La crise climatique au secours du capitalisme
Un article qui ne devrait pas laisser indifférent tant la question du réchauffement climatique est de l'ordre du sacré, relevant de la religion.
Je suis athée.
Pascal Dubellé alias Antoine Grangeac.
Depuis la disparition du grand rival communiste et soviétique en 1991, le monde s’est installé dans l’économie capitaliste et libérale. Après cette date historique qui succéda à la chute du Mur, ce système économique et social ne semble plus connaître d’alternative pour régner en maître. Toutefois, chacun sait bien que rien ne saurait être éternel. C’est pourquoi, comme Cassandre, je peux annoncer sans crainte de me tromper que le capitalisme aura une fin, ce dont chacun de nous a plus ou moins conscience, même si nous nous laissons bercés par l’illusion d’éternité des institutions. Mais pour ceux qui maîtrisent l’ordre des choses et pour ceux à qui profite le système, imaginer l’après capitalisme est une réelle inquiétude, et tenter d’y apporter des adaptations significatives avant terme est une obsession dont rend compte, entre autres, la publication du Great Reset de Klaus Schwab.
Deux périls menacent l’avenir du capitalisme, le premier concerne la production en raison de l’épuisement des réserves naturelles de la planète, le second concerne la croissance quand recule la pauvreté dans le monde. Si chacun perçoit le premier des dangers, pour le second, le rapport entre pauvreté et croissance peut sembler moins évident et cela mérite de s’y attarder.
Le capitalisme repose sur la notion de profit que traduit la croissance économique ; sans cette croissance, dont rend compte le PIB, le système ne fonctionnerait plus ou serait pour le moins grippé, comme on le dit d’un moteur. Or, pour alimenter la croissance en volume de production, il faut augmenter en proportion le volume de la consommation. Cette donnée essentielle est clairement rappelée par les économistes et fait l’objet d’un chapitre entier du Great Reset où est évoquée la crainte d’une baisse de ce que les auteurs appellent la consommation ostentatoire du fait, notamment, d’une prise de conscience des dégâts occasionnés sur la planète par ce type de comportement. Il y a, en effet, une contradiction de fond entre les exigences du système capitaliste et celles d’une planète à sauvegarder. Ainsi, suivre l’exemple d’un sage comme Pierre Rabhi, récemment décédé, est sans doute profitable à la planète, mais cela mettrait assurément à terre le système économique autour duquel s’organisent le monde et nos existences. Le message de sagesse délivré par le père fondateur de Colibris que l’on peut résumer en cette formule : « N’achetez que ce dont vous avez besoin » est sans aucun doute profitable à l’environnement, il est aussi une invitation à se détacher du matérialisme de l’époque pour accéder à d’autres valeurs, mais il est surtout proprement révolutionnaire, car il n’y a pas plus anticapitaliste que cette consigne.
Accroître le niveau de consommation pour soutenir la croissance répond à la dynamique inspirée par le système. Et le souci des économistes, et de ceux qui nous gouvernent, est de savoir comment favoriser cette dynamique. Parmi les actions requises, ce peut être de veiller au maintien du pouvoir d’achat des consommateurs dont on nous rebat les oreilles en ce moment ; ce peut être aussi d’inciter à dépenser plutôt qu’à épargner ainsi qu’on a pu s’en rendre compte quand, du fait du confinement dû à la Covid, ont été engrangés des milliards d’euros d’économies, une épargne qui loin d’être valorisée, était convoitée pour la relance d’une économie post-covidienne. Un mot d’ordre : dépensez !
Mais toutes ces mesures aussi classiques qu’éculées ne sauraient suffire et elles ne sont ni sans conséquences ni sans contreparties. En réalité, le meilleur moyen d’augmenter le niveau de croissance est de faire en sorte que ceux qui n’ont rien et qui, comme les désigne très justement le philosophe Alain Badiou, sont des laissés pour compte, entrent dans le système en devenant des consommateurs à défaut d’être également des travailleurs, un principe qui se retrouve notamment dans l’idée défendue par certains d’établir un revenu universel. On peut donc dire, ce qui peut paraître étonnant, que les pauvres sont l’avenir du capitalisme ; ils constituent une réserve de consommateurs indispensable au soutien de la croissance.
Dans une économie mondialisée, accorder du pouvoir d’achat à ceux qui n’en n’ont pas, nécessite la mise en œuvre d’actions politiques plus ou moins complexes, locales ou globales. Au niveau des États, ce sont, par exemple, les aides attribuées aux nécessiteux qu’ils soient originaires, immigrés ou réfugiés. Plus globalement, c’est le recours à des plans comme fut le plan Marshall pour l’Europe dans l’après-guerre ou, plus général encore, l’établissement de règles permettant l’ouverture au monde de la production et des échanges. C’est la ligne politique et économique qui fut élaborée et mise en place dans les années 1944-45, suivie dans un premier temps par le monde non communiste avant d’être élargie au reste de la planète après l’effondrement de l’URSS. C’est la mondialisation des années 90 qui connaît son plein essor en ce début de siècle, aidée en cela par les acquis techniques.
Le plan Marshall a permis à l’Europe de l’Ouest, comme on l’appelait, de se relever des ruines laissées par la guerre et de devenir un partenaire (obligé) de l’économie américaine ; c’était du win/win, du gagnants/gagnants, pour l’Amérique qui affirmait son leadership économique, mais aussi politique et culturel et pour l’Europe qui allait connaître la période bénie des Trente Glorieuses. Quant à la mondialisation ou globalisation de l’économie, elle a permis à d’immenses pays comme la Chine et l’Inde, entre autres, de s’extraire du tiers-monde pour devenir des pays en voie de développement avant d’être de véritables puissances économiques, voire des rivaux pour l’Amérique et peut-être même, pour le système.
Cette organisation planétaire de l’économie réalisa, à partir de la fin des années 80, une gigantesque opération de redistribution des richesses qui, naturellement, s’est faite au détriment des pays où était concentrée cette richesse. Durant cette période, l’Europe est sortie cruellement des Trente Glorieuses pour entrer dans une crise dont elle ne perçoit toujours pas la sortie et la classe moyenne américaine souffre, une situation dont a su profiter Donald Trump en 2016. D’ailleurs, en termes de classes, on peut dire que si cette redistribution des richesses a profité à la masse de pauvres - ainsi qu’à une infime partie de riches devenus archi-milliardaires -, ce fut grâce à la classe moyenne et aux petits possédants. Cette moitié de la population mondiale a supporté le coût de la redistribution non par philanthropie, mais parce qu’elle est captive et l’obligée d’un système qui lui permet de rêver d’enrichissement, mais qui, également, lui fait craindre de sombrer dans la pauvreté ; servile, elle en est la variable d’ajustement.
En quelques décennies seulement, la mondialisation de l’économie a eu pour effet de réduire singulièrement la pauvreté dans le monde, comme elle a contribué à restreindre les réserves naturelles de la planète, toutes choses qui, demain, feront cruellement défaut au système capitaliste. On pourrait considérer alors que la dynamique du système le conduit inéluctablement à sa perte, ce dont beaucoup d’économistes se soucient. Mais comme tout système contraint par sa dynamique propre, le capitalisme ne saurait emprunter une autre voie, étant réduit à quelques adaptations comme celles envisagées par le Great Reset. Pas d’alternative, proférait à l’envie Madame Thatcher. L’expansion étant l’essence même du capitalisme, il lui faut absolument atteindre les « laissés pour compte » pour en faire des consommateurs. Ceux-ci sont environ deux milliards dont une partie est concentrée sur le continent africain qui, on le constate, après une trentaine d’années de mondialisation de l’économie, échappe au système. Ni les aides accordées au développement (mesurées et souvent détournées), ni les politiques en faveur de l’immigration visant à pousser ces déshérités vers les pays riches comme le préconisent certains responsables européens qui souhaitent accueillir 60 millions d’immigrés et autres réfugiés, n’ont porté leurs fruits. Si une telle masse d’immigrés est pour l’Europe un apport démographique considérable qui n’est pas sans poser de multiples problèmes, celle-ci est notoirement insuffisante au soutien de la croissance mondiale au moment où la politique de mondialisation de l’économie atteint ses limites. Il faut donc trouver et mettre en place une organisation de niveau planétaire qui permette d’exploiter cette réserve de pauvreté qui échappe au système.
Mais ceci suppose aussi qu’il faille encore solliciter la classe moyenne et les petits possédants quand ceux-ci ont déjà été largement mis à contribution par la mondialisation et sont inquiets pour leur avenir. Comment amener cette population à accepter d’autres sacrifices après avoir subi de plus ou moins bonne grâce les méfaits d’une mondialisation qui a notamment accru le chômage de masse ? La mondialisation était censée réguler et stabiliser les prix pour le plus grand bénéfice des consommateurs ; elle était aussi une garantie de paix substituant à l’enchaînement tragique qui veut que la misère fasse le lit des conflits et des guerres qui, eux-mêmes, engendrent à leur tour plus de misère, un cercle vertueux qui, inversement, veut que le développement économique favorise la paix, celle-ci permettant à son tour le développement. Lutter contre la pauvreté n’a pas seulement pour objet le soutien du système par la consommation, c’est aussi préserver la paix ; mettre en cause cette politique, c'est mettre en danger le monde, c’est risquer l’embrasement des conflits qui, s’ils venaient à concerner les puissances nucléaires, pourraient avoir des conséquences apocalyptiques. Telle est la caution morale d’un système auréolé d’un rôle de bienfaiteur mis en avant par les moralistes et autres propagandistes alors que, bien entendu, un système économique n’a que faire de la morale ; il roule pour lui-même. Loue-t-on le moteur d’une voiture pour le bienfait qu’il nous apporte en nous transportant sans peine ?
Pourtant, comme on peut le voir, servir une grande cause est un argument essentiel à qui veut mobiliser les foules. Sauvegarder la paix entre les nations a été un thème largement utilisé lorsqu’il s’est agi de créer l’Union européenne que nous connaissons. Aussi, invoquer la sauvegarde d’une planète menacée par les activités humaines est, au même titre que le maintien de la paix du monde, de ces grandes causes qui autorisent, en les justifiant moralement, les sacrifices demandés à près de la moitié de la population mondiale.
Notre planète brûle. La Terre se réchauffe parce que nous émettons du CO2, un gaz à effet de serre. Nous devons réagir vite et fort. Le temps nous est compté. L’avenir de nos enfants est en question. Réagir, c’est lutter contre le réchauffement et favoriser la transition énergétique. Il nous faut réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Sont principalement concernés les pays ayant une économie avancée, en Amérique du Nord et en Europe, là où est concentrée la richesse. Sur eux se concentrent les efforts à consentir par le biais d’incitations à dépenser plus pour l’acquisition de produits propres (la voiture électrique par exemple), ou en payant pour l’installation d’éoliennes, de panneaux solaires… ainsi que pour une énergie plus chère, ou encore, par le biais d’impôts et autres taxes comme la taxe sur le CO2 qui était de 22 euros la tonne en 2016 et qui devrait atteindre demain, en 2030, les 100 euros la tonne. En revanche, comme le préconise les COP pour le climat, les pays les plus démunis, et notamment ceux de l’Afrique subsaharienne où, selon un rapport de 2015 fourni par la Banque mondiale, résident près de la moitié des pauvres du monde, seront aidés massivement pour aller vers un développement vertueux. À cet effet, se sont près de 90 mille milliards de dollars qui sont provisionnés par la Banque mondiale, une somme record mise à disposition pour lutter contre le réchauffement climatique et pour financer la conversion énergétique ce qui, par le biais de programmes planétaires, générera une gigantesque redistribution des richesses au profit des “laissés pour compte”.
Ainsi, la lutte à engager contre le réchauffement climatique et la sauvegarde de la planète est une véritable aubaine pour l’avenir du capitalisme ce que ne démentent ni ses principaux acteurs ni ses soutiens réunis en forum mondial à Davos. Que ce réchauffement soit ou non aussi important et durable qu’annoncé et qu’il soit ou non lié à l’activité humaine, peu leur chaut, grâce à lui et aux moyens mis en œuvre à l’échelle du monde, le capitalisme pourra repousser l’échéance de sa finitude. On comprend mieux pourquoi cette thèse climatique lui tient à cœur alors que, par nature, sa visée lui est antinomique. On comprend aussi pourquoi sont, disons-le sobrement, écartées les contradictions apportées à la thèse officielle sur l’origine et la gravité du réchauffement. La survie du système est en jeu à défaut de survie de la planète ; il s’agit de gagner de précieuses années avant que n’interviennent, espèrent les économistes et autres responsables, de nouvelles avancées techniques offrant de nouvelles perspectives. La maîtrise de la fusion nucléaire, qui est en route, pourrait être de ces avancées essentielles en mettant fin à notre dépendance à l’égard des énergies fossiles tout en limitant nos émissions de CO2. Mais d’ici là, le système capitaliste devra tenir bon en alimentant sans cesse la croissance tout en tentant de limiter les conséquences désastreuses de la mondialisation pour l’environnement ; il lui faudra continuer à compter sur la classe moyenne et conserver son soutien malgré les sacrifices imposés ; il lui faudra assumer les répercussions démographiques, sociologiques et politiques des solutions retenues ; il lui faudra, enfin, surmonter les problèmes occasionnés par l’effacement voulu des prérogatives des États-nations, par la migration de masse et par la paupérisation croissante des populations des pays “riches” mis à contribution par les nouveaux plans climats tout en continuant d’être soumis à la concurrence mondiale engendrée par la globalisation de l’économie.
En guise de conclusion, je dirai, paraphrasant Winston Churchill, que le capitalisme libéral est le pire des systèmes, à l’exception de tous les autres.
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Bibliographie
- https://www.ecologie.gouv.fr/sites/default/files/prix-carbone_4p_DEF_Fr.pdf
- Rapport 2018 sur la pauvreté et la prospérité partagée : compléter le puzzle de la pauvreté.
- https://www.banquemondiale.org/fr/topic/poverty/overview
- La répartition de la richesse et de la pauvreté dans le monde - 5e - Cours Géographie - Kartable
- https://bigmedia.bpifrance.fr/news/fusion-nucleaire-mirage-energetique-ou-avenir-de-la-transition-ecologique?gclsrc=aw.ds&gclid=Cj0KCQjwlemWBhDUARIsAFp1rLUVmRHXWOQO1Bi-2XFC8GHZdIeXKU_d6t4OJry51H-90HUMwR9T8EgaAn6aEALw_wcB
- https://www.banquemondiale.org/fr/news/feature/2015/04/18/raising-trillions-for-climate-finance# : :text=Au%20cours%20des%2015%20prochaines,ainsi%20que%204%20100%20milliards
75 réactions à cet article
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Un des multiples boucs émissaires trouvés pour éviter de mettre en cause le vrai responsable du problème : le capitalisme laissé libre de faire ce qu’il veut.
Si les états étaient maîtres de la création monétaire, on pourrait effectivement laisser faire le marché. Ce n’est plus le cas « grâce » au dollar de singe et à toute la corruption qu’il a permis de mondialiser (gouvernements soumis —> pour nous,loi de 1973, ailleurs des trucs du même genre).
Du coup, certains jonglent avec les monnaies, tout en n’ayant rien à foutre des conséquences pour les milliards d’autres Terriens, et quand ça tourne régulièrement à la bouillie frelatée,ils inventent des responsables (coller ça sur les milliards de gueux, c’est une idée qui marche, en plus, ils en redemandent et collaborent volontiers, les sans-dents...)
On ne va surtout pas dire que si l’état général de la Terre se dégrade,c’est à cause de ces parasites qui se gavent en produisant des matériels peu durables, par exemple, alors qu’avant, on cherchait l’inverse...
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"En guise de conclusion, je dirai, paraphrasant Winston Churchill, que le capitalisme libéral est le pire des systèmes, à l’exception de tous les autres." quelle connerie ce truc, mais c’était un habitué.
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La « crise » climatique ne préserve pas le capitalisme, abstraction visant à théoriser les rapports économiques entre individus, mais le statut privilégié d’un ensemble d’oligarques et d’apparatchiks que l’utilisation du terme capitalisme permet justement d’éviter de nommer.
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Or, pour alimenter la croissance en volume de production, il faut augmenter en proportion le volume de la consommation.
Non, la croissance ne peut exister qu’avec des énergies, pas chères si possible. L’économie, dans quelque système que ce soit, c’est d’abord de l’énergie disponible.
Et qui possède les énergies pour encore un certain temps ?
La Russie, l’Iran, le Venezuela et l’Arabie Saoudite.
Cf "Guerre d’Ukraine – Jours 141-146 – L’Arabie Saoudite se tourne vers la Russie, la Chine…et l’Iran – Déroute diplomatique des USA dans l”affrontement géopolitique mondial "Tous ces pays se rangent désormais aux côtés de la Russie.
Ce n’est pas le capitalisme qui va disparaître, c’est la domination unipolaire imposée par les USA depuis 200 ans. Et qui sera remplacée par un monde multipolaire.
Et c’est l’ Europe qui va être la grande perdante de cet affrontement géopolitique.-
La Terre se réchauffe parce que nous émettons du CO2, un gaz à effet de serre.
Pipeau et pipotron !
Le CO2 n’est pas un polluant, il fait pousser les végétaux.
Il est recyclé par la végétation et les océans.
A tel point que les agriculteurs en pulsent dans les serres pour augmenter le rendement !
"(...) Le CO2 accroît la productivité en améliorant la croissance et la vigueur des plants. L’apport de CO2 peut améliorer la productivité en favorisant notamment la floraison hâtive, en augmentant le rendement en fruits, en réduisant la chute prématurée du bouton chez les roses ou en améliorant la vigueur de la tige et la taille de la fleur. Les serriculteurs devraient considérer le CO2 comme un élément nutritif.etc
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@Captain Marlo
Quand on interroge de jeunes diplomés-qu’ont-fait-des-zétudes sur la teneur de l’air en CO2, les réponses varient entre 200 et 2000 pour 10.000. Oui, oui !
En réalité, elle est de 4 pour 10.000. Mais l’ignorance est la règle de ce siècle.
Mais surtout elle a augmenté d’une partie pour 10.000 en un siècle (c’était 3).
C’est l’équivalent d’une goutte dans 1/2 litre de liquide.
Et cette goutte serait responsable de tout le bastringue. « How dare you » être aussi cons, les écolos de salon ?
Parfois, j’ai envie de donner des claques devant tant de bêtise assumée.
Chaque humain, même les écolos, va rejeter 25 tonnes de CO2 au cours de sa vie.
C’est ce qui le fait vivre, résultat de la combustion des aliments qu’il ingère. Et le CO2 qu’il produit va nourrir les plantes qui lui donneront de quoi manger en retour, et de l’Oxygène en prime : on voit que ce CO2 est un grand criminel...
En fait, le CO2, c’est la vie, pas la mort.Le Nouvel Ordre Mondial est l’ennemi de la vie, c’est pourquoi il diabolise le CO2 qui la permet. Toutes les mesures qu’il prend, dont la lutte contre le CO2, sont des mesures contre la vie.Il se sert de ce réchauffement anodin, cyclique et conjoncturel pour nous priver de pétrole et donc de nourriture, et nous faire mourir de faim. Mais si la tendance était au refroidissement, il s’en servirait pour nous faire mourir de froid. Parce qu’il est l’ennemi de l’humanité qu’il veut réduire drastiquement au seul profit de l’élite qu’il prétend représenterIci, il est clairement expliqué par un dirigeant de CNN : le covid s’essouffle, alors on passe au réchauffement, pour maintenir la peur :J’en ai encore plein ma besace, surtout après la lecture du livre de François Gervais « Merci au CO2 ». A lire absolument.
https://www.youtube.com/watch?v=oxql8o1v-oA&ab_channel=SudRadio -
@doctorix, complotiste
merci pour ce petit rappel qu’on a tous vu à l’école !!!
moi je finis par croire que les gens aiment être manipulés et pris pour des cons :-= -
@Captain Marlo "
Il est recyclé par la végétation et les océans.
« Le CO2 est un acide faible, les océans s acidifient et ce n est pas un recyclage
Certains scientifiques sont des crétins sauf LAVAIU évidemment
https://www.oceano.org/ressources/lacidification-des-oceans/
L institut océanographique devrait être dissout pour propagande !
Quant a ce CO2 , il y a des discordes, il vrai entre scientifiques notamment Vincent Courtillot .
Ce changement climatique est tres récent il ne date que depuis la révolution industrielle dont la proportion de CO2 en PPM a augmenté
Qu il y ait une corrélation entre les deux phénomènes , Courtillot en doute d autres non , le débat est ouvert faute de preuve absolue et de modélisation complèteMais je l ai deja dit , il faudra savoir gerer les conséquences puisque l a terre compte 8 milliiards d individus , Avez vous un plan a l UPR pour la gestion des futures migrations
»
Le CO2 n’est pas un polluant, il fait pousser les végétaux." bien sur mais c est un peu basique comme raisonnement !
Quant ton mentor Asselineau affirmait qu ITER est un petit soleil , c est faux ITER ce sont des neutrons rapides Avant de tratier les autres de cretins , à l UPR vous devriez être un plus modeste . -
@mmbbb
La méthode consistant à nier l’ensemble d’un raisonnement en mettant l’accent sur certains éléments contestables est intéressante, Si j’ai le temps, je chercherai dans quelle catégorie elle est généralement classée.
Le fait est que la végétation « consomme » du CO2 et rejette de l’oxygène. Jusqu’à présent, le système équilibré a fonctionné. La déforestation à outrance et le recours au bétonnage systématique crée des déséquilibres mais ce n’est pas le seul facteur. Si on parlait de l’obsolescence programmée, credo des fabricants (eux ont la maîtrise, pas les consommateurs)...
Mais l’argument du CO2 détruisant la planète est une mystification mondialo-sataniste parmi d’autres car elle sert avant tout à promouvoir le discours visant à faire accepter la dépopulation.
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@Lynwec
La déforestation et le recours...créent....PLURIEL...
« Bon sang, mais c’est bien sur... » -
C’est parce que le CO2 a baissé que les déserts se sont formés. Les plantes manquaient de nourriture et mouraient.
D’ailleurs les déserts actuels sont le lieu où on trouve le pétrole, preuve qu’une intense vie végétale y régnait quand le taux de CO2 était 20 fois plus élevé, au plus fort de la vie (conclusion partielle, puisqu’il est bien possible que la majorité du pétrole soit d’origine abiotique, produit en permanence avec de la poudre de marbre— carbonate de calcium-, du fer et de l’eau sous très forte pression et température à 100km de profondeur, et serait donc quasi inépuisable, un truc inaudible dans le contexte actuel).
Actuellement, la végétation terrestre reprend après les dégâts d’un fort déficit en CO2 qui ont conduit aux désertifications.
Verdissement de 20% en quelques décades.
En fait, les végétaux, par leur prolifération, avaient probablement lessivé l’atmosphère, et n’avaient plus rien pour se nourrir avant cette providentielle augmentation (liée au réchauffement, lui aussi providentiel, puisque le CO2 est moins soluble quand il fait chaud, et sort des océans : conséquence et non cause).
Ces explications sont simples, mais certainement pas simplistes. Juste retour au bon sens. L’effet de serre est bénéfique (celui des nuages, sans lesquels il ferait -15°C). Mais celui du CO2 est quasi nul, juste bien vendu par des escrocs. -
@mmbbb
Sur les causes de l’acidification des océans, j’ai aussi de sérieux doutes.
Les océans contiennent déjà 50 à 60 fois plus de CO2 que l’atmosphère.
Que l’air passe de 300 400ppm de CO2, j’ai quelques doutes qu’ils en aient quelque chose à battre.
On est dans la religion, là. Voire la secte. -
@doctorix, complotiste. Fraude : nulle trace de corpus expérimental soutenant « acidification des océans »
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@josy&jacq
Oui, JC Lavau n’est certes pas facile à suivre.
Mais c’est un puits de culture que nous avons la chance d’avoir ici, et qui renvoie le GIEC corrompu à ses chères (très chères) études. -
@mmbbb
Quant ton mentor Asselineau affirmait qu ITER est un petit soleil , c est faux
En tous cas, le directeur de la communication d’Iter le dit aussi :« C’est ici qu’on va allumer le petit soleil », présente Robert Arnoux, le directeur de la communication d’Iter.
https://www.20minutes.fr/sciences/3227379-20220208-nucleaire-va-allumer-petit-soleil-provence-iter-poursuite-energie-etoiles
Maintenant, vous pouvez toujours enculer les mouches... -
@6russe2sioux
Témoignage d’un sous-marinier :Par Justinien11 le 21/08/2020 à 11:16C’est dans les commentaires de cet article du Point :L’homme supporte très bien 100 fois le taux de CO2 atmosphérique
Non, les sous-mariniers ne supportent pas une concentration « légèrement » plus forte de CO2, mais 100 fois plus forte sans problème !
Quand nous respirons, l’air autour de nous contient 30 fois plus de CO2, puisque nous en rejetons !
https://www.lepoint.fr/sciences-nature/astronautes-sous-mariniers-comment-ils-purifient-leur-air-02-08-2020-2386401_1924.php
Certes, il doit un peu exagérer, le CO2 des sous-marins est capturé, recyclé dans des cartouches. Mais quand même, le CO2 n’est pas très toxique.-
5000 ppm : Valeur Limite d’Exposition Professionnelle (VLEP) établie en France par l’INRS (Institut National de la Recherche Scientifique) pour une journée de travail de 8h.
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C’est 12 fois le taux dans l’air extérieur, et durant 8 heures..
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https://www.kane.fr/les-news/quels-niveaux-de-co-et-co2-dans-l-air-sont-dangereux-pour-la-sante
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@ doctorix Ecrivez à l institut d oceaoanographie, Une secte
Il faut arrêter cet argument la secte la religion lorsque vos arguments ne rencontre pas un echo favorable
Il y a beaucoup de scintifiques qui sont donc en religion, CQFD
Quoi qu il en soit que l on veuille ou pas , que ce soit ou non le CO 2 , les glaces fondes et les océans outre qu ils soient devenus des dépotoirs s acidifient ! -
@Lynwec c est un conjonction de phénomènes ( Lavau m avait pris pour un con )
le changement climatiques ( ses conséquences ) , la démographie exponentielle la pollution systémique, et l effondrement des biotopes,
L ONU avait alerte les gouvernements ( l année dernière me semble t il ) l de cette problématique complexe .Quiconque a une once d intelligence , ne peut pas isoler le cas du changement climatique ,
Quant au CO2 , quoi qu il en soit , les oceans s acidifient .
Quant au dernier changement , il est tres rapide et sur une tres petite periiode .
J ai discuté avec un glaciologue l année derniere à Chamonix aux Montenvers , les aiguilles entourant les grandes Jorasses ) plus de 4000 , n ont plus de glace, La roche est à nue , Elle datait de plus 5000 ans Quant à la mer de glace , a ce même endroit , le glacier a perdu 220 m en hauteur depuis 100 ans
La voie Bonatti des Drus s est ecroulée Le permafrost a fondu alors que les Alpes ont été le temoin de changements consécutifs
On pense ce que l on veut mais ce sont des indicateurs tangibles . La mer de glace n est plus qu un ruisseau et ce sont les moraines qui donnent à ce paysage une tonalité grise
Quant à notre economie moderne elle repose sur l utilisation de l energie pour nous donner des machines esclaves . Ces machines esclaves ont été multipliées et nous dépendons entierement d elles. , Jaccovicci, qui n a pas la paternité de cette terminologie le demontre , Il met en corrélation les diverses crises et le pic pétrolier .L agriculture moderne depend entierement du pétrole ,
On peut simplement constater que la croissance démographique exponentielle s accompagne ces diverses évolution technologiques et scientifiques , Elle a cesse d etre linéaire à partir de 1 927 .
Par ailleurs il y a un corrélation entre l indice de développement humain et la disponibilité de cette énergie.
On peut le percevoir avec la crise russe , Je n ai pas la même grille de lecture de l auteur sur l économie,
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@doctorix, complotiste C est un abus de langage .
Scientifiquement , la comparaison est fausse .
https://www.cea.fr/comprendre/Pages/matiere-univers/soleil.aspx?Type=Chapitre&numero=1
Ce n est pas ce qui se passe dans ITER dont la réaction est infiniment plus simple et qui n a pas le même environnement physique Le Soleil c est une enome masse avec d enormes pression et des champs magnetiques intenses .
Ce ne sont pas mouches , mais une chèvre qu il vous faut .
n est ce pas vous qui balanciez un article complément con sur les chemtrails Les avions balanceraient du lithium !
Docteur de mes deux , qui avance un these erronée en méprisant la réglementaion tres stricte des avions .
Demain je vais monter dans un Airbus avec ma perceuse et installer un réservoir Vous êtes completement con
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@voxa
Je propose également de bouchonner tous les volcans de la planète
! hum -
@mmbbb
Vos insultes ne remplacent pas les arguments. Mais elles sont à votre portée, sans doute...
Les avions balancent non seulement du lithium, mais aussi du baryum, de l’aluminium et du strontium. C’est un fait prouvé, et admis, vérifié par des mesures, dans l’air et au sol. La raison profonde, on ne sait pas : géoingénierie climatique, ou tentative d’abrutissement des masses par ces métaux lourds, puissamment psycho-actifs ? Quand à la réglementation aérienne, elle ne concerne que les civils : les militaires font et ont toujours fait ce qu’ils voulaient (agent orange, par exemple, ou épandage bactériens sur des villes américaines, « pour voir »). Et encore, pas tous les civils : l’épandage de pesticides est autorisé larga manu.
Mais inutile de tenter de faire boire un âne qui n’a pas soif.
Le soleil est le point de comparaison le plus simple pour comprendre le phénomène de fusion qui se passe dans Iter, c’est pourquoi Asselineau et le directeur de la communication d’Iter l’ont utilisé. Les détails techniques n’intéressent que les enculeurs de mouches. -
@mmbbb
On pense ce que l on veut mais ce sont des indicateurs tangibles .Oui, d’un réchauffement, tout le monde est d’accord.
C’est le rôle du CO2 qui est en question, pas le réchauffement (+1°C en un siècle).
Parce qu’une mauvaise interprétation plombe l’humanité, et empêche de réfléchir aux vraie causes, et donc aux vraies solutions (s’il y en a : il y en a forcément, mais on ne peut agir ni sur l’activité solaire ni sur le rayonnement cosmique, responsable en partie de la formation des nuages au fort effet de serre).
C’est un peu comme punir un innocent, et laisser libre le coupable (s’il y en a un).
Mais c’est surtout prétexte à taxer et subvertir l’humanité. -
@mmbbb
Ce changement climatique est tres récent il ne date que depuis la révolution industrielle dont la proportion de CO2 en PPM a augmentéC’est ce qu’on vous fait croire !
Le climat varie constamment entre 2 périodes glaciaires.
Les derniers réchauffements sont la période romaine et le Moyen Age.
Le Giec, incapable d’expliquer les variations du passé, a décidé que le climat n’avait jamais changé, « sauf depuis la révolution industrielle ».
« Torturez les chiffres, ils finiront par avouer » par l’Association des climato réalistes -
@Captain Marlo
Il faut ajouter que de 1940 à 1970, le refroidissement était patent, alors que le CO2 continuait à augmenter quasi linéairement.
A tel point que TIMEs titrait : « vers une glaciation ? » en 1975.
le journal américain Newsweek, dans son édition du 28 avril 1975, publia dans sa rubrique science un article à retentissement intitulé « The cooling world ».Déjà en 1972, 42 climatologues écrivaient au président américain afin de l’alerter de la gravité du refroidissement climatique en cours à l’époque[1]
Ces erreurs des « experts », au même titre que des modèles aux prévisions non avérées ou des exagérations revendiquées renforcent les doutes sur le réchauffement climatique.
Ben non : le doute, c’est sur sa cause.
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@doctorix, complotiste
le doute, c’est sur sa cause.La cause des variations climatiques ? Les climatologues n’en savent rien !
La climatologie est une science balbutiante.
— Les relevés de la température terrestre ont commencé fin 19e siècle, essentiellement en Europe et aux USA.
– Les relevés de température par satellite ont commencé en 1979
– La hausse du niveau de la mer n’est surveillée par satellite que depuis 1992
– Le déploiement complet des balises ARGOS (permettant une analyse de la température et de la salinité des eaux de 0 à 200 mètres) n’a été achevé qu’en 2007 – Les bilans de masse des glaciers du Groenland et de l’Antarctique n’ont commencé qu’au début du 21e siècle.— Les hypothèses possibles sont les variations des cycles du soleil.
Actuellement, le soleil est particulièrement agité, avec un champ magnétique terrestre protecteur en baisse. Cf "Hyperactivité solaire : Protubérance et éjections menacent l’infrastructure électro-informatique— Ou bien les variations de l’ellipse de la terre, ou des variations de l’axe de la terre, ou plusieurs de ces causes en même temps..., on n’en sait rien !
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@Captain Marlo
L’Humanité,combien de millénaires ? La Terre, combien de millions d’années ? Ce serait un peu comme si une fourmi voulait dresser une étude de l’évolution au cours des siècles de la forêt où se trouve la fourmilière à laquelle elle appartient .
Nous ne savons rien mais certains malintentionnés prétendent savoir pour exploiter notre crédulité, il faudrait à un moment donné en prendre conscience.
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@mmbbb
Quiconque a une once d intelligence , ne peut pas isoler le cas du changement climatique ,Alors utilisez le peu que vous avez.
Si le réchauffement climatique n’a rien à voir avec le CO2, ce qui parait démontré, alors on assiste à la plus grande escroquerie de tous les temps : on va forcer les hommes à se priver de tout, à dépenser des dizaines de milliers de milliards pour lutter contre un CO2 qui n’est pour rien dans l’affaire.
Donc l’effet bénéfique sera nul, et nous nous serons ruinés pour rien.
D’où l’importance extrême de lutter contre cette fake new, et l’intérêt que porte l’élite à nous la faire avaler. -
À doctorix, complotiste,
Le CO2 n’est pas responsable du dérèglement climatique ! -
@Croa
mes respects Croa, je trouve que votre démarche est d’une grande honnêteté intellectuelle et ça fait tout simplement plaisir
peu de gens ici, surtout chez les auteurs seraient capable de faire ce que vous faites !!!
dire, j’ai écrit un article il y a 1 an mais j’ai eu de nouvelles infos et je tiens à rectifier mes propos, ça réhausse le niveau.
je suis d’accord avec vos nouvelles révélations qui sont d’une logique implacable pour tout scientifique honnête...le CO2 quelle blague
les moutons vous traiteront de farfelu ou de complotiste mais qui prend encore en compte l’avis des moutons !!!
je conclue en disant que j’ai 2 vertèbres de baleines fossilisées que mon arrière grand-père à trouver en faisant un forage dans le Sahara -
Ainsi, la lutte à engager contre le réchauffement climatique et la sauvegarde de la planète est une véritable aubaine pour l’avenir du capitalisme ce que ne démentent ni ses principaux acteurs ni ses soutiens réunis en forum mondial à Davos.
Il suffit d’ailleurs de voir les financiers et autres milliardaires qui gravitent autour de Greta Thunberg, pour le comprendre.
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@6russe2sioux la religion catholique est moribonde ; l islam prospère !
Les sectes aussi
Que ne faut il pas lire comme imbécilité ! -
@Captain Marlo à L UPR vous n avez de programme de préservation de la nature !
Ce ne st pas votre sujet , vous laissez cela au milliardaire ! -
@mmbbb
Ah bon ?
Mais pour le savoir, il faudrait avoir lu le programme de l’UPR. Faute de quoi on peut énoncer beaucoup de conneries, comme c’est votre cas, et celui de la totalité des détracteurs de l’UPR.
Voir le chapitre :
ENVIRONNEMENT – ÉCOLOGIE – ÉNERGIE – AMÉNAGEMENT
Du programme de l’UPR, en 8 paragraphes :
https://www.upr.fr/le-programme-des-elections-presidentielles-et-legislatives-de-2017/ -
En guise de conclusion, je dirai, paraphrasant Winston Churchill, que le capitalisme libéral est le pire des systèmes, à l’exception de tous les autres.
Quelle est la différence entre le capitalisme sur fonds privés et le capitalisme d’état des pays communistes ?
La Chine communiste compte plus de milliardaires que les USA et l’Inde réunis !
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@Captain Marlo
la chine communiste compte plus de milliardaires...N’y aurait il pas une forme de contradiction dans cette phrase ??
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@sylvain
N’y aurait il pas une forme de contradiction dans cette phrase ??Remplacer le capitalisme par quoi ? Par le communisme disent certains.
En Chine communiste, c’est un capitalisme d’état, comme dans tous les systèmes communistes.1/ La Chine pollue beaucoup.
2/ Le capitalisme d’état fabrique des milliardaires.La contradiction vient de ceux qui conseillent le communisme comme solution à la pollution et à la juste répartition des richesses.
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À sylvain,
La Chine n’est pas communiste. Il y a un partit communiste en Chine mais le régime est autre. Le communisme est un idéal bien pour la propagande mais qu’ils ne veulent surtout pas mettre vraiment en place ! -
Je propose de fermer toutes les stations de skis ( environ 3000 ) pour laisser enfin respirer la montagne tout en se régénérant le plus naturellement possible
à inscrire dans le prochain projet de loi, ça urge, la planète va mourir !!! nous aussi !!! -
@charlyposte
je viens de voir à la tv que la méditerranée à pris 5 degrés de plus que la normale !!!
pas chez moi, dans le golfe du lion on a des courant froid de temps en temps mais vers chez toi elle est à 27 et c’est des poissons tropicaux qui se ballade
les barracudas vont nous bouffer nos daurades, bientôt les algues toxiques et les méduses mortelles...
plus besoin de prendre l’avion pour aller sous les tropiques, les tropiques se déplacent chez nous -
@6russe2sioux
Y vont bientôt nous pondre des surfs volant avec des réacteurs thermonucléaire avec un mode échap pour éviter les drones géant ! on arrête pas le progrès en marche vers l’impossible de tous les possibles ! -
@charlyposte
salut
ne me dis pas que tu n’as pas encore essayé le surf electrique, c’est génial !!!
ça vaut encore très cher mais je m’éclate plus avec qu’en jet ski, t’as pas un bruit et t’es en communion avec les éléments.
il y a les e-surf qui glisse sur l’eau avec des turbine et le e-foil qui vole littéralement au dessus de l’eau avec une hélice...tu doubles les bateaux tellement ça avance
https://bigtoysonboard.com/guide-dachat-2022-du-surf-electrique/ -
Ta crédulité est illimitée, grâce à une ignorance insondable : « La Terre se réchauffe parce que nous émettons du CO2, un gaz à effet de serre »...
Maître Panisse t’a vendu le Pitalugue, et tu admires ta perspicacité...
...
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Ya le feu au lac ! ou sont les pompiers !
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Pour ceux qui pleuraient la disparition d’Infovf (du fils de pangolin), une bonne nouvelle : reinfovf.com prend le relai :
Et bien sur, odysée est toujours là pour donner la parole aux lanceurs d’alerte :
https://odysee.com/$/actus
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« ...Dans une économie mondialisée, accorder du pouvoir d’achat à ceux qui n’en n’ont pas, nécessite la mise en œuvre d’actions politiques plus ou moins complexes, locales ou globales. Au niveau des États, ce sont, par exemple, les aides attribuées aux nécessiteux qu’ils soient originaires, immigrés ou réfugiés... »
Ça ressemble bien à un paradigme capitaliste comme évoqué avant « ..Accroître le niveau de consommation pour soutenir la croissance répond à la dynamique inspirée par le système... »
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Les obligations vaccinales sont levées un peu partout.
https://odysee.com/@cielvoile:4/tribunaux:ce
Serons-nous les derniers à empoisonner (et emmerder) nos soignants dans tous les sens du terme ?
Zelensky est lâché de partout. Les mesures de Bruxelles de réduire la consommation de gaz de 15% sont rejetées par 5 pays européens : l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Grèce et la Hongrie (qui vient de passer un contrat de 700 millions de m3 de gaz supplémentaires avec la Russie). L’Europe barre en couilles, et c’est pas dommage.
Là aussi, serons-nous les derniers ?
https://odysee.com/@FlorianPhilippot:2/zelensky-son-incroyable-isolement- !:9
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@doctorix, complotiste
YA visiblement de l’eau dans le gaz ! -
@doctorix, complotiste
Que de baume au coeur. Merci Doctorix pour toutes ces bonnes nouvelles. L’’Espagne refuse la « sobriété » imposée par Bruxelles également, elle veut continuer à acheter du Gaz Russe !
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t@Joséphine
L’’Espagne refuse la « sobriété » imposée par Bruxelles également, elle veut continuer à acheter du Gaz Russe !C’est bien, Orban a montré l’exemple !
Merci à Zelensky qui a réussi à diviser l’ Europe ! Si elle pouvait s’effondrer complètement en emportant Macron et Ursula Cruella, je ne pleurerais pas !Les dirigeants européens sont de plus en plus réticents vis à vis de Zelensky., à cause de leurs opinions publiques. D’autant que l’Ukraine bénéficie du gaz russe et des royalties pour le passage du gazoduc par son territoire (1,28 milliard de $)
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Quand « ...le père fondateur de Colibris prône : « N’achetez que ce dont vous avez besoin... » il a raison à de nombreux points de vue.
Cela revient à se poser une question soulevée par Aristote avec sa chrématistique ; de quel niveau de biens ou de richesses avons nous besoin ? Sous entendu au delà c’est condamnable.
Mais combien d’entre-nous se sont déjà posés cette question ?
Le prétexte souvent avancé concerne l’envie de protéger sa descendance avec un héritage.
Critiquer le capitalisme sans s’observer soi-même n’est-ce pas un peu se mentir ?-
Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. C’est parce que nos cerveaux pèsent lourd, du poids du karma, que le ciel y trouve son carburant... Seule la spiritualité nous sauveras. Le capitalisme date de la révolution française. Jupiter-conjoint à saturne en signe de terre pendant 200 ans (terre égale matière, égale déchêt, égal caca freudien). On parle même de stade sadique-anal. Sade, le Marquis, ne fut-il pas à l’origine de la Révolution française ????,
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La Bible est claire : tu ne mettras pas de vin neuf dans une vieille outre au risque de la déchirer, mais tu changeras d’outre (ou de paradigme)...
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ce peut être aussi d’inciter à dépenser plutôt qu’à épargner
l’argent dette s’est occupé de ce problème . Il est impossible dans ce système monétaire d’avoir plus d’épargne que de dette . Si on considère que l’argent circulant n’est pas de l’épargne, il doit même y avoir plus de dette que d’épargne .
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La dette française atteint des sommets jamais vus avec ces sanctions coûteuses . Comme ces chiffres colossaux sont un peu abstraits, voici ce que ça donne par tête :
Chers français, vous devez chacun 95.000 euros aux banquiers internationaux. Chaque personne, chaque bébé qui naîtra en France dès demaisn, devra 95.000 euros pour rembourser la dette ! Merci QUI ?
Pour faire court :
Serrez vous la ceinture ! Car le nombre de Français qui vont dérouiller va atteindre les plus de 60% de paysans français ont uniquement de quoi vivre au mois le mois.
Ils vont devoir consentir des coupes claires dans leur budget avec l’envolée du prix de l’énergie, des matières premières et des biens de consommation.
Bon là, ils s’en foutent. Les français sont occupés par leurs vacances, la seule chose qui compte véritablement en France.
Mais cette culture hédoniste léguée par les boomers est sur le point de complètement disparaître, remplacée par les pénuries, le rationnement, la guerre, la ruine , la maladie , le réchauffisme et l’invasion migratoire .
Mais rassurons nous, le gouvernement appelle ça la sobriété heureuse.
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je peux annoncer sans crainte de me tromper que le capitalisme aura une fin
Mouais, pas très difficile : il est déjà fini, depuis 2008 et le sauvetage des banques par les banques centrales, sans aucune enquête ni aucun limogeage. Ensuite il y eut la crise Grecque en 2012, et le clou final était le Covid : maintenant, l’activité économique est décidée par l’état et les diverses administrations (BCE, OTAN ...).
Le capitalisme repose sur la notion de profit que traduit la croissance économique
non, le capitalisme repose sur la notion de retour sur investissement. Si vous avez investi dans une entreprise qui marche, vous allez faire du profit, si vous avez investi dans une entreprise qui fait faillite, vous perdez votre argent investi.
En fait, tout l’article est un gloubi-boulga de phrases chocs fausses :
mettre en place une organisation de niveau planétaire qui permette d’exploiter cette réserve de pauvreté qui échappe au système.
La Terre se réchauffe parce que nous émettons du CO2
La maîtrise de la fusion nucléaire, qui est en route
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Merci à Antoine Grangeac pour son article qui a suscité autant de commentaires intelligents, intéressants et pleins de bon sens auxquels je souscris (Bonjour doctorix et les autres !)
Je crois que la terre, si elle pouvait rire, s’esclafferait du sérieux de certains pseudo « savants » qui nous disent qu’on est foutus à cause du CO2...
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@cevennevive
Vous saviez que « la sobriété énergétique » s’applique aux mougeons, mais pas aux transports routiers, ni aux autocars, ni aux navires ?
Ouf, on pourra continuer la mondialisation, faire venir les produits de Chine plutôt que de produire français ; manger des fraises à Noël ; des haricots verts du Kenya, et du quinoa d’Amérique du Sud !
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La dérive actuelle n’a plus rien à voir avec le capitalisme industriel originel
Il s’agit d’une évolution monstrueuse du capitalisme, devenu financier et prédateur, qui porte en son sein même les germes de sa chute inevitable... Après la ruine générale évidemment, car les dommages collateraux c’est la marchandisation totale de l’integralité des rapports humains (l’homme devenant subordonné à l’économie), et la destruction de l’integralité des ressources (fossiles comme environnementales ou sociales)
C’est le pire systeme de tous
Le seul truc, c’est que les effets mettent bien plus longtemps à se faire sentir, et se diffusent par capillarité (pendant que les premiers sont touchés, les autres trouvent encore que tout va bien)
Et que ces effets sont pour certains difficiles à percevoir (disparition des liens sociaux, anxiété, asservissement économique, chomage de masse, etc etc...
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@tashrin
La dérive actuelle n’a plus rien à voir avec le capitalisme industriel originelIl s’agit de l’Occident. La mondialisation décidée en 1994 par les USA et la Commission européenne, a permis de délocaliser les productions industrielles sous des cieux aux salaires plus intéressants...
Les pays de l’Est et le Portugal on des salaires de moins de 500/600 euros.
L’Asie, mais aussi l’Afrique. Par exemple, l’industrie du vêtement européenne aime beaucoup l’Éthiopie. Les salaires des ouvrières qualifiées sont de 20 euros par mois. -
@Captain Marlo
Il s’agit de l’Occident.Meme pas, la plupart des habitants des pays occidentaux subissent cet état de fait
C’est surtout une dérive liée à la toute puissance des banques, qui ont pris le controle des institutions européennes et ont mis en place les leviers du capitalisme financier (dérégulation, produits dérivés, spéculation, privatisation des profits et nationalisation des pertes) -
Texte lucide et essentiel.
Très enrichi par les liens fournis par Captain Marlo, là, là et là (23/07, 19h12 et 19h15) et par ceux de josy&jacq (23/07, 23h12), ici.
Car si la pandémie à coronavirus n’est qu’une monstrueuse mise en scène internationale, alors oui, sans doute le CO2 n’est pas un gaz à effet de serre...
Je suis comme vous cependant : moi aussi j’ai longtemps répété ce qu’on nous serine à longueur de temps, et pour le CO2, je commence juste à douter grâce aux excellentes réactions à votre papier. Encore merci !
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@I.A.
« Le culte apocalyptique du réchauffement climatique » par Dmitri Orlov"(...) car vous avez peut-être, sans que ce soit votre faute, été intronisé dans le culte apocalyptique du réchauffement climatique. La première étape pour vous libérer des griffes d’une secte apocalyptique est de réaliser que vous êtes membre d’une secte apocalyptique. Une partie du processus consiste à apprendre comment fonctionne une secte : d’où lui vient son pouvoir, pourquoi les gens tombent dans ses griffes et, surtout, qui la paie et qui s’enrichit grâce à elle. Il peut être douloureux au début de briser ses illusions, mais vous vous sentirez certainement mieux par la suite etc
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Je suis en accord jusqu’au moment où vous imputez le réchauffement climatique au CO2 pour résumer en préconisant de se focaliser sur une « transition énergétique » bas carbone.
Je soutiens la thèse que les nouveaux EnR ne sont pas la réponse, parce que la cible réelle ce sont les pollutions induites par certains hydrocarbures (charbon et pétrole essentiellement) et le gouffre de consommation minérale que représenteraient les nouveaux EnR adoptés à échelle planétaire. La vraie cible est selon moi le gaspillage énergétique, le niveau de notre consommation et les pollutions induites par nos sources d’énergie.
Une évolution vers un système majoritairement basé sur le gaz naturel, l’hydraulique et la biomasse (volet production) serait donc selon ce que je pense avoir compris du problème, la meilleure option.
Oui les centrales à gaz émettent du CO2, mais c’est en bas de liste de nos soucis, si même c’en est un.-
@jjwaDal
Une évolution vers un système majoritairement basé sur le gaz naturel, l’hydraulique et la biomasse (volet production) serait donc selon ce que je pense avoir compris du problème, la meilleure option.Voui, mais ça sous entend que les Mamamouchis européens sortent de leur sidération et de leurs sanctions envers la Russie !
Et qu’ils poussent Zelensky à la paix. Mais ça, c’est pas gagné, vu que les néo conservateurs US savent mettre la merde, mais pas la ramasser !
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Au fait, où en est-on de l’éventuelle éventualité d’une possibilité de réflexion sur l’achat d’hydravions bombardiers d’eau Beriev Be-200 russes, qui transportent une quantité d’eau de 12.000 l ( 6.000 pour un canadair ) sont munis de 2 réacteurs au lieu de turbo-propulseurs, volent à 650 km/h au lieu de 300, et peuvent écoper en 17 secondes leurs 12.000 l d’eau, et se poser sur une piste si nécessaire ?
En bref qui sont capables d’intervenir 4 fois plus vite, même dans des vallées encaissées, compte-tenu de la poussée en ressource de leurs 2 turboréacteurs !
Vous direz qu’on ne peut pactiser avec le diable, car la Russie a agressé l’Ukraine !
Ce à quoi je réponds que ce sont les Etats-Unis qui sont à l’origine des massacres subis pendant 8 ans par les civils du Donbass ( n’est-ce pas, Victoria Nuland ), et 14.000 morts en 8 ans, ça commence à peser dans la balance !
Alors, à nous de voir où sont nos intérêts !
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« Cette croissance, dont rend compte le PIB ? » le PIB c’est la somme des valeurs ajoutées ;
Production - consommations intermédiaires =valeur ajoutée
S’agissant des services non marchands, ils sont comptabilisés à leur coût de production. Par exemple : L’intervention d’une escouade de CRS ou le coût
d’intervention des pompiers dans les Landes ces derniers jour tout ça se rajoute au PIB. Quelques catastrophes comme Fukushima feront croitre le montant du PIB sans que cela entraine une production de richesse.
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Tout est bon pour le capitalisme, la crise sanitaire, le dérèglement climatique, la guerre en Ukraine et ailleurs, les pénuries et leur cohorte d’augmentations, la raréfaction des matières première et surtout notre gouvernement etc .....
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Les subprimes, la crise financière, la crise sanitaire, bientôt la crise du climat, non que ces crises soient inexistantes mais le néo-libéralisme agonisant ne doit sa survie qu’à un acharnement thérapeutique, la crise. Il faut tous les jours en créer une pour que le moribond ne soit pas en état de mort cérébrale. Quoique…, je me demande s’il n’y est pas déjà. Et le remède : la greffe d’un organe, tite guerre par-ci, coup d’état ailleurs. Le phénix renaît de ses cendres. Ah p’tain, pourvu que ce ne soit pas comme celui de la mythologie !
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Gaz, électricité : les prix s’affolent en Europe.
Alors que la Russie menace de réduire encore ses livraisons en Europe, les prix du gaz s’envolent. Ce contexte, le manque de production nucléaire, et les vagues de chaleur entraînent les prix de l’électricité dans une spirale infernale.
Tous les voyants sont au rouge sur les marchés de l’énergie. Dans la foulée des annonces de Gazprom sur la baisse imminente de ses livraisons en Europe, les prix des contrats à terme de fourniture de gaz se sont envolés, dépassant ce mardi les 190 euros le mégawattheure (MWh) .
Ils s’approchent ainsi du record historique de 215 euros le MWh atteint en mars 2022, lorsque la Russie a lancé son attaque en Ukraine.
Cette nouvelle flambée vient alimenter l’envolée des prix de l’électricité déjà quasi continue depuis mi-juin, lorsque Gazprom a pour la première fois réduit ses livraisons en Allemagne.
Selon les estimations du cabinet Rystad Energy, « le mois de juillet est en piste pour devenir le mois le plus cher de tous les temps » sur les marchés de l’électricité en Allemagne, en France et en Italie.
Cela n’a rien d’habituel en juillet. Traditionnellement, le beau temps, le début des congés et les exportations massives de nucléaire français font baisser les prix. Mais cette année, « toutes les conditions sont réunies pour un ouragan sur les marchés de l’électricité, les tensions sur les livraisons de gaz russe, des prix du charbon et du CO2 élevés, des vents faibles et une sécheresse », liste Fabian Rønningen, analyste chez Rystad Energy.
A cela viennent s’ajouter la très faible disponibilité du nucléaire d’EDF et plusieurs journées de canicule qui ont mis sous tension les systèmes électriques. Au total, la demande d’électricité a augmenté de 3 % en Europe, depuis début juillet, essentiellement à cause des vagues de chaleur et des besoins de climatisation.
Le Royaume-Uni a ainsi frôlé la panne de courant le 20 juillet dernier, avec une température proche des 40 degrés et un réseau électrique extrêmement tendu. Le prix des électrons importés par les Britanniques de Belgique, pour éviter la panne, a ainsi atteint le niveau inédit de 11.500 euros le MWh.
En France, le sujet est aussi particulièrement aigu. Compte tenu du manque de production nucléaire, les prix de l’électricité pour livraison l’hiver prochain y sont les plus élevés d’Europe. Ces dernières semaines, l’écart entre la France et l’Allemagne s’est encore largement creusé : les contrats de fourniture d’électricité pour livraison au quatrième trimestre 2022 en France coûtent désormais 824 euros le MWh, soit deux fois plus cher qu’outre-Rhin.
Un contexte qui inquiète le régulateur de l’énergie en France. « Ces prix reflètent soit des anticipations de forte pénurie, soit une prime de risque élevée sur le marché de l’électricité français, et vraisemblablement la conjonction des deux », indique la CRE.
« Cela signifie que le marché anticipe jusqu’à 200 heures de défaillance en France l’hiver prochain, c’est un scénario très extrême qui impliquerait 30 jours de défaillance au cours des trois mois d’hiver », précise le directeur général de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), Dominique Jamme. Autrement dit, les marchés semblent surestimer les difficultés attendues cet hiver en France.
« On a l’impression que le marché ne fait pas confiance aux plannings d’EDF », indique un autre expert. Soucieux de contenir cette flambée des prix et d’éviter la manipulation de cours, le régulateur va interroger tous les acteurs du marché sur leurs stratégies de couverture dans une cadre d’« une surveillance renforcée ».
Le sujet est de fait crucial pour la compétitivité des entreprises françaises. Compte tenu de l’inertie des contrats de fourniture d’énergie encore en cours, toutes ne sont pas touchées mais certaines doivent déjà affronter la perspective d’une hausse brutale de leurs coûts de production.
« Les entreprises dont les contrats de fourniture d’énergie arrivent à échéance à la fin de l’année sont complètement paniquées. Certaines attendaient le dernier moment pour renouveler leurs contrats, espérant une baisse des prix, mais cette position est de moins en moins tenable », indique Julien Teddé, le directeur général du courtier Opéra Energie.
Pour les pouvoirs publics et les ménages, le sujet est aussi extrêmement sensible. Lorsque le premier bouclier tarifaire a été mis en place pour protéger les consommateurs, les prix de l’électricité oscillaient entre 150 et 300 euros le MWh, or on dépasse désormais les 400 euros le MWh.
En 2023, le coût de la prolongation d’un tel bouclier tarifaire sera donc décuplé pour les finances publiques. A moins que le gouvernement n’opte pour un dispositif bien moins protecteur pour les consommateurs. Le choc pour les ménages risquerait alors d’être redoutable.
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@BA
Milles merci d’informer nos compatriotes en etayant de plus avec un site reputé serieux (les echos)cf
"« Cela signifie que le marché anticipe jusqu’à 200 heures de défaillance en France l’hiver prochain, c’est un scénario très extrême qui impliquerait 30 jours de défaillance au cours des trois mois d’hiver »,précise le directeur général de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), Dominique Jamme."
Ce qui rejoins la lecture d’autres sources publiées ailleurs
C’etais qui déja qui nous expliquais ici il y a peu encore que ...
c’est la Russie qui allais etre dans la mouise ?Ces gens la ne sonts pas rouge de honte du à leur médiocrité ?
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Même impasses intellectuelles que ceux qui, déjà, chantaient le communisme et prédisaient la fin du capitalisme au début du 20eme siècle.
C’est la méthode coué.
Dire que le système capitaliste aime la « thèse climatique » n’est pas très sérieux, mais c’est ce genre de discours qui encourage les théories complotistes sur le climat.
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Le capitalisme vend ce que les clients veulent.
L’année dernière des masques et du gel hydroalcoolique.
Cette année de l’écologie.
Et peut être demain des 4x4 qui consomment 20L/100km si les clients le demandent.
La capitalisme s’adapte, et il le fait très rapidement : « No change No chance »
Donc forcément il a pour ennemis les personnes accrochées au status quo.
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"La maîtrise de la fusion nucléaire, qui est en route, pourrait être de ces avancées essentielles en mettant fin à notre dépendance à l’égard des énergies fossiles tout en limitant nos émissions de CO2."
Les phénonèmes de fusion sont incontrôlés du fait de l’intrication spontanée qu’il génère (cf Milgrom).
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Pour être plus explicite, les phénomènes de fusion (étoiles) dilatent l’espace-temps plus rapidement que d’autres phénomènes, du fait de la vitesse constante de la lumière et de la luminosité de telles astres (a=cH0).
Les phénomènes d’ondes gravitationnelles viennent perturber et entropiser les réactions qui deviennent vite incontrôlables, sans oublier d’évoquer le principe d’incertitude d’Heisenberg.Il est difficilement envisageable de songer à un système permettant d’équilibrer un tel système industriel sur la durée.
On peut envisager de calculer les perturbations ondulatoires induites afin de pondérer un système durable.Reste à considérer le moyen de pondération, si ce n’est un trou noir.
Du moins, la géométrie particulière d’un tel autre mini-univers instable (pré-inflationniste) est aujourd’hui connu. Dès lors, s’inspirer d’une telle géométrie pourrait être une piste de stabilisation d’un tel système. Reste à la vision qu’apporte la compétence technique à ce sujet.
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! hum
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