SOS Méditerranée autorisée à intervenir dans nos écoles : elle est où, la laïcité ?
Les sympathiques "réfugiés" que nos collectivités vont prendre en charge : un "atout" qu'il faut promouvoir auprès des gamins des écoles ?
La nouvelle a fait réagir le rassemblement national au point que son site en lance une pétition. Car seule la "droite ultra" émet des réserves sur la question des pseudo-réfugiés qui déferlent sur nos côtes depuis quelques années.
L'association SOS Méditerranée vient de se voir renouveler son agrément pour intervenir dans les établissements scolaires. M.Blanquer a estimé que son projet "civique" allait dans le sens du "vivre-ensemble" et de l'éducation à l'humanisme. Fondée en 2015 par quelques bobos qui ont décidé de tromper leur ennui en portant secours aux naufragés de la Méditerranée suite au conflit lybien, cette organisation est présidée par le dénommé François Vallat, et compte dix-neufs permanents, ainsi qu'un budget de... quatre millions d'euros (excusez du peu) ! Wikipédia nous explique qu'il s'agit de dons "privés" à 93% (donc près de 300000 euros de financement public direct). Dans un contexte où l'immense majorité des français est lassée de subir dans leur quotidien les incivilités et l'agressivité de ces "migrants" qui ne sont pas là pour s'intégrer, dans leur large majorité, on peut se demander qui sont les donateurs individuels ?
Réponse partielle : une bonne quinzaine de députés du PS et du parti radical de gauche, notamment. Des élus qui reversent le pognon du contribuable à des individus qui forcent nos frontières au mépris des lois sur l'immigration. Tous les sondages le montrent, nos concitoyens ne veulent pas entretenir ces faux-réfugiés équipés de smartphones à 700 euros qui trainent dans les rues des grandes villes. Avez-vous vu des gilets jaunes exiger la régularisation de ces clandestins ? Connaissez-vous des gens issus des classes populaires et "moyennes" soutenir l'installation de ces gugusses alors que la crise du logement et le chômage frappent dur en France, sans parler des ravages du communautarisme dans nos cités ?
Un discours "xénophobe" ? Votre narrateur a enseigné et vécu durant des années en banlieue parisienne, et il ne recevra aucune leçon de morale de la part des sophistes de la gaucho bobo échappés de leur secte maçonnique. Il est consternant d'enseigner la "diversité", l'accueil de toute la misère du monde ainsi que le rejet de la légalité quand le bon sens serait d'inculquer le patriotisme, l'intégration par une culture commune et l'esprit de résistance.
Ainsi, 17000 élèves de primaire et du secondaire auraient reçu la bonne parole de nos bénévoles depuis décembre 2015. Des concerts et des projections de films sont organisés. On imagine nos bobos expliquer à des gosses dont les parents (parfois "gilets jaunes") subissent l'explosion du coût de la vie, le matraquage fiscal, la précarité pour beaucoup et les difficultés à se soigner vue la pénurie de médecins, qu'il est indispensable d'aider ces pauvres bougres qui traversent la Méditerranée pour venir profiter de nos allocations, logements et soins médicaux gratuits. On voit d'ici ces tartuffes faire le rapprochement entre nos quelques lois anti-clandestins et celles du régime de Vichy : détournement de l'histoire, décontextualisation, victimisation... avec le baratin sur le passé colonial de la France en prime. Sidérant !
De plus, demandons-nous où est la laicité, puisque SOS "migrants" est parti-pris dans une question politique ? Si des enseignants souhaitent organiser un débat sur l'immigration, alors il faut convier tous les points de vue à s'exprimer dans les établissements scolaires. L'association d'ultra-droite Génération identitaire, dont vingt-deux militants sont pousuivis pour avoir occupé pacifiquement les locaux de leurs adversaires à Marseille, recevra-t-elle elle-aussi un agrément pour expliquer à nos jeunes écoliers son point de vue sur la question migratoire ? Ce serait pourtant la logique même...
Enfin, il ne faut pas oublier un élément d'importance. Si ces "humanistes" entrent dans les écoles et les collèges, c'est parce que des enseignants les y invitent. Les mêmes irresponsables, souvent militants syndicaux (Snes notamment), qui viendront ensuite pleurer face à l'absence de volonté d'intégration de certains élèves et la baisse du niveau général dans des établissements qui recueillent toute la misère du monde dans certaines villes. Il y a quelques temps, votre narrateur croisait un collègue prof de lettres qui se vantait d'avoir immatriculé sa voiture neuve avec un "93", en solidarité avec les "discriminations que vivent ses habitants" (authentique !). Monsieur habite un pavillon cossu dans une commune paisible de l'Eure-et-Loir, et enseigne dans une zone pavillonnaire. Je les ai demandé pourquoi il ne demandait pas une affectation à Bobigny, où il pourrait vivre pleinement sa passion pour le communautarisme, malgré les risques pour sa belle automobile ? Pas de réponse de sa part. Comme tous les biens-pensants, aider moralement les "migrants" ne mange pas de pain. D'autres lui conseilleraient d'accueillir ces naufragés dans sa maison, plutôt que de les imposer comme voisin de pallier aux ouvriers des HLM... Un système de donneurs de leçons, hypocrites, incapables de s'interroger sur les vraies causes de l'immigration encouragée pour le dumping-social (et c'est Marx qui en parlait dans le capital, avant les méchants "fachos"), qui ont voté pour ceux qui ont déclenché les guerres au Proche-Orient, en Lybie et encourager la corruption en Afrique noire. SOS Méditerranée est l'exemple-type de cette logique. Puisque l'esprit de résistance doit être enseigné dans les établissement scolaires, encourageons nos profs a appliqué ce concept en refusant de se plier aux pressions des mandarins syndiqués et autres faux-jetons d'ultra-gauche, en refusant de travailler avec ce genre d'association. C'est autant une question de choix pédagogique et de choix de société, l'avenir de la société française en dépend...
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