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La fête de la liberté pour l’Iran

Tous les ans, les résistants au régime théocratique iranien se rassemblent et lancent leur message de paix à la face du monde. Un monde qui semble se complaire dans la guerre. Un monde dans lequel les militants pacifistes sont régulièrement pris pour cibles par les ayatollahs du conservatisme néolibéral. Un monde dit civilisé où la vie politique est rythmée par les heures d’ouverture et de fermeture des principales places boursières. Un monde qui place le portefeuille sur le cœur, jusqu’à le cacher, où l’avoir a remplacé l’être, où la beauté ne sert qu’à la spéculation, où la vie de millions d’êtres est moins importante qu’une part de marché. 

Rendez-vous le 30 juin à Villepinte

Le combat que mène la résistance Iranienne est un combat de longue haleine. Il dure au moins depuis la chute forcée de Mohamed Mossadegh. On se rappelle d’ailleurs le rôle qu’a joué l’Occident dans ce renversement de régime, en 1954. Mais si certains états-majors semblent avoir enfin compris le sens de leurs erreurs d’alors, d’autres continuent de se fourvoyer en tentant de maintenir un accord mort-né, caduque dès la première seconde de son entrée en vigueur ; on parle de l’accord sur le nucléaire Iranien, validé par les Etats-Unis sous la pression Européenne, comme un dernier cadeau empoisonné de l’administration Obama aux entreprises Européennes et aux mollahs Iraniens. 

Empoisonné, parce qu’il était convenu dès le départ que les entreprises, Françaises et Allemandes en grande majorité, qui retourneraient s’implanter en Iran ne pourraient y rester très longtemps. D’ailleurs, Total et PSA ont annoncé récemment leur nouveau retrait de Téhéran. Empoisonné parce que les 150 milliards d’Euros débloqués lors de la signature du fameux accord n’ont pas servis à la population, mais à renforcer la répression et l’effort de guerre des mollahs dans la région. Empoisonné, parce que le message qu’il délivre est le suivant : les marchés sont plus importants que la vie.

Pour autant, les Iraniens ne cessent de se battre, avec une constance dans l’énergie déployée depuis des décennies qui n’a d’égal que la résilience dont ils font preuve à chaque coup de Trafalgar d’alliés de circonstances plus enclins à trouver leur propre intérêt qu’à réellement aider à sauver un peuple en souffrance. Avec des amis comme ceux-là, pas besoin d’ennemis diront certains. Mais la force du juste, c’est le temps, l’anticipation, la vision holistique à long, voire très long terme. Les justes ne combattent par pour jouir de la victoire sur un champ de bataille ou pour le plaisir de la destruction de l’ennemi. Non. Ils luttent pour une paix durable, tout en sachant que nombre d’entre eux ne goûteront peut-être jamais à ces jours de paix. Depuis les jeunesses Mossadeghiennes, au début des années 60, 3 générations d’Iraniens luttent, avec un seul but, un seul espoir, une seule revendication ; vivre libre !

Le combat est juste. Il ne demande que la paix, tous simplement

Une nouvelle fois donc, le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) organise son grand rallye à Paris. Une nouvelle fois, de nombreuses personnalités politiques du monde entier se rallieront à cette juste cause. Une cause qui devrait être défendue partout dans ce monde ; la vie avant le pouvoir, le cœur avant l’argent, la liberté des êtres avant celle des capitaux. 

Pourtant, il est encore temps de rejoindre le camp des justes. La grande manifestation du 30 juin prochain peut en être l’occasion. Les multiples manifestations du peuple dans les rues de plus de 140 villes Iraniennes depuis la fin de l’année 2017 commencent à paralyser définitivement le pays. La monarchie religieuse Iranienne se fissure. Les messages de panique de Javad Zarif et du guide suprême ne laissent aucune place au doute. La fin de l’accord signe la fin de l’économie de la terreur en Iran. Cette fin est très proche. Les pasdaran le savent et multiplient les provocations et les menaces, mais ils ne sont plus crédibles. Et plutôt que de tenter de rassurer les tyrans islamistes d’Iran, nos dirigeants Européens auraient tout à gagner à supporter ouvertement les aspirations légitimes d’un peuple plusieurs fois millénaire. Pour qu’enfin cesse la barbarie et s’installe la paix dans cette région du monde. Et qui sait ? Peut-être que l’exemple Iranien pourra servir à d’autres causes…


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16 réactions à cet article    


  • sls0 sls0 25 juin 2018 06:00

    Les mollahs ont aidé Mossadegh à arriver au pouvoir.

    La principale personne impliquée contre Mossadegh était Shaban Jafari qui s’est expatrié aux USA lors de la révolution car les mollahs lui en voulaient sérieusement.
    Ben oui, c’est pas tout d’écrire un article, un rapide coup d’oeil sur wikipedia suffit en 5 minutes de voir que c’est un article mensongé.

    L’auteur bosse pour les USA et il emploie Mossadegh comme exemple alors que les USA étaient contre lui.
    Il y en a qui ose tout, déformer l’histoire à ce point il faut le faire.
    L’auteur prend vraiment les lecteurs d’agoravox pour des neuneux.

    • Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2018 13:32
      @sls0

      Vous racontez n’importe quoi. Mossadegh, nationaliste et opposé à la mainmise des puissance étrangères sur l’Iran (ça lui coûtera cher !), partisan d’un régime laïc, très soucieux de l’amélioration de la condition sociale du peuple, reste une des grandes figures du patriotisme iranien, et on comprend aisément pourquoi.

      Je ne serais certainement pas d’accord avec toutes les composantes de l’opposition iranienne, et après la chute du régime de Khamenei, il y aura en Iran bien des batailles entre tant de tendances contradictoires, mais l’essentiel, pour l’instant, c’est de mettre fin au régime le plus pourri de la planète. Après cela, les Iraniens verront eux-mêmes comment mettre sur pied un régime qui, de toute façon, ne pourra pas être pire que l’actuel.

      Dans la Résistance des années 40, il y avait aussi bien une partie de la Cagoule (extrême droite) qui avait refusé le régime de Vichy que des communistes et des gens qui représentaient toutes les couleurs du spectre politique d’alors. L’erreur d’un certain nombre, comme Sartre, avait été de penser qu’une résistance organisée par un général conduirait forcément au fascisme. Genre d’idée simple, pour ne pas dire simpliste, qu’affectionnent les gens que la peur de l’avenir tétanise et qui n’ont jamais le courage de s’engager.

    • sls0 sls0 25 juin 2018 17:16

      @Christian Labrune
      C’est wikipedia qui dit m’importe quoi du fait que je m’en sers comme référence.

      Contrairement à vous je fais plus confiance à wikipedia qu’aux propagandistes US.

    • Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2018 18:15

      @sls0


      J’ai regardé en diagonale l’article sur Mossadegh, et je vois mal comment on en pourrait tirer les conclusions que vous produisez. Vous avez dû le lire encore plus vite que moi, parce qu’en « cinq minutes », on n’y peut rien comprendre.

      J’aime beaucoup cette phrase dans votre intervention :« L’auteur bosse pour les USA et il emploie Mossadegh comme exemple alors que les USA étaient contre lui ».

      Vous voulez dire, probablement, que l’auteur serait un agent de la CIA ? Etant donné mes positions favorables à l’Amérique actuelle et à Israël, à ce compte-là, je dois être aussi sur ce site un infiltré de la CIA et du Mossad. Et vous, qui soutenez implicitement le régime des ayatollahs, vous « travaillez » probablement pour le SVR de ses alliés russes ou, plus précisément encore, pour Vevak, la CIA des ayatollahs !

      Là où vous croyez découvrir une contradiction vous ne voyez en fait que le reflet du caractère tout à fait incohérent de vos affirmations téméraires. Elles sont dépourvues de tout fondement et c’est ce qui me faisait dire que vous écriviez n’importe quoi. Ce qui est plus grave encore que ces inconséquences, c’est la sympathie que vous paraissez éprouver pour un régime terroriste qui est aussi infect que celui de l’Allemagne du IIIe Reich, et dont les objectifs sont à peu près équivalents. Ce qui me consterne sur AgoraVox, c’est le nombre incroyable de citoyens vivant dans une démocratie et qui paraissent lui préférer, qui la Corée du nord, qui la Syrie du gentil Bachar el-Assad, qui la démocrature poutinienne. Tant d’aspirants au masochisme rassemblés sur un seul site, c’est bien inquiétant.

    • Zolko Zolko 25 juin 2018 10:41

      Article de propagande flagrante.


      • Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2018 19:13
        Article de propagande flagrante.
        ========================
        @Zolko
        Salauds d’iraniens, qui rêvent d’une liberté qu’ils n’ont pas encore quand nous rêvons, nous autres citoyens des démocraties, d’un régime bien sanguinaire comme celui du Califat, avec une bonne charia qui nous mettrait au pas, et la perspective d’être fouetté pour la moindre cigarette fumée en public ou le moindre jambon-beurre commandé au zinc, voire égorgé ou crucifié pour avoir écouté secrètement telle cantate de Jean-Sébastien Bach !

      • Zolko Zolko 26 juin 2018 12:15

        @Christian Labrune : ah tiens, voilà le sioniste de service.


      • Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2018 13:04

        Pour autant, les Iraniens ne cessent de se battre, avec une constance dans l’énergie déployée depuis des décennies qui n’a d’égal que la résilience dont ils font preuve à chaque coup de Trafalgar d’alliés de circonstances plus enclins à trouver leur propre intérêt qu’à réellement aider à sauver un peuple en souffrance.

        ======================================

        @Mazdak Teherani

        Le discours du « propre intérêt » qui commande la politique des Européens, et qui correspondrait à une sorte de realpolitik assez constante des états, quoique fort peu conforme à l’éthique, ne tient même plus debout en la circonstance. Comme vous le faites très justement remarquer, un certain nombre d’entreprises envisagent très sérieusement de se retirer de l’Iran des mollahs. C’est le cas de Total, de Peugeot (pourtant peu implanté en Amérique) et peut-être même d’Airbus. Ces groupes industriels font très peu de cas du soutien que prétendent leur apporter les Macron et Mogherini. Elles y perdront momentanément, mais moins à long terme qu’à rester sur place et à cautionner l’un des pires régimes que la planète ait connus depuis le nazisme.

        La politique européenne est d’une stupidité totalement incompréhensible. Sur ce site, un article de Spartacus rapportait il y a quelques semaines un propos de Zarif dont les media américains seuls s’étaient fait l’écho, disant à peu près : si nous n’avons pas le soutien des Européens, nous publierons les noms des diplomates dont nous avons payé la collaboration lors des accords de Vienne, et le montant des sommes qu’ils ont reçues. Je vais finir par croire que c’est vrai. On concevrait que de grandes entreprises capitalistes fissent pression sur un gouvernement - cela ne s’est que trop fait - pour qu’il réalise une politique conforme à leurs intérêts, mais ce ne sont évidemment ni Total ni Peugeot qui tiennent Macron par la barbichette.

        Aucune raison économique forte n’explique donc la politique actuelle de la plupart des gouvernements européens vis-à-vis de l’Iran. Une pareille obstination, comment l’expliquer ? Soutenir un pareil régime, qui tomberait très vite si les sanctions préconisées par l’Amérique étaient généralisées, c’est carrément criminel. Ou bien c’est de l’imbécillité pure et simple. Dans les deux cas, c’est accablant. L’Histoire jugera, et fort sévèrement.

        J’étais à la dernière manifestation des opposants iraniens qui avait eu lieu après des émeutes vite réprimées. Tous les Iraniens de Paris étaient là, qui ont piétiné au départ, comme moi, les immenses portraits de Rohani et de son Führer collés sur le bitume près de la place d’Iéna, mais dans une ville de deux millions d’habitants, très peu de Français avaient fait le déplacement. Le climat était lourd et triste. L’Iran, c’est loin, on s’en fout. Quand le perfectionnement du missile iranien mettra l’Europe à sa portée, peut-être qu’ils changeront d’avis, mais ce n’est même pas sûr. Le devenir de la France m’inquiète presque autant que celui de l’iran. D’un côté, la tyrannie vit ses dernières heures. De l’autre, la tyrannie de la Bêtise accroît son empire de jour en jour.


        • Mazdak Teherani Mazdak Teherani 25 juin 2018 18:02

          @Christian Labrune
          merci pour votre analyse éclairante de la situation iranienne. Je partage tout à fait votre avis : les Iraniens méritent mieux que les mollahs intégristes. Ce n’est pas parce qu’on s’oppose à leur dictature qu’on est à la solde des américains.


        • kalachnikov kalachnikov 25 juin 2018 18:07
          @ Mazdak Teherani

          Pour appuyer votre avis concernant les propos aveuglés de mr Labrune, j’ajouterai que ce n’est pas parce qu’on s’oppose à la dictature des mollahs intégristes qu’on est pour autant à la solde des sionistes ultra. On peut en effet le faire bénévolement.

        • Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2018 18:48
          Pour appuyer votre avis concernant les propos aveuglés de mr Labrune,
          =========================================
          @kalachnikov

          Je vous serais très obligé si vous consentiez à nous éclairer un peu sur cet aveuglement de M. Labrune. Vous voulez dire, probablement, qu’il a tort de soutenir l’opposition iranienne ? Qu’il n’a pas vraiment compris que la théocratie était ce qui avait pu arriver de mieux en Iran ? Qu’il y fait bon vivre et que vous préfèreriez être là-bas plutôt qu’en France ?

          Je me perds en conjonctures. Les choses ne peuvent pas être aussi simples, ce serait par trop idiot, mais mes faibles moyens, vous le voyez, ne me permettent pas d’appréhender vos raisons, lesquelles doivent être fort subtiles et hors de portée aussi pour beaucoup de lecteurs.

          Par ailleurs, c’est quoi, les « sionistes ultra » ? Il y a des sionistes, c’est-à-dire des gens qui veulent avoir une terre, mais quand ils l’ont -et ils l’ont désormais !-, ils s’en contentent. Ils pouvaient légitimement, en 67, annexer la Judée-Samarie et ils ne l’auront même pas fait. Ils occupaient la bande de Gaza, depuis la guerre des six jours. Personne ne les obligeait à la quitter et ils l’auront fait dès 2005. Pour moi, c’est une double sottise, mais peu importe.

          Cela ne se compare évidemment pas à la politique des ayatollahs : l’Iran est un vaste pays, 74 fois plus grand qu’Israël, mais qui ne leur suffit pas : il leur faut aussi mettre en oeuvre leurs milices terroristes pour étendre leur mainmise sur le Liban, la Syrie, l’Irak, le Yémen et la bande de Gaza. Ah, j’oubliais aussi : leur rêve, cent fois exprimé, particulièrement ces derniers temps, serait de « rayer Israël de la carte du temps ». Ca, c’est leur côté pacifiste.

          Alors, c’est quoi, le « sionisme ultra » ? Et en quoi consiste-t-elle, la cécité de mézigue ?

        • Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2018 18:54
          ERRATUM
          je me perds en conjEctures et non pas en conjonctures ! excuses.

        • kalachnikov kalachnikov 25 juin 2018 22:46
          @ Christian Labrune

          Ah, si cela importe, mon cher Christian. Pour vous, c’est effectivement une double sottise et s’il ne tenait qu’à vous... Et puisque cela ne vous contente pas, à vous, d’avoir une terre, serait-ce que vous voudriez toute la terre, Iran compris ? 

          J’espère avoir répondu à vos questions.

          (précisons que vous n’êtes ni juif, ni même israélien et qu’en tant qu’illuminé vous parlez en votre propre nom).




        • Christian Labrune Christian Labrune 26 juin 2018 19:53

          @Mazdak Teherani


          J’entendais hier soir que le Bazar de Téhéran était en grève et je voyais tout à l’heure des images de ses ruelles où toutes les échoppes étaient fermées. Le rial s’est effondré par rapport au dollar, et l’incurie administrative ajoute à la paralysie des échanges commerciaux. Les bazaris en ont ras-le-bol.

          Lors des derniers événements, quelques « spécialistes » de l’Iran, qui s’obligeaient visiblement à justifier la politique européenne, faisaient observer que les émeutes s’étaient développées un peu partout dans les régions, sans qu’il y eût une organisation pour diriger tout cela, et au lieu d’en tirer la conclusion que le pays était mûr pour une nouvelle révolution, ils opposaient cela aux événements qui avaient précédé la fin du précédent régime : tout était parti du Bazar, et des populations plus favorisées et cultivées de la capitale, mais elles paraissaient pour lors très en retrait par rapport aux événements.

          Eh bien, cette fois, je me demande ce qu’ils vont pouvoir raconter, nos « spécialistes » ! Le Bazar s’échauffe, qui a pu être si terrible pour le shah, et ceux qui brûlaient jusque dans les plus petites villes les portraits de Rohani et de Khamenei n’auront pas vraiment besoin qu’on leur explique longuement la situation pour se remettre en mouvement. Ecrivant cela, j’entends une journaliste d’origine iranienne expliquer que le pouvoir ne contrôle plus la situation. Peut-être qu’elle prend ses désirs pour des réalités, ce qui serait bien excusable, mais si ce n’était qu’une hypothèse, elle serait des plus vraisemblables.

          J’ose espérer quand même que les gouvernements européens n’enverront pas à Téhéran du matériel destiné au maintien de l’ordre, voire quelques divisions de gardes mobiles ou de CRS !

        • Christian Labrune Christian Labrune 26 juin 2018 20:08
          J’espère avoir répondu à vos questions.
          ===========================
          @kalachnikov

          Ce que vous écrivez est totalement incohérent et ne constitue pas même l’embryon d’une réponse.

          Je parlais d’Israël et de l’Iran, du point de vue de la géographie et de la politique. Je ne parlais pas de mon pays. Comme les Israéliens qui ne tiennent pas particulièrement à s’étendre, je me contente aisément des 643 801 kilomètres carrés du territoire français. Nous avons repris à l’Allemand l’Alsace et la Lorraine en 1918, et je n’en demande pas plus.

          Alors, c’est quoi, le « sionisme ultra » ? Et en quoi consiste-t-elle, la cécité de mézigue ? Tant que vous n’aurez pas répondu, ce sera toujours la même question.

        • Mazdak Teherani Mazdak Teherani 26 juin 2018 22:15

          @Christian Labrune
          Les grèves et les manifestations des commerçants des bazars de Téhéran ont reçu un large soutien des habitants dans différentes secteurs de la ville. Les manifestants qui étaient présents dans la plupart des rues centrales de Téhéran ont entonné : « Mort au dictateur » ; « mort à Khamenei » ; « mort au régime » ; « prenez garde au jour où nous serons armés » ; « réformateurs, conservateurs, le jeu est terminé. » Les grèves et manifestations se sont étendues à d’autres villes dont Bandar Abbas, Shahriar, Karaj, Kashan, Bandar Qeshm, Chiraz, Kermanshah et Machhad. Les jours des mollahs sont comptés...

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