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Confinement général : l’escroquerie majuscule et les trahisons de Macron resteront-elles impunies ?

A quelque chose malheur est bon. La gigantesque escroquerie du confinement général a un mérite indéniable. Elle met en évidence, telles quelles ou en raccourci, les causes profondes de l'effondrement que connaît la France depuis des décennies. Trahison et mensonges de l'Etat, neutralisation de tous les contre-pouvoirs, complicité de la prétendue opposition, médias dévoyés et aux ordres, cécité ou courtisanerie des soi-disant intellectuels... Avec les Français dans le rôle des dindons de la farce. Après des décennies d'un interminable chemin de croix, la plus vieille nation d'Europe succombera-t-elle à ce énième coup de boutoir qu'est le macronisme ? Ou bien, au contraire, puisera-t-elle dans cette imposture devenue flagrante le moyen d'une rupture radicale avec le Système ? Et y trouvera-t-elle, du même coup, la source d'une résurrection ? Les paris sont ouverts...

On n'arrête pas une arnaque qui marche. La paralysie du Pays était censée prendre fin le 11 mai. "En même temps", pendant trois semaines, le confinement général a continué de façon rampante : interdiction de se déplacer au delà de 100 km, café, bars, restaurants, théâtres, cinémas maintenus fermés à travers tout le pays, plages et jardins publics interdits, festivals annulés pendant tout l'été (alors même que la maladie aura très probablement disparu d'ici là), sortie du territoire défendue jusqu'à nouvel ordre comme jadis en Union Soviétique... 

Ainsi la France a poursuivi son confinement. Selon le voeu de Macron et de Philippe qui se distribuent les rôles, tour à tour gentil et méchant flic, comme larrons en foire. Mais aussi, après deux mois de bourrage de crâne politico-médiatique, du fait de la psychose désormais répandue et profondément enracinée dans une partie de la population. 

Dans ce contexte calamiteux de cynisme gouvernemental et de folie collective fabriquée, il est bon de s'abstraire du délire collectif, afin de tirer un bilan provisoire de la catastrophe du confinement général. En identifiant ses responsables et ses causes. Dans l'espoir, sans doute un peu naïf, que pareil désastre ne se reproduise pas.

 

Le confinement général, stade suprême de l'absurdité économico-politique et chef-d'oeuvre de machiavélisme

Avant toute chose, il convient de rappeler que le confinement général était une absolue aberration au regard des caractéristiques du Covid-19. Ces caractéristiques sont au nombre de trois : létalité nulle ou très faible selon les tranches d'âge pour les moins de 65 ans, grande dangerosité pour les personnes âgées voire très âgées et souffrant de diverse pathologies, contagiosité moyenne, c'est-à-dire à peu près équivalente à celle de la grippe.

Précisons que, n'en déplaise à Edouard Philippe, nous ne sommes pas plus malins après coup. Dès le début du confinement général, avec d'autres observateurs sur la Toile, notamment dans les colonnes d'AgoraVox, nous avons dénoncé l'absurdité de confiner toute la population. Si lors de son apparition à Wuhan (Chine) en décembre 2019, cette maladie nouvelle pouvait inspirer les pires craintes en termes de contagiosité et de létalité, elle se révélait dès février 2020, avec près de trois mois de recul et d'études, comme le plus souvent bénigne pour les moins 65 ans, à de rarissimes exceptions près. Cette information était alors facilement disponible. Il est donc exclu que le gouvernement n'en ait pas eu connaissance. Macron décréta néanmoins le confinement général à partir du 17 mars.

Confiner les enfants, les adolescents et les adultes en bonne santé (jusqu'à 65 ans) était une ineptie. Cette décision, en plus d'être inappropriée, était potentiellement contre-productive, à divers titres : contamination accrue au sein des familles du fait de la claustration, défaut d'immunisation collective exposant à un risque de rebond de la maladie, etc. 

De surcroît, le confinement général entraînait directement trois conséquences extrêmement graves : la suspension des libertés publiques pourtant réputées sacrées, le torpillage de pans entiers de l'économie avec, à court, moyen et long terme, des malheurs individuels et collectifs en cascade, et pour finir l'explosion sans précédent de la dette de l'Etat. Sans parler des violences intra-familiales, des suicides et du blocage des services hospitaliers concernant les autres maladies, notamment les dépistages de cancer, par exemple.

Soulignons, comme nous l'avons dit à l'époque, que si ce Coronavirus avait été extraordinairement meurtrier, comme dans le film de Peter Soderbergh, Contagion (2011), le confinement général aurait été justifié. 

Soulignons également que, autant le confinement général était totalement inapproprié et délétère, autant il eût été pertinent de procéder à un confinement ciblé des personnes à risque. A savoir celui des gens âgés, immunudéprimés ou déjà frappés par diverses pathologies. Là encore, nous ne sommes pas plus malins après coup : cela, avec d'autres, nous l'avons également dit dès le mois de mars 2020 notamment sur AgoraVox. 

Macron aurait donc pu, et dû, s'en tenir à ce confinement ciblé. 

En effet, cette stratégie aurait tout autant que le confinement général permis d'éviter l'engorgement des services d'urgence des hôpitaux, en empêchant la contamination des plus fragiles. 

D'autre part, sur un plan plus cynique, le confinement ciblé aurait aussi permis à Macron, tout autant que le confinement général, de tenter de se dédouaner de ses multiples turpitudes, notamment de ses responsabilités accablantes dans le démantèlement de l'hôpital public organisé au nom de la doctrine ultralibérale dont il est le serviteur zélé.

Or, bizarrement, Macron opta pour le confinement général.

La question se pose : ce choix étant à la fois absurde et dévastateur pour le Pays, pourquoi l'avoir fait ? Que permettait donc spécifiquement le confinement général que ne permettait pas le confinement ciblé ?

Bien sûr, il est tentant d'expliquer ce choix par l'incompétence du président de la République. Une incompétence qui, compte tenu de ses conséquences, devrait conduire à destituer Macron, puisqu'il se serait ainsi révélé incapable d'exercer dignement le pouvoir. En effet, gouverner c'est prévoir, et Macron a démontré qu'il en était incapable. Mais gouverner, c'est aussi, lorsqu'on n'a pas prévu, être capable de faire face à une situation. C'est-à-dire de l'évaluer avec justesse et d'y répondre au mieux. Cela encore, Macron s'en est révélé incapable.

Au demeurant, cette thèse du Macron incompétent est douteuse. On l'a dit, il est difficilement concevable que Macron n'ait pas disposé des informations dont nous disposions.

Par conséquent, à moins de supposer que le président de la République est un imbécile, il convient d'envisager cette cruelle possibilité : le confinement général, en torpillant de l'économie et en mettant le Pays sous contrôle (ce que n'aurait pas permis le confinement ciblé des personnes vulnérables...), aurait été conçu par Macron, et utilisé par lui, comme un brise-glace.

Constatons en effet que le blocage du Pays a permis de faire d'une pierre deux coups, en déjouant les obstacles qui jusque-là empêchaient Macron de mener sa politique ultralibérale. D'abord en faisant sauter le verrou des Gilets Jaunes, plus généralement celui du le peuple, et plus généralement encore celui de tous les contre-pouvoirs réels ou supposés. Ensuite, par le torpillage économique, de justifier une longue série de mesures inacceptables en temps normal.

Moins de dix jours après le début du confinement général, les 25 ordonnances du 26 mars 2020, qui ont opéré une destruction jamais vue du Code du travail, ont rapidement apporté la mise en évidence de ces deux calculs conjoints.

 

Et la marionnette des ploutocrates tenta de noyer le poisson

Tout au long du confinement général, le peuple fut divisé en deux parties d'ailleurs d'importance numérique inégale. 

D'une part, les dupes, croyant dur comme fer en l'extrême dangerosité du virus et à la nécessité du confinement général. Ceux-ci représentaient l'écrasante majorité des Français, vraisemblablement plus de 90% de la population.

D'autre part les sceptiques, très minoritaires, convaincus que le virus n'était guère plus dangereux qu'une grosse grippe et que le confinement général n'était donc pas la bonne réponse face à ce péril somme toute assez banal au regard des épidémies de grippe qui tuent en moyenne 10.000 personnes chaque année en France.

Malheureusement pour le gouvernement, qu'ils appartiennent à l'une ou l'autre de ces catégories, l'écrasante majorité des Français a fini par se retourner contre Macron. Beaucoup se mirent même à le prendre en horreur, les appels au lynchage et à la remise en service de la guillotine se multipliant sur les réseaux sociaux.

Bien que conçu, entre autres, pour enfouir les turpitudes de Macron, démolisseur de l'hôpital public, l'aberrant confinement général a surtout mis en lumière l'incroyable nocivité, après trois ans de règne, du chef de l'Etat et de son gouvernement dirigé par Edouard Philippe. 

Tout le monde l'a vu : le démantèlement de l'hôpital public, encore aggravé sous le mandat de Macron, a rendu le pays incapable de faire face à un important choc sanitaire. Le phénomène n'est pas nouveau, comme le rappelait Christophe Prudhomme, porte-parole des urgentistes de France. Depuis de nombreuses années, en cas de grosse grippe, à la moindre canicule, les hôpitaux sont submergés, les lits, les équipements et le matériel manquent, les personnels, d'ailleurs très mal payés, se révèlent trop peu nombreux. Depuis une quinzaine d'années, les soignants tirent la sonnette d'alarme. En vain. Car pour toute réponse, les gouvernements successifs (Chirac, Sarkozy, Hollande...) ont poursuivi inexorablement leur marche ultralibérale, au mépris des aspirations du peuple attaché à la Santé publique mais savamment neutralisé à chaque élection. Dernier avatar en date de cette politique insensée, Macron, qui a ajouté à cette ligne antisociale la violence de la répression. 

Lors de la campagne présidentielle de 2017, le candidat En Marche appela poétiquement, l'air compassé, des trémolos dans la voix, à "Penser Printemps". Soutenu par tous les médias, le chouchou de l'oligarchie et de la Finance prédatrice bénéficia des différents complots tramés par le pouvoir hollandais en sa faveur (même si, comme chacun sait, les complots n'existent pas...), et mentit cyniquement pour amadouer les électeurs. Sitôt élu, du reste par défaut face à Le Pen, la marionnette des ploutocrates ne tarda pas à tomber le masque. 

Aux antipodes du "Printemps" fallacieusement promis, Macron président usa sans vergogne de la violence policière contre le petit peuple des Gilets Jaunes soulevés contre ses trahisons, ses mensonges, ses abus de pouvoir et ce qu'il faut bien appeler ses tentatives d'extorsion au détriment des classes moyennes et des plus démunis. Puis Jupiter joua des mêmes gaz lacrymogènes, des mêmes matraques et des mêmes tirs de LBD contre les personnels soignants, eux aussi paupérisés, révoltés contre sa démolition de l'hôpital public. 

Au bout du chemin, lorsque le Covid-19 pointa le bout de son nez viral, pour noyer le poisson de ses écrasantes responsabilités, l'habile Macron, après avoir invité les Français à sortir de chez eux, à aller au théâtre et au restaurant comme si de rien n'était, après avoir maintenu contre toute raison le premier tour des municipales (15 mars), décréta, du jour au lendemain (16-17 mars), le confinement général. 

Un choix complètement inapproprié, on ne le répétera jamais assez, mais qui avait le mérite de faire croire que l'Elysée se souciait soudain de la Santé publique et prenait le taureau par les cornes. Une tromperie de plus dans une liste déjà longue...

Mais le pire était à venir.

 

Le désastre économique au service de l'ultralibéralisme

Macron a plus d'un tour dans son sac. Le confinement général, en entraînant le torpillage de l'économie, permet, paradoxalement, l'extension du domaine du capitalisme.

Le confinement général, commencé le 17 mars, poursuivi de manière rampante mais toujours dévastatrice depuis le 11 mai, a porté et continue de porter un coup sans précédent à l'économie du Pays. Il a accru et continue d'accroître vertigineusement, en un temps record, une dette de l'Etat déjà écrasante dès avant le confinement (2400 milliards d'euros). 

Celui qui tient lieu de président de la République accuse le Covid-19 d'être responsable du désastre économique, alors que c'est l'inepte confinement général, voulu par lui, qui l'a provoqué. 

Ayant, par ce tour de passe-passe, imputé au virus sa propre responsabilité pourtant directe et patente, Macron peut dès lors tirer argument de la catastrophe économique pour justifier toutes les régressions sociales. Les 25 ordonnances du 26 mars, on l'a vu, en ont donné un avant-goût.

A en croire les déclarations gouvernementales, la crise économique à venir exigera des Français bien d'autres efforts et sacrifices supplémentaires.

Autrement dit, alors qu'il est censé être, d'après la Constitution, le protecteur du peuple et de l'Etat, Macron s'en fait le fossoyeur. 

Sous cet angle machiavélique, le choix macronien du confinement général, absurde et incompréhensible aux yeux des naïfs, relevant de l'incompétence aux yeux des autres, trouverait soudain son âpre logique. 

A la lumière de cette sidérante machination macronienne, la crédulité du peuple, qui a consenti au désastreux confinement général et l'a même acclamé, mérite qu'on s'y attarde un instant.

 

Crédulité du peuple, le non-sens et le bon sens

Lors de sa conférence de presse au monde de la Culture, le 6 mai 2020, alors que le Pays endurait le calvaire du confinement général, Macron apparut étrangement euphorique. En bras de chemise, survolté, manifestement insensible à l'extrême gravité des circonstances, se trifouillant les cheveux et gesticulant, le président de la République appela à descendre comme "Robinson" "dans la cale" pour chercher "du fromage et du jambon" puis à "enfourcher le tigre" du Covid-19. Au sommet de son numéro d'équilibriste halluciné, il osa rendre hommage au "génie français" caractérisé, selon lui, par le "bon sens"... A l'heure où les Français, hypnotisés par ses mensonges, adhéraient au non-sens absolu du confinement général, mesure à la fois inepte et aux conséquences dramatiques, l'hommage macronien ressemblait à une sidérante provocation. Au demeurant, à défaut de l'excuser, on peut comprendre que la crédulité des masses aient pu inspirer à Macron cette saillie démagogique furieusement ironique. D'ailleurs, à plusieurs reprises, lors de cette conférence de presse, le ministre de la Culture, à ses côtés, et lui-même semblèrent à deux doigts d'éclater de rire...

Comme dans de nombreux pays, les masses ont démontré en France une étonnante propension à être dupes des contrevérités les plus grossières, pourvu que les menteurs parviennent à occuper tout le terrain de l'information "mainstream". Ce qu'on appelle la puissance de la propagande. Avec cette spécificité : ici, la propagande s'est déployée en seulement quelques semaines. En dépit des évidences, malgré les alertes lancées en grand nombre sur les réseaux sociaux, sur les sites d'information alternative et sur Youtube, cette propagande mensongère n'a jamais pu être réellement enrayée. Pendant deux mois, pour aussi évidente que soit cette "fake news", le mythe d'un virus extraordinairement meurtrier a fait florès sans inspirer le moindre doute aux moutons de Panurge.

Dans les régimes totalitaires du passé, fascisme italien, nazisme allemand, stalinisme russe, la population avait une excuse : elle était manipulée au prix d'années, parfois de décennies de bourrage de crâne, doublées de l'élimination physique des opposants dans le cadre d'une sanglante et très tâtillonne répression politique. Dans le cas du macronisme français, la population a été lobotomisée en trois coups de cuillère à pot, presque instantanément, avec l'aide des médias de masse et la complicité de l'Opposition.

La classe politique tout entière s'est comportée en complice de Macron. De Marine Le Pen (qui réclama à cor et à cri le confinement général, puis demanda qu'il soit "plus strict") à Jean-Luc Mélenchon (qui hurla au danger du déconfinement selon lui trop rapide, après deux mois de blocage désastreux du pays...). Tous ainsi jouèrent sans anicroche ni exception le couplet du "c'est dur mais nécessaire". En somme, la seule opposition au confinement macronien fut conjuguée sur le mode de la surenchère...

Médias, Opposition mais aussi intellectuels portent une lourde responsabilité dans l'escroquerie du confinement général.

 

L'étrange silence puis la cécité des "intellectuels"

Assourdissant fut le silence puis la cécité de la totalité des intellectuels, ou de ce qui en tient lieu.

Les prétendus intellectuels, remarquablement silencieux pendant de nombreuses semaines (démontrant par là même leur inutilité puisqu'ils ne servaient à rien au moment où on aurait eu le plus besoin d'eux...), ont tout de même fini par refaire leur apparition.

Dans un monde politico-médiatique ayant perdu tout sens commun, il a suffi qu'André Comte-Sponville rappelle deux ou trois évidences pour défrayer la chronique : le virus, expliqua le philosophe, ne présentait pas un danger vital pour la société, puisqu'il épargnait, sauf rarissimes exceptions, les enfants et les jeunes et ne tuait principalement que les vieux voire très vieux malades ; il souligna ensuite l'importance de la liberté pourtant détruite d'un cœur léger par Macron avec l'approbation la presse unanime. Mais aussitôt, le même Comte-Sponville s'empressa de préciser qu'il ne remettait pas en cause le confinement général. Sans se demander, bien entendu, s'il était cohérent avec lui-même... 

Phénomène identique chez Emmanuel Todd, sorti de son assourdissant silence le 27 avril, dans un entretien à L'Express. Enfonçant rageusement des portes ouvertes, le démographe-historien accusa le Système d'innombrables manquements, notamment d'avoir détruit l'hôpital public. Il fustigea l'énarchie et Macron, et appela à un jugement des responsables, à leur condamnation à la prison et à de lourdes amendes... Mais il ne remit pas en cause, lui non plus, le bien-fondé du confinement général. Au contraire, il l'approuva en invoquant son grand âge (69 ans). Etrange manière, pour un intellectuel, d'assumer crânement de voir les choses à l'aune de son seul nombril et du tout petit bout de sa lorgnette... 

Michel Onfray, quant à lui, s'il accumula contre Macron de multiples diatribes dès le début du confinement général, s'abstint lui aussi d'en contester la pertinence, manifestement trop content d'y trouver l'illustration des inéluctables conséquences des agissements des "maastrichiens"... 

Nous pourrions multiplier les exemples, jusqu'à l'acteur Vincent Lindon qui, dans une charge au vitriol contre Macron, ne songea néanmoins jamais, lui non plus, à mettre en cause le confinement général...

Or ce confinement général n'avait rien d'inéluctable. Mais ces beaux esprits, lorsqu'ils n'étaient pas complètement dupes, estimaient sans doute que le dire eût brouillé leur message aux yeux du bas peuple jugé trop bête pour comprendre que les multiples turpitudes du Système n'étaient en rien atténuées par le fait que ce virus n'était pas la nouvelle peste noire annoncée...

 

Les médias "mainstream", usines à "fake news"

Encore plus dévoyés et nocifs que les intellectuels, les médias "mainstream" martelèrent à longueur de journée, pendant deux mois, que la maladie était extraordinairement contagieuse et meurtrière. Seuls Marc Menant et Eric Zemmour, dans Face à l'Info sur CNews, dénoncèrent cette volonté manifeste, contre toute raison, de semer la panique dans la population, pour la convaincre du bien-fondé d'un confinement général aux conséquences économiques et sociales aussi nombreuses que désastreuses. Bien seul parmi les titres de la presse écrite et audiovisuelle, Le Parisien annonça dès le mois de mars qu'en Italie, la moyenne d'âge des victimes du Covid-19 tournait autour de 80 ans et que la plupart des morts souffraient de multiples et graves pathologies annexes.

Dans le reste des journaux, télévisions et radios, il fallut attendre le 28 avril, soit un mois et demi après le début du confinement général, pour voir enfin affleurer les premiers doutes. 

Dans l'émission de David Pujadas sur LCI, le 27 avril 2020, les chiffres mensongers et terrorisants répandus depuis le début de confinement général furent ainsi qualifiés benoîtement "d'idées fausses". Evidemment, Pujadas se garda bien d'indiquer que les informations sur la contagiosité et la létalité du virus, bien en deçà de l'alarmisme médiatique, étaient connues dès le mois de février. De même, Pujadas s'abstint d'interroger la pertinence du confinement général, pourtant profondément mise à mal par ses "révélations". 

Le lendemain, 28 avril, ce fut au tour du journaliste de Libération, Jean Quatremer, de reprendre sur son blog les arguments qui circulaient depuis quarante-cinq jours sur Internet. Mieux vaut tard que jamais...

Est-il besoin de préciser que ces rares exceptions furent sans lendemain, et que le ronron tranquille de la terreur continua son entreprise d'intoxication des masses au service du confinement général voulu par Macron ?

Albert Londres disait que le métier de journaliste consistait à porter "la plume dans la plaie". Aujourd'hui, être journaliste consiste, au mieux, à pratiquer l'art du "jusqu'où ne pas aller trop loin". Quand ce n'est pas, le plus souvent, d'être purement et simplement un serviteur des menteries et des manipulations du pouvoir d'Etat.

Pas davantage la voix des rares médecins, professeurs épidémiologues pourtant reconnus pour certains mondialement, dont le Pr Didier Raoult, ne permit de ramener les lumières de la raison dans cette immense usine à "fake news" qu'est devenue l'information "mainstream". Certains des plus grands médecins de France eurent beau expliquer, chiffres et études à l'appui, que sans être une grippette, le virus n'était pas non plus la peste du Moyen-Âge, ils ne furent pas entendus. Les médias et le gouvernement, par un battage 24h sur 24, continuèrent à répéter que le virus pouvait frapper n'importe qui à n'importe quel âge, et provoquer une hécatombe dans la population entière.

Le gag suprême étant que dans ce déferlement de fausses informations délibérément manipulatrices, Macron et son gouvernement trouvèrent le moyen, notamment par la voix de l'inénarrable Sibeth Ndiaye, puis par la Loi Avia, de se poser en garants de la Vérité. Ainsi les réseaux sociaux furent mis au banc des accusés, alors qu'ils étaient devenus, dans les faits, l'ultime refuge de la vérité informative. Alors que le gouvernement, avec l'aide de ses relais médiatiques, se révélait jour après jour comme le plus grand falsificateur de France, il créa la page "Désinfox Coronavirus", présentée comme un rempart suprême contre les fausses nouvelles. On croyait rêver...

Mais le gouvernement et les médias ne se contentèrent pas de mettre le mensonge au service de la terreur collective. Il en usèrent aussi pour empêcher la diffusion et l'utilisation du seul traitement efficace connu contre le Covid-19 : le protocole Raoult.

Ayant annoncé que le traitement à l'hydroxychloroquine-azithromycine permettait, pour 10 euros, de soigner les malades, le Pr Didier Raoult fit l'objet d'une hallucinante campagne de dénigrement, manifestement orchestrée depuis l'Elysée devenu l'allié numéro 1 des Labos dans leur entreprise de pillage de la Sécurité sociale. 

 

L'arbre du colossal scandale de la Chloroquine et la forêt du pillage de la Sécu

Nous touchons ici à ce qui est, sinon le plus grand scandale, sans doute le plus dangereux à terme pour Macron : avoir interdit l'usage du protocole Raoult, à savoir de l'hydroxychloroquine-azithromycine, préconisé par le grand épidémiologue dès le début du confinement général. Il est à craindre que cette interdiction décrétée sous la houlette de Macron entraîna la mort de centaines et plus probablement de milliers de Français. Elle permit également, en l'absence officielle de traitement efficace, de justifier la poursuite du désastreux confinement général.

Macron a signé, par là même, sa collusion avec les laboratoires pharmaceutiques, lobby puissant et corrupteur résumé sous le nom de Big Pharma.

Comment Macron, dont tout laisse à penser qu'il a décidé du confinement pour, entre autres calculs, se protéger des procès en irresponsabilité notamment touchant au démantèlement de l'hôpital public, a-t-il pu jusqu'au bout s'opposer à l'hydroxychloroquine-azithromycine ? Lui et Philippe, si soucieux de leur image et de se prémunir contre des risques de procès, comment ont-ils pu s'engager si gaillardement dans une voie qui leur faisait prêter le flanc à un potentiel procès retentissant et dévastateur ?

Un réponse pourrait bien finir par s'imposer : en faisant le jeu des laboratoires pharmaceutiques, Macron et Philippe s'inscrivaient dans le sillage de tous leurs prédécesseurs, eux-mêmes au service du Système. 

Par conséquent, en interdisant la Chloroquine, en accomplissant les volontés du Système dont ils sont à la fois les pantins et les derniers avatars, Macron et Philippe étaient assurés d'être soutenus dans cette voie par le même Système. Impunité garantie, tout ce petit monde se tenant par la barbichette, embarqué sur le même radeau de la Méduse.

En interdisant le protocole Raoult, non seulement Macron et Philippe ne risquaient donc rien, mais, de surcroît, ils s'assuraient du soutien indéfectible de leurs maîtres pour service rendu.

 

Extension du domaine du capitalisme : l'Etat protecteur du peuple transformé en complice des prédateurs

Au lieu de protéger les Français et les intérêts supérieurs de la Nation, les gouvernements successifs, Macron en particulier et de manière caricaturale, les bradent, les liquident, les écrasent. 

Au lieu de protéger la Sécurité Sociale contre les appétits des Labos, les gouvernements, Macron en particulier, aident à la transformer en vache à lait de Big Pharma. 

Au bout du pillage, au bout du festin de goinfrerie, l'addition est et sera réglée par le peuple.

Mieux encore, à force de traire à outrance la vache à lait, à force de piller la poule aux oeufs d'or, petit à petit, d'érosion en érosion, on conduit ainsi la Sécu à la faillite, et à sa disparition. 

Un naufrage qui est, en réalité, le deuxième étage de la fusée ultralibérale dont Macron est le pilote provisoire à la tête du vaisseau France en perdition délibérée. 

Explication : la Sécurité sociale disparue, ou réduite comme peau de Chagrin (ce qui revient à peu près au même...), les mutuelles privées sont appelées à prendre le relais. 

Autrement dit, l'étiolement ou la mort de la Sécu ouvrent la porte à la privatisation de la Sécu, à l'extension du domaine du capitalisme prédateur sur ces immenses terres hautement lucratives que constitue la santé publique. 

Tel est le calcul extraordinairement retors des pillards : dans un premier temps, le siphonnage des caisses de la Sécu engraisse les Labos, notamment états-uniens. Puis, dans un deuxième temps, la faillite de la Sécu ainsi provoquée rend finalement possible le remplacement de ladite Sécu par les mutuelles privées derrière lesquelles se tiennent embusqués les fonds de pension, à nouveau états-uniens. 

A l'issue de cette double opération, le Young Leader Macron pourra recevoir, de la main de ses amis de Black Rock et compagnie, une médaille de champion du monde pour bons et loyaux services. Et pourquoi pas, un poste à gros jetons au conseil d'administration pour le restant de ses jours...

 

Macron, nouveau Néron et joueur de flûte de Hamelin

Si Macron avait voulu mettre la France et son peuple à genoux, il ne s'y serait pas pris autrement qu'avec le confinement général.

En apparence maladroit ou absurde, le confinement général est en réalité le puissant levier, le pied de biche requis pour ouvrir une porte blindée, jusque-là bouclée à triple tour.

Dans ce rôle de démolisseur et d'hypnotiseur, Macron peut faire penser à deux personnages sortis du mythe historique ou de la légende : l'empereur Néron et le joueur de flûte de Hamelin.

Depuis deux mille ans, une rumeur persistante accuse l'empereur Néron d'avoir incendié Rome pour la rebâtir à son goût. D'aucuns affirment même que celui qui se prenait pour un immense poète joua de la lyre en contemplant la ville en flammes. En l'an 2020, Macron agit-il en nouveau Néron ? Macron aime lui aussi à convoquer les muses ("Au moment où l'année tourne sur ses gonds, quand les arbres font dentelle, il faut penser Printemps !", hululait-il en 2017) pour les mettre au service de la destruction implacable de "l'ancien monde". Afin d'en construire un nouveau, plus conforme à ses vues : abolition du code du travail au profit de l'ultralibéralisme, casse des services publics, démantèlement de l'Hôpital, de la Sécu, de l'Ecole au profit des intérêts privés avides de nouveaux secteurs d'investissement. Comme Néron détruisit Rome par le feu, pour la rebâtir à son goût, Macron détruit la France par le confinement général, pour la rebâtir à son goût ultralibéral.

Autre personnage, le joueur de flûte de Hamelin. Ce sombre héros d'un conte des frères Grimm, subjuguait les rats aussi bien que les enfants. Charmant les uns et les autres, il les entraîna tous vers le fleuve Weser, où ils plongèrent les uns derrière les autres et se noyèrent, comme les moutons de Panurge décrits par Rabelais. La ville de Hamelin fut ainsi sauvée de la peste, puis vidée de ses enfants. Macron, joueur de flûte, entraîne les rats, les sans-dents, les gens qui ne sont rien, les naïfs, les crédules, tous les empêcheurs de libéraliser à tout-va, par la mélopée du confinement général, vers l'abîme du naufrage économique. Pour débarrasser la cité France de la peste sociale. Au profit du Printemps ultralibéral, saison merveilleuse attendue par ses maîtres et amis ploutocrates. Ces premiers de cordée pourront enfin mettre la main sur les terres jusque-là scandaleusement sanctuarisées par l'Etat, pour s'en mettre plein les poches et démultiplier vertigineusement leurs profits. Vers l'infini et au-delà.

Le confinement général ayant servi de fulgurant brise-glace.

 

Quelle issue pour l'une des plus grandes escroqueries de l'histoire de France ?

Dans tous les pays du monde, la haute trahison fait partie des crimes suprêmes. Elle vaut à ceux qui s'y livrent, lorsqu'ils se font prendre, les plus sévères sanctions : condamnation à la peine capitale, prison à perpétuité dans une geôle étroite, au pain sec et à l'eau...

Si le régime qui règne aujourd'hui sur la France était autre chose qu'une république bananière, Macron, Philippe et leurs complices devraient répondre devant un tribunal de leurs différents manquements et agissements.

Dans un entretien publié par L'Express le 27 avril 2020, Emmanuel Todd, déjà cité plus haut, tout en se gardant bien, comme on l'a dit, de remettre en cause le bien-fondé du confinement général pourtant levier de tous les scandales, appelle néanmoins à "faire des exemples, avec des peines de prison et des sanctions financières". Chacun sait qu'il n'en sera rien.

Il n'en sera rien, car tous les contre-pouvoirs, en France, ont été depuis longtemps abolis. Le passé, entre autres avec l'affaire Cahuzac, a amplement démontré que les huiles du Système jouissent de la plus parfaite impunité. Les rares simulacres de procès accouchent comme montagnes de souris, après bien des années de procédures relevant bien davantage de l'éteignoir que de l'instruction.

Dans une République digne de ce nom, où l'idée de Vertu aurait encore un semblant de sens, après le désastre du confinement général, après les scandales en cascade, le procès du gouvernement, du chef l'Etat et de leurs différents complices, notamment médiatiques, s'imposerait. Ces procès en série devraient évidemment être tranchés par des jurys populaires, et retransmis en direct à la télévision et à la radio pour l'exemple et l'édification de tous. Les questions de l'incompétence, de l'incurie, de la violation des devoirs (notamment de la Constitution pour les uns, de la Charte du journaliste pour les autres) et de la trahison des intérêts supérieurs du peuple, de la Nation et de l'Etat devraient être systématiquement et précisément examinés. Selon toute vraisemblance, ces procès n'auront jamais lieu. 

Dans ces conditions, reste l'hypothèse, par exemple en septembre-octobre-novembre 2020, d'une rentrée sociale à la vigueur sans précédent, cristallisée dans un soulèvement des Gilets Jaunes renforcés et soutenus par le Pays tout entier. Un Pays ayant ouvert les yeux non seulement sur l'incompétence et les manquements du Pouvoir, mais surtout sur ses cyniques trahisons. 

Même si l'on peut comprendre qu'un grand nombre de Français s'en régalent d'avance sur les réseaux sociaux et autour des tables familiales, un soulèvement populaire prenant d'assaut l'Elysée et procédant à l'arrestation de Macron et à sa mise hors d'état de nuire, une telle révolution violente ouvrirait une boîte de Pandore aux lendemains incertains. L'Histoire enseigne que destituer le monarque par la force et le guillotiner conduit souvent à un déchaînement de violences et de terreur et, finalement, à l'avènement d'une nouvelle tyrannie. Le scénario d'une insurrection armée présenterait d'évidents risques pour la stabilité du Pays et, finalement, pour le salut du peuple. En revanche, un renversement du régime par la voie légale, celle des urnes, permettrait d'en finir sans trop de grabuge avec un Système qui a pour objectif de livrer la France et son peuple aux appétits insatiables de la Finance et des ploutocrates.

Or au regard de la naïveté, de la crédulité que les masses ont démontrées dans cette affaire du confinement général et du Covid-19, tout laisse à penser que ce renversement ne pourra pas avoir lieu. Puisque s'ajoutant aux multiples bâtons mis, institutionnellement ou par des moyens plus mafieux, dans les roues des candidats indépendants et susceptibles de rompre avec le Système, les médias manipulateurs se chargeront de conduire, à grand renfort de subterfuges, les veaux à "bien voter".

L'avenir, décidément, paraît bien ténébreux pour la France et son malheureux peuple trahi.

Sauf coup de théâtre dont la grande Histoire a le secret, bien entendu...

 


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56 réactions à cet article    


  • Clark Kent Séraphin Lampion 2 juin 2020 10:25

    Macron n’a fait qu’interpréter la partition fournie à tous les membres de l’OTAN au minimum

    dire qu’il est innocent serai un non-sens, mais dire qu’il est plus coupable que ses prédécesseurs aussi

    il n’y a rien d’absurde là-dedans, mais une manœuvre à l’échelle mondiale pour régler la crise économique qu’on n’arrive plus à cachar en évitant une vraie guerre 


    • gaijin gaijin 2 juin 2020 10:38

      @Séraphin Lampion
      c’était mon analyse au départ ( et pour partie elle est peut être valable ) mais maintenant je vois plus une bataille de la guerre qui se livre ( aux states mais pas que ) entre souverainistes et mondialistes ....


    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 2 juin 2020 10:49

      @gaijin

      Non, pas de guerre entre les 2, mais une méticuleuse distraction médiatique.


    • troletbuse troletbuse 2 juin 2020 14:37

      @Séraphin Lampion
      Si, il est plus coupable car étant de la jaquette, le NOM a de quoi le faire chanter


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 2 juin 2020 15:42

      @troletbuse
      Bof, de nos jours, un homme inverti en vaut deux, pas de quoi faire chanter.


    • Eric F Eric F 2 juin 2020 18:47

      @Séraphin Lampion
      La « partition » du confinement a été fournie par la Chine, que l’Italie a ensuite reprise dans la panique, puis ça a fait boule de neige, bien au delà de l’OTAN. Macron était parti pour confiner juste les personnes vulnérables dans son discours du 12 Mars, mais les choses se sont emballées, et il aurait été accusé de sacrifier la population par laxisme, comme cela a du reste été le cas de Boris Johnson qui a du suivre avec retard (et il a payé de sa personne).
      Notre pays fait partie de ceux mal préparées, on a vu par exemple que les pays d’Europe Centrale (tout capitalistes et otanesques qu’ils sont) avaient pris de meilleures mesures malgré leur moindre budget santé.

      En fait de « manœuvre à l’échelle mondiale pour régler la crise économique », c’est l’absolu contraire, l’économie a été sacrifiée au nom d’une urgence sanitaire surestimée, l’« autorité médicale » a pris le lead relayée par les média, les politiques on suivi bon gré parfois, mal gré souvent, dans les pays les plus touchés (car une épidémie est souvent très inégale, il suffit de voir la différence entre Espagne et Portugal, ou Belgique et Pays Bas). Les affairistes ont fait profil bas dans cette période, ne voulant pas apparaitre cyniques (sauf les trumpistes aux USA, mais c’est une autre histoire)
      Ce qui couvait auparavant était une crise boursière que les Banques Centrales avaient contenue, mais l’économie-vraie n’était pas en si mauvaise posture, alors que désormais ses profits ont durablement plongés, au grand dam des financiers. Les crédits insolvables vont plomber le secteur financier, sans compter les prêts à taux quasi-nuls.


    • Eric F Eric F 2 juin 2020 18:48

      @Opposition contrôlée
      « un homme inverti en vaut deux »

       smiley


    • sylvain sylvain 2 juin 2020 21:01

      @bouffon(s) du roi
      La guerre entre mondialistes et souverainiste, au niveau des élites, n’a en effet pas de sens . La société est déja mondiale et ils le savent très bien . Les chinois et les russes en particulier pourraient difficilement l’ignorer, eux qui dépendent totalement du commerce mondiale .
      De plus si vous regardez un peu les altercations qui ont pu exister entre les deux « camps », ils semblent évident qu’ils ne se gènent pas beaucoup les uns les autres, En fait c’est même exactement l’inverse
      Il suffit de regarder le dernier conflit en date, et on voit clairement que sans trump, khomeyni ne serait surement plus au pouvoir ou aurait une révolution sur les bras


    • JC_Lavau JC_Lavau 2 juin 2020 21:24

      @sylvain : « khomeyni ne serait surement plus au pouvoir » ! A retenir !


    • Kapimo Kapimo 3 juin 2020 04:59

      @Séraphin Lampion

      pour régler la crise économique qu’on n’arrive plus à cachar en évitant une vraie guerre

      Non, ils ne vont rien régler en imprimant des océans de fausse monnaie, ce n’est au mieux que reculer pour mieux sauter. Et ils en profitent pour affaiblir encore les contre-pouvoirs potentiels (la classe moyenne).
       

    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 4 juin 2020 13:51

      @sylvain

      C’est savamment organisé au niveau médiatique. Les gens oublient :
      Obama (Yes we can, blabla..) = DTC
      Trump (America great again, blablabla) = DTC

      Désolé mais j’en ai marre de répéter des choses qui sont vérifiables et de voir les gens se faire manipuler si facilement.
      Et surtout, ne parlez pas des sionistes qui sont à chaque fois ds les bons (ou mauvais, c’est selon) coups ^^


    • xiaochu xiaochu 9 juillet 2020 10:57

      @bouffon(s) du roi

      que signifie DTC ?


    • caillou14 rita 2 juin 2020 11:16

      Allons soyons sérieux, Macron c’est le fusible au service des décideurs, intouchable par le peuple, sauf révolution pour lui enlever 20 centimètres !

       smiley


      • Yann Esteveny 2 juin 2020 12:19

        Message à Monsieur Alexandre Gerbi,

        Merci pour le partage de votre article. Pour répondre à la question du titre de votre article, je réponds « Oui car dans ce monde elles en sont les produits ».

        Ne perdez pas trop votre temps entre les médias aux ordres, les faux opposants politiques, les intellectuels de spectacle, les médecins de « Big Pharma » et la population qui ne veut rien savoir. La propagande tache d’être invisible et incomprise ce qui lui assure son efficacité. Elle réussit mieux encore quand elle illusionne la population sur sa nature et sa liberté.

        Pour la suite du programme, laissons parler Monsieur Emmanuel Macron :

        « Je crois que notre génération doit savoir que la Bête de l’évènement est là, elle arrive, qu’il s’agisse du terrorisme, de cette grande pandémie ou d’autres chocs. Il faut la combattre quand elle arrive avec ce qu’elle a de profondément inattendu, implacable. »

        Ceux qui ne connaissent pas les Écritures servent déjà la Bête en croyant la combattre.

        Respectueusement


        • troletbuse troletbuse 2 juin 2020 13:14

          Micron, en bonne petite PFAT du Nouvel Ordre Mondial, a tout fait afin qu’il y ait le plus de morts possibles en France.

          Il savait tout sur l’épidémie créée en laboratoire. Au paravent, il y a eu destruction de tous les moyens de protection afin que les Français se retrouvent à poil devant le virus.

          -Interdiction de la chloroquine

          -Les masques ne servent à rien

          -Sortie médiatisée avec Maman au théâtre

          Pour le confinement vu que l’épidémie ne pouvait plus être niée :

          -Ordre à l’hôpital public de ne pas envoyer les malades dans les cliniques privées qui pouvaient mettre 3000 lits de réa à disposition. Pendant ce temps l’Allemagne passait de 25 à 40 000 lits avec le privé. Micron faisait sa comédie avec les ridicules 15 lits de l’hôpital de campagne à Mulhouse monté après 3 semaines.

          -Ordre aux EHPAD de ne pas envoyer les malades dans les hôpitaux.

          -Faux ordre aux pharmaciens de ne pas vendre de masques

          -Réquisition de masques dans les aéroports

          -Ordre à la presse aux ordres de répandre la terreur.

          -Ordre aux médecins libéraux de ne pas utiliser la bi-thérapie à Raoult, et en même temps rendre visite à Raoult.

          Et tous ces salauds de sénateurs de voter une loi d’amnistie sous prétexte de’ protéger les maires qui doivent applique les ordres des préfets donc de Micron.

          Et le Véreux, pris d’une soudaine envie de scier, qui interdit totalement la chloroquine sous l’ordre de Micron à la suite du rapport trafiqué du Lancet.

          Et pour les gogos qui trouvent que Micron a bien géré, ils vont tout de suite s’en apercevoir, à leur dépens naturellement.


          • Emohtaryp Emohtaryp 2 juin 2020 15:04

            @troletbuse

            Plus qu’édifiant, en effet et vous en avez oublié tellement la liste est lourde...

            Suffit juste de comparer le triste bilan de la France et celui de l’Allemagne par ex ou encore mieux Taiwan, la Corée du sud, l’Afrique ...

            Les chiffres sont sans appel et vont mener à des procès retentissants, ils le savent....et la tentation liberticide, un projet voué à l’échec !

            Ne reste plus que l’enfumage mais qui se dissipe très vite de nos jours....

            Conclusion, ils sont nassés dans une impasse !

            On comprend beaucoup mieux pourquoi Pr Raoult s’est très tôt retiré de ce « Haut conseil scientifique de soucoupistes patentés »...........


          • rogal 2 juin 2020 14:07

            « Les masques ne servent à rien » et les frontières non plus.


            • Le421... Refuznik !! Le421 2 juin 2020 16:13

              Complicité de la prétendue opposition...

              Il y a des moments où cela fait plaisir de se trouver classé dans « l’extrême gauche ».

              Même si ce n’est pas vrai, mais bon...

              Par contre, dans l’opposition à Macron, à part nous, je ne vois pas qui y est...

              Du PS au RN, on est à droite !!


              • Patrick Samba Patrick Samba 2 juin 2020 16:44

                Bonjour,

                la terrible réalité, Le421, est difficile à supporter, mais l’auteur dans ce nouveau texte implacable, ne ment pas. Mélenchon et la FI ont été, et pas moins que tous les autres partis, en dessous de tout.
                Et ce n’est par manque d’information. Personnellement j’ai écrit, téléphoné aux responsables dont j’avais le n° de tel : sans succès. Ils étaient, et sont restés sourds. Ou par calcul politicien - on le saura peut-être plus tard ou, comme la grande majorité de nos concitoyens, ils ne purent s’extraire du délire collectif redoutablement alimenté par Macron.
                Ce type sait parfaitement rendre fou, c’est mon interprétation de cet exemple : Emmanuel Macron et son harcèlement sexuel par mails - AgoraVox le média citoyen


              • Le421... Refuznik !! Le421 3 juin 2020 07:43

                @Patrick Samba
                Je ne vois pas de quoi LFI pourrait être responsable dans la mesure où cette formation politique est reléguée au « fond de la classe » à l’Assemblée Nationale.
                En une minute, LREM balaie toutes* les propositions de LFI, comme celle des masques gratuits... Je vous rappelle que ce genre d’accessoire vaut près d’1 euro pièce et dure 4H !!
                *Et quand je dis « toutes », c’est toutes... Sans aucun débat.
                Maintenant, c’est vrai que la mode est au muselage en règle de toute forme d’opposition, en France ou ailleurs.
                Mais vu que ça semble plaire aux gens...
                On appelle cela comment un régime ou l’opposition est réduite au silence ?


              • Patrick Samba Patrick Samba 3 juin 2020 11:46

                @Le421
                mais on n’est pas forcément une réelle opposition si l’on se contente d’ânonner les antiennes marxo-socialistes, allez sociales.
                On est surtout une opposition quand on s’oppose aux scandales qu’on a sous les yeux ! Et le délire collectif, le confinement et son instrumentalisation politique et économique sont d’énormes scandales !
                Vous ne les voyez pas ?
                Suppression de la liberté de prescription des médecins, attaques tout azimut de Big Pharma (un produit pas cher et sans doute efficace flingué !!), les libertés jetées aux orties (confinement, Avia (ça c’est la presse quand même...), Stop Covid, censure même sur Agoravox...), il vous faut quoi encore ?

                LIBERTÉ, égalité, fraternité : ça vous dit plus rien ?


              • Patrick Samba Patrick Samba 3 juin 2020 12:12

                Et je ne parle pas d’EDF (l’énergie, le nucléaire tout ça, tout ça...) !
                Vous lisez la Lettre A ? Mercato aux finances entre Dalkia et EDF - La Lettre A


              • Patrick Samba Patrick Samba 3 juin 2020 12:20

                et j’ai oublié les incitations à la prescription de Rivotril, les refus d’hospitalisation des plus de ... de combien ? 60 ? 65 ? 70 ? 75 ? 80 ?... Edgar Morin a 98 ans !

                ASSASSINS !


              • Patrick Samba Patrick Samba 3 juin 2020 14:49

                Tiens, cas concret : imaginez-vous à l’entrée d’un service de réa, où il n’y a plus qu’un lit et Macron et Edgar Morin arrivent en même temps pour se faire hospitaliser. Lequel prenez-vous ?

                Autre version : Le Préfet Didier Lallement et Edgar Morin

                Autre version : 10 jeunes nazis et Edgar Morin


              • Roubachoff 4 juin 2020 00:01

                @Patrick Samba
                Cette crise montée en chantilly aura été un crash-test fabuleux pour le système de santé et pour... les opposants. Même piège que lors des attentats terroristes et même empressement à tomber dedans. Mais qu’attendre d’autre de médiocres comme JLM ou MLP ?


              • Patrick Samba Patrick Samba 4 juin 2020 11:12

                @Roubachoff

                Moi je n’arrive pas à caricaturer les personnes comme vous le faites.
                Bon MLP ok.
                Mais JLM, pardon. Il fait des erreurs c’est incontestable, et dans ce cas présent elle est grave (mais vous n’en faites jamais ?). Mais être parvenu à construire le PG puis la FI, désolé mais moi je ne l’ai pas fait et vous non plus. Alors médiocre...

                Je suis allé lire une partie de vos commentaires. Je partage beaucoup de vos idées, qui ont l’avantage d’être claires et bien exprimées. Pourquoi ne publiez-vous pas ? La peur du détail qui tue ? Pfff, faut savoir dépasser ça. D’autant que vous écrivez un pseudo.

                Moi je vous lirais bien.


              • Patrick Samba Patrick Samba 4 juin 2020 11:14

                D’autant que vous écrivez avec un pseudo.


              • Roubachoff 5 juin 2020 00:42

                @Patrick Samba
                Bonjour et merci de l’intérêt que vous me portez.
                Désolé, mais JLM accumule les erreurs. Pendant longtemps, je me suis fait injurier (voire bannir) sur certains blogs de socialistes parce que je défendais d’abord le PG puis LFI. Pour tout vous dire, le PG est même le seul parti où j’ai été à un clic de m’inscrire. Puis tout s’est gâté... Citons en passant les cafouillages sur l’Europe, une incessante tendance à jouer dans la main du pouvoir (terrorisme, crise sanitaire), une triste absence de démocratie (par exemple sur le blog de JLM, quand il y avait encore des commentaires  aujourd’hui, ils ont été supprimés, pour esquiver le problème). J’ajouterai en vrac le long aveuglement sur Tsipras, le choix absurde de Manon Aubry, la prime pantouflage offerte à Maurel et enfin la pantalonnade des perquisitions. Croyez-vous qu’un Mitterrand (que JLM admire tant, ce qui n’est pas mon cas) aurait bousillé ainsi son statut de présidentiable ?
                Je pourrais continuer longtemps, mais à quoi bon ? 
                Sur l’autre point, j’interviens sur Agoravox depuis 2011, ce qui ne me rajeunit pas. Dès cette époque, il m’est apparu que le système de modération ouvrait la porte à la création d’une myriade de coteries et de contre-coteries. Un jeu que je connais bien, et auquel j’ai toujours refusé de participer. Du coup, j’ai jugé, peut-être à tort, que me cantonner aux commentaires préserverait mieux ma liberté et mon indépendance. 
                Voilà, en espérant que ma réponse vous intéressera. 


              • Patrick Samba Patrick Samba 5 juin 2020 02:03

                @Roubachoff

                Peut-être un sens de l’exigence et de la perfection un peu trop affirmée ?

                En politique il est difficile de ne pas se soumettre à de nombreux compromis, à condition de ne pas tomber dans la compromission. Mais je ne vous jetterai pas la pierre, je n’ai pas adhéré au PG (ni à aucun autre parti). Je suis bien allé jeter un oeil à la FI, mais là où j’habitais elle n’était vraiment pas à mon goût...

                Quoique que concernant JLM, cette fois-ci est peut-être la fois de trop, car je me suis démené pour alerter.

                « Dès cette époque, il m’est apparu que le système de modération ouvrait
                la porte à la création d’une myriade de coteries et de contre-coteries.
                 »

                Là vous exagérez, si vous m’avez déjà lu, vous devez savoir que j’ai plutôt la dent dure et sans concession sur AV, et pourtant quasiment aucun de mes articles n’a été censuré par les modérateurs sur AV, sauf peut-être le dernier en cours, et pourtant peut-être le plus utile. Si vous aviez été modérateur...

                Par contre j’ai été censuré par l’administration :

                celui-là accepté par lundi-matin : « https://lundi.am/Notre-Dame-de-Paris-qui-a-allume-le-feu »

                et celui-ci supprimé après avoir été publié(! ! vérifiable dans le lien d’origine de l’article) : « https://savoie-antinucleaire.fr/2018/09/22/epr-lesprit-munichois-des-dirigeants-de-lautorite-de-surete-nucleaire-asn/

                 »Du coup, j’ai jugé, peut-être à tort" : on a le droit de changer d’avis...


              • Patrick Samba Patrick Samba 2 juin 2020 17:09

                 @Alexandre Gerbi :


                remarquable texte-bilan, dont j’attendais la venue au vu des précédents non moins remarquables.

                Je les ai bien sûr cités en bonne place dans l’article que je désespère de voir publier sur AV, confronté à une censure misérable, en compagnie des non-moins remarquables articles de Jean-Dominique Michel, anthropologue de la Santé (Anthropo-logiques) que je m’étonne de ne pas voir cité par vous ; seriez-vous passé à coté ?


                Je n’ai pas grand chose à ajouter à ce bilan implacable, si ce n’est que je suis satisfait que vous repreniez ce concept de délire collectif très peu usité (on lui préfère en général psychose ou hystérie collective).


                Une information dont je viens de prendre connaissance par le bouche à oreille, et qui vient compléter votre constat : "après avoir maintenu contre toute raison le premier tour des municipales (15 mars), [l’habile Macron] décréta, du jour au lendemain (16-17 mars), le confinement général."

                Pour être habile et remarquable calculateur il le fut effectivement (et ce n’est pas contre toute raison mais afin d’évaluer la réalité précise des résultats d’un 1er tour qu’il le maintint), puisqu’il avait décidé que le confinement total durerait 70 jours. C’est en effet la durée qui fut donnée dès le 1er jour aux roulants de la SNCF pour la programmation du plan confinement.


                • Patrick Samba Patrick Samba 2 juin 2020 17:20

                  oh, et puis tiens je me permets, histoire de faire un pied-de-nez aux censeurs, de mettre dans les commentaires de votre article la chanson que mon article veut populariser pour combattre le délire, à chanter sur l’air du « Gorille », de notre grand Georges national

                   :

                  un rhume, pas même une grippe, et la Terre elle-même éternue

                   

                  Gare au délire

                   

                  Il se dit chez les informés

                  Que cette histoire de virus

                  Serait bien plus sophistiquée

                  Et truffée d’épines de cactus.

                  Il terrorise tout le monde

                  C’en est à craindre l’infarctus

                  Et l’angoisse est tellement profonde

                  Que chacun tremble pour son anus

                  Gare au délire

                   

                  Il nous est parvenu de Chine

                  Où l’on imaginait le pire

                  Ni une ni deux, mieux qu’l’aspirine

                  Deux hôpitaux fallait construire

                  C’est en dix jours que le premier

                  Sortit de terre sous nos yeux

                  Il prit le nom halluciné

                  « De la montagne du dieu du feu »

                  Gare au délire

                   

                  Et c’est bien ce qui se passa

                  De l’angoisse naquit la folie

                  Mettant le feu dans les médias

                  En quête de buzz à tout prix

                  D’un gros rhume aux symptômes mineurs

                  Ils firent une grippe catastrophique

                  Semant panique, troubles et terreur

                  D’où nait le délire médiatique

                  Gare au délire

                   

                  Des médecins généralistes

                  Habitués aux grippes tueuses

                  Crièrent aux propos alarmistes

                  Dénoncèrent les infos trompeuses

                  Ils avancèrent des chiffres clairs

                  Disant qu’la grippe tuait bien plus

                  Que personne n’en faisait mystère

                  Pourquoi les prendre pour des gugus ?

                  Gare au délire

                   


                • Patrick Samba Patrick Samba 2 juin 2020 17:22

                  Aux médecins généralistes

                  On opposait en épilogue

                  Ici, épidémiologistes

                  Là, très savants infectiologues

                  Qui du haut de leur grand savoir

                  Raillaient leurs confrères de terrain

                  Force doit rester au Pouvoir

                  Sans quoi on choit dans le bousin

                  Grâce au délire

                   

                  Le résultat, à notre grand tort

                  C’était de n’y comprendre rien

                  C’est alors que les croque-morts

                  Prirent le visage de la Buzin

                  Ainsi que d’autres politiques

                  Les Philippe, les Macron, les siens

                  S’arrogèrent cette question d’éthique

                  Pour en user en mode malsain

                  Grâce au délire

                   

                  Crise financière, retraites, climat,

                  Le nucléaire, les Gilets Jaunes,

                  Municipales : branl’bas d’combat

                  Du corona ils firent l’axiome

                  Avant, Macron s’inquiétait pas

                  Les masques profitèrent aux voisins

                  Comme deux ronds d’flan on s’retrouva

                  A peine moins buses que la Buzin

                  Grâce au délire

                   

                  Ils accentuèrent la panique

                  Imposèrent le confinement

                  Nous exposant aux griffes de flics

                  Pour le moindre petit déplacement

                  Plus de violence, de gens à terre

                  De divorcés et de ruinés

                  Moins de défenses immunitaires

                  Plus de morts et de suicidés

                  Grâce au délire

                   


                • Patrick Samba Patrick Samba 2 juin 2020 17:22

                  Foi d’infectiologues officiels

                  A la réputation indemne :

                  Le confinement est plus mortel

                  Que le virus honni lui-même

                  Chacun se retrouve au « cachot »

                  Sous le prétexte d’un péril grave

                  C’est pas le fait d’néo-fachos

                  C’est pour notre bien, futurs esclaves

                  Grâce au délire

                   

                  D’un point de vue de santé publique

                  Traitant d’une maladie bénigne

                  C’est l’honneur de la politique

                  De rejeter le choix indigne

                  De transformer un rhume mineur

                  En grippe qui en grand nombre tue

                  Semant panique, troubles et terreur

                  Au point qu’la Terre elle-même éternue

                  Grâce au délire


                • Francis, agnotologue JL 5 juin 2020 07:47

                  @Patrick Samba
                   
                   le confinement a quand même permis de faire baisser considérablement le taux de NOx dans l’atmosphère, au profit des personnes fragiles.
                   
                  C’est une réponse indirecte faite aux écologistes. Hélas, la dette n’est qu’une fuite en avant qui va obliger les générations futures a travailler davantage, et donc polluer toujours plus.
                   
                  «  NOx, oxydes d’azote : gaz polluants issus de la combustion des combustibles fossiles tels que ceux employés dans le moteur thermique d’une voiture et surtout poids lords. Ils ont une grande part de responsabilité dans la pollution de l’air des grandes métropoles. »
                   


                • Patrick Samba Patrick Samba 5 juin 2020 09:43

                  JL, comment pouvez-vous raisonner comme cela ? C’est la porte ouverte à tous les abus, à toutes leurs justifications !

                  La pollution est un problème évidemment, l’Autre aussi (« L’enfer, c’est les autres » et peut-être avait-il oublié que sans les autres c’est aussi l’enfer), mais les solutions ne sont pas simples.
                  Mais en revanche le confinement qui n’a aucune justification scientifique, qui n’est qu’un réflexe archaïque irrationnel, démontre par comparaison avec les pays non-confineurs, qu’il fait bien plus de dégâts « collatéraux » que l’absence de confinement. Vous avez lu les articles des Delepine sur les EHPAD ?
                  Et on le savait puisque de nombreux infectiologues avaient tiré la sonnette d’alarme. Celui-ci peut-être un peu plus fermement que les autres : How Dr. Wolfgang Wodarg sees the current Corona pandemic - YouTube

                  (sous-titrage possible en français)


                • Francis, agnotologue JL 5 juin 2020 10:54

                  @Patrick Samba
                   
                   Je suis bien d’accord. Mais c’est la raison pour laquelle il faut dénoncer l’hypocrisie des dirigeants de la planète inféodée aux lobbies, qui n’appellent pas un chat un chat, et qui prend des mesures anti-pollution au nom d’un virus qui n’en demandait pas tant.
                   
                  Ce qu’il faut dire et redire au sujet de ce virus, c’est qu’il s’attaque aux voies respiratoires et à l’endothélium des êtres vivants, organes particulièrement mis à mal par la pollution, notamment atmosphérique (mais pas que), et notamment due aux moteurs thermiques (mais pas que).


                • Patrick Samba Patrick Samba 5 juin 2020 11:30

                  @JL
                  "Ce qu’il faut dire et redire au sujet de ce virus, c’est qu’il s’attaque aux voies respiratoires et à l’endothélium des êtres vivants" : c’est-à-dire continuer à tenir un discours de peur, de terreur ?
                  Jl, avec quelques-uns d’entre nous ayant l’esprit critique chevillé aux neurones, vous avez la chance d’être sur AV où nombreux sont les intervenants qui ont compris que tout ça est le résultat d’un délire médiatique (panique intentionnellement provoquée dans l’ignorance des conséquences ? c’est une question qu’il faudra éclaircir plus tard).
                  Alors laissez votre esprit ouvert à cette hypothèse ! Et arrêtez de propager la peur !

                  CE QU’IL FAUT DIRE : c’est que les 4 scénarios du Conseil scientifique sont un SCANDALE ! Une nouvelle manipulation de haut degré. Même plus un choix fermé à 2 alternatives, non, un choix fermé à quatre tours par 4 alternatives, qui EXCLUT l’alternative du retour à la normale !! Inouï...
                  Des salauds, des pervers, des sadiques ces gens-là. En partie eux aussi pris dans le délire collectif ? Bien évidemment. Mais bien d’autres facteurs chez eux ont déterminé leur choix d’infantilisation, d’aliénation de la population.


                • Francis, agnotologue JL 5 juin 2020 14:07

                  @Patrick Samba
                   
                   soyez gentil, n’amputez pas les phrases que vous contestez, svp.
                   
                  Vous pensez vraiment que dénoncer les effets de la pollution sur notre santé, c’est tenir un discours de peur ? De terreur ?


                • Patrick Samba Patrick Samba 5 juin 2020 14:24

                  @JL
                  je ne cherche pas à vous nuire (vous savez bien que ça n’a jamais été le cas) par amputation d’une phrase ; je souligne ce passage de votre phrase pour attirer votre attention sur le risque délirogène d’une argumentation incluant un élément de terreur (la covid-19). On a assez de délire, vous ne trouvez pas ?

                  Pas besoin d’utiliser la covid-19 pour dénoncer la pollution !

                  Et la plus forte pollution mentale à l’heure actuelle va être constituée par les 4 scénarios très anxiogènes du Conseil scientifique.


                • Francis, agnotologue JL 5 juin 2020 14:47

                  @Patrick Samba
                   
                  ’Pas besoin d’utiliser la covid-19 pour dénoncer la pollution !’’
                   
                   Dénoncer la pollution c’est une chose ; la réduire c’en est une autre.
                   
                   


                • nono le simplet 2 juin 2020 17:37

                  les pires complices de cette hystérie sont quand même les hôpitaux qui ont inventé jusqu’à 7000 personnes en réanimation début avril et 32000 hospitalisations ... sans parler de cette mascarade de transport de malades en réa en train, en hélicoptère, en ambulance et même en avion ... tout ce carburant dépensé pour un gros rhume ... quelle honte !


                  • chantecler chantecler 2 juin 2020 18:05

                    @nono le simplet
                    "tout ce carburant dépensé pour un gros rhume ... quelle honte !

                    « 
                    Sans parler de ton immense et infatigable travail pour nous ouvrir les neunoeils !
                    Ca va te faire un vide de renoncer à toutes tes statistiques et tes diatribes anti rourou .
                    Quant à Pemile , paraît qu’il a fait une tentative de suicide et laissé un message :
                     »Adieu je ne peux plus vivre avec tous ces cons !« .
                    Ce qui est une variante de »au diable les bananes je me lance dans la chanson !"
                    (signé : Juanita Banana)
                    https://www.youtube.com/watch?v=Dbe_DIv_Ja0


                  • nono le simplet 2 juin 2020 18:11

                    @chantecler
                    Sans parler de ton immense et infatigable travail pour nous ouvrir les neunoeils !
                    pour moi les stats c’est comme le jardinage c’est que du plaisir sinon je parlerais avec les cons de la réussite suédoise qui n’a pas confiné et j’achèterais mes légumes en grande surface en trouvant qu’ils sont bons ... smiley


                  • pemile pemile 2 juin 2020 18:24

                    @chantecler "Quant à Pemile , paraît qu’il a fait une tentative de suicide et laissé un message :  »Adieu je ne peux plus vivre avec tous ces cons !« .

                    Non, je profite du beau temps pour bosser dehors, mais j’apprécie toujours de venir faire un tour au zoo des fous !


                  • nono le simplet 2 juin 2020 18:31

                    @pemile
                    et on a une blouse avec notre nom dessus ... par précaution ... smiley
                    ici ça tourne à l’orage et c’est tant mieux ... sec de chez sec ...


                  • Jonas 2 juin 2020 17:43

                    L’auteur de cet article fait partie de ce que Roselyne Bachelot a appelé avec juste raison les « toutoulogues » , c-à-d  ceux , qui cherchent à parler de tout et avoir des avis surtout ,, grâce à la grande poubelle Internet.  Pour paraphraser , JL. Godard. cet grande poubelle permet , « une minute pour le spécialiste et une minute pour l’idiot ». 

                     L’auteur de cet article foireux , s’il un peu de courage , peut-il citer parmi les 193 pays de l’ONU , une dizaine qui ont fait mieux que la France.

                    Cela ne veut pas dire , qu’il n’y a pas eu d’erreurs , commises par le gouvernement, certainement pas. Mais aucun pays n’a été prêt devant un virus inconnu. Il y a même un pays qui porte une faute grave , la Chine qui a caché pendant un certain temps l’apparition du coronavirus et avait emprisonné , ceux qui avec courage, chez elle , ont lancé des alertes. 

                    D’autres pays comme la Grande Bretagne, les Etats-unis , le Brésil se sont moqués du virus , en le faisant passer pour une simple grippe. De surcroit l’auteur de l’article dans son acharnement à trouver un bouc émissaire n’a pas tenu compte des divergences et des contradictions, des chercheurs, des spécialistes de Pasteur , des grands professeurs etc qui se disputaient devant nos yeux. a la TV ; Alors je dis a l’auteur que si même les « spécialistes de la spécialité » n’étaient pas d’accord , entre eux , comment un gouvernement français , peut l’être puisqu’il est censé s’appuyer sur ces professionnels dont c’est le métier.  

                     



                    • Eric F Eric F 2 juin 2020 19:11

                      @Jonas
                      Les gouvernants d’un grand nombre de pays ont en effet été imprévoyants et ont manqué de lucidité, et les experts médicaux ont été chez nous focalisés sur l’aspect « hospitalier » qui a été le principal critère de décision, au détriment de l’activité du pays (et pareil ailleurs).

                      C’est un véritable exploit romanesque que de broder, à partir de ce foirage, un vaste complot mondial dont notre monarque aurait été l’un des instigateurs (mais auquel, on ne sait pourquoi, la Suède ou l’Allemagne auraient échappé) pour saborder l’économie occidentale et faire s’effondrer la finance au profit de Bill Gates, Soros, en partenariat avec la Chine, l’OMS, la CIA.


                    • Roubachoff 4 juin 2020 00:04

                      @Jonas
                      Roselyne Bachelot comme référent intellectuel... 
                      Je ne regrette pas d’avoir vécu assez vieux pour lire ça.


                    • marmor 2 juin 2020 20:06

                      Alexandre Gerbi

                      J’ai connu Bernard Gerbi et son frère Jean Paul , au Havre . Nous étions amis. Est-il indiscret de vous demander si vous êtes en famille avec mes amis ?

                      Merci


                      • alinea alinea 2 juin 2020 23:58

                        Beaucoup de choses à dire !

                        Est-il imaginable que, sans test, sans protection des personnes à risques, et sans confinement des testés positifs, l’absence de confinement n’aurait pas été plus meurtrier ?

                        Est-il imaginable pour un homme politique, pour un artiste célèbre ou un intellectuel à la parole publique écoutée dans un lieu où il n’y a pas possible débat mais juste jeu d’influence, de dire tout ce que vous dîtes ici dans cet article ? Ou ne serait-ce dénoncer la pitoyable incompétence de nos ministres et président ? Dans quel but le faire et avec quels effets ? Ceci dit, je ne doute pas que la majorité d’entre eux était prise dans le délire de la peur.

                        Certes c’est ce que je pense mais à partir du moment où chacun a entendu et intégré qu’il risque de mettre la santé voire la vie en danger de sa vieille mère, de son mari malade ou de soi-même atteint de telle ou telle pathologie, comment « oser » transgresser les lois ?

                        Sortir pouvait coûter 135 euros ; tout était fermé et plus personne ne travaillait ou presque. Dans ce cas, comment compter les dociles volontaires, les paniqués et les contraints ?

                        Le sadisme de cette situation ne fait pas de doute, mais il est présent déjà depuis un moment dans beaucoup de domaines de notre vie commune ; depuis les attentats et les lois liberticides qu’ils provoquèrent.

                        Ceux qu’on traite de complotistes depuis les premiers attentats du millénaire, ont bien noté la licence que s’octroyaient les gouvernements à leur suite. Tout leur est permis, y compris le mensonge avéré que personne ne peut dénoncer en provoquant des effets nocifs pour ses émetteurs ! Ils se rient de notre impuissance et se permettent de nous narguer.

                        Nous sommes dans de beaux draps et je pense qu’il n’y a plus grand chose à dire pour que tout le monde ou presque soit convaincu de la perversité de nos dirigeants ; ce printemps aura éclairé davantage leur incurie, et la vexation et la colère ressenties par leurs cibles engendreront des actions dont on peut espérer qu’elles engageront l’avenir.


                        • zygzornifle zygzornifle 3 juin 2020 09:13

                          Tous les présidents ont trahi le peuple , ils se sont toujours entourés de ministres et de conseillers spécialisé dans la trahison en bande organisée , Macron n’est pas l’exception ….


                          • julius 1ER 3 juin 2020 10:17

                            Maintenant je n’ai plus aucun doute ... à voir le nombre d’articles qui dénoncent le « confinement » source de tous les maux !!!!

                            c’est vraiment une certitude ...le confinement çà esquinte et çà ne laisse personne

                            indemne encore une preuve avec cet article !!


                            • troletbuse troletbuse 3 juin 2020 10:24

                              Bien sur que Micron sera puni mais avec à la sauce Heitz, il sera autant condamné que Benalla


                              • Nu'Ages Nu’Ages 4 juin 2020 07:19

                                Une lecture intéressante et bien plaisante qui serait à recommander. Cependant, aucune recommandation ne s’en suivra. Est-ce donc une contradiction ? Les auteurs cités dans cet article ne sont-ils pas des conseillés ou alerteurs médiatisés plutôt que des révolutionnaires ? Des amalgames et des arguments plus que légers vont à l’encontre de ces auteurs sans se soucier du fait qu’ils défendent des idées issus du bien commun, face aux représentants de l’Etat qui, eux, doivent pallier au problème qui est posé. Mais que ce soit ces représentants ou ces auteurs, ils partagent les mêmes valeurs républicaines et le même objectif en rapport à ce problème. Par conséquent, contradiction aucune il n’y aurait entre le moyen de garder intact les libertés et la finalité qui consiste à les faire respecter, par exemple. Par contre, au jeu de la diffamation, sous prétexte de contradictions qui n’en sont pas, il y aurait fort à parier qu’une s’y trouve au sein même de cet article. Comment prétendre que les parties de l’opposition puissent être complices, notion de liberté républicaine approuvée également entre eux, puis venir énoncer en fin d’article que les médias leur mettraient des bâtons dans les roues ? Même pire, osé dire que ces parties seraient « susceptibles de rompre avec le Système » ?

                                Quant aux divagations sur les pourcentages qui diviseraient la population en deux, les dupes et les sceptiques, elles proviennent d’une logique totalement binaire, dichotomique qui mène à l’erreur lorsqu’elle est reportée n’importe comment n’importe où. Il y a certainement des soi-disant « dupes » qui auraient préféré le confinement ciblé plutôt que le confinement général. De même, il doit bien y avoir des « sceptiques » qui sont en accord avec l’idée d’un confinement général. De plus, de vrais sceptiques n’ont que faire des considérations relativistes nietzschéennes qui laisseraient le peuple à son sort. Tel n’est pas le rôle de l’homme politique, au passage. Tous les écrits de Nietzsche ne s’adressent pas à cette fonction. Du simple fonctionnaire d’Etat aux représentants de l’Etat, il n’est nullement mentionné qu’il est de leur devoir que d’agir ainsi. Vient alors que le confinement se devait d’être général puisqu’il est du rôle du politique de penser le bien de tous en de telle situation. Un tout petit aspect de ce que l’on nomme le « bon sens » vous tire sa révérence, monsieur. Avec mon respect car pour tout le reste cela me semble bien pertinent.


                                • Michael Gulaputih Michael Gulaputih 4 juin 2020 09:53

                                  @ Alexandre Gerbi

                                  Merci pour cet article très complet et très fouillé.


                                  • Laulau84 4 juin 2020 12:00

                                    Tout est dit dans cet article ! Le confinement général était d’une absurdité sans précédent.....Il fallait en effet protéger les personnes les plus fragiles (personnes âgés, gravement malades etc....) Ce qui n’a même pas était fait, je pense notamment aux EPHAD où l’on a confiné nos aînés tous ensemble (population la plus à risques) et où le virus c’est alors répandu comme traîné de poudre ! sans ça nous aurions pû donc éviter les plus de 10 000 décès dans ces établissements......aujourd’hui nous allons prendre de plein fouet cette énorme crise économique qui elle (et contrairement aux épidémies) n’aura pas de fin avant de très longues années !

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