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Accueil du site > Tribune Libre > En finir avec l’abus du droit de grève !

En finir avec l’abus du droit de grève !

Vous subissez une inflation de blocages et privations et d'atteinte à votre liberté individuelle ?De votre liberté ces grévistes n'en ont cure !

Ils vous méprisent, ignorent vos droits légitimes. Votre vie personnelle ou professionnelle est bafouée et humiliée et ils vous prennent en otage. 

Ils estiment leur « égo revendicatif » supérieur à votre liberté. Il n'y a que eux qui comptent.

Ils vous empêchent de vivre libre. De disposer des moyens auquel vous avez droit.

Mais en ont-ils le droit ? Le droit de grève est-il un droit ? Non c'est un "faux" droit.

Vous êtes tellement conditionnés depuis l’enfance par une éducation nationale marxisée que vous n’avez jamais fait attention que le droit de grève n’est pas et n'a jamais été un vrai droit. Comment pouvez-vous croire à l’absurdité qu’un acte de contrainte, voire de violence envers autrui soit un vrai droit ?

En fait, la grève est tout le contraire d’un droit. La grève porte atteinte aux principes généraux du droit.

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La grève est une action concertée, qui consiste en une cessation du travail par les salariés d’une entreprise. Elle vise à créer des préjudices et entraîne une perte de productivité de l’entreprise.

En faisant pression contre la hiérarchie contractuelle, la grève est un déni de la responsabilité du salarié devant ses engagements et sa propre signature du contrat de travail.

La plupart des Français sont conditionnés et il ne manque jamais de juristes, de politiciens pour rappeler que l’on doit le respect aux grévistes qui font valoir « leurs droits ». L’endoctrinement et le conditionnement doctrinaire en oublie le raisonnement.

La liberté de circuler, d’entreprendre est une liberté fondamentale. La grève est une atteinte à ces libertés fondamentales et n’est évidemment pas un droit légitime et licite.

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La grève est une épreuve de force, une violence, c’est une cessation « concertée » du travail.

Le travailleur est lié au travail par un contrat. Contrat que le travailleur et l’employeur ont signé ensemble en leurs âmes et conscience.

Avec ou sans concertation, la grève constitue une rupture unilatérale de ce contrat et devrait en découler les responsabilités habituelles d’une telle rupture : fin du contrat, indemnisation des dommages causés, voire poursuite pénale lorsqu’il y a voie de fait, comme accaparation ou blocage de l’outil de travail, piquets de grèves, et obstructions qui constituent une atteinte à la liberté des non-grévistes.

Ne perdons pas de vue en effet que « faire grève » ne veut pas simplement dire s’abstenir de travailler : cela suppose de s’abstenir de travailler dans le cadre d’un « contrat de travail en cours de validité ». En d’autres termes, cela signifie manquer à ses obligations, prévues par le contrat.

Les effets sur la société sont dévastateurs

Les délocalisations en sont pour une part la conséquence. La dissuasion de l’investissement, la destruction de segments entiers de parts de marché, de rayonnement et d’image et destruction d’emploi des autres.

Aux dommages visibles dégradations, pillages, saccages, incendies, s’ajoutent une multitude de dommages invisibles que personne ne peut quantifier : voyage raté, nuit de galère, école sans maître, opération retardée parce que le personnel n’arrive pas à l’heure, marché raté, etc.

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Les grèves portuaires ou aéroportuaires qui paralysent les ports et les aéroports sont récurrentes. Ces grèves sont particulièrement nocives pour l’activité des ports et aéroports et l’investissement en France. De situation privilégiée géographique, la France ne peut les exploiter sans ces grèves répétées de catégories sociales, aussi bien que ceux de nos concurrents.

Marseille, le Havre ne sont pas à leur place réelle économique que leur confère la géographie à cause des grèves à répétitions, l’industrie horlogère, l’industrie métallurgique, les transports en ferries les déchargements portuaires, et bien d’autres ont étéq sinistrées par cause de grèves jusqu’au-boutistes.

La panne de croissance épouvantable, qui n’a aucune raison d’être en France, est accentuée par la « grèviculture ».

Grève versus Look out

L’équivalence est condamnée. Comment considérez-vous le lock-out, la grève patronale ? Fermer les portes de l’entreprise signifie, de la part de l’entrepreneur, une violation du contrat de travail, même si c’est dont entreprise et qu’il soit la base de l’ensemble de la base de tous les emplois qu’il a créé.

Comment considérer pour l’employeur ce qui est une faute, ne pas considérer l’équivalence pour le salarié ?

Comment exposer que l’entreprise doit strictement respecter le contrat, et l’employé disposer du droit de passer à côté ?

La rhétorique collectiviste se fonde sur le prétendu « échange inégal » et supposé dissymétrie entre employeur et salarié pour justifier un droit de grève inconditionnel.

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Mais la dissymétrie, c’est bien l’inverse. C’est bien à l’employeur qu’on interdit de se révolter contre la force brute.

La signature et l’engagement contractuel du salarié ne vaut-elle rien ?

La législation française fait une abstraction à la liberté des individus contre les intérêts de groupes coalisés dans un acte malveillants envers les autres. La Constitution (marxiste) de 1946 institue ce « faux droit » qui « s’exerce dans le cadre des lois qui le réglementent » alors qu’aucune loi, mais un code réglemente le travail.

Il est temps d’admettre que le droit de grève est inconstitutionnel.

La jurisprudence et plusieurs articles du Code du Travail (L 2511-1) ont établi que la grève ne rompt pas le contrat de travail, mais le « suspend ». C’est ridicule.

Pourquoi y revenir ? Apparemment il faudrait s’y résigner. Pourrait-on priver une nation démocratique de l’une de ses libertés fondamentales ?

Le « droit » de grève est trop souvent l’exemple typique d’un faux droit qui s’exerce aux dépens de personnes non consentantes. Dans ce sens il s’agit d’une agression contraire aux principes du droit et la liberté des autres.

Nous n’en avons pas fini avec les grèves.

Un petit groupe parmi les 150 000 employés de la SNCF représente 25% de toutes les grèves du pays, qui bloque pour n’importe quoi les 2 millions de voyageurs innocents et totalement pas concernés. Il faut en finir et supprimer le droit d’agression qui dans ce cas sert à détourner à son profit les ressources de la collectivité. La plaisanterie actuelle va couter pour cette corporation 35 miliards, c'est plus que le budget de la justice.

Evidemment aucun salarié du secteur privé n’a une retraite aussi généreuse et si spéciale et ne part à 49 ans comme un conducteur de TGV. Le principe de la grève étant pour eux de détourner le bien collectif du droit commun pour en retirer un privilège corporatiste inéquitable spécial, à charge de la société toute entière.

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Aujourd’hui la CGT se croit « parti politique » ou « législateur » et veut changer la « loi » simplement pour garder son pré carré de monopole de négociation alors qu’ils ne représentent pas 3% des travailleurs du privé, et n’est qu’une succursale de statutaires en délégation, professionnels de la grève, qui passent plus de temps dans des locaux syndicaux qu'en entreprise.

Certains évoqueront l’illusion d’un service minimum en cas de grève dans les services publics.

Quand il y a un organisme public ou quasi public, en bonne logique, c’est de bénéficier d’un service maximum que devrait faire partie de l’obligation de service public.

Tout autre régime est inadmissible et porte atteinte à la liberté de circuler.

Tout cela fait partie du paysage « social » français.

Pourquoi y revenir ? Apparemment il faut s’y résigner : pourrait-on priver une nation démocratique de l’une de ses libertés fondamentales ?

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La législation française ne l’entend pas ainsi. C’est la Constitution de 1946 qui institue ce « droit » qui « s’exerce dans le cadre des lois qui le réglementent ».

On attend toujours ces lois, mais la jurisprudence et plusieurs articles du Code du Travail (L 2511-1) ont établi que la grève ne rompt pas le contrat de travail, mais le « suspend ».

Donc, l’employeur ne peut ni renvoyer le personnel gréviste, ni embaucher un personnel de remplacement, ni attaquer les syndicats grévistes.

Supprimer le droit de grève n’est pas un « drame ».

Dans les autres pays, c’est le droit des contrats qui est seul pris en considération, de sorte que la grève est rupture contractuelle.

-Au Japon, les grévistes mettent un brassard pour indiquer qu’ils sont en grève mais continuent à travailler.

-Aux États-Unis, la première décision du nouveau Président Reagan aura été de licencier plus de 11.000 contrôleurs aériens. Depuis les compagnies aériennes Américaines sont rentables et les Françaises sont connues que pour cela.

-En Angleterre, depuis Madame Thatcher (1982), les grévistes peuvent être licenciés.

-En Suisse, la paix du travail désigne une convention de prévention des conflits sociaux, et la grève est très rare.

-En Allemagne, il ne peut y avoir de grève pendant les périodes de négociation salariale.

Dans la plupart des pays, la grève est interdite dans les services publics ou dans les activités d’utilité publique.

Ces pays, néanmoins, ont bénéficié des progrès sociaux aussi bien et même souvent mieux que les autres pays, ce qui condamne l’idée que les grèves étaient nécessaires à ces progrès sociaux.

Par conséquent, dans un cadre légal, le salariat est une relation d’échange, entre un salarié qui vend son travail et un employeur qui achète ce travail, sous les conditions du contrat de travail.

L’interdiction que subit aujourd’hui un employeur de se licencier un salarié au motif qu’il est gréviste est contraire aux droit de vie de la personne morale.

Il est temps de penser à supprimer ce faux droit de grève et l’illusion que c’est un droit….. 


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53 réactions à cet article    


  • Félicitations pour la difficile parution de cet article, qui est passé plusieurs fois en modération (?)

    Concernant le contenu, ce sont à la fois le dialogue impossible et l’absence de négociation partagée à l’allemande qui explique la dureté des conflits en Europe du sud.
    Pour info, les licenciements économiques sont interdits dans le secteur ferroviaire... privé allemand. Pour les contrats, les fonctionnaires recrutés avant les années 2000 ont signé pour 37 ans et demi de travail, et non 40 ou 42... Il y a aussi « rupture » d’engagement, mais côté employeur, qui en plus n’a pas respecté le dispositif seconde carrière ! 

    • Paul Leleu 9 juin 2018 21:29

      @France Républicaine et Souverainiste

      article qui fait étalage d’une rare bêtise intellectuelle... l’auteur ne comprend même pas intellectuellement les fondements du droit de grêve... 


      les vrais patrons comprennent le droit de grève, même si ça les énerve... parce-qu’ils ont un cerveau de boss, avec des neurones... mais les petits-bourgeois vénèr’ et bileux suspendus à leur tablette connectée ne comprennent même pas mentalement le droit de grève... c’est une question de QI... alors ça bave de rage... 

      eh bien, si en plus de défendre leur droit, les salariés font tourner en bourique des cerveaux limités, alors c’est une bien bonne chose smiley 


    • Furtive Sentinelle Furtive Sentinelle 10 juin 2018 20:05

      @France Républicaine et Souverainiste
      Pour les fonctionnaires, c’est vrai mais pour les agents contractuels de la fonction publique ou en cdd soit 1 million 350 000 c’est le régime général qui s’applique !!!


    • Arthur Gohin 11 juin 2018 20:31

      @Paul Leleu
      Vous insultez beaucoup mais ne reprennez aucun des arguments de l’article


    • spearit 11 juin 2018 20:44

      @Arthur Gohin


      Dieu merci, c’est déjà assez nauséabond comme ça, pas la peine de remuer, si... ???

    • fou666 9 juin 2018 16:57
      "Ils vous méprisent, ignorent vos droits légitimes. Votre vie personnelle ou professionnelle est bafouée et humiliée et ils vous prennent en otage. "
      Pauvre Crassus, c’était mieux en 1900 ou en 1788 ?


      • aimable 9 juin 2018 17:22

        @fou666
        Spartucus est un extrémiste , cela quelque soit le côté de la barrière ou se trouve ; s’il était ouvrier il taperait sur le patronat avec un bazooka , comme il le fait actuellement en temps que patron sur la classe ouvrière .


      • Venceslas Venceslas 9 juin 2018 17:41

        @aimable
        Avec un pseudo pareil, il se moque du monde. Au début, j’ai cru que son article était ironique. Horreur, même pas !


      • pemile pemile 9 juin 2018 17:54

        @Venceslas « Au début, j’ai cru que son article était ironique ! »

        Ah, depuis que le bon temps de l’esclavage ou du servage est révolu, entreprendre devient vraiment trop difficile ! smiley


      • Paul Leleu 9 juin 2018 22:06

        @Robert Lavigue


        effectivement, la bourgeoisie (républicaine ou pas) est une saloperie sur bien des points... et Lénine était du même avis que vous... Tous les marxistes savent cela. 

        Corporations et Syndicats reposent sur 2 logiques philosphiques différentes : la corporation mise sur la collaboration de classe et l’unité nationale, alors que le syndicalisme (hors co-gestion) est d’essence révolutionnaire (lutte des classes et internationalisme des travailleurs). 

        Le syndicat co-gestionnaire à l’Allemande est un entre-deux, lié notamment au contexte de sa naissance. 

        Soit on trouve normal que le Capital face du bénéfice sur le Travail (au-delà du remboursement des frais engagés), et c’est la logique des Corporations. On négocie simplement des conditions « humaines ». Mais on accepte le concept fondamental de l’exploitation, et ce qu’il signifie profondément, civiquement et humainement. 

        Soit on trouve que le Capital ne doit pas tirer du bénéfice sur le Travail, mais simplement se rembourser de ses frais. Et que le fruit du travail doit revenir au travailleur intégralement. Le syndicalisme révolutionnaire est une question d’abord de fierté, de dignité sociale et politique du travailleur. Il ne reconnait pas la légitimé de l’exploitation, même si il est obligé de s’y soumettre provisoirement. Dans ce contexte, il négocie ses conditions de travail, mais dans l’attente d’une vraie libération. 

        Chacun en pense ce qu’il veut. Mais les deux positions valent mieux que la caricature. 

        Par ailleurs, les corporations -si elles ont leurs avantages, que je ne nie pas du tout- ont aussi leurs inconvégnients : opacité bureaucratique, influence de lobbys dans la profession, et de chantage à la radiation professionnelle. On le voit dans les « Ordres » actuels, médecins, avocats, pharmaciens, etc. Et les histoires de chantage et de pression dans les scandales sanitaires type Médiator, vaccins, et autres... 

      • BOBW BOBW 10 juin 2018 10:11

        @fou666:D’ailleurs, si cet anti républicain et réactionnaire de « Crassus » eut vécu en même temps que Louis XVI, il serait aussi passé à la « trappe » avec son « chef » et son égérie Marie Antoinette ! smiley


      • Trelawney 12 juin 2018 08:33

        @Paul Leleu
        le Capital ne doit pas tirer du bénéfice sur le Travail, mais simplement se rembourser de ses frais. 

        Il n’est pas nécessaire de vous expliquer qu’il y a autant de rapport entre la vente d’un produit et le travail nécessaire à fabriquer le dit produit, que de rapport entre la viande d’un animal de boucherie et l’herbe nécessaire à son développement. Vous n’y comprendrez rien.

        Il y en a qui bâtisse des politiques fumeuses en se basant de théories tout aussi fumeuse sur par exemple « le grand remplacement » ou « la richesses d’un patron se fait sur la spoliation du travail de l’ouvrier ». Tant qu’il existe des cons pour croire à ses âneries le monde pourra dormir tranquille

      • flourens flourens 9 juin 2018 17:16
        spartacus a raison comme toujours
        il faut attendre de la gentillesse, de la sollicitude des patrons qu’ils vous donnent la sécurité sociale, les congés, un salaire décent, des horaires acceptables, de la sécurité dans le travail, des conditions humaine, et surtout il faut attendre des patrons que les enfants ne travaillent pas à partir de 5 ans dans les mines, que les vieux à 80 ans ne soient toujours pas enchainés à la machine, que les usines ne partent pas au Bengladesh où ils bossent 15h 7 jours sur 7 pour un €uro par jour, oui, il faut attendre tout ça des patrons qui ne sont qu’amour et bienveillance
        mais surtout pas la grève, et encore moins la révolte ou la révolution, bref, il faut accepter l’esclavage sans rien dire et surtout pas de peine aux patrons, ils sont tellement fragiles
        d’ailleurs c’est ce qui s’est passé, tout ce que nous avons se sont les patrons qui nous l’on donné, jamais nous ne l’avons conquis nous même,

        • Paul Leleu 9 juin 2018 22:22

          @Robert Lavigue

          vous vous égarez... Bismarck est l’achétype de la concession faite sous la pression insurectionnelle du prolétariat allemand !!! Il a cédé car il avait le feu (bolchévik) au cul ! Ni plus ni moins ! 


          Dans une perspective de collaboration de classe, il a réinventé la corporation (sous le visage de la co-gestion), pour faire perdurer l’exploitation de ses chers compatriotes (j’ai jamais compris comment on peut se dire patriote et exploiter son compatriote). Pour faire tenir le truc, Bismarck a promu le nationalisme économique allemand, qui a largement contribué aux 2 guerres mondiales (80 millions de morts et l’éradication de la civilisation européenne). Donc, il faut faire attention avec votre cher Bismarck. 

          Quant à Gandih, il fut soutenu et promu par la bourgeoisie contre le parti communiste indien, justement pour « organiser la décolonisation indienne » dans son propre intérêt. Un peu comme De Gaulle a fait avec les colonies françaises (libertés de façade). Le jour où Gandih a commencé à poser problème, « il a eut un accident »... tout comme MArtin Luther King le jour où il parla de « rapprochement blanc-noir des exploités américains »... 

          Les socialistes algériens mettaient en garde : « le maitre arabe ne doit pas remplacer le maitre européen ». Les luttes nationales ne sont pas du tout un sujet de concorde chez les communistes. Loin de là !!!! La promotion des « icônes tiers-mondistes » fut largement relayée par les médias bourgeois, jusqu’à la nausé (la vôtre et la la nôtre). Demandez-vous pourquoi ? 

        • Louise Louise 9 juin 2018 17:29

          Je me demande si les usagers quotidiens de la SNCF font partie de ceux qui alimentent la « cagnotte » des grévistes... smiley


          • Macondo Macondo 9 juin 2018 18:47

            Bonjour. Je note aussi souvent ce manque patent de patience chez le petit Peuple du troisième sous-sol. Alors qu’il lui suffirait d’attendre quelques générations pour être certain que le 1% qui lui dilate périodiquement l’orifice, une fois trans humanisé, lui lâchera la grappe et ira monter des exoZAC pour faire les poches à tout le reste du système solaire. Provoquant très probablement, des migrations massives de déclassés cosmiques. Des grèves interstellaires, faisant passer Air France pour un couvent de nonnes désintéressées, interdisant jusqu’à l’entrée dans le port de Vénus ...


            • pasglop 9 juin 2018 18:52

              Spartacus, il faut clarifier votre position.

              Le titre de l’article c’est « En finir avec l’abus du droit de grève ! », alors que tout le contenu milite pour la suppression pure et simple de ce droit. 
              Il faut choisir et dire où vous voulez aller.


              • Paul Leleu 9 juin 2018 22:24

                @pasglop


                en plus ce bouffon a bien mal choisi son Pseudo... Spartacus a précisément organisé la « grêve des gladiateurs et des escalves romains »... une grève dure qui a viré à la guerre civile... 

              • Le421... Refuznik !! Le421 10 juin 2018 09:35

                @Paul Leleu

                Cartapus est un trublion provocateur dont je doute que les écrits correspondent à ce qu’il pense réellement.
                Ou alors, il est complètement malade...

              • zygzornifle zygzornifle 9 juin 2018 20:24

                Vive les grèves , il faut que ça pète , il y en a marre ....


                • Blé 10 juin 2018 06:25

                  A partir du moment où un salarié passe le seuil d’un employeur, le salarié n’est plus sous un régime démocratique mais sous le régime du droit du patron.

                  Le patron est maître chez lui. Mais dans une société organisée de façon qu’une grande partie de la population dépende du bon vouloir d’un patron, ou d’un employeur, il y a effectivement un problème mais je dirai que le problème est autrement plus inquiétant pour le salarié que pour son patron.

                  On peut le constater tous les jours, ce ne sont pas les salariés qui licencient à tour de bras les patrons. Encore un peu et bientôt les patrons n’accepteront même plus de payer pour un travail. Macron est pour le bénévolat et ceux et celles qui ont voté pour lui le sont aussi. Suppression des emplois aidés, etc...


                  • mmbbb 10 juin 2018 07:42

                    @Blé reprenons le problème a l envers , puisque les patrons sont des salauds et qu il est si facile de monter une boîte , je me demande pourquoi ces salaries esclaves ne montent pas eux m^mes leur boite . CQFD


                  • Le421... Refuznik !! Le421 10 juin 2018 09:33

                    @Blé

                    Après avoir quitté l’armée, j’ai travaillé dans une dizaine d’entreprises différentes.
                    J’ai du mal tomber.
                    Toutes avaient des pratiques de commandement qui rendaient l’armée comparable à un monde de bisounours.
                    Le respect appris chez les militaires, contrairement à ce qui se dit, avait complètement disparu au profit de la recherche de résultat...
                    Pas de place pour le côté humain.
                    J’ai, par exemple, pris une salve de remontrances à la limite de l’insulte pour avoir, soi-disant, pris un jour de congé sans demander. Ce jour là, j’enterrais ma mère qui vivait depuis des années sous mon toit... Véridique.
                    Inutile de dire que la lettre recommandée de démission était sur le bureau du patron le lendemain.

                  • Blé 11 juin 2018 06:17

                    @mmbbb

                    Où ai-je écrit que tous les patrons étaient des salauds.

                    Je fais un constat et vous, vous faite une interprétation de ce constat. jusqu’à la preuve du contraire quand un salarié passe le seuil d’un employeur, ce salarié n’est plus sous sun régime démocratique mais sous celui du patron.

                    C’est tellement vrai qu’après la guerre de 45, des lois ont été faites pour que les rapports de forces entre un patron et un salarié soit à peu près équitable. C’est de que Macron détricote avec constance depuis qu’il est membre d’un gouvernement et maintenant président.

                    Un petit jeu : puisque vous avez l’imagination fertile , essayez d’imaginer que chaque français-e en âge de travailler monte sa boîte comme vous le proposez. Qui travaillerait dans les industries, dans les HEPAD, dans les transports en commun, dans les administrations, etc..., quand on a une idée aussi géniale que la votre il faut aller jusqu’au bout.


                  • Konyl Konyl 11 juin 2018 16:21

                    @mmbbb
                    Bah il faut travailler plus de 35 heures par semaine et faire sa compta soi-même en dehors des heures de boulot, rien que ça, les gens ne comprennent pas. Et si ça marche vous serez un salaud de patron

                    Et accessoirement il faut parier une mise de départ...

                    Je trouve que l’auteur va un peu loin mais le droit de grève pour ce qu’il est utilisé à la SNCF correspond parfaitement à la description, le gars qui se fait fermer son usine alors que le groupe enregistre des bénéfices, lui il a raison, et d’ailleurs il ne nuit qu’a son patron, tout le contraire de la SNCF justement, puisque monsieur Pepy, ne prend pas le train :) pas plus que notre gouvernement.


                  • phan 10 juin 2018 08:53
                    Il est temps d’admettre que le droit de grève est inconstitutionnel.

                    Il est temps d’admettre que l’abus de psychotrope soit mauvais pour la santé !
                    Inscrit dans la Constitution depuis le 27 octobre 1946, le droit de grève est reconnu en France mais limité, voire simplement interdit pour certaines professions : les fonctionnaires de police, les surveillants de prison, les CRS, les magistrats judiciaires, les militaires.
                    La loi impose à certains secteurs la mise en place d’un service minimum : dans le contrôle aérien, dans l’audiovisuel public, dans le secteur nucléaire, à l’hôpital.
                    Et pour faire plaisir à l’auteur : Transformer les travailleurs en membres du corps préfectoral qui ont ni le droit de grève ni le droit de se syndiquer.

                    • Decouz 10 juin 2018 09:51

                      @phan
                      Et les contrats ne peuvent contenir des dispositions contraires à la loi, si ils en contiennent ils sont illégaux.


                    • Le421... Refuznik !! Le421 10 juin 2018 09:26
                      Et surtout, rétablir l’esclavage, vite !!

                      La CFDT négociera le poids des chaînes et des boulets au pied...



                      • baldis30 11 juin 2018 09:53

                        @Le421
                        bonjour,

                        ces patrons qui présidents en tête chantent la Marseillaise la bafouent allègrement ! peut-être qu’au lieu d’entonner des chants révolutionnaires qui n’aboutissent plus à rien même s’ils gardent leur signification vous entonniez Le chant des partisans vous seriez bien mieux accueillis dans certains milieux… et bien plus redoutés par d’autres …. Mais la culture est l’ennemi du peuple ..Et il faut remonter au familistère pour vous faire comprendre ce qu’est le théâtre en prolongement de toute instruction et éducation … dommage que vous ne l’ayez pas compris ..Il n’en demeure pas moins que l’auteur de l’article lui a du peuple la même opinion que celle qu’avait celui qui sortait son révolver chaque fois qu’il entendait le mot « culture ».


                      • Shaw-Shaw #Shawford 11 juin 2018 19:43

                        @belin

                        Yep faut faire réapparaître CAHUZAC, sans un minimum de chance on recollera jamais les morceaux du Match Nico (Monaco, m’enfin, Daneel, gare à ta gueule, lol) que j’ai en bouche ! ^^ smiley smiley

                        https://www.sudouest.fr/2018/02/20/bordeaux-en-mal-de-te-rrains-a-batir-4215663-2733.php


                      • Arthur Gohin 11 juin 2018 20:48

                        @baldis30
                        Le peuple c’est ceux qui son pris en otage par les grèvistes.


                      • xana 11 juin 2018 22:15

                        @belin
                        Tiens, la Baudruche négrière ? Qu’est-ce que tu fous sur ce fil ?


                      • Blé 12 juin 2018 06:50

                        @belin,

                        Ben oui, comme vous, il y a des gens qui ont la tête dure, pire, il y a des gens qui n’ont pas de tête, juste des réflexes.


                      • alinea alinea 10 juin 2018 10:00

                        Je ne vois qu’une chose Spartacus : émigrez !


                        • Shaw-Shaw #Shawford 11 juin 2018 19:46

                          @alinea

                          Toi aussi, morue. arthes doit avoir atterri au Caire, ta vie sur AV va très bientôt devenir bcp plus trashy ! ^^


                        • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 11 juin 2018 20:03

                          @#Shawford Pourquoi être excessif comme ça ? Alinéa est une belle personne,certes compliquée parfois...comme toute femme. lol


                        • amiaplacidus amiaplacidus 10 juin 2018 10:23

                          @l’auteur

                          À propos de votre liste de pays supposés avoir fortement restreint le droit de grève, vous énoncez quelques contre-vérités (je ne parle ici que de situations que je connais personnellement et pas par ouï-dire). Lorsque vous dites :

                          ---
                          « -Au Japon, les grévistes mettent un brassard pour indiquer qu’ils sont en grève mais continuent à travailler. »
                          ---
                          Vous oubliez de dire que le patron se sent profondément humilié de voir « ses » travailleurs porter un brassard « en grève », humiliation qui peut aller jusqu’au suicide (j’ai un ou deux cas concrets à vous proposer).
                          Vous oubliez aussi la récente grève des transports publics à Okayama. Le personnel portait un brassard, travaillait, mais ne faisait pas payer les clients. Très efficace, ils ont obtenu gain de cause en 1-2 jours.
                          De toute façon, au Japon, l’accent est mis sur le consensus social. les négociations patronat / syndicats se font avant qu’un conflit éclate. Ce n’est qu’en cas d’échec que déroulent avant le déclenchement des conflits sociaux. Ce n’est qu’en cas d’échec qu’il y a grève et manifestation,

                          On en est encore à attendre, en France, que le patronat soit humilié de voir que les travailleurs sont maltraités. Tout comme on en est encore à attendre que le patronat négocie avant l’éclosion d’un conflit social.
                          .
                          .
                          ---
                          « -En Suisse, la paix du travail désigne une convention de prévention des conflits sociaux, et la grève est très rare. »
                          ---
                          La situation en Suisse est un peu similaire à celle du Japon. On met également en avant le consensus social.
                          La paix du travail résulte d’une négociation entre partenaires sociaux. Négociations qui se tiennent régulièrement, même en l’absence de tout conflit, en général tous les quatre ans mais cela dépens des branches. Durant ces négociations, patronat et syndicats se mettent d’accord, sur un certain nombre de points pour les prochaines quatre années (les négociations salariales ont lieu tous les ans). Ces négociations aboutissent à une convention collective valable pour une branche donnée. Les syndicats acceptent de renoncer à la grève (pour autant que le patronat respecte la convention) et le patronat renonce au lock-out.
                          Durant les périodes de négociation quadriennale, la grève est possible comme moyen de pression, mais très rarement utilisée parce que le patronat négocie sérieusement, pour aboutir à un consensus, sans chercher à « faire plier » les syndicats.
                          Toutes les entreprises de la branche sont tenues de respecter la convention collective. Celles qui ne le font pas sont exclues des organisations patronales et, en général, son ostracisées et exclues des marchés publics.

                          Comme vous pouvez le voir, à des années-lumière de la situation en France où on attend de voir un patronat conscient de ses responsabilités sociales plutôt que de dégager le plus de plus-value possible à son seul profit.
                          .
                          .
                          ---
                          -En Allemagne, il ne peut y avoir de grève pendant les périodes de négociation salariale.

                          ---
                          Totalement faux ! C’est au contraire durant ces périodes qu’il y a des grèves en Allemagne, et des grèves autrement plus dures qu’en France.Pensez aux grève de Lufthansa, 14 depuis 2014. Par exemple, en 2016, 2618 vols annulés. Cela concernait un revendication salariale de 3,66 %.
                          Plus récemment, en 10 avril 2018, une grève du personnel des aéroports, 800 vols annulés, pour une revendication portant sur une revalorisation de 6 % des salaires.
                          N’oubliez pas les grèves des chemins de fer, en 2015, 9 mouvement de grève en moins d’un an. Toujours pour des revendications salariales.
                          Pensez à la métallurgie et aux importants mouvements d’il y a 5-6 ans. Les travailleurs ont obtenu, dans la plupart de cas, satisfaction.

                          Effectivement, il y avait, auparavant, moins de mouvements sociaux en Allemagne. Depuis que ce pays a passé d’un type de « capitalisme rhénan », plus ou moins paternaliste à un capitalisme de prédation de type anglo-saxon (ou français*), les conflits sociaux se multiplient (pas sûr que les capitalistes y trouvent leur compte d’ailleurs).
                          .
                          .
                          Pour les autres pays que vous citez, je ne me prononce pas. Parce que, contrairement à vous, je ne parle que de ce que je connais.
                          .
                          .

                          * Je dis français, parce qu’en matière de capitalisme de prédation, la France fait partie des meilleurs au niveau mondial (si ce n’est la meilleure).
                          En France, on ne devrait pas parler de coût du travail, mais de coût du capital, tant les prélèvements du capital sur l’économie, par distribution de dividende ou augmentation de la valeur boursière, sont importants.

                          • pipolo 11 juin 2018 09:54

                            homme de peu de compréhension , êtes vous berger a nous prendre pour des moutons , la connerie n ’a pas d’époque , la preuve . no comment !


                            • révolté révolQé 11 juin 2018 10:58

                              Sans les grèves d’avant 1936,pas de congés payés.


                              • Arthur Gohin 11 juin 2018 20:46

                                @révolQé
                                Vous n’en savez rien. Comment les congés payés sont-ils advenus dans les autres pays ?


                              • Jeanlaquille 11 juin 2018 11:11

                                Excellent, enfin un papier qui ose dire la vérité....

                                Mais qui comme d’habitude n’est pas reçu....

                                • Konyl Konyl 11 juin 2018 16:45

                                  Si la SNCF était un restaurant (CF votre photo) :
                                  Les clients arrivent : diner pour deux !
                                  Ils arrivent et le serveur leur demande de se mettre debout au comptoir, sans même dire bonsoir (pour faire quoi ?).
                                  C’est le seul restaurant du coin… Il y a du monde.
                                  La commande est prise, même au comptoir si c’est bon, ce n’est pas très grave, après tout, on est pas tout seul. 45 minutes plus tard le serveur explique que le plat commandé n’est plus disponible.
                                  Pas le choix le couple doit choisir autre chose, va pour le poulet rôti !
                                  45 minutes plus tard, voilà le plat, miam ! Il est froid.
                                  Monsieur voudrait demander au serveur mais il ne se montre plus, il doit être occupé… A quoi ?
                                  Le couple s’impatiente, et parvient enfin à attirer l’attention du serveur qui arrive plus désagréable encore :
                                  « Qu’est ce qu’il y a ? » « C’est froid ? », « Et alors c’est de ma faute ? »
                                  Le monsieur lui dit : « Pas directement de votre faute non mais pourrions-nous manger chaud ? »
                                  Le serveur revient et pose l’addition, ça fait 73 € et il faut payer ! Soudains la SUZE (les noms ont été changés pour protéger les innocents), brigade de sécurité vient faire pression sur le monsieur qui ne fera pas le poids contre 5 gugus et des toutous. Un par un il ne feraient pas les malins mais là, ça passera pas.
                                  Il paye, forcé, contraint
                                  Et il rentre chez eux.
                                  Pendant que le serveur, la SUZE et le chef, que nous ne verrons jamais, se marrent.
                                  Peu de temps après vous apprenez que votre ville va subventionner le restaurant avec vos impôts...
                                  Evidemment certains restaurants vous servent des plat chaud...


                                  • eddofr eddofr 11 juin 2018 17:01

                                    Merci Spartacus pour ce bel article.


                                    Je vais pouvoir l’utiliser en formation économique et sociale.

                                    Il illustre particulièrement bien certains excès du « raisonnement idéologiques » et comment on peut faire dire n’importe quoi à la constitution si on la tord suffisamment. 

                                    • Heliogabal 11 juin 2018 17:36

                                      Ridicule ! 

                                      Pour éviter que les usagers ne soient contraints de se DEMERDER (!) il faut interdire le droit de grêve et donc contraindre les travailleurs a accepter la DEREGLEMENTATION de leurs travail ...du grand n’importe quoi...Vous placez la liberté de se déplacer et surtout celle d’entreprendre au-dessus de la liberté de refuser, de ne pas subir . Vous allez me dire que les usagers subissent ...hé bien ils n’ont qu’a faire grêve ...

                                      • Konyl Konyl 11 juin 2018 18:52

                                        @Heliogabal
                                        Mais si c’est si bien d’être riche, qu’ils aillent monter leur boite et faire du fric a gogo. Il ne défendent rien d’autre, arrêtez de croire que SUD RAIL en a quelque chose à foutre des autres.

                                        Espèce de cher monsieur, faire grève de quoi ? Si on ne paye pas, les contrôleurs nous verbalisent sans aucune compassion ni mansuétude j’ai eu le cas personnellement, sans m’énervé il y a deux ans en voulant éviter de payer un billet pour ma fille pour une station après 3 jours de grèves bien dense, et quand les gens ne sont pas content on pose la SUGE pour intimider. Les cheminots sont des intégristes du syndicalisme.


                                      • Heliogabal 12 juin 2018 15:16

                                        @Konyl

                                        « être riche » c’est à partir de combien par mois ? avoir une rémunération convenable c’est demander la Lune ? Pourquoi les voir comme égoiste ? Votre main au feu qu’il n’y ait aucune pensées altruistes ? Le service des transports est assuré par des êtres humains, vous savez ... ? Pour que les êtres humains voyage dans de bonnes conditions ne faudrait-il pas que les salariés du dit-service travaillent dans de bonnes conditions ? Libre à vous de vouloir contraindre une partie d’une population à être des employés muets .
                                        Je ne vous conseille pas de ne pas payer le train, je vous conseille de trouver une alternative plutôt que de dépendre des conditions de travail des autres... 


                                      • Konyl Konyl 12 juin 2018 18:46

                                        @Heliogabal
                                        Pourquoi les voir comme des égoïstes ? Ils utilisent le peuple comme monnaie d’échange pour conserver un écart de traitement totalement discutable car très peu sont réellement roulant et pourrais prétendre a une reconversion plus zen en fin de carrière (formation, gestion de ressource...). A partir de là comment pouvez vous dire qu’ils sont du côté du peuple ? Ils refusent systématiquement de faire des le moins geste de leur côté, faire un pas, dès qu’on change un truc, c’est la grève. Pour être un usagé de Saint Lazare, je peux vous dire que les grèves illégitimes j’en ai vu passé. Sans parler des dépôts de sac, totalement illégaux.

                                        Des être humains, oui, qui en maltraitent d’autres pour défendre leur unique bien être. Prendre le train en ce moment est un traitement inhumain, puisque nous sommes transporté comme du bétail. Sans jamais avoir d’excuses de qui que ce soit. Cheminot gréviste aujourd’hui c’est le contraire de l’altruisme, c’est le pire de ce que produire la France comme parasite.

                                        « Pour que les êtres humains voyage dans de bonnes conditions ne faudrait-il pas que les salariés du dit-service travaillent dans de bonnes conditions ? »
                                        Travaillent dans de bonnes condition ? Mais comment pouvez vous dire ça, le service est de pire en pire alors des milliards ont été investis. Demandez aux personnes qui gagnent le SMIC si c’est facile pour elles d’aller travailler et de se faire cracher dessus par des cheminots incapables de changement. Ils se goinfrent et nous on paye, qu’ils aillent tous pointer au RSA, ils l’auront bien chercher, beaucoup aimerait déjà avoir la chance d’avoir un job.

                                        Encore une fois, si c’est si pourri, s’ils méritent selon eux tellement mieux et que la SNCF n’est pas capable de leur offrir mais pourquoi ne pas aller voir dans le privé ou soi-disant : les gens se goinfrent et nagent dans les billets de banques ?

                                        Pour moi riche c’est quand on commence a se demander ce qu’on va faire de son argent pour en avoir encore plus, ce n’est pas un montant, c’est une mentalité. Et vous ?


                                      • Konyl Konyl 12 juin 2018 18:50

                                        @Heliogabal

                                        Et pardon, prendre sa voiture serait ajouter une couche de stupidité, je préfère encore être serrer, argument totalement irresponsable et stupide puisqu’on parle de service public, au service du public, qui paye.


                                      • Heliogabal 15 juin 2018 15:26

                                        @Konyl Bien sur les cheminots ne sont pas le peuple...mais le peuple sans les cheminots ce n est plus le peuple. Pourquoi abstraire cette partie de la population ? Quel sens mettez vous a maltraiter ? Cracher sur les « smicards » où. Avez vous trouvez ça ? Ils se goinfrent ? Et ils boursicote leurs pecules pour gagner plus ? Ils font des opa dans la haute finance pu ils cotisent a une caisse noire pour s acheter des merguez et de la bière ? Les cheminots sont ils les vrais profiteur,a coup de milliard dans leurs poches, les vrais parasites,ceux qui réussissent dans leur egoisme a mettre a disposition un service ? Ils sont forts ces cheminots , savez vous dans quel banque suisse ils planquent leur magot ?sous des voies désaffectées ?essayez le vélo, la marche a pied, le déménagement ou. La reconversion dans un emploi plus proche de votre domicile il m est pénible de vous voir ainsi dépendant de ces maudits cheminots


                                      • xana 11 juin 2018 22:10
                                        Waou, Patte-à-Cul est déchaîné !!!

                                        Ce type-là en fait trop, or les provocateurs se font toujours repérer à cause de leurs excès.

                                        Spartacus n’est certainement pas chef d’entreprise comme il le prétend.
                                        D’abord parce qu’un vrai chef d’entreprise n’a vraiment pas de temps à perdre, surtout pour écrire des articles hallucinés. Ses soirées, ses dimanches, ses vacances seraient entièrement consacrés à faire survivre sa malheureuse entreprise constamment guettée par le fisc, la médecine du travail, les cotisations urssaf et caetera. S’il écrit sur Avox c’est qu’il a fait faillite depuis longtemps et qu’il ne lui rets plus de son entreprise qu’une impression de vide et beaucoup de temps à tuer.

                                        S’il avait été chef d’entreprise il aurait eu des salariés, cette espèce maudite qu’il hait presque autant que les agents du fisc. Il aurait eu maille à partir avec eux, et serait déjà un multirécidiviste aux prudhommes. Un peu ça va, mais à ce niveau d’agressivité il serait rapidement devenu la bête noire de tous les juges, sans parler de tous les fonctionnaires qu’il aurait abruti d’insultes. Il y a longtemps qu’il serait hors jeu.

                                        Non, pour moi ce type est seulement un cinglé ordinaire qui se fait des films.
                                        Sa femme (ou sa mère) a dû filer avec un syndicaliste, ce qui expliquerait sa haine compulsive de tout ce qui est social et du monde des salariés en général.

                                        Sa place est dans une camisole de force, à l’intérieur d’une cellule capitonnée et protégée par de très hautes murailles. C’est probablement de là qu’il dicte ses éructations à un surveillant vénal en échange de son dessert. Les surveillants sont si mal payés !

                                        Jean Xana

                                        • xana 11 juin 2018 22:23
                                          Eh, Patte-à-Cul, qu’est-ce que ça signifie :
                                          "L’interdiction que subit aujourd’hui un employeur de se licencier un salarié au motif qu’il est gréviste est contraire aux droit de vie de la personne morale.«  ?

                                          Je n’ai jamais entendu parler de »droit de vie" concernant la personne morale. C’est un truc que tu viens d’inventer ?Ou alors c’est une nouvelle religion ?

                                          Faut arrêter l’absinthe, tu vois bien que ça rend fou.

                                          • soi même 11 juin 2018 23:39
                                            En finir avec l’abus du droit de grève ! bien voyont Spactacus et le doit de cuissage du capital tu le remes aussi en cause ?

                                            • eddofr eddofr 12 juin 2018 15:52

                                              Le droit de grève est un « cadeau » de Napoléon III.


                                              Le même qui a créé les Sociétés Anonymes à Responsabilité Limitée ...

                                              Le mal et son remède (ou l’inverse).

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