• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Le cinéma d’antan

Notre musée le "Millennium Iconoclast Museum of Art" (MIMA) présente un duo d'expositions "Drama, The art of Laurent Durieux" et "The ABC Of Porn Cinema" repris sous l'intitulé "Double Bill" .

La première "Bill" apporte le souvenir du cinéma en 35 mm par ses différentes affiches de films rassemblées par Laurent Durieux.

La seconde, l'époque du cinéma de la pornographe au cinéma l'ABC, aujourd'hui, disparu.

1. Les affiches de cinéma

Près de 100 affiches réalisées de 2012 à aujourd'hui par Laurent Durieux pour les réalisateurs Francis Ford Coppola et Steven Spielberg. Il a notamment dessiné celles des films "Les Aventuriers de l'Arche Perdue" et "Shining".

Au départ, l'histoire du cinéma en salle se concevait uniquement en 35mm en des kilomètres de films défilant à 24 images par seconde devant l'objectif. Même à l'abri, il peut avoir stocké des poussières et de l'humidité même s'il peut en principe, se conserver des centaines d'années.

Les cinémas de Bruxelles localisés souvent au nord de la ville ont connu leur succès entre les années de la 2ème moitié du 20ème siècle dans de relativement petites salles qui se sont multipliées de premières exclusivités à cinémas populaires. En 1960, en ville, on en compte plus de 160. Elles atteignent pourtant des démentions de l'Eldorado de la place de Brouckère. En 1906, le numéro 36 de la place de Brouckère est converti en salle de cinéma et est appelé Cinéma Américain ; il est renommé Cinéma des Princes en 1915. Le Cinéma Eldorado est construit à sa place en 1931 et 1932 par l’architecte Marcel Chabot dans le style art déco. Sa salle, composée d’un parterre et d’un balcon compte plus de 2700 places et ses murs latéraux sont décorés de sculptures brillantes et dorées, de Maurice Wolf de Van Neste, illustrant l’imagerie coloniale du Congo belge des années 1930. En 1977, l’Eldorado absorbe le Scala, cinéma voisin du numéro 30-32, formant ainsi un complexe de sept salles qui rassemble plusieurs films d'actualité, en devenant l'UGC de Brouckere ouvert en 1992.

Le , l’UGC De Brouckère fait, en grande pompe, la première mondiale du film Les Aventures de Tintin : Le Secret de La Licorne de Steven Spielberg d’après l’œuvre d’Hergé

La transformation est allée très vite en une espèce de supermarché du cinéma et a fait péricliter tous les cinémas de quartier. 

Les cinémas du Heysel n'ont fait que précipiter la déchéance des petites salles.

La télévision avec des écrans numérique sde plus en plus larges, y a ajouté un couperet. 

Pour survivre, des salles comme le cinéma Galeries se sont spécialisées dans des films d'auteurs en marge des grands blockbusters. 

Puis est arrivé le cinémascope et les grands spectacles sur écrans élargis.

Les grands films souvent documentaires, le cinérama se retrouve sur des écrans énormes conçus pour que les spectateurs puissent s'intégrer dans l'image en y associant le son et parfois les trépidations des sièges.

Le cinéma en relief, demandant des lunettes spéciales, n'a pas eu le succès espéré. 

Après les cassettes louées, Internet a bousculé les habitudes de consommation d'images. La télé subit à son tour un revirement de la situation du cinéma sur demande diffusées sur le Web par abonnement en streaming. 

Aujourd'hui, une dizaine de salles maximum à Bruxelles tentent de subsister vaille que vaille contre un nouvel ennemi : le Covid qui a imposé des fermeture de salles.

Laurent Durieux a créé plusieurs affiches de cinéma dont ces trois prises au hasard.

Par la technique dramaturgique et l'ironie, il parvient en une affiche à exprimer le résumé du film qu'il est sensé représenter. 

Comme la plupart des cinémas de quartier ont tous disparu et été remplacés par autre chose de plus commerciale.

A cette époque des années 60, la télé n'était pas encore bien installée présentes au mieux en noir et blanc et ce n'était que les cinémas qui permettaient d'accorder des loisirs avec la couleur.

Sur Facebook, les groupes nostalgiques d'une époque révolue se sont créés comme "La Belgique d'autrefois", "Bruxelles en images à travers les âges" ou encore "Le Vieux Bruxelles" en revenant avec des photos et des films de cinéma pour renouer avec les souvenirs.

Patrimoine de cette époque héroïque, les cinéclubs ressortent les films anciens et parfois tentent de sauver les cinémas de quartier.

La valorisation de ces œuvres photo chimiques peuvent très bien être revalidées et réactualisées par des procédés automatiques de restauration de l'image argentique.

Il faut avouer qu'à partir de 1980, tout a changé quand le numérique a supplanté tous les médias argentiques et microsillons basés sur l'analogique avec des pionniers précurseurs comme le Mavika.

Les photos et films devenus numériques, plus question de voir les images visuellement sans appareil de conversion des pixels.

Nous revivons cette même résurrection dans le son par les disques en vinyle de 45 tours qui reprennent tout à coup une valeur commerciale.

Le film argentique pourrait-il revivre par sa magie de rêves du passé ?

Le billet "mémoire de maitrise" qui suit, indique qu'il y a des candidats au moins à Montréal : 

Le cinéma analogique, entre obsolescence et résistance : l’exemple du collectif Double Négatif

"Chapitre 1 : Ce mémoire de maîtrise se penche sur la place du cinéma analogique à l’ère du « tout-numérique », en particulier dans le domaine du cinéma d’avant-garde. Le premier chapitre se consacre, d’un point de vue historique et théorique, sur « l’air du temps cinématographique », c’est-à-dire, sur le statut de la pellicule dans un contexte où l’on assiste à la disparition du format 35mm, tout aussi bien comme support de diffusion dans les salles de cinéma qu’à l’étape du tournage et de la postproduction. Face à une industrie qui tend à rendre obsolète le travail en pellicule, tout en capitalisant sur l’attrait de celle-ci en la reproduisant par le biais de simulacres numériques. Il existe des regroupements de cinéastes qui continuent de défendre l’art cinématographique sur support argentique.

Chapitre 2 : La pluralité des micros-laboratoires cinématographiques offrent des formes de résistance à cette domination du numérique. En amont, des mouvements de coopératives tels que la "Film-Maker’s Cooperative" de New York et la "London Filmmaker’s Coop" ont compris le changement de paradigme qui s’est opéré au sein de l’avant-garde cinématographique entre les années 50 et 70. Ces mouvements cherchent avant tout une autonomie créative, tandis que les collectifs contemporains dédiés à la pellicule assurent la pérennité d’une pratique en voie de disparition.

Chapitre 3. Une étude de cas sur le collectif de cinéastes montréalais Double Négatif relate tout aussi bien l’historique du collectif par le fondement du groupe lors de leur passage à l’université Concordia, les spécificités qui émanent de leur filmographie avec les multiples collaborations musicales et leur dévouement pour la diffusion de films sur support pellicule, depuis bientôt dix ans, au sein de la métropole à l’image de regroupements similaires ailleurs comme "Process Reversal", "l’Abominable", "Filmwerplaats". Le collectif "Double Négatif" montre des voies à suivre pour assurer que le cinéma sur pellicule puisse se décliner au futur.

--------------

2. The ABC Of Porn Cinema

Exposition consacrée à l'ancien cinéma l'ABC, qui a fermé ses portes en 2013. Situé sur le boulevard Anspach dans le centre de Bruxelles, il était le dernier cinéma bruxellois pour adultes fonctionnant "à l'ancienne", en projetant des films en 35 mm. L'exposition a été réalisée en partenariat avec le cinéma Nova, dont les équipes s'étaient mobilisées à la reprise du lieu pour conserver ce patrimoine.

À travers de nombreux documents, posters, affiches peintes à la main, pavés de presse, photos censurées et installation artistique, ce sont quatre décennies d'activité qui sont présentées au public. Le fonds rassemble quelque 3.000 bobines de films. Cette collection illustre "l'âge d'or" de la pornographie. Elle est à découvrir armé d'un regard critique aiguisé par le recul du temps, car elle est empreinte d'un point de vue masculin et blanc, hétéronormé, sexiste et souvent violent. L'exposition évoque aussi le monde qui entourait le cinéma.

L'aventure du cinéma pornographique commence avec George Scott qui sent le filon du sexe à exploiter dans les années 70.

L'ABC est son bébé.

Il y avait alors deux films présentés entre midi et minuit, en spectacles permanents presque en automatique.

Pas besoin de venir en début de séance, pas besoin d'ouvreuses, pas de chocolats glacés à l'entracte puisqu'il n'y avait pas vraiment d'entracte.

Pas vraiment de scénario non plus. Le spectacle était stéréotypé avec un suspense élaboré sans début ni fin. La position horizontale du porno s'imposait. Les vedettes de ces films avaient un cachet calibré en fonction de l'intérêt de la fréquentation des spectateurs dans le striptease. 

Plus tard, ces cassettes pornos ont permis de voir ce genre de cinéma chez soi. 

Le cinéma Nova non conventionnel et indépendant, géré par des bénévoles, sous le patronage de la "Fondation Cineact" et de "La Cinémathèque", a rapatrié le matériel et les bobines, en attendant peut-être un nouvel investisseur qui aime reconstituer les puzzles historiques. 

Si en Belgique, la Constitution garantit, en principe l'abcence de censure. Le cinéma a été tout de même sous la surveillance d'une "Commission de contrôle" qui veille au respect de la morale et des bonnes mœurs. Elle empêche de voir certains films avant de 16 ans en les mentionnant comme "enfant admis". A la télé, cela a été remplacé par un système de recommandations à surveiller par les parents prévu par les carrés blancs.

Depuis, en cherchant un peu plus loin, les enfants en savent peut-être bien plus que leurs parents sur la "chose". 

N'est-ce pas ce qui est interdit qui intéresse le plus jeunes ou vieux ? 
Un "Jour dans l'histoire" parle de toute cette 'histoire (lien)

...

Réflexions du Miroir

J'ai souvent dit et écrit que le pouvoir, l'argent et le sexe mènent le monde et parfois le bal.

La pornographie, je l'ai rencontrée jeune soldat en faisant mon service militaire lors d'une en manœuvre militaires à Hambourg.

La célèbre "Reeperbahn" est la Mecque du sexe.

Quartiers de rue et de divertissement où le St. Pauli de Hambourg se doit de maintenir le quartier en rouge. Surnommé "die sündigste Meile" (le mile le plus pécheur), il est bordée de restaurants, de boîtes de nuit, de discothèques, de bars, de clubs de strip-tease, des sex-shops et de bordels. 

Dernièrement, notre JT présentait Hambourg. La Reeperbhan en faisait partie dans les dernières images.

Pour un jeune soldat que j'étais, je n'en ai retenu qu'elle. 

C'est peut-être à ce moment-là que j'ai considéré que le sexisme pouvait devenir un danger sous forme d'arme de destruction massive. Mon indifférence vis-à-vis des différences sexuelles s'est construite en considérant l'homme et la femme de la même façon.

Après #BalanceTonPorc, voici ma nouvelle polémique #BalanceTonBar (lien)

Il y a une différence essentielle entre érotisme et pornographie.

Le rapport avec la nudité a toujours été problématique (lien)

Les photos de l'exposition (lien)

Allusion

Documents joints à cet article

Le cinéma d'antan Le cinéma d'antan

Moyenne des avis sur cet article :  2.6/5   (5 votes)




Réagissez à l'article

30 réactions à cet article    


  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 10 janvier 2022 21:39

    Misère...quel bordel !


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 11 janvier 2022 10:21

      @Aita Pea Pea,
        Bien d’accord... à ce sujet...
        Il y avait bien du bordel.
        Comme je l’écrivais hier, il y a une suite à ce billet : « Un univers entre magie et réalisme »
        mais il ne sera pas publié sur cette antenne....


    • mursili mursili 11 janvier 2022 05:59

      Quel est le sujet de cet article sans queue ni tête ?


      • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 11 janvier 2022 08:32

        @mursili,
          Très bonne constatation.
          Il n’y a ni queue ni tête.
          Vous voulez une autre forme de le dire ?
          Cela s’appelle la comedia del arte humaine...
          Tout simplement. Il faut toujours commencer à chercher la queue et remonter au sommet pour espérer trouver le tête. smiley


      • mursili mursili 11 janvier 2022 12:07

        Oui, j’aime bien Sjef van Oekel (Léon la Terreur), c’est souvent très drôle. 



        • mursili mursili 11 janvier 2022 21:05

          @Réflexions du Miroir

          Je m’en réjouis puisque la région est historiquement flamande. Cependant, j’ai l’impression que le flamand occidental ne peut pas se passer du néerlandais standard pour compléter son vocabulaire.

          Par exemple, que pensez-vous de cet article de Wikipedia écrit en flamand occidental ?
          https://vls.wikipedia.org/wiki/Vrankryk

          Sinon, n’est-il pas désolant que des politiciens incultes aient pu nommer « Hauts de France » une région particulièrement plate ?  

          À quoi ça sert que Brel se décarcasse et chante Mijn vlakke land ?

          https://www.youtube.com/watch?v=F6vSjSUbSS0


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 12 janvier 2022 10:18

          @mursili bonjour,
           Exact. 
           Comme en tout, il y a des gagnants et des perdants.
           Le nombre de locuteurs d’une langue est un indice de réussite.
           « Que défendre une langue ou un dialecte ? » est-ce vraiment une question de patrimoine à conserver ou est-ce relié à des règles plus économiques ?
           Brel est un phare pour moi. Brel est à un flamand. Il a écrit deux chansons qui en parlent « Les Flamandes » qui n’apportait aucun problèmes.
           Dans son dernier disque sur les Marquises, une plage est restée interdite « Les Flamingants ».
           Etait-ce son chant du signe ?


        • Pauline pas Bismutée 11 janvier 2022 17:02

          Bon, au moins, c’était pas sur le Covid.....

          Ne pas connaître Thiefaine, oh !....

          « Cinema Paradiso ».https://www.youtube.com/watch?v=C2-GX0Tltgw


          • In Bruges In Bruges 11 janvier 2022 20:44

            Bonsoir Pauline,

            Laissez tomber, c’est du belge. Et les belges et la culture, ben.. comment dire sans être cruel ?

            Le vrai hymne de ralliement des commentateurs du site, ceux qui s’insultent H24 sur le Covid, c’est ce petit bijou de HFT.

            Mais chut, il n’y a qu’eux à ne pas voir qu’ils sont des dingues et des paumés, à se greffer un pavé à la place du cerveau...

            Ils se croient intellectuels !

            https://www.youtube.com/watch?v=ZYd4pybp_a0


          • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 11 janvier 2022 21:08

            @In Bruges
            On pourrait tellement dire de cette chanson ... Elle est ailleur .


          • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 11 janvier 2022 21:18

            @In Bruges
            J’aime les versions live , mais bon la version album reste ma préférée , une théâtralité dans le son .


          • Pauline pas Bismutée 11 janvier 2022 21:59

            @In Bruges et Aita

            C’est pour faire mousser nos bulles smiley


             https://www.youtube.com/watch?v=epqGvW28BZ4

            .




          • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 11 janvier 2022 22:21

            @Pauline pas Bismutée
            22 h43 ...en provenance de Babylone.


          • Pauline pas Bismutée 11 janvier 2022 22:35

            @ㄈϤ尺Цら

            Salut Cyrus
            Ah non, dure c’est pas ça ! Du tout..
            Et l’enfoiré et sa réflexion sont un dédoublement, non ?
            And esqiuse mi, je respecte tout le monde (en gros)...


          • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 11 janvier 2022 22:43

            @Pauline pas Bismutée
            Tout corps branché sur le secteur étant appelé à s’émouvoir. Pile à l’heure.


          • Pauline pas Bismutée 11 janvier 2022 22:45

            @Aita Pea Pea

            Délirer sans autorisation et sans attendre..


          • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 11 janvier 2022 22:52

            @Pauline pas Bismutée
            Tu remarqueras que j’ai suivi la chanson . Sinon Hubert il est ailleurs , et c’est très bien et c’est comme ça que je l’adore depuis des dizaines.


          • Pauline pas Bismutée 11 janvier 2022 23:11

            @Aita Pea Pea

            Oui c’est vrai mais ici le jour va se lever, presque 113e cigarette sans dormir (sauf que je ne fume pas !)
            Ai toujours eu un penchant pour les « décalés » (écoutais même Catherine Ribeiro)..
            Dans la vraie vie aussi, mais c’est une autre histoire smiley


          • Pauline pas Bismutée 11 janvier 2022 23:20

            @ㄈϤ尺Цら

            Bonne Année a toi aussi bien sur, et a tous (enfin moins pire année..)
            Aucune intention de rentrer. Absolument aucune. Alea jacta est.
            Suis sous régime DM (démerdez vous)
            Y a personne au contrôle et pas d’ascenseur au fond des précipices smiley



          • In Bruges In Bruges 12 janvier 2022 09:54

            @Pauline pas B
            Bon, je pars vous rejoindre avec la nyctalopus airlines.
            Vous me reconnaitrez facilement : je serai avec la femme de Loth, qui arrive tout juste d’un été à Tanger....


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 12 janvier 2022 10:25

            @ㄈϤ尺Цら bonjour,
              Oui, doyen d’avox avec une histoire mouvementée qui a bien commencé et parfois devenu une histoire de propagande, de mépris d’un interlocuteur vis-à-vis d’un autre parce qu’il n’a pas le même avis sur les problèmes du moment.
              Figurez-vous que c’est toujours ainsi que cela commence : cassez le naturel il revient au galop.
              La culture est immense. Elle touche à tous les domaines.
              Dans mon journal-blog, la « catégorie culture-art » comportent de nombreux billets 


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 12 janvier 2022 10:26

            @In Bruges
              Faites-lui le bonjour de ma part.... smiley


          • In Bruges In Bruges 12 janvier 2022 17:53

            @Aita Pea Pea
            Exact.
            C’est comme « Affaire Rimbaud », la version live de Bercy / Accor Arena est bonne, mais j’ai jamais retrouvé la magie de la ..cassette originale.
            Petit cadeau ( aussi pour Pauline pas B) : un truc pas très connu, pas très féministe ( mais en 1993 « ça passait crème ») . Une intro et les deux dernières minutes avec des guitares à tomber ( Marzin et Wachtel.. que sont-ils devenus ?).
            Plein de souvenirs là dessus...des slows poisseux, en veux-tu, en voilà...
            Une invention HFTesque : le slow ironique et engagé..
            C’est là
            https://www.youtube.com/watch?v=06wyrNfTHuc

            PS : ch’crois bien que c’était mieux avant, mais chhhuttt, c’est pas porteur


          • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 12 janvier 2022 18:31

            @In Bruges
            Bonsoir. Punaise m’en rappelais plus de celle-là... Peut être un portrait de Pauline des antipodes...


          • Pauline pas Bismutée 13 janvier 2022 17:01

            @In Bruges et Aita

            Sympa le coté « blues »
            En tout cas, avant, c’était moins pire...
            (panne d’internet entre temps)


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 14 janvier 2022 08:04

            @Pauline pas Bismutée
             J’ai bien aimé 

            Mathématiques souterraines

          • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 12 janvier 2022 19:12

            Sinon l’enfoiré , vous qui aimez l’humour allez écouter le 1er album d’Hubert Felix qui date de la fin des 70 : De l’amour , de l’art ou du cochon . Bonne découverte !


            • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 12 janvier 2022 19:42

              @Aita Pea Pea,
                Merci, pour l’idée. Je vais aller voir
                Je ne connais pas C’est de l’humour français
                Si vous ne connaissez pas les cactus, vous verrez que cela vaut le détour aussi  
                Mais tout comme pour moi, qui ne connait pas toute la politique française, il vous faudra vous informer des noms de nos dirigeants.


            • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 12 janvier 2022 19:51

              @Réflexions du Miroir
              Pour les flamands je connais , j’habite à la limite de l’Artois et des Flandres française. Je fais 500 mètres et me voilà en Flandres. pour l’enseignement du flamand occidental le ministère de l’éducation s’est réveillé il y a plusieurs années et propose des cours au collège...il était temps !

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité



Les thématiques de l'article


Palmarès



Publicité