« Ensauvagement et séparatisme » : Pour certains syndicats d’ultra-gauche, il ne faut pas stigmatiser ceux qui rejettent nos lois !
Enfin une bonne nouvelle : nos pouvoirs publics ont enfin fini par comprendre les conséquences de cinquante ans d'une politique migratoire démagogique et incontrôlée. La France est "ensauvagée", une réalité incontestable quand on compare le degré actuel de violence dans l'hexagone (agressions, vols, viols etc.) aves celui d'il y a quelques décennies. Voitures brûlées, femmes violentées en raison de leur origine ethnique et de leur tenue vestimentaire trop libre (affaire de Strasbourg), squats de résidences secondaires par des "primo-arrivants", agressions physiques pour un oui ou un non, le climat de la France devient irrespirable.
Cet ensauvagement est accompagné d'un séparatisme de groupes communautaires qui rejettent les lois et les traditions franco-européennes, au nom d'une idéologie médiévale issue de la péninsule arabique dénommée "islam". Certes, les interprétations très diverses de cette religion, et l'arrivée massive de prédicateurs radicaux algériens sur notre territoire dans les années 1990 ont engendré une sous-culture "islamo-racaille" dans les cités HLM, avec ses rappeurs, des dealers et ses imams autoproclamés. Une logique qui a fait fuir les citoyens français solvables de quartiers livrés à la loi des bandes et des prédicateurs islamistes. Si ce n'est pas du séparatisme, qu'est-ce que c'est au juste ?
Cette situation impensable dans des pays comme la Pologne et la Hongrie, où pourtant beaucoup d'habitants vivent dans des barres HLM (héritage du communisme oblige), sans émeute ni voitures brûlées, torpille la thèse gauchiste de l'excuse sociale et de la prétendue pauvreté qui engendrerait de la violence. Pour avoir visité des endroits comme Bratislava et quelques villes polonaises (Czestochowa), je peux en témoigner. Il est vrai qu'il n'y a pas d'islamistes dans ces contrées.
Donc notre gouvernement va prendre les choses en main pour lutter contre ce séparatisme et reconquérir les quartiers. Nous verrons à l'oeuvre quels seront les moyens employés. Mais cette politique qui devrait faire consensus trouve étrangement des contradicteurs... Qui, au juste ? Les trafiquants, les prédicateurs ? Non, vous n'y êtes pas, il s'agit de nos amis des associations d'ultra-gauche qui y voient de la "stigmatisation"(!).
Vous ne rêvez pas. Un collectif de syndicats subventionnés a publié un communiqué pour dénoncer le vocabulaire gouvernement (voir le communiqué ci-dessous). "Racisme colonial", "harcèlement des musulmans", affaire Obono, "égalité contre tous les racismes", loi de 1905 détournée à toute les sauces... Ainsi que le cas de cette déléguée UNEF voilée de la tête aux pieds (impensable là-encore il y a quelques années) : les sophismes gauchistes sont résumés dans cette lettre totalement décalée et démagogique.
Si nous suivons la logique des permanents syndicaux enseignants, il ne faudrait pas stigmatiser et généraliser les actions de quelques uns. Certes, tous les islamistes ne sont pas des terroristes, des brutes et des trafiquants. Les soufistes, par exemple, pratiquent un islam familial (paradoxalement, c'est celui qui ennuie la gauche française : les femmes au foyer, le père de famille...). Sauf qu'en suivant cette logique (les uns et pas tout le groupe), nos syndicalistes auraient aussi défendu les sympathisants nazis dans les années 30, puisque la majorité d'entre eux pensaient et laissaient les autres agir à leur place. Ajoutons qu'il y a trente ans, les syndicats défendaient une laicité stricte et s'opposaient vigoureusement à l'islamisme, alors pourquoi une telle évolution ?
La raison est simple comme l'électoralisme. Les musulmans sont désormais des clients-électeurs, et la plupart des syndicalistes professionnels sont aussi conseillers municipaux des communes de banlieue. Enseignant (qui enseignait devant les élèves) dans le 93, j'ai bien connu ces gens qui vendaient des adhésions à de jeunes collègues pour soi-disant défendre leur mutation, quand ils militaient pour la stabilité des équipes pédagogiques en tant qu'élus locaux. Ils n'ont pas changé, à présent ils défendent leur cheptel électoral.
Autre point démagogique, des petits malins détourneront le "séparatisme" pour l'associer aux méchants capitalistes qui se moquent eux-aussi de la république. Sauf qu'il s'agit d'un autre problème. La libanisation de la France est un véritable fléau, qui hélas ne se résoudra pas avec quelques lois non applicables. Pour autant, la responsabilté d'une certaine gauche dans ce désastre est indiscutable. Qui a installé ce communautarisme dans nos quartiers ? Qui a fait fuir les autochtones de ces mêmes quartiers ? Qui associe le christianisme à l'islam alors que le premier n'a rien à voir avec le second ? Qui est incapable de se remettre en question ? La réponse est dans l'entête de la letter syndicale. C'est d'abord une révolution des consciences qui fera changer les choses, et non la basse démagogie...
Petit rappel de l'époque où la gauche ouvrière était encore patriote et défendait les prolos contre les "sauvages" (Georges Marchais, 1980) :
https://www.youtube.com/watch?v=sCfVkATt1vs
Lien vers le communiqué du Snuipp :
http://93.snuipp.fr/IMG/pdf/25_09_20_expression_intersyndicale_sur_le_separatisme.pdf
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