est son droit. Mais c’est aussi mon droit d’expliquer au lecteur la méthode qu’il utilise... une méthode de type subversif. J’ai le droit d’utiliser cet adjectif. J’ai expliqué en quoi cette méthode consiste et je peux l’expliquer encore.

                        En ce qui concerne l’affaire des frégates qui n’est pas sans lien avec le présent article. C’est en effet une affaire qui peut faire scandale, et un scandale, c’est du pain béni pour un spécialiste de la subversion. Il y a eu des dessous de table : c’est une faille dont il va profiter. Quelques responsables politiques ont-ils commis l’imprudence de s’être compromis ou laissé compromettre par négligence, imprudence, ou intérêt ? C’est une autre faille qui va permettre à l’opération subversive de se développer et, à partir de cas particuliers, de généraliser à l’ensemble du système pour finalement attaquer les institutions et la République. Les médias seront manipulées avec habileté pour que l’opinion suive.

                        Disons pour conclure que ce n’est pas à des agents de la subversion de mener l’enquête sur les frégates de Taïwan mais à la justice française, en collaboration, si cela est possible, avec la justice d’autres pays. Il est vrai que la justice en France est forcément lente.

                        Souhaitons que le gouvernement de la France ne se fasse surprendre par la subversion.

                        E. Mourey


                        • Emile Mourey Emile Mourey 18 août 2007 16:51

                          ne se fasse pas surprendre


                        • ZEN ZEN 18 août 2007 17:45

                          « En ce qui concerne l’affaire des frégates qui n’est pas sans lien avec le présent article. C’est en effet une affaire qui peut faire scandale, et un scandale, c’est du pain béni pour un spécialiste de la subversion. Il y a eu des dessous de table : c’est une faille dont il va profiter... »

                          Tout s’éclaire...Mr Mourey préfère faire silence sur l’affaire des frégates. Pour quelles raisons cachées ?La République serait en danger !!Le danger pour la République, croyais-je naïvement, c’est l’opacité et la corruption...Moi, dans ce cas, j’opte pour la subversion, mille fois !!!

                          On va donc dire que tout journalisme d’investigation est subversif, donc « anarchiste »(cela semble être un délit d’opinion pour Mr Mourey..qui ne connaît pas le sens ni l’histoire de ce mot). Qu’en pensent Denis Robert,eric Laurent, Christina Borjesson et tous les autres... ?...


                        • alberto alberto 19 août 2007 14:55

                          Mourey : votre commentaire est encore plus nul que votre article !

                          Si scandale il y a, vous semblez vous en prendre à celui qui le dénonce plutôt qu’à celui qui en est à l’origine !

                          La république, comme vous dites, a pris de (très) mauvaises habitudes en matière de corruption, notamment, à un degré tel qu’elle (la corruption) en est devenue une banalité ! (Voir les rapports de l’OCDE à ce sujet).

                          Le thème de République Bananière, appliqué à notre République, devient récurent et cela est consternant : que faire, l’autruche ?

                          Dans l’affaire des frégates, il s’agit d’une corruption à la puissance deux car le corrupteur français qui corrompt son client se corrompt lui même en demandant à son client un pourcentage (rétro commission) sur l’argent de la corruption ! Et d’après vous, dénoncer ces pratiques serait de la subversion en partant du principe de l’autruche :« ce qu’on ne voit pas n’existe pas » ?

                          Monsieur Vassé dans cette affaire, est celui non pas à l’origine du scandale, mais celui qui le dénonce : Mourey, vous êtes comme l’innocent de la fable, vous regardez seulement le doigt qui montre la Lune...

                          Quant à votre article : c’est de l’argumentation de niveau préadolescent ! La subversion, que semblez bien connaître, Mourey, elle est vieille comme le mensonge, elle est contemporaine de l’hypocrisie de la calomnie et de la médisance. Pas nécessaire de passer par les mercenaires, les gaulois et les romains pour la qualifier : votre concierge en connaît probablement autant sur la question...De là à emprunter ce détour pour s’en prendre à quelques associations qui militent contre les magouilles, tripatouillages et autres grenouillages (avérés ou non) de l’équipe adverse : ça pourrait être de l’humour si vous n’y gaspilliez tant d’énergie !

                          Ma conclusion Mourey, tant sur votre article que sur vos commentaires : « much ado about nothing » !

                          Bien à vous.


                        • Emile Mourey Emile Mourey 19 août 2007 16:17

                          @ Alberto

                          Je ne dis pas que votre commentaire est nul. Je ne dis pas non plus que vos articles sont nuls.

                          Nous sommes dans un débat. Vous faites le procès de la République. Je fais le procès de ceux qui font le procès de la République.

                          S’il n’y a sur Agoravox comme rédacteurs que ceux qui font le procès de la République, quel intérêt pour le lecteur ? Quel intérêt même pour vous de chanter en choeur une même chanson que personne ne viendra plus écouter ?

                          Que M. Vassé joue à l’enquêteur en liaison avec des personnalités du gouvernement de Taïwan, personne ne l’en empêche, mais laissez-moi au moins croire que la justice française est plus habilitée que lui pour faire la part du vrai et du faux en ce qui concerne ses ressortissants.


                        • Philippe Vassé Philippe Vassé 19 août 2007 17:03

                          A Zen, Le Furtif, Alberto et Bozz, et aux autres lecteurs de ce fil dotés d’esprit critique et citoyen,

                          Un petit mot en fil de ce fil ? Pour l’amitié, le rire et la détente libre ?

                          Tout d’abord, merci pour vos posts et remarques frappés de pertinence, d’esprit démocratique et de sens citoyen.

                          La subversion des médias classiques que représente Agoravox est ici soulignée avec éclat : débat libre, sans censure, même si un texte est d’une nullité qui laisse pantoise toute personne sensée.

                          Toutes les références à cet article sur la blogosphère sont un désastre pour son auteur, qui est cité avec ironie, voire, par certains, avec une réelle compassion ironique.

                          Bref, un franc et massif succès pour l’initiateur de cette ineptie cruelle pour lui-même.

                          Rue 89 de ce jour fait apparaître par exemple- la subversion est décidément partout- des manipulations de certaines biographies d’élus sur Wikipédia, dont celle du député-maire d’Asnières par des internautes domiciliés par leurs adresses IP en ...mairie d’Asnières, en deuxième position nationale derrière Balkany (Levallois-Perret) !

                          Chacun tirera ses propres conclusions sur les auteurs de ces « subversions » de cet outil d’information qu’est Wikipedia.

                          Ainsi, sur le site de Japarthur, en accueil de ce jour, la comparaison entre les affaires gauloises et Asnières est soulignée par un simple « Bigre »... !!! La compassion souriante envers l’auteur de cet article se sent à ce seul mot.

                          La moquerie générale sur le Net est une forme de compassion amusée.

                          Que reste-t-il de cette lamentable « attaque » de faux stratège générée par de pauvres raisons personnelles d’ego de faux historien blessé ?

                          Rien ! Aucune trace en faveur de l’initiateur.

                          Par contre, sa trace en sa défaveur sur le Net est une vraie signature de cuirassé classe 1942.

                          L’auteur s’est ridiculisé définitivement sur Agoravox et sur le Net en tant que pseudo-historien, mais aussi en tant que vrai petit ridicule « agent de lutte anti-subversive » citoyenne.

                          il est devenu ainsi un « guignol de la subversion ».

                          Il a saboté de lui-même sa dernière possibilité d’apparaître comme un homme sérieux et crédible de manière publique. C’est pour cela que je le plains le plus car il s’est fait du tort à lui-meme en croyant en faire à autrui.

                          Il n’avait pas compris les vérités profondes, scoiales, psychologiques, culturelles, que la philosophie Zen enseigne depuis fort longtemps.

                          Que reste-t-il à dire de tout cela ?

                          Que ses « oeuvres » a-historiques déjà largement rejetées par le public cultivé disparaîtront avec lui dans l’indifférence générale et qu’aucun successeur ne prendra le flambeau de ses élucubrations qui sombrent dans le pathétique saugrenu.

                          L’auteur n’aura pas même de descendance culturelle.

                          Comme la sagesse chinoise le dit avec humour, il n’aura été qu’une illusion passagère sans intérêt collectif.

                          Si, en réfléchissant avec objectivité et souci de la vérité, un avantage et un bienfait sont visibles : il aura fait rire des centaines de citoyens, à Asnières et sur le Net, qui se sont régalés de voir l’auteur bourguignon devenir, par des recherches sélectives sur le Net et sans avoir interrogé un seul citoyen asniérois (acteur, élu, responsable associatif, journaliste, comédien, ancien élu),... spécialiste de leur ville dans laquelle ils vivent au quotidien.

                          La virtualité spirituelle a montré ses limites intellectuelles.

                          Le rire libérateur a été aussi bénéfique pour les zygomatiques des proches du dossier des frégates de Taiwan : ils ont ainsi appris qu’ils se commettaient avec un « agent de la subversion mondiale », qui mettait, sans aucun excès de l’auteur- en danger la République (rien moins que cela, mais le monde devrait se faire du mourey-pardon du mouron à cette aune), subversion de plus générée- allez comprendre les liens logiques- par un bouddhiste- anarchiste et agent du gouvernement taiwanais !!!

                          Tout cela en un seul homme ? C’est du vrai Mandrake ou du réel Superman.

                          Heureusement, l’excès imapayable de bêtise est soigné ici par le rire innénarable des lecteurs.

                          Trop de délires insensés ont tué les derniers restes de crédibilité de l’auteur usé.

                          De profundis. Et un simple Requiem.

                          Je dédie cette conclusion à Christine Deviers-Joncours qui écrivit le livre au titre génial : « la Putain de la République ».

                          Ici, nous avons échappé au livre potentiel : « les Potins de la République ».

                          Je remercie donc l’auteur de tous ses qualificatifs d’une bonté et d’une exactitude exemplaires que ses excès ubuesques mêmes ont liquéfiés et annihilés.

                          Mon amitié reconnaissante et citoyenne va vers vous.

                          Ma compassion sincère (bien qu’amusée) envers l’auteur et ses adeptes, ici bien abusés dans une cause d’avance perdue.

                          Ici,en particulier, ma compassion se veut pour l’auteur de cet article déjà oublié et délaissé, effectivement, une consolation.

                          Bien humoristiquement et amicalement vôtre,


                        • Philippe Vassé Philippe Vassé 19 août 2007 17:17

                          Demian,

                          Bonjour,

                          Avant d’aller dormir, il est 23h10 ici, je voulais vous confirmer un fait que Mourey l’anti-subversif ne connaît pas, mais dont il vous fait part pour tenter de vous abuser : la Justice française ( de la République donc) a clos depuis mai 2007 l’instruction sur l’affaire des frégates de Taiwan (sans aucune mis en examen !!!).

                          Tout est donc clair- clear comme dans Clearstream, il ne s’est rien passé entre 1989 et 2007 avec des frégates, des Mirage et des missiles MICA. Rien du tout.

                          Voir le premier article su AV que j’ai signé sur le sujet.

                          En résumé : Moyrey nous dit donc avec son savoir légendaire habituel : faites confiance à la non-enquête de la Justice française... !!! C’est de l’humour involontaire ?

                          Désopilant.

                          Et pathétique pour le pauvre homme qui montre qu’il ne connaît rien au dossier et qu’il n’a pas lu un seul article dessus.

                          S’il a un doute : qu’il aille confier sa confiance au Juge d’Instruction Renaud Van Ruymbeke, qui sera très étonné de son information... et de sa confiance dans une enquête inexistante.

                          Bien cordialement vôtre,


                        • alberto alberto 19 août 2007 19:48

                          Mourey : après lecture de votre commentaire, je rectifie, j’aurais dû écrire : Je trouve votre commentaire plus nul que votre article. (« trouve » souligné)

                          Ceci dit, vous dites que vous n’écrivez pas que mes articles sont nuls : rassurez vous, d’autres s’en chargent ! Mais je ne m’en n’offusque pas car c’est ici la règle, si l’on prend la responsabilité de pondre un article, on ne peut qu’accepter la critique en retour aussi vive qu’elle soit...

                          Bien à vous...quand même !


                        • La mouche du coche La mouche du coche 19 août 2007 20:29

                          Demian « Hitler se pensait historien »

                          N’importe quoi. smiley

                          A court d’arguments, Demian pulvérise le point Goldwin en espérant nous tromper, mais nous connaissons tous aussi bien que lui cette manoeuvre écculée des forums et cela nous amuse. smiley

                          Allez, Demian. Fais un effort. Tu es meilleur que cela. smiley


                        • La mouche du coche La mouche du coche 19 août 2007 21:04

                          De Ghandi à Hitler, tout les grands de ce monde réécrivent l’histoire à leur profit pour justifier leur présence aux manettes du pays. Cela n’est pas nouveau : Il est complètement humain que chaque peuple se cherche des valeurs communes en se racontant leur histoire en y mélangeant mythes, réalités, légendes, écrits, etc. Hitler a fait comme tout le monde et son ignominie n’est pas là. On peut relire notre histoire sans lui ressembler aucunement.


                        • La mouche du coche La mouche du coche 19 août 2007 21:29

                          Demian is magnificiently playing with the words. They are gold between its hands. He is the real Goldwinner. smiley


                        • ZEN ZEN 19 août 2007 17:01

                          @ Alberto

                          Voilà ce que retient Me Mourey de votre intervention pertinente et de mon dernier post :

                          « Nous sommes dans un débat. Vous faites le procès de la République. Je fais le procès de ceux qui font le procès de la République. »

                          Comme caricature, difficile de faire mieux !Donc,Nous faisons le procès de pratiques dévoyées que certains responsables de l’Etat ont favorisées ou on laissé faire.Etre citoyen, serait donc taire son esprit critique (ce que l’auteur appelle « subversion »).Est-ce de la mauvaise foi ? J’ai vraiment du mal à comprendre...


                          • alberto alberto 19 août 2007 19:39

                            @ Zen : je crains qu’il n’y ait pas grand chose à comrendre !

                            Quand Emile se fait chasseur d’énigmes historiques, il serait plutôt marrant, mais quand il fait dans la citoyenneté : c’est son côté clown triste...

                            Bien à toi.


                          • Avatar 20 août 2007 01:52

                            A Mourey :

                            Y’a pas votre collègue Adama, dans cette petite escarmouche ratée ???

                            Il est vache Adama, il vous a laissé vous ridiculiser tout seul...

                            N’importe quel lecteur s’interessant à votre petite vengeance égocentrique (voir http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=27009

                            ayant pour outil les affaires concernant la ville d’Asnières, peut se faire son opinion tout seul en faisant des recherches...

                            Et c’est après qu’on s’aperçoit de votre parti pris...

                            Sans parler de vos talents pour réécrire l’histoire à votre sauce, mon colonel... (en Gaule ou sur les traces de Jésus qui, comme Elvis, n’est pas mort smiley et des critiques argumentées que votre égo n’a pu supporter.

                            D’ailleurs cela explique votre tentative avortée de vengeance aujourd’hui contre notament Mr Vassé...

                            Avec votre imagination délirante et votre gout pour l’ordre, vous pourriez peut-être écrire des romans de science-fiction ...

                            Car vous faites souvent du « passé-fiction. »

                            En fait ca serait pas trop grave si vous ne tentiez de faire croire que c’est du sérieux. Avec une belle histoire et une machine à remonter le temps, vous pourriez aussi arriver a de beaux paradoxes... smiley

                            Là ou vous nous faites peur, Mr Mourey, c’est quand vous parlez de la torture en Algérie... smiley

                            Quel est le pire, selon vous ? :

                            1.de torturer et de tuer

                            2.de donner l’ordre de torturer et de tuer.

                            3.de savoir, en officier, que ses subalternes torturent et tuent et fermer les yeux ?

                            A Demian,

                            C’est bien la première fois que j’ai voté positif à tous vos commentaires !!! (pour Zen et Vassé, c’est une longue habitude smiley

                            ps pour Mourey :

                            Comme vous semblez vous interesser au bouddhisme, voici, accompagné de toute ma compassion, une courte histoire :

                            un jour, un disciple alors voir le bouddha et lui posa la question suivante :

                            - « Maitre, quel est la cause du temps ? »

                            Le bouddha répondit :

                            - « L’ignorance est la cause du temps. »

                             smiley


                          • Emile Mourey Emile Mourey 20 août 2007 11:28

                            @ Avatar

                            Puisque vous voulez revenir sur la question de la torture, mettons les choses au point.

                            Il y a le fait que le pouvoir politique élu par vous, vos parents où vos proches, ne me semble pas avoir donné des ordres clairs concernant ce sujet.

                            Et il y a le fait que des officiers dont je fais partie, la majorité comme on dit silencieuse, ont refusé cette pratique.

                            Sachez, parce que vous n’avez pas vécu ces événements, que ces faits répréhensibles, quand ils se pratiquaient, se faisaient toujours à l’insu du contingent appelé mais également aussi des cadres opposés à ces méthodes, et que la présence du téléphone était beaucoup plus souvent utilisée pour faire une pression psychologique qu’effectivement.

                            Qu’enfin, j’ai condamné tous ces errements et les ai interdits, bien avant vos états d’âme.

                            Et qu’enfin, je ne considère pas qu’une guerre frontale soit plus acceptable.


                          • La mouche du coche La mouche du coche 19 août 2007 20:25

                            Non mais lisez-moi plus haut ces commentaires de mouettes rieuses de ces intervenants qui cherchent à suivre dans la tempête l’impassible vaisseau de M. Mourey l’ancien . smiley

                            Elles sont toutes accrochées à leur diplômes et leur ministère de la culture comme à un vieux tronc où elles se croient sécurité alors que la tempête va les engloutir comme le reste. smiley

                            Sur internet, il n’y a RIEN où vous reposer les mouettes, RIEN ! C’est la pleine mer ! Vous êtes seules et ne survivront que ceux qui ont l’âme du PIRATE et du CAPITAINE. smiley


                            • La mouche du coche La mouche du coche 19 août 2007 20:31

                              elles se croient EN sécurité


                            • La mouche du coche La mouche du coche 19 août 2007 20:33

                              PAR ces intervenants


                            • alberto alberto 19 août 2007 21:02

                              La Couche du Moche semble avoir un peu forcé sur substances hallucinogènes ce soir...


                              • La mouche du coche La mouche du coche 19 août 2007 21:05

                                Vos gueules, les mouettes ! smiley


                              • Dilettante 21 août 2007 00:14

                                J’ai signalé un un abus à la rédaction à l’encontre de Philippe Vassé pour les motifs suivants :

                                C’est le comportement de Philippe Vassé tout au long du fil qui pose problème à mes yeux :
                                - Il accumule les commentaires démesurément longs, essentiellement hors sujet, et vraisemblablement issus de copier-collés. Un lien hypertexte aurait suffit. Les discussion s’en trouvent polluées.
                                - Il tend à détourner le débat hors du sujet initial. Cela est particulièrement flagrant sur l’article du même hauteur http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=27009
                                - Il multiplie les attaques personnelles à l’encontre de l’auteur. Certaines sont diffamatoires et ne semblent pas être fondées : accusations d’avoir été responsable de tortures lors de la guerre d’Algérie.
                                - Dernier point : son comportement partial et agressif dans les deux articles dont il est question, qui nuisent à la conduite de débats constructifs.


                                • Emile Mourey Emile Mourey 21 août 2007 09:23

                                  @ Dilettante

                                  Je ne peux que vous approuver, non pas parce que je n’aurais pas « osé » le faire comme « ose » le dire monsieur Zen mais tout simplement parce que dans notre société humaniste, il existe des valeurs de la personne humaine qu’on se doit de respecter.

                                  Quant aux débats sur les questions fondamentales que j’essaie d’ouvrir, outre le fait que le comité de rédaction vérifie avec un soin « plus que méticuleux » l’argumentation des articles que je propose, outre le fait que cela m’oblige à m’auto-censurer pour ne pas trop m’écarter du politiquement correct, il est bien évident que le débat est stérilisé dès lors que mes interlocuteurs viennent uniquement sur le fil de mes articles pour le polluer sans jamais apporter un argument ou un contre argument.


                                • Emile Mourey Emile Mourey 21 août 2007 09:25

                                  rectificatif : des interlocuteurs


                                • ZEN ZEN 21 août 2007 08:04

                                  @ Dilettante

                                  Avez-vous été l’objet d’attaques personnelles ? non ? Alors, votre intervention , qui n’aboutira pas, relève d’un flicage éhonté de dernière heure et manifeste que vous n’avez pas suivi le débat et les précédents échanges entre Mourey et Vassé. Même Mr Mourey, premier concerné, n’aurait pas osé...


                                  • Dilettante 21 août 2007 15:35

                                    Je suivais déjà les débats autours des articles de M. Mourey bien avant que M. Vassé ne vienne y apporter son grain, ce qui m’a permis de constater la perte qualitative des échanges suite à son arrivée. Dumoins c’est mon ressenti.

                                    Par ailleurs, il est totalement exagéré de parler de « flicage » ; ce site de dialogue est muni d’un dispositif de modération pour assurer la bonne tenue des débats. Les sujets qu’aborde M. Mourey m’intéressent et je regrette la tournure que prennent ces échanges. Il est manifeste que Messieurs Mourey et Vassé ont des comptes à régler, mais ces fils n’ont pas pour finalité de régler des différends personnels, d’autant plus qu’il ne s’agit pas de l’objet des articles ; s’ils le souhaitent, qu’ils migrent vers une tribune dont c’est le sujet ou qu’ils s’échangent leurs adresses.


                                  • bozz bozz 21 août 2007 19:49

                                    dans ce cas là vous auriez dû signaler que cet article était aussi volontairement polémiste afin de nuire à P. Vassé qui d’ailleurs a écrit un très bon roman selon les critiques et que je vais m’empresser de lire, chacun apporte le soutien qu’il peut...

                                    Vous voyez dilettante P. Vassé ne fait que répondre à l’auteur sur ses manipulations honteuses ! qui a insinué sur un autre fil que Vassé était antisémite ? qui a commencé les nuisances immondes ? et qui a soutenu ces calomnies honteuses ?


                                  • Emile Mourey Emile Mourey 21 août 2007 20:25

                                    @ Bozz

                                    Citez où j’aurais fait cette insinuation.


                                  • Emile Mourey Emile Mourey 21 août 2007 21:16

                                    @ Bozz

                                    Je pense avoir retrouvé le post que vous me reprochez. En voici le texte : Oui, maintenant j’en suis persuadé (au sujet de que dit Adama de Vassé). Il me rappelle la sombre époque de l’occupation où certains accablaient les Juifs de leur haine.

                                    Il s’agit là d’un rapprochement que j’ai fait par rapport avec la situation d’Adama alors qu’il était attaqué de toutes parts, et pas seulement par M. Vassé, pour le seul motif qu’il avait dit que ce dernier avait fait l’objet de condamnations.

                                    Il n’a jamais été dans mon intention d’insinuer que M. Vassé était anti-sémite.


                                  • Dilettante 22 août 2007 17:27

                                    @bozz

                                    J’admet qu’une partie de l’article est critique voire polémique vis-à-vis de M. Vassé, et que cela est selon toute vraisemblance au moins en partie motivé par les discussions précédentes. Il est donc légitime que M. Vassé se défende sur les points abordés. Soit.

                                    Mais il ne me semble pas judicieux de parler de manipulations, et surtout pas honteuses ; on nage en pleine hyperbole. Quand aux insinuations d’antisémitisme, ce n’est pas ainsi que je les ai lues, mais il est vrai que par les temps qui courent, il est indélicat d’associer des suggestions vaguement antisémites/antisionnistes/anti-israéliennes/anti-judaiques/(...) à des noms de personnes. J’ose espérer que le démenti de M. Mourey suffira à dissiper tout malentendu concernant une éventuelle calomnie.

                                    Et quoi qu’il en soit, réagir à une agression verbale par une avalanche verbale partiale et hors sujet ne peut que nuire à la bonne tenue des débats. Il y a d’autres manières de répondre à une agression verbale, plus courtoises et plus efficaces.

                                    Chacun apporte le soutien qu’il peut ; pour ma part je m’efforce juste de soutenir les conditions qui me permettront de suivre convenablement les sujets qui m’importent.


                                  • bozz bozz 22 août 2007 18:19

                                    Merci Emile pour cette précision elle était nécessaire. Je vous prie donc d’accepter mes excuses pour ma mauvaise interprétation de votre message.


                                  • Emile Mourey Emile Mourey 22 août 2007 19:21

                                    @ Bozz

                                    Merci d’accepter mes explications et merci à Dilettante d’avoir fait le monsieur bons offices.


                                  • Dilettante 23 août 2007 22:21

                                    Oui, je regrette juste d’avoir remarqué cet article si tardivement.

                                    Cordialement

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