L’assurance maladie : enfin … la fin !
L’assurance maladie : enfin … la fin !
C’est ce que peuvent dire banquiers et assureurs après l’annonce des projets gouvernementaux de réforme de l’assurance maladie.
Depuis quelques années, le remboursement des dépenses de santé par les banques et les compagnies d’assurances se développe sous l’appellation de « complémentaires santé ». Ce qui veut dire en clair que ces institutions financières ont mis la main sur des sommes d’argent importantes.
Il leur reste à mettre la main sur l’argent des mutuelles et sur celui de l’assurance maladie.
Les gens du gouvernement présentent leur affaire sous un bon jour : pourquoi imposer aux citoyens des cotisations multiples et perdre de l’argent dans le paiement d’agents qui traitent les mêmes dossiers et qui font « doublon » ? Et le coup de main financier qui serait nécessaire, sera apporté par l’Etat à cette nouvelle institution, comme avec l’ancienne « assurance maladie ».
Evidemment, - alors même que l’équipe au pouvoir ne cesse d’effrayer les citoyens avec l’augmentation de la dette, de prôner la diminution des dépenses, et de leur faire accepter le rétrécissement des services publics (en vue de leur transfert vers les groupes privés) - , les mauvais esprits sont tentés d’émettre l’hypothèse que ces discours « cachent quelque chose » ( et que ceux qui les émettent se "moquent du monde").
Ce qu’il y a « derrière » le discours, se trouve en réalité déjà inscrit dans la constitution elle-même. Expliquons.
En 1995, furent ajoutées à la liste des questions pouvant être soumises à référendum (art. 11) , les réformes « relatives à la politique économique ou sociale de la nation et aux services publics qui y concourent ». Ces dispositions permettaient que l’assurance maladie puisse devenir un « produit » parmi d’autres, vendu par les compagnies d’assurances. Parce que la constitutionnalité des futures lois de financement de la sécurité sociale devant réaliser ces changements, paraissait incertaine au regard des dispositions du préambule de la constitution de 1946. Le référendum permet du point de vue de la technique juridique, que ces réformes soient faites sans risque puisque le Conseil constitutionnel refuse (jusqu’ici) d’apprécier la constitutionnalité des lois référendaires (1). Et il suffit que le texte du projet de loi référendaire soit habilement rédigé pour que le bon peuple soit content d’être consulté, sans pour autant qu’il puisse mesurer la portée de son vote.
Dans le moment, des compagnies d’assurances engagèrent d’ailleurs des juristes pour voir comment elles pourraient avoir accès au dossier médical de leurs futurs clients avant de signer le contrat.
Donc … Ca y est !!!
Ce que les dirigeants n’ont pas encore dévoilé (ils ne peuvent pas en prendre le risque sans préparation préalable de l’opinion publique, préparation dont l’organisation de symposiums fait traditionnellement partie) , c’est la manière dont ils s’y prendront.
Ils pourraient par exemple le faire en mettant en place un organisme dont le capital serait détenu par l’Etat / assurance maladie, par les banques, par les compagnies d’assurance et par les mutuelles. Il suffirait que, plus tard et progressivement, les banques et les compagnies d’assurance augmentent leurs parts (et que l'Etat et les mutuelles diminuent les leurs) ; puis que ces parts soient transférées (l'organisme disparaissant) vers les propriétaires du secteur de la finance, pour que le vieux projet des idéologues de la société dérégulée, connaisse son aboutissement dans ce secteur.
A suivre.
Marcel-M. MONIN
m. de conf. hon. des universités
(1) sur cette question : v. « textes et documents constitutionnels. Analyses et commentaires. » Dalloz – Armand Colin
40 réactions à cet article
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Cela fait déjà bien longtemps que l’argent public destiné à couvrir les frais médicaux est détourné pour enrichir des privés. Pas exemple, les étages d’hôpitaux publics baptisés « cliniques privées » attribués à des mandarins et exercent des chantages sur la qualité des soins entre les différents étages du bâtiment. Tout ça en mélangeant allègrement personnel et matériel.
Le phénomène ne fait que s’amplifier, mais ça va dans le même sens que tout le reste.
J’ai cru que la finalité était de réduire l’état à ses fonctions régaliennes, mais je n’ai même plus cette illusion : l’armée la police et les services publics deviennent des milices et des messageries, les autoroutes sont livrées à des vampires et les filières scolaires d’« excellence » sont les écoles privées.
Même les impôts finiront pas être collectés par les banques et gérés directement par Arnault, Bouygues et Bolloré.
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@Docteur Faustroll
« Même les impôts finiront pas être collectés par les banques et gérés directement par Arnault, Bouygues et Bolloré. »
Ce n’est pas déjà le cas avec les partenariats public/privé ?
Tout n’est pas rentable dans les « soins », il va bien falloir préserver un bout de la sécu, ou/et, rouvrir les dispensaires avec les sœurs à cornette pour les indigents.
Ah... Le progrès...
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@Clocel
même pour ce qui est de la « rentabilité », il y a des solutions :
— la moins probable est une modification des repères du curseur du serùent d’Hippocrate. Peu probable mais partiellement réalisé. Les « acharnements thérapeutiques » genre Franco ou Saron ne concernent pas le dernier des petzouilles.
— ce qui n’es pas « rentable » est compensé par la « mutualisation » qui prélève uniformément et redistribue sélectivement. Les banques et assurances qui s’appellent encore « mutuelles » (CM, CA, MAIF...) ont compris ça depuis longtemps. Ce sont de grosses lessiveuses qui continuent à faire croire à leur gibier qu’ils sont des « sociétaires » et élisent le conseil d’administration. Ton argent n’est pas rémunéré, mais il est prêté et leur rapporte des intérêts aux destinations inconnues. En matière de magouille, il n y a pas de limites. -
Ne dérangez pas les boomers dans la contemplation de leur nombril, il y a une élection qui se prépare, il conviendrait de hiérarchiser convenablement les choses, et, le pangolin court toujours !
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Cela finira privé, tu as les moyens tant mieux autrement tant pis, l’école va aussi suivre ce chemin puis la police et enfin l’armée ....
Et on continuera a payer ....
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@zygzornifle
Faut espérer le vaxxin obligatoire et payant. -
@zygzornifle
« Et on continuera a payer .... »
Non... La bonne nouvelle c’est que demain n’aurait plus besoin d’esclaves, le maintient de l’ordre peut être confié aux machines, l’espèce en profitera pour récupérer un peu de dignité.
Nous sommes obsolètes sur une terre aux ressources limitées, enfin, tu connais la suite...
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@Clocel
des robots ?
Mais pas que ... -
@Francis, agnotologue
https://lesmoutonsenrages.fr/2021/11/02/le-ministere-de-linterieur-commande-90-vehicules-blindes-de-maintien-de-lordre-a-la-societe-soframe/
Ce doit être pour protéger les manifestants. Merci Micron -
Ben oui c’est un dégât collatéral de la fausse pandémie prévu de puis longtemps, la disparition de la sécurité sociale. Mais attention la CSG va quand même perdurer. Elle va servir à alimenter la fausse élite qui va soi-disant l’utiliser contre le réchauffement climatique. On va la baisser de 1% par exemple pour faire plaisir aux « marqués de la bête » qui comme d’habitude prendrons cela comme une largesse du pouvoir.
J’espère que les manipulateurs lors de la 3eme injection remettront ce pin’s à tous les vaxxinés. Ca pourrait leur servir de QR Code :
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Macron refait le plein de la Sainte-Barbe, on se demande bien pourquoi !?
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Quand on parle de mutuelles on parle de deux types de sociétés, les « vraies » mutuelles n’ont pas d’objectif de rendement, elles sont affiliées à la Mutualité Française, les autres dépendent des sociétés d’assurances qui ont des objectifs de rentabilité, des conditions d’accès et de remboursement qui peuvent dépendre de la situation de l’adhérent (état de santé, âge, cotisation, remboursements etc).
Mais j’ai cru comprendre que certaines règles européennes allaient dans le sens d’une privatisation et de rapprochement du fonctionnement des mutuelles vraiment mutuelles, c’est à dire des organismes de solidarité souvent liés à des professions, sans recherche du profit, vers un système plus marchand.
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Rien à redire, sauf ceci : pourquoi cela s’arrêterait-il à la sécu ? Quand ils pensent imiter le bon modèle (anglo-saxon), ils ne savent plus s’arrêter, ces cons...
C’est surtout que ça signifie qu’ils n’y croient pas, aux pandémies gravissimes, sinon cet organisme resterait nécessairement dans le public pour éviter des milliers de contaminations mortelles pour cause d’absences de soins et d’arrêts maladie.
Il est vrai qu’une maladie ne peut pas être à la fois pandémique ET mortelle, mais le temps que les mougeons le comprennent... !
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Le modèle social français est assiégé depuis 1945Une vérité difficile à croire ?
Les propos du DRH de Ryanair sont limpides.
« Le système de protection sociale de la France est à détruire, parce qu’il appartient à l’âge de pierre ! »
« La sécurité sociale est un vestige communiste de 1945 » éructe Anne Bourdu.
La situation globale en France en 1945 est assez originale.
Le patronat a globalement collaboré : il se terre.
Le pc est à 24 %, il est armé.
On crée la sécurité sociale : une seule caisse pour tous les risques de la vie.
Mais dès 1947, première attaque des nantis : il y aurait un « trou de la sécu ».
Depuis, on a eu 88 détricotages de la sécu, qui ont commencé par diviser cette caisse unique en plusieurs risques : vieillesse, maladie, maternité, …
Franck Lepage => Le ridicule ne tue pas, sinon sarko serait dcd plusieurs fois...
« Vouloir moraliser le capitalisme » prédateur,
c’est aussi crétin que de rencontrer un tigre dans la jungle et de lui dire « couché, kiki » !
https://www.facebook.com/PerspicaceInfo/videos/349282522186513/
On doit comprendre que la France est, bien avant thatcher, reagan & co, et leur slogan tina « there is no alternative », une cible essentielle pour les gouvernements libéraux, les banquiers, et les multinationales américains et européens (à l’exception de la suède),
Gde Bretagne et Allemagne en tête,
fidèlement suivis par les pays de l’est qui ne veulent surtout pas perdre leur avantage salarial,
dont l’Allemagne s’est servi pour éliminer ses concurrents européens, se constituer des excédents incohérents, et presser son principal ennemi : le système social français ...
Le marché unique a été configuré selon les desiderata d’un cartel de dirigeants d’entreprises européennes (automobile, chimie, construction, banque) réunis la première fois à Londres, sans vergogne ni secret au milieu des années 80, puis devenus très discrets.
Découvrant les atouts extraordinaires des pays sans protection sociale, si nombreux dans ce monde, ils ont tous enfourché leur dada :
« Vive la mondialisation ! », qui permet tous les chantages …
La chute de l’urss a été leur acmé.
Ni sarko, ni flanby, ni micron ne font ou n’ont fait rien pour le protéger, au contraire : ce sont des pantins => leurs commanditaires sont les rois de la finance et du medef.
Et la propagandeLes fayots des médias brandissent des pseudo arguments,
qui ne sont pas souvent démontés publiquement :
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« équilibre budgétaire »,
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« ne pas dépenser plus qu’on ne gagne »,
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« privatiser est désirable »,
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« c’est à cause de l’Europe »,
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« la mondialisation s’impose à nous » …
alors que ce sont uniquement des positions idéologiques et des alibis.
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@suispersonne
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« équilibre budgétaire »,
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« ne pas dépenser plus qu’on ne gagne »,
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N’est ce pas ce que chaque famille devrait faire pour rester en équilibre ? le bon sens implique que ce qui est raisonnable au niveau individuel l’est aussi au niveau national , la nation étant une grande famille , il est naturel qu’un budget soit équilibré et qu’il ne faille pas dépenser plus que ce que l’on gagne , sinon c’est de l’idéologie.
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@suispersonne
Bravo ! Cela aurait mérité un bon article plutôt qu’un commentaire.
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@Ausir
Vous ne comprenez pas qu’il ne suffit pas d’enfiler des évidences comme des perles pour justifier des préjugés ? -
La marchandisation de la maladie découle de l’idéologie de l’état centralisateur et redistributeur qui doit tout diriger et gérer les relations entre les gens et la solidarité et détruire le réseau hiérarchique naturel qui existait entre les gens (au nom de l’égalité ) , la loi naturelle du marché étant ainsi détruite = idéal socialiste .
Ca ne fonctionne pas dans les faits et devient du despotisme d’état , qui ensuite est incapable de gérer et de maintenir un équilibre , ayant détruit l’équilibre naturel pour un artificiel et étant contraint de déléguer au privé pour ne pas sombrer dans le chaos comme tous les pays communistes .
Donc ce ne sont pas contre les grands groupes qu’il faut lutter, qui ne sont que la conséquences d’une idéologie mortifère d’égalitarisme, mais contre cette idéologie d’état centralisateur .
Cela fonctionnait beaucoup mieux avant quand les services s’organisaient selon les talents humains sans état normalisateur , et nous seront obligés de revenir à l solidarité régionale et l’organisation des services par des régions indépendantes , quand le système se sera écroulé .
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@Ausir
Vous êtes parfaitement clair :
— partisan des renards libres dans les poulaillers libres,
— hostile à la solidarité,
— hostile à l’égalité (pour vous c’est un fantasme nié par des différences « évidentes » de capacités),
— hostile à la fraternité,
— fan de votre liberté supérieure à celle des autres.
En gros, vous êtes candidat à l’aristocratie, dont vous regrettez la domination passée, mais que vous retrouvez bien confortable parmi les zélites. -
@suispersonne
je suis pour respecter la réalité et la nature humaine , et apprendre de l’histoire , or l’histoire nous dit qu’avant ca se passait mieux , qu’il y avait moins de pauvres , moins de violence , et que nous sommes en plein chaos .
qu’est ce qu’il y a de changer ? les droits de l’hommisme et l’état qui centralise au nom d’une égalité qui est un leurre , une idéologie , -
Merci @ l’auteur pour le partage.
Pourris jusqu’à la moelle par leurs monstrueuses fortunes, qu’ils doivent à la constante stupidité d’une non moins constante majorité d’entre nous depuis des siècles, les ploutocrates occidentaux se considèrent comme une nouvelle aristocratie et, tout logiquement, veulent (r)établir une nouvelle féodalité, qu’ils veulent plus aboutie et redoutable que la précédente, avec les néo-vilains que nous sommes à leurs yeux et qu’ils trouvent bien trop nombreux à leur goût.
Or ces temps crépusculaires que nous vivons, où le mensonge est loi et les menteurs sont rois, portent aussi en germe de nouveaux sans culottes, se préparant à prendre d’assaut les nouveaux fiefs et autres bastilles.
Toujours rien de nouveau sous le soleil, l’Histoire se répète cycliquement et « Vae victis ». . .
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Quant aux zélites, pppdrep et merdiacrates qui répètent comme des perroquets au discours bien pauvre :
« la france est la championne mondiale des prélèvements »
Il faut inclure aux prélèvements dans les autres pays, si « vertueux », mais où il est tellement plus facile de tomber dans la misère, les dépenses d’assurances santé, prévoyance, décès ... privés.
Et la chanson n’est plus du tout la même !
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@suispersonne
Ca devient débile ces arguments.
C’est bien connu en Suisse ou aux Pays Bas les 2 seul pays d’Europe ou l’assurance santé est privé ils sont tous dans la misère et les gens quêtent dans la rue pour payer leurs soins.
Ayez peur ! Tremblez le diable du secteur privé mange des enfants.
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@Spartacus Lequidam
La Caisse nationale de l’Assurance Maladie (Cnam) est un établissement public national à caractère administratif, jouissant de la personnalité juridique et de l’autonomie financière.
Elle est soumise à une double tutelle de contrôle : celle du ministère chargé de la Sécurité sociale et celle du ministère de l’Économie et des finances. Elle n’est pas une administration dirigée par l’état, et d’ailleurs ses personnels ne sont pas fonctionnaires mais ont un contrat de travail de droit privé, et elle est gérée par un conseil d’administration :Instance politique de la Cnam, le Conseil composé de :
- treize représentants des assurés sociaux. Ils sont désignés par les organisations syndicales de salariés interprofessionnelles représentatives au plan national : CGT, CFDT, CGT-FO, CFTC, CFE-CGC ;
- treize représentants des employeurs désignés par les organisations professionnelles nationales d’employeurs représentatives (Medef, CPME, U2P) ;
- trois représentants désignés par la Fédération nationale de la mutualité française (FNMF) ;
- quatre représentants d’institutions intervenant dans le domaine de l’assurance maladie, désignées par le ministre chargé de la sécurité sociale : Fédération nationale des accidentés du travail et des handicapés (Fnath), Union nationale des professions libérales (UNAPL), Union nationale des associations familiales (Unaf) et Collectif interassociatif sur la santé ;
- un personnalité qualifiée dans les domaines d’activité des organismes d’assurance maladie, désignée par le ministre chargé de la sécurité sociale ;
- un représentant d’une organisation étudiante représentée au CNESER (depuis le plan étudiants de 2018 et l’intégration du régime étudiant de sécurité sociale à la CNAM) ;
- trois représentants du personnel (représentant respectivement les employés et assimilés, les praticiens-conseils et les cadres), avec voix consultative.
Assistent également au Conseil le directeur général, l’agent comptable national, le contrôleur économique et financier et le médecin-conseil national. Des commissaires du gouvernement représentent les ministres chargés de la sécurité sociale et du budget9.
Le mandat du Conseil de la Cnam est de cinq ans. Il élit, à bulletin secret, en son sein, son président et son vice-président.
Au fait, si vous nous faisiez un petit point d’actualité sur la situation des fonds de retraite au Chili et leur fiasco total ?! Il est où le taux de remplacement de 70% promis par le frangin de Sebastián Piñera ??? !!!
En 2010, contrepoints.org écrivait sans rire :
’’Selon des projections récentes, un travailleur chilien ne devrait travailler que 28 ans pour obtenir une pension au montant égal à celui de ses derniers salaires, dès lors que la rentabilité moyenne réelle des fonds de pension se situerait à 6% annuel.’’
https://www.agoravox.fr/spip.php?page=forum&id_article=236941&id_forum=6183995&idf=6184030
MDR
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Il faut ajouter qu’à l’origine, aucun politicien n’avait le droit d’intervenir dans la gestion de la sécu.
C’était exclusivement une gestion paritaire,
qui les défrisait (les sommes en jeu sont de plus de 2 fois le budget général),
et qui a été sucrée en quelques étapes de forfaiture.
Noter aussi que le fameux « trou » fantasmé de la sécu, évoqué à 90 reprises depuis 1947 par des gouvernants cherchant un prétexte à intervenir,
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constitue la fortune du business médical,
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est facile à provoquer par l’état qui ne reverse ses cotisations d’employeur et celles de ses salariés que quand il ne voit pas comment l’éviter,
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produit une propagande pour l’instrumentaliser,
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aggravé par une avalanche d’exonérations non compensées.
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Franchement cet article c’est n’importe quoi et l’auteur ne sait rien de ce qu’il raconte.
L’assurance maladie en France n’est pas l’état mais assimilée. Il existe plusieurs organismes, la CPAM, MSA, Mutuelles étudiantes, caisse alsace lorraine, RSI le bobo qui écrit l’article est à la MGEN et il en existe bien d’autres.
L’auteur qui dépend de tout et pour tout de l’état et rien du secteur privé qu’il déteste par sociologie de caste s’étrangle de douleur quand on parle du secteur privé.
Le monopole de l’état sur le conventionnement gère très mal l’assurance maladie.
Si vous en voulez une preuve essayer d’expliquer ce qu’est la « CRDS ». Une taxe pour mauvaise gestion passée qui compense les pertes d’une mauvaise gestion.
Il existe des preuves que cela peut être mieux géré selon l’organisme.
Il existe par exemple dans le secteur privé en Alsace lorraine le choix entre « CPAM et »Le régime local d’Alsace-Moselle".
Le régime Alsace lorraine gère mieux.Le job de l’assurance peut être étendu pour le bénéfice de tous au secteur privé.
Ce sera mieux fait.Le job est simple, encaisser des fonds et les redistribuer en fonction d’un cahier des charges conventionnel.
Chacun peur se référer la Suisse. L’assurance maladie y est moins chère, et excellente. Chacun sait ce qu’il paye contrairement au français qui ne sait rien de rien de sa propre feuille de paye.
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@Spartacus Lequidam
Vos jugements péremptoires et désobligeants ne vous honorent pas.
Nos connaissances sont largement suffisantes pour ridiculiser vos positions, mais nous n’avons aucune motivation à le faire.
Vous ne démontrez rien d’autre que des parti pris idéologiques.
Vous avez le droit de penser ce que vous voulez.
Ne soyez pas étonné de ne pouvoir convaincre que vos semblables, mais en aucun cas les gens qui réfléchissent. -
@suispersonne
T’es même pas foutu de savoir quel pourcentage de ta paye ton employeur envoie à la sécu.Les connaissances de fonctionnaires qui vivent dans un monde stéréotypé anti-secteur privé par sociologie de caste intellectuelle et n’ont jamais fait de salaire, envoyé un transfert a une caisse sociale sont largement insuffisantes sur un sujet comme cela.
C’est d’ailleurs le résultat. Un résumé de poncifs de leur caste.
Et en contradiction de l’attaque sur la personne faute de ne rien comprendre sur le sujet. -
@Spartacus Lequidam
« Chacun peur se référer la Suisse. L’assurance maladie y est moins chère, et excellente. »
Smic en Suisse : 4000 €... mais bien sûr, cela n’a rien à voir avec le coût de la vie.
J’en connais, des jeunes qui sont partis travailler en Suisse. Ils sont vite revenus ! Et pour tant de raisons, que je n’ai pas le temps d’en parler ici.
Vous êtes une triple buse, warrior-de-mes-fesses, faites le dixième de travail d’un simple employé, avant de venir vous faire mousser.
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@Spartacus Lequidam
Le RSI n’existe plus.
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@Spartacus Lequidam
’’T’es même pas foutu de savoir quel pourcentage de ta paye ton employeur envoie à la sécu.’’
Il suffit de lire sa feuille de paye pour le savoir puisque toute les cotis salariales et patronales y sont indiquées
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@Spartacus Lequidam
Même la très libérale Maggie n’a pas privatisé la sécu du R-U.
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@Garibaldi2
’’Même la très libérale Maggie n’a pas privatisé la sécu du R-U.’’
En effet, mais Margaret Thatcher n’était pas corrompue, elle. -
Ça va être chouette quand va y’avoir les bonus-malus !! Holà !! Vous êtes tombés trois fois malade cette année ? Fini les remboursements !!
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Tous les citoyens susceptible d’avoir des revenus paient des cotisations sociales & de santé .
Actuellement si un citoyen lambda est fortement malade et nécessitant des soins en établissement hospitalier il n’est pas certain d’être prit en charge .
Car si ce citoyen n’est pas vacciné et qu’il tombe sur un oncologue exigeant la vaccination du patient avant tout traitement, le patient sera renvoyé chez lui sans soin s’il ne se vaccine pas .( 1 exemple vécu)
Et les cotisations sociales que le citoyen en question paie tous les mois seront détournés .
On se trouve bien dans le cas d’une extorsion d’argent(les cotisations) par intimidation, donc Macron est un escroc , sa bande de voyous sont les médecins .
Il y a des médecins qui ne sui..........
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En Alsace, il y a un système unique base+complémentaire , c’est plutôt dans ce sens qu’il aurait fallu aller. Mais l’esprit du temps est celui de la privatisation et des profits, alors que le rivé a laissé filer l’industrie, il veut investir les services publics.
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typo : « alors que le privé... »
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Les vrais problèmes ce sont les doublons administratifs de tous les services publics en général et des hôpitaux en particulier. Ce prix est devenu exorbitant au fil des 50 dernières années. Il y a aussi cette idéologie fantasmagorique que la France se doit de soigner le monde entier sur son territoire et avec ses seuls deniers. Tout ça est absurde, il faut stopper promptement cette fuite en avant.
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Un cluster dans un hôpital où pour rentrer il faut un pass ou un test , curieux ?Mais le ministre de la maladie avait déclaré que les personnes vaxxinés pouvaient transmettre ou développer la maladie donc les plus protégés c’est bien les non vaxxinés et leur immunité naturelle , ah ah ahaaaaa, dites 33 .....Comique cette médecine de bar/tabac ...
https://www.francesoir.fr/politique-monde/mails-delfraissy-fauci-
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/me-di-vizio-audience-raoult
« L’institution judiciaire s’en est trouvée grandie » : c’est un avocat satisfait de la qualité de l’audience qui nous la relate. Fabrice Di Vizio plaidait vendredi à Bordeaux pour défendre le professeur Raoult qui comparaissait devant la chambre disciplinaire du Conseil de l’Ordre. Du temps pour examiner en détail le dossier, du temps laissé à la défense pour s’exprimer, les débats ont été selon lui d’une bonne tenue, raconte son défenseur, prolixe et plutôt confiant, le lendemain. Quels griefs exacts étaient formulés ? Comment s’organise la défense du directeur de l’IHU, qu’il partage avec Maître Grazzini ? Quelles spécificités ont ces juridictions disciplinaires dont il est familier ? Comment a-t-il vécu cette procédure ?
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