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Le Bitcoin, monnaie pour un monde fini

Quel pourrait être l'avenir du Bitcoin, monnaie cryptographique au contrôle décentralisé dont le cours a bondi en un an d'un facteur dix, de 700 à environ 7 000 € ? La banque BNP Paribas a rédigé un rapport concluant que l'avenir de Bitcoin serait limité par l'absence de prêteur en dernier ressort ainsi que par son caractère déflationniste : en tant que monnaie il serait condamné à l'échec.

Contrairement à bien d'autres prises de position du monde financier contre le Bitcoin, celle-ci se base sur des arguments structurés. Sont-ils convaincants ? Quel avenir pour la reine des monnaies cryptographiques ?

Le Bitcoin en quelques mots

Le système bitcoin est à la fois une monnaie et un système de paiement - c'est-à-dire que le même instrument, un logiciel de "portefeuille" permet à la fois de détenir des bitcoins et de réaliser des paiements dans cette unité de compte à toute autre personne qui possède un logiciel analogue, où qu'elle se trouve dans le monde, par l'intermédiaire du seul réseau Internet.

Il a le point commun avec les monnaies classiques d'être essentiellement électronique : seule une très faible partie des euros ou des dollars existe sous forme papier comme billets de banque, l'essentiel est constitué de chiffres binaires dans des ordinateurs, et c'est le cas aussi du bitcoin qui n'existe que comme suite de chiffres binaires. Le bitcoin fait intervenir des algorithmes cryptographiques, raison pour laquelle on l'appelle une monnaie cryptographique ou crypto-monnaie. Il est encore subdivisible, tout comme les monnaies classiques, le bitcoin (BTC) pouvant se décliner en milli-bitcoins (mBTC) et jusqu'au cent-millionième de bitcoin, le "satoshi".

Son originalité, c'est qu'il ne fait intervenir aucun tiers de confiance et n'est émis par aucune institution qui puisse servir de prêteur en dernier ressort :

  • Qu'est-ce qu'un "tiers de confiance" ? Il s'agit d'une institution ou d'une entreprise qui sert d'intermédiaire lors d'une transaction. C'est ainsi que tout paiement dans une monnaie classique fait intervenir au moins une banque (et parfois deux) gérant le compte de qui réalise le paiement et le compte de qui le reçoit. Au contraire, le système bitcoin ne suppose aucun intermédiaire - il permet de se passer d'une banque pour réaliser un paiement, comme d'ailleurs pour conserver ses avoirs en bitcoin
  • Qu'est-ce qu'un "prêteur en dernier ressort" ? C'est l'émetteur de la monnaie, la banque centrale qui la crée à loisir. Au contraire, le réseau bitcoin crée automatiquement et suivant un rythme défini à l'avance de nouveaux bitcoins, sans qu'aucun individu ni groupe ne puisse rien y changer, même son créateur. Le nombre maximal de bitcoins augmente lentement à partir des 16,5 millions de novembre 2017 et ne dépassera jamais 21 millions

Bitcoin a été initié en janvier 2009 par une personne ou un groupe de personnes sous le pseudonyme de "Satoshi Nakamoto", et la date - juste après la grande crise financière - permet de deviner facilement les motivations du ou des créateurs et des partisans initiaux :

  • S'ils se méfient des "tiers de confiance", c'est-à-dire des banques, c'est que beaucoup ont succombé à la crise tandis que bien d'autres faisaient face à des accusations de malversations
  • S'ils voient un danger au système de "prêteur en dernier ressort", c'est que la banque centrale américaine, suivie par beaucoup d'autres, a commencé à créer des dollars par centaines puis milliers de milliards pour les distribuer à des institutions dont la seule qualification à les recevoir était d'avoir perdu des montants gigantesques dans des prêts irréfléchis

Après la crise financière, les grandes banques "trop grosses pour faire faillite" ont reçu des crédits pratiquement illimités de la part de la banque centrale américaine, qui a créé pour l'occasion tous les dollars nécessaires

Depuis ses débuts en 2009, le système bitcoin a grandi de quelques groupes de passionnés à plusieurs dizaines de millions de détenteurs à l'échelle mondiale, de l'achat de pizzas chez un restaurateur complaisant à l'acceptation par des centaines de milliers de marchands et d'une valeur inférieure à un centime d'euro par bitcoin jusqu'à presque 7 000 € au 22 novembre 2017. 

Une simple bulle financière irrationnelle ?

De nombreux hauts dirigeants bancaires ont pris position contre le bitcoin. Jamie Dimon, PDG de JP Morgan Chase l'une des plus grandes banques mondiales par les actifs comme par la capitalisation boursière, était sans doute le plus strident, prévenant en septembre dernier que le bitcoin était "une fraude", destinée à "exploser en vol", et qu'il "licencierait dans la seconde" tout employé assez "stupide" pour en acheter.

Sans doute, Dimon s'est attiré quelques sarcasmes. Non seulement ce n'était pas la première fois qu'il se répandait en imprécations contre le bitcoin puisqu'il avait dit à peu près la même chose deux ans plus tôt, assurant que les partisans de la monnaie cryptographique "perdaient leur temps", car "aucun gouvernement (n'allait) supporter ça bien longtemps" - or, entre-temps, non seulement le cours du bitcoin avait explosé à partir de ses 300 € de l'époque, surtout le nombre de ses usagers avait augmenté tandis qu'un gouvernement et non des moindres celui du Japon le reconnaissait comme moyen de paiement à part entière.

Mais encore JP Morgan Chase se trouve être la banque qui accepta de payer le total le plus élevé d'amendes pour éviter les poursuites suite à la crise financière, un total largement supérieur à 25 milliards de dollars dès 2014, sans compter encore des condamnations récentes à payer plusieurs milliards de mieux pour "fraude" et autres délits.

Inutile de dire que lorsque Jamie Dimon, PDG de cette banque depuis 2005, s'est avisé à son tour d'utiliser le terme de "fraude" pour dénoncer la monnaie cryptographique qu'est le bitcoin... il s'est attiré quelques moqueries cinglantes.

Jamie_Dimon.jpg

Jamie Dimon, PDG de JP Morgan Chase

Le Bitcoin : "une fraude"

Cependant, quels que soient les ridicules des uns ou des autres, il reste que les inquiétudes sur le cours du bitcoin sont assez compréhensibles. Une augmentation d'un facteur dix en l'espace d'un an ressemble furieusement à une bulle, c'est-à-dire à un emballement démesuré alors que de nouveaux acheteurs sont attirés par l'idée que puisque le cours a augmenté si rapidement, c'est donc qu'il va continuer, pendant que la plupart des détenteurs refusent de vendre dans l'espérance que le cours monte encore, le déséquilibre entre les uns et les autres alimentant encore l'augmentation du cours . Ce genre d'épisode se termine généralement par un krach retentissant.

Pourquoi c'est plus compliqué - le Bitcoin a une vraie valeur

L'interprétation du Bitcoin comme simple bulle irrationnelle - dont le modèle est la spéculation sur les bulbes de tulipe aux Pays-Bas en 1637 - pose cependant plusieurs problèmes.

Tout d'abord, une véritable bulle n'a lieu qu'une fois, et lorsqu'elle a éclaté aucun nouvel engouement ne peut recommencer, surtout pas pour le même produit. On n'a jamais entendu parler d'une nouvelle bulle sur les valeurs Internet après le krach de 2000, ni sur les crédits subprime après le krach de 2007. Or, le bitcoin a déjà connu plusieurs bulles... et y a survécu. C'est ainsi que son cours :

  • A connu un pic supérieur à 20 € en juin 2011... avant de chuter de plus de moitié
  • Nouvel emballement jusqu'à plus de 200 € en avril 2013... puis perte brutale de plus de 60% de cette valeur
  • Encore une bulle jusqu'à frôler les 900 € en décembre 2013... suivie d'un effondrement dans les profondeurs, moins de 200 € en janvier 2015
  • Enfin, augmentation plus ou moins continue à partir de début 2016 jusqu'à environ 1200 € au printemps 2017, suivie d'une montée en flèche à 7 000 € au 22 novembre 2017

La structure est à l'évidence différente de celle d'une simple bulle. Des paliers successifs sont atteints, entrecoupés de bulles et d'effondrements, mais à chaque fois la valeur du bitcoin finit par reprendre sa hausse. La progression est comparable à une séquence "trois pas en avant, suivis d'un pas en arrière" - ou plutôt trois bonds en avant, un bond en arrière, car les progressions comme les reculs sont à chaque fois massifs exprimés en pourcentage. Soit plusieurs millions de personnes sont en train de lourdement se tromper, et avec obstination encore, car ils recommencent et recommencent en permanence... soit il y a une vraie valeur sous-jacente au système Bitcoin.

Il faut encore remarquer que la monnaie cryptographique - et ses "petites sœurs" construites sur des principes analogues - apporte des services tout à fait concrets, indépendamment même de son avenir ou non en tant que monnaie. Et ces services donnent au réseau bitcoin une valeur indéniable. Il permet en effet des transferts d'argent rapides très bon marché n'importe où dans le monde. Alors que les services de transfert de fonds les plus connus, utilisés par exemple par des dizaines de millions de travailleurs immigrés issus de pays pauvres pour soutenir leurs familles restées au pays, peuvent couramment facturer 2% voire 3% de frais en fonction des destinations, le même transfert peut être réalisé à coût négligeable si c'est uniquement en bitcoins, et en comptant l'aller-retour entre bitcoin et une monnaie classique - du côté de l'émetteur comme du destinataire du transfert - on arrive à des frais de l'ordre de 0,5 à 0,6%. Il est difficile de considérer un moyen de transfert d'argent bien meilleur marché que la concurrence comme une simple "fraude".

Virement_classique_et_cher.jpg

La queue devant un bureau d'une entreprise de transfert de fonds bien connue - dans un pays pauvre, et la plupart des clients le sont aussi

Des frais qui en fonction des destinations peuvent dépasser 3%

Mais la valeur ajoutée la plus importante que les créateurs et partisans du bitcoin espèrent qu'il apportera est différente. Il s'agirait qu'il prenne sa place à côté des monnaies fiduciaires - c'est-à-dire émises par un Etat et sa banque centrale - comme alternative protégée contre toute tentative de contrôle et de manipulation. On pourrait donc payer un vêtement, un livre ou un repas au restaurant en bitcoin. On pourrait épargner et emprunter en bitcoin. Est-ce crédible ?

Les arguments de l'étude BNP Paribas - Le Bitcoin a-t-il "un avenir limité" ?

Contrairement à d'autres sceptiques du bitcoin, l'étude établie par BNP Paribas a produit une argumentation organisée. Même si le rapport complet n'est pas disponible en ligne, les descriptions qui en sont faites dans la presse économique résument les objections soulevées à deux points essentiels : la question du prêteur en dernier ressort, la question de la déflation.

La question principale bloquant une utilisation du bitcoin à grande échelle serait celle du "prêteur en dernier ressort". Et il est exact que si l'on prête des bitcoins à une institution et que cette institution fait faillite, alors il n'y aucun remède possible. Lors de la crise financière de 2008, les banques centrales ont créé de nouveaux dollars, euros etc., mais personne ne serait en position de créer de nouveaux bitcoins pour compenser la faillite d'un "intermédiaire de confiance", banque ou autre institution financière, puisque le système bitcoin a précisément été conçu pour que ce soit impossible ! Aucune espérance ne resterait donc au détenteur de bitcoins qui les aurait prêté à une banque, contrairement au cas des comptes en euros censés être garantis jusqu'à un montant de 100 000 euros - même s'il y a lieu de ne pas prendre cette garantie au pied de la lettre.

Mais les arguments de l'étude appellent plusieurs remarques. Deux points au moins peuvent gravement induire en erreur :

  • Si l'on possède des bitcoins, contrairement à ce que l'étude semble impliquer, on n'est pas obligé de les prêter à une banque ! Contrairement évidemment à des euros ou toute autre monnaie fiduciaire que l'on ne peut posséder qu'en les prêtant à une banque, qui les fait apparaître comme "avoir" sur un compte bancaire (sauf à avoir quelques billets chez soi, mais c'est très limité). Donc si une banque ou un intermédiaire financier fait faillite, cela n'aura de conséquence que pour qui lui a prêté ses bitcoins, ce qui était forcément de sa part une décision volontaire puisqu'une alternative existe - les garder soi-même tout simplement
  • Suggérer que payer une maison avec des bitcoins mettrait en danger l'emprunteur est une inversion pure et simple de la réalité. C'est la banque ayant prêté les fonds qui sera en danger au contraire ! En effet, en cas de faillite d'un trop grand nombre d'emprunteurs immobiliers, elle ne pourra pas compter sur la banque centrale pour lui créer des bitcoins de remplacement - si l'emprunt était en bitcoins justement. Et c'est exactement ce dont les grandes banques impliquées dans les prêts "subprime" avaient eu besoin pour éviter la faillite après 2008

Il reste bien sûr que prêter ses bitcoins peut être souhaitable, parce qu'il est souhaitable de prêter son argent pour le "faire travailler" tout en soutenant l'activité économique, de même qu'on peut souhaiter acheter des obligations ou des actions - ce qui revient en définitive à prêter des fonds à des institutions et des entreprises pour qu'elles les fassent fructifier. Et il est tout à fait vrai que des obligations établies en bitcoins ne pourraient bénéficier d'aucune garantie de banque centrale - si l'emprunteur ne peut pas rembourser, eh bien c'est perdu.

Oui, mais... est-ce si grave ?

D'une part il existe toujours un risque de perdre sa mise - sauf bien sûr lorsqu'on est une grande banque "too big to fail" (trop grande pour faire faillite) et qu'on peut dire aux Etats derrière les banques centrales "si vous ne créez pas de l'argent pour nous le prêter, c'est l'économie toute entière qui s'effondrera avec nous".

D'autre part, qu'y a t il de mal à ce que le risque qui est inhérent à tout investissement soit rendu clair et net aux yeux de tout prêteur ? Ce n'est pas une raison de ne pas prêter, en revanche c'est une saine incitation à prêter les yeux ouverts, en acceptant explicitement le risque plutôt qu'en s'illusionnant sur un placement "totalement sûr" qui ne peut exister en réalité. Ce qui signifie aussi que l'on ne prêtera pas son épargne de précaution destinée à faire face aux "coups durs" et que l'on demandera une juste rémunération du risque encouru.

Bitcoin déflationniste - inconvénient ou avantage dans un monde fini ?

L'étude souligne encore, et à raison, l'effet déflationniste du nombre de bitcoins fixé définitivement à un maximum indépassable.

Le problème est le suivant : si l'économie croît, alors que la quantité d'unités monétaires reste constante ou quasi-constante, la valeur de chaque unité monétaire aura tendance à augmenter, c'est-à-dire que le prix des biens exprimé dans cette unité monétaire aura tendance à décroître. Il s'agit là de l'inverse de l'inflation, d'où le nom de déflation. Mais la déflation a pour conséquence de ralentir l'économie, car chacun est incité à reporter ses achats autant que possible afin de profiter de prix encore plus bas, d'où demande plus faible, d'où moins d'activité et d'emploi, donc moins de revenus, donc encore moins de demande etc. dans une spirale négative. 

Cette conséquence d'une généralisation du bitcoin est un scénario crédible. Faudrait-il alors souhaiter que Bitcoin ne réussisse pas sa transformation en monnaie à part entière acceptée dans le monde entier et non seulement au Japon, afin d'éviter un ralentissement de la croissance et de l'économie ?

Et si l'effet déflationniste d'une généralisation du Bitcoin n'était en fait pas un inconvénient... mais bien un avantage ?

Une monnaie fiduciaire extensible à l'infini comme dollar ou euro est assez adaptée à une période de croissance économique rapide comme celle des années 1945-2008, mais l'humanité est entrée doucement depuis la grande crise financière dans une période de croissance plus faible, qui devrait être suivie par un ralentissement supplémentaire de la croissance, voire par la décroissance pure et simple, ceci pour des raisons de fond qui n'ont rien à voir avec la monnaie :

  • Épuisement progressif des ressources en particulier énergétiques, avec augmentation structurelle et continue du coût d'extraction de l'énergie, c'est-à-dire de l'énergie qui doit être investie pour extraire un baril de pétrole oh un mètre cube de gaz supplémentaire - ce qui diminue progressivement la fraction de l'énergie extraite qui constitue un véritable "bénéfice"
  • Carence dans la maîtrise de la complexité, de plus en plus apparente dans les difficultés énormes pour prendre des décisions fortes à l'échelle mondiale - augmentation du désordre politique - tout comme dans les dérives criantes des "grands projets"
  • Sans parler encore de l'impact environnemental, les inconvénients croissants y compris pour les hommes des dommages à la nature provoqués par l'activité industrielle tendant de plus en plus à contrebalancer les avantages retirés du développement

En somme, l'humanité rencontre et rencontrera de plus en plus des limites à son activité du simple fait que notre monde est fini, et ses ressources aussi

Or Bitcoin étant en quantité structurellement limitée est bien adapté à un monde fini, à une économie mondiale qui de plus en plus plafonne, et qui devra encore s'adapter si elle doit éviter toute décroissance brusque et catastrophique. C'est donc une monnaie qui pourrait bien convenir à un monde qui s'adapterait pour ne pas s'effondrer - donc un monde où les réseaux notamment électrique et internet resteraient globalement fonctionnels, puisque l'existence même du système bitcoin en dépend à l'évidence.

Croissance_infinie.jpg

"La croissance infinie de la consommation matérielle dans un monde finie est une impossibilité"

Ce n'est que dans le cas où un effondrement économique mènerait à une réduction brutale de la complexité - parallèle à l'effondrement de l'économie post-soviétique après 1991 quoique pour des raisons différentes - mettant donc en danger l'existence et la fiabilité des réseaux que bitcoin ne pourrait plus servir de monnaie ni de système de paiement - dans ce scénario certes extrême, seuls les métaux précieux pourraient prendre le relais.

Note finale sur le Bitcoin en tant qu'investissement...

En période de forte augmentation du cours, nul doute que la question "faut-il en acheter ?", et encore "faut-il vendre ?" (pour qui en a) intéresse ! Insistons sur deux points essentiels :

  • Le système Bitcoin est en plein développement, il a déjà rencontré un certain succès, il présente des perspectives attrayantes, mais il reste expérimental. La capacité à l'étendre à l'échelle non de quelques millions mais de centaines de millions voire de milliards de participants n'est pas encore démontrée. L'échec du bitcoin à devenir une véritable monnaie est tout à fait envisageable, tout comme d'ailleurs l'avènement d'une autre crypto-monnaie qui le supplanterait
  • La valeur de l'unité monétaire bitcoin a connu déjà au moins trois phénomènes de bulle depuis 2011, comme déjà dit. Rien ne garantit que la valeur atteinte un jour le sera encore le lendemain, le mois ou l'année suivante

En tout état de cause, aucune personne raisonnable n'investira dans un système innovateur mais expérimental davantage que "ce qu'elle peut se permettre de perdre".


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39 réactions à cet article    


  • Clark Kent Jeussey de Sourcesûre 24 novembre 2017 09:15

    « La banque BNP Paribas a rédigé un rapport concluant que l’avenir de Bitcoin serait limité par l’absence de prêteur en dernier ressort »


    Les penseurs de la BNP viennent de comprendre l’avenir du capitalisme dont le bitcoin n’est que l’avatar virtuel.

    • Francis, agnotologue JL 24 novembre 2017 09:44

      @Jeussey de Sourcesûre
       
      « limité par l’absence de prêteur en dernier ressort »
       
       Est-ce que ce n’est pas ça la définition des Pyramides de Ponzi ?


    • Clark Kent Jeussey de Sourcesûre 24 novembre 2017 09:58

      @JL

      Oui, en effet, les pyramides de Ponzi qui ont fait la gloire et la chute de Madoff ne sont qu’un raccourci du système, une sorte de court-circuit qui provoque à court terme ce que l’édifice produit à long terme.
      L’establishment préfère alors punir celui qui a trouvé l’astuce pour accélérer le processus plutôt que le féliciter : ça permet, par le sacrifice d’un jeune mâle alfa de temps en temps, de préserver la meute et de demander aux moutons de renflouer les caisses quand le crash arrive inéluctablement.

    • velosolex velosolex 24 novembre 2017 14:59

      @Zip_N
      Malgré tout, la pyramide de Ponzi continue à fonctionner. 

      Un conte des 1001 nuits
      L’esprit critique et ses fusibles, étant court-circuité par l’envie incommensurable de gagner le jack pot. 

      Dans quelques mois, ces nouvelles victimes d’un mirage collectif porteront plainte . Tenteront de se retourner contre les états, coupables d’avoir laissé faire, la définition du capitalisme. Une cellule de soutien psychologique leur sera proposé....

      Ils engageront des avocats

      Mais ceux ci refuseront d’être payés en bit coins. 

      Saint goldman sachs, priez pour nous

    • Francis, agnotologue JL 24 novembre 2017 16:06

      @Jeussey de Sourcesûre
       
       cette affaire de bitcoins me rappelle cette histoire de pantalons à une seule jambe que racontait Attali.


    • Clark Kent Jeussey de Sourcesûre 24 novembre 2017 18:07

      @JL

      merci pour le lien
      ça montre qu’en plus, ils le savent !

    • jeanpiètre jeanpiètre 24 novembre 2017 19:24

      @Jeussey de Sourcesûre
      La monnaie c est de la confiance, et vu l abus de confiance caractérisé sur lequel s engraisse le monde financier , le bitcoin est le prémisse de la chute des toi big to fail


    • Alren Alren 26 novembre 2017 13:12

      @Jeussey de Sourcesûre

      Le bitcoin sera une vraie monnaie le jour où les fournisseurs de biens et de services l’accepteront en paiement, étant assurés qu’avec cette monnaie, ils pourront à leur tour acheter des biens et services.

      Mais la variabilité extrême de la valeur du bitcoin par rapport au dollar, induit une incertitude trop forte sur la valeur réelle du paiement.

      Si un bien est vendu 1000 bitcoins un jour avec un bitcoin à 7 000 dollars mais que demain il n’en vaut plus que 6 200, le fournisseur aura vendu à perte et cela lui sera insupportable. Il refusera désormais le paiement en bitcoins.

      Pour l’instant cette pseudo monnaie est plutôt comparable à une action en Bourse, fortement spéculative et qui n’est attachée en rien à l’économie réelle.

      Si tous les propriétaires de bitcoins avec leur cours actuel demandaient à les échanger contre des dollars, des euros, de l’or, qui paierait la spéculation ?


    • rogal 24 novembre 2017 09:19

      La déflation qui s’entretient d’elle-même par l’anticipation de la baisse des prix est une affirmation surtout théorique et, il faut bien le dire, faiblement argumentée. J’ai souvenir d’une étude empirique parue il y a quelques années (à retrouver) qui concluait autrement : l’auteur estimait que ce mécanisme avait joué lors de la crise de 1929, ce qui n’est certes pas rien, mais seulement dans ce cas.


      • sleeping-zombie 24 novembre 2017 11:35

        Hello,

        Le BitCoin est une arnaque pyramidale. Pour s’en convaincre, il suffit juste d’extraire les données suivantes le cet article :
        Le nombre maximal de bitcoins augmente lentement à partir des 16,5 millions de novembre 2017 et ne dépassera jamais 21 millions
        Corollaire : plus le nombre d’utilisateur de BTC augmente, et plus la « valeur » des BTC déjà émis augmente. Or, 80% des BTC sont déjà détenus par... combien ? 0.1% de la population mondiale ? 0.001% ? Qui possède les BTC aujourd’hui ? aucune étude sérieuse sur ce point... mais il suffit de voir ce qu’on achète en BTC : pas de pizzas, pas de maisons. Juste de la drogue et des armes :/

        J’aime pas être d’accord avec un banquier, mais ils sont les mieux placés pour reconnaître une arnaque quand ils en voient une : c’est pas à un singe qu’on apprend à faire la grimace...


        • Anatine 25 novembre 2017 07:29

          @sleeping-zombie

          C’est supposer que la valeur du BTC represente la fraction de l’economie qu’il sert. Plus d’echanges, plus de valeur, ou la representation par un nombre fini d’une valeur d’echange croissante. Le BTC se divise pour repondre au besoin de supporter toujours plus d’echanges mais c’est la propriete des BTC qui reparti le pouvoir sur les echanges. Et effectivement’ cela concentre mecaniquement ce pouvoir. C’est pourquoi le BTC N’est pas une monnaie !!


        • Anatine 25 novembre 2017 08:03

          @Anatine

          Et je rajouterais qu’il l’est devenu parce que la finance a fait de la monnaie un bien, ce qu’elle n’est pas et est le responsable ... En dernier ressort de cette situation. La question du preteur en dernier ressort est un vrai probleme dans une economie financiarisee et on remarquera que son role est surtout pour l’instant d’eponger les consequences de la concentration de la richesse.... En rien de supporter l’economie reelle qu’elle vampirise. Une banque ne peut pas arriver a une autre conclusion. Il y a une incompatibilité fondamentale en le modele du BTC et la finance. Par contre la valorisation du BTC dans notre economie financiarisee est aussi une heresie. Il faut se rappeler que l’on parle pour imaginer la transformation a venir de web de la valeur. La monnaie n’est pas un bien. C’est une insitution et la blockchain en est une incarnation. Le bitcoin est comme l’or. Les ICO, levee de fonds en crypto monnaie ont depasse les levees en fonds geree par la finance. Des centaines de crypto-monnaies sont adossees au BTC’ l’or, et a l’Ether’. L’argent et a quelques autres metaux de moindres importances. La reponse va venir des places d’echanges de ce ces crypto-monnaies. Pour qu’elles ne soient pas consideres comme des instruments financiers, elles doivent reprendre les attributs veritables de la monnaie !


        • Anatine 25 novembre 2017 08:22

          @Anatine

          La monnaie est aujourd’hui un outil de pouvoir sur les echanges et pas le support aux echanges, bien sur pas du point de vue de ses utilisateurs, c’est a dire vous et moi. Bon tout ca pour vous dire, que la BNP ne peut pas conclure autrement car elle est l’acteur d’un systeme qu’elle preserve puisqu’il justifie de son existance. Les banques c’est comme les telecoms de la fin du 20eme siecle.... La bonne nouvelle et la j’anticipe un peu, c’est que tout ca c’est aussi la fin a venir ce ceux qui ont construit leurs modeles sur la concentration des echanges....


        • Anatine 25 novembre 2017 09:45

          @Anatine

          La bonne question est de s’interroger sur les stratégies possibles de la finance face au BTC...


        • Ruut Ruut 24 novembre 2017 14:03

          Comment se passe la lutte contre les faux bitcoins qui en est responsables ?


          • axiaman 29 novembre 2017 18:16

            @Ruut
            Il n’y a pas de faux bitcoins. C’est justement la force de l’algorithme qui retrace toutes les opérations pour empecher la fraude.


          • velosolex velosolex 24 novembre 2017 14:51

            Généralement, quand ceux qui n’y connaissent rien achètent parce que ça flambe, c’est qu’il est déjà trop tard pour faire une bonne affaire, et qu’ils vont se trouver plumer par la chute inévitable. 


            Un bel effet de dominos tombant les uns sur les autres et sur les gogos est à prévoir. 

            • L'enfoiré L’enfoiré 24 novembre 2017 18:53

              @velosolex,
               Exact. En Bourse, on devrait pouvoir acheter la rumeur et vendre à la réalisation d’un projet.
               Mais cela est affaire de raisonnements et de beaucoup d’expertises que les traders pensent avoir compris.


            • Garibaldi2 25 novembre 2017 04:02

              @L’enfoiré

              Acheter la rumeur
              Vendre la nouvelle


            • zygzornifle zygzornifle 24 novembre 2017 15:56

              Un rapport concluant que l’avenir de Bitcoin serait limité par l’absence de prêteur en dernier ressort..... Mince alors ils ne prêteront pas au FN .....


              • Clocel Clocel 24 novembre 2017 17:31

                La monnaie ? Ça n’existe pas !

                https://www.youtube.com/watch?v=PJQOZBrpZ6o


                • L'enfoiré L’enfoiré 24 novembre 2017 18:50

                  @Clocel

                  J’ai regardé votre vidéo.
                  Il y a quelque chose qui a été complètement oublié : la valeur ajoutée.
                  La tasse est vraiment un mauvais exemple.
                  Un outil ou une voiture que vous achetez serait bien plus réel.
                  Cet outil va vous permettre d’exercer une fonction ou un job qui va vous rapporter.
                  C’est là que se cache la valeur ajoutée et c’est celle-là qui devrait être seulement taxée comme dans l’esprit de la TVA.
                  Qu’est-ce qui se passe en réalité, vous avez des pertes, parce que vous avez dû payer des taxes sur les taxes.


                • Clocel Clocel 25 novembre 2017 06:49

                  @L’enfoiré

                  Pourquoi mauvais exemple ?

                  Il n’y a aucune valeur ajoutée dans cette transaction, un objet change de main, il n’y a aucune création de richesse.


                • Matlemat Matlemat 24 novembre 2017 17:35

                  @sleeping zombie, l’argent liquide sert déjà pour la drogue et les armes, le bitcoin n’est pas assez anonyme pour l’illégalité. Et pour les banques le succès des crypto monnaie vient justement du fait qu’on ne leur fait plus confiance.


                  • sleeping-zombie 24 novembre 2017 18:14

                    @Matlemat

                    Tu me pardonneras de ne pas être un expert en traffic en tout genre. Mais j’imagine qu’il y a un pallier entre le dealer de quartier qui se fait effectivement payer en liquide, et le grossiste qui, comme tout homme d’affaire, préfère les virements aux valises qui s’égarent.
                    Une monnaie « non officielle », donc n’étant soumise à aucune législation ni aucun radar est bien pratique, tant qu’on n’en constitue pas de stock.

                    le succès des crypto monnaie vient justement du fait qu’on ne leur fait plus confiance.

                    Succès tout relatif, ma boulangerie ne me permet pas de payer avec mon téléphone. Et je ne suis pas sûr que les utilisateurs de BTC soit motivés par la défiance envers les banques dites « classiques ».

                  • Xenozoid 24 novembre 2017 18:12

                    fin d’un monde monétaire basé sur une illusion, le block chain est l’anticrist des monnaies,et le moment de foutre la merde...je suis pour


                    • L'enfoiré L’enfoiré 24 novembre 2017 18:42

                      Si vous voulez comprendre le bitcoin, regardez la système de Ponzi
                      C’est très similaire.


                      • L'enfoiré L’enfoiré 24 novembre 2017 18:55

                        Madoff sera peut-être content d’avoir servi à quelque chose par la pratique. smiley


                      • jeanpiètre jeanpiètre 24 novembre 2017 19:29

                        Bitcoin est un des principal concurrent des banques offshore de nos établissements si respectables


                        • Matlemat Matlemat 24 novembre 2017 20:38

                          @sleeping-zombie , les traffics en tout genre continueront, cryptomonnaie ou non. Le boulanger du coin n’accepte pas les Bitcoins mais moi par exemple je peux déjà me faire livrer une pizza et payer en Bitcoins . Ce n’est qu’un début, lorsque Amazon les acceptera on passera le cap supérieur. Le Japon accepte le bitcoin comme moyen de paiement.


                          • Matlemat Matlemat 24 novembre 2017 20:40

                            @Ruut, les faux Bitcoins sont impossibles à créer c’est grâce à la blockchain les transactions sont vérifiés par les utilisateurs du réseau.


                            • eau-du-robinet eau-du-robinet 24 novembre 2017 21:03

                              Bonjour,
                              .
                              Le bitcoin est en quelque sorte le résultat de la dérive abyssale du système bancaire et surtout de l’absence d’un règlement / encadrement et d’une surveillance stricte du système bancaire.

                              Je trouve flippant et enquêtant que le bitcoin n’est pas une monnaie stable et ce n’est pas la solution pour régler cette gigantesque bulle financière qui vas exploser un jour ou l’autre  !
                              .
                              Les banques centrales du monde, FED, BoJ, BCE, etc. impriment de plus en plus de billets (planche à billet - pour le masquer aux citoyens lambda les banques parlent du QE) inondent ainsi le monde avec du papier (les billets) lequel quand la bulle financière explosé aura la simple valeur du papier cul !
                              .
                              Pour moi le bitcoin est comme un petit sparadrap qu’on essaie d’appliquer sur sur une immense plaie, c’est comme si on tentait d’éteindre un grand feux avec un vers d’eau, ce n’est certainement pas la solution pour régler les immenses abus de la fraude bancaire, de la dite « optimalisation fiscale » ou plutôt de la fraude fiscale, évasion fiscale, etc.
                              .
                              A pro pro de la planche à billet :
                              La fausse monnaie finit toujours par provoquer des catastrophes, dictatures et guerres.

                              .
                              A la FED un petit nouveau : James Powell venu de Bankers Trust. – Sa politique : surtout ne rien faire, la hausse des taux n’est pas à l’ordre du jour. – Blythe Masters et la banque des cow-boys. (Bankers Trust) – Quand la fortune des clients intéresse la Bankers Trust, aux USA, en France c’est la Société Générale qui capte les fortunes en déshérence.
                              https://www.youtube.com/watch?v=3E0DBfY4eLU#t=9m43s
                              .


                              • files_walQer files_walQer 24 novembre 2017 21:57

                                « Nous protestons contre la censure dont a été victime l’article du 17/11/2017 de Doctorix sur les 11 obligations vaccinales »

                                Lettre de Doctorix


                                • eau-du-robinet eau-du-robinet 24 novembre 2017 22:42

                                  Bonjour files_walQer,
                                  .
                                  Un extrait de la lettre de doctorix :

                                  Vaccins, rétrovirus, ADN et la découverte qui a détruit la carrière de Judy Mikovits Judy Mikovits, Ph.D., biochimiste, spécialiste en biologie moléculaire avec plus de 33 ans d’expérience. Connue internationalement comme une véritable « Rock Star » du monde scientifique, elle a été directrice, à l’Institut National du Cancer, du laboratoire qui étudie les mécanismes des médicaments antiviraux avant de prendre la direction du programme de la biologie du cancer à l’ « EpiGenX Pharmaceuticals ». C’est elle qui a fondé le premier institut de neuroimmunologie. Ses premiers travaux se sont centrés sur le cancer et le HIV. Ensuite, elle a étudié le Syndrome de Fatigue Chronique et l’autisme. Elle a publié plus de 50 articles évalués par les pairs. En 2011, elle a fait une découverte qui a détruit sa carrière. Elle a découvert que 30% au moins de nos vaccins sont contaminés par des gammarétrovirus. Cette contamination est, non seulement associée à l’autisme et au syndrome de fatigue chronique, mais également à la maladie de Parkinson, la maladie de Lou Gehring et à la maladie d’Alzheimer. Source Initiative Citoyenne via SOTT et que j’ai traitée par ce billet le premier qui dit la vérité. Suivons notre intuition qui est de refuser l’obligation vaccinale. Rappelez-vous que l’OMS cherche à criminaliser l’hésitation à vacciner, qui est la plus forte en France ! L’OMS a posé la question en ces termes  : « L’hésitation à vacciner » serait-elle une nouvelle maladie mentale qui pourrait être « soignée » ? Source Initiative Citoyenne et que j’ai traitée par ce billet Comme un ouragan au ralenti... Que les époux Larère ont été condamnés pour avoir refusé de vacciner leur enfant : les époux Larère, viennent d’être condamnés par la Justice française à de la prison avec sursis alors que le vaccin contre les maladies DTP uniquement, qui ne contient pas les autres valences, notamment la coqueluche, n’est plus disponible sur le marché depuis 2008 ► Vaccination Obligatoire. N’attendez pas que la grille totalitaire du N.O.M. se referme sur nos tronches et remplaçons l’antagonisme à l’œuvre depuis des millénaires qui, appliqué à différents niveaux de la société empêche l’humanité d’embrasser sa tendance naturelle à la complémentarité, facteur d’unification de la diversité dans un grand Tout socio-politique organique : La société des sociétés.
                                  .
                                  Ma remarque :
                                  Je rejoins votre protestation contre la censure ...
                                  .
                                  Voici un article à lire également :
                                  http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/2016/12/judy-mikovits-ph-d-biochimiste-specialiste-en-biologie-moleculaire-avec-plus-de-33-ans-d-experience-connue-internationalement-comme
                                  .

                                • CoolDude 24 novembre 2017 22:10

                                  Le bitcoin est une monnaie propriétaire comme une autre...

                                  Propriétaire du code, des serveur, etc...

                                  Bref, c’est une merde comme une autre.

                                  Un esclavagisme comme un autre.


                                  • Matlemat Matlemat 25 novembre 2017 07:48

                                    En matière de crypto monnaies chacun prêche pour sa paroisse, personnellement je préconise le Litecoin et l’Ethereum qui ont plus de potentiel que le Bitcoin.


                                    • zygzornifle zygzornifle 25 novembre 2017 09:59

                                      Tarik Ramadan utilisait le bite poing ....


                                      • taketheeffinbus 25 novembre 2017 12:23

                                        Le bitcoin est un succès en matière de spéculation, mais du fait de ses coûts de transaction qui ne cessent de grimper, et la saturation du réseau qui augmente plus rapidement que l’évolution du protocole pour pallier au problème, il est condamné à l’échec en tant que monnaie, sans parler de la confidentialité.

                                        Une monnaie « alternative » encore très accessible et qui semble avoir plus d’avenir en la matière, c’est le XVG, qui comble tous ces défauts.


                                        • Guyver Guyver 25 novembre 2017 17:11

                                          Un site à connaître pour quiconque veut comprendre la dynamique des monnaies, en fonction de leur nature : http://www.creationmonetaire.info/2012/11/theorie-relative-de-la-monnaie-2-718.html

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