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Accueil du site > Tribune Libre > Vers une récession économique mondiale en 2023. Guerre en Ukraine en cause (...)

Vers une récession économique mondiale en 2023. Guerre en Ukraine en cause ou fin d’un cycle avec en toile de fond une guerre financière ?

 Que peut-on dire aujourd’hui de la Réserve fédérale (Fed) ou Banque centrale américaine et de la Banque centrale européenne (BCE) qui ont relevé massivement leurs taux d’intérêt directeur en 2022 ? Hier, le 27 octobre, la Banque centrale européenne (BCE) a procédé à une troisième hausse de ses taux en 2022. Après une hausse de 50 points de base en juillet et une hausse de 75 points en septembre, elle décide une nouvelle hausse de 75 points de base. Le principal taux de refinancement est désormais à 2%.

Quant à la Fed, son taux d’intérêt directeur a été relevé respectivement en mars 2022, mai 2022, juin 2022, juillet 2022, septembre 2022, de 0,25% à 0,5% (25 points), à 1%, (50 points), à 1,75% (75 points), à 2,5% (75 points), à 3,25% (75 points).

La Bank of England (BoE) a aussi haussé son principal taux directeur à 1,75 %, le 22 septembre 2022. Elle doit endiguer une inflation qui pourrait bientôt dépasser les 13 %. Elle prévoit une entrée prochaine du Royaume-Uni en récession.

Pourquoi ces fortes hausses si rapides et si fortes ? Certes, il y a la forte hausse de l’inflation du fait des liquidités massives créées, entre 2020 et 2021, suite à l’irruption de la pandémie Covid-19. Cependant ce fort relèvement et surtout accéléré laisse penser à un feu qui couve dans l’économie américaine, de même dans l’Union européenne ? Ou, du fait que le taux de chômage est très bas aux États-Unis, autour de 3,5%, et c’est la guerre en Ukraine qui est en train de rebattre les cartes du monde ; la BCE se trouve entraînée malgré elle par la Fed américaine, par solidarité et par intérêt stratégique aussi ? Mais une solidarité et un intérêt vont être payés par une récession économique mondiale, très probablement en 2023. Mais alors comment comprendre ces politiques monétaires ? Une brève rétrospective peut nous aider à mieux saisir ce qui se passe aujourd’hui.

Nous savons par définition que les Banques centrales doivent soutenir leurs États sur le plan financier. Face à la croissance ou la décroissance économique, c’est leur rôle principal d’affiner leur politique monétaire pour favoriser les échanges tant sur le plan interne que sur le plan externe et donc éviter une poussée inflationniste en cas de surchauffe et inversement en cas de refroidissement.

Et habituellement, en période de ralentissement de l’économie, les États quand ils sont à court d’argent, utilisent l’instrument monétaire ; soit ils se tournent vers les marchés monétaires domestiques pour procéder à des emprunts, ce qui ne satisfait pas toujours puisque les emprunts ne peuvent aller au-delà d’une certaine limite des possibilités du secteur bancaire intérieur ; le marché domestique saturé ne dispose pas assez de fonds et les marchés extérieurs se ferment par crainte de non-recouvrement de leurs créances ; soit, en dernier recours, ils se tournent vers leurs Banques centrales pour demander ce qu’on appelle des « avances », en échange de titres d’Etat, généralement des bons de Trésor de différentes maturités.

 Evidemment, un excès de demandes d’emprunts du Trésor aux Banques centrales se traduit par un excès de création monétaire, et donc de l’inflation. Et à pratiquer l’inflation, un Etat ruine les particuliers pour permettre à l’État de « tenir » aux impératifs essentiels du budget de la nation. A savoir que les Etats construisent des routes, des ponts, des ports (ou les modernisent), des barrages, des écoles, des universités, des hôpitaux, etc., en réglant une grande partie de ces dépenses par la « planche à billet ». Cependant, cette construction bien qu’elle n’a coûté pour l’Etat que l’inflation et beaucoup aux générations d’aujourd’hui par la hausse des prix, profitera néanmoins aux générations de demain.

 Il faut aussi souligner qu’un ralentissement peut être conjoncturel, et une relance de l’économie peut diminuer voire effacer le déséquilibre budgétaire. Mais si le ralentissement se poursuit et ralentit les recettes fiscales pour la couverture des dépenses publiques, de nouveau le déficit budgétaire fait apparaître un nouveau besoin de financement ; s’enclenche ainsi une « spirale inflationniste-dévaluationniste ». En effet, un recours à la « planche à billet » se traduit forcément par une spirale augmentation prix-augmentation salaire, et une dévaluation de la monnaie.

 Cette spirale a caractérisé tant les pays européens dans les années 1970 suite aux chocs pétroliers que les pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Sud. La hausse des prix du pétrole (inflation importée) et la monétisation des déficits commerciaux par les pays détenteurs de monnaies internationales ont bouleversé l’équilibre économique mondial. Les déficits cumulés depuis les années 1970 et surtout les années 1980 avaient produit un effet boule de neige sur la dette publique extérieure des pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Sud, qui a atteint un niveau tel que la charge du remboursement échelonné dépassait les ressources fiscales nécessaires pour la résorber. D’autant plus qu’aux dettes de ces États venaient s’ajouter celles de leurs collectivités locales, la sécurité sociale et de divers organismes, le tout formaient leurs dette publiques totales. Les États surtout les pays du reste du monde non détenteurs de monnaies internationales se retrouvaient à créer de la dette pour couvrir leurs déficits et assurer le « service de la dette », i.e. le paiement des intérêts et le remboursement du principal arrivant à échéance à l’Occident créancier.

 Dans les années 1990, il faut rappeler le retournement de l’histoire sur le problème des déficits et la dette publique. La plupart des pays industrialisés (OCDE) avaient pour ordre du jour la réduction des déficits budgétaires. Tous les pays en développement y compris les pays avancés devaient réduire leurs dépenses publiques ; le blocage de l’économie mondiale par l’endettement mondial, l’éclatement du bloc Est qui a suivi à la fin des années 1980, la profonde dépression de l’Afrique, de l’Amérique du Sud, d’une partie de l’Asie.

Cette situation récessive du monde hors-Occident s’est à la fin soldée par une crise financière au Japon en 1990 et une double récession aux États-Unis et en Europe, entre 1992-1993. Tous ces facteurs récessifs ont introduit une nouvelle donne, un passage obligé pour une sortie de crise : un ajustement structurel planétaire dans les décennies qui ont suivi les deux chocs pétroliers.

L’Europe, dans la perspective d’une Union économique et monétaire, y était déjà engagée par le traité de Maastricht. Les pays européens devaient se conformer au critère d’un déficit ne dépassant pas 3% du PIB et d’une dette publique ne dépassant pas 60%. Ainsi, la rigueur budgétaire a pris le relais de la restriction monétaire.

 De leur côté, les Américains se sont également engagés sur la voie de l’orthodoxie budgétaire. L’objectif de retour à l’équilibre budgétaire a donné lieu à un excédent budgétaire en 2000. Quant aux pays en développement soumis à l’ajustement structurel, celui-ci apparaissait comme la meilleure voie de sortie du cercle vicieux de l’endettement qui risquait de les conduire à une diminution de l’indépendance dans la conduite de leur politique monétaire et financière.

 Une décennie et demie passa où l’Amérique vit son âge d’or avec la « Nouvelle économie », i.e. les valeurs technologiques (informatiques et télécommunications) qui ont constitué avec Internet une « troisième révolution industrielle ». Elles ont permis de créer des centaines de millions d’emplois aux États-Unis et dans le monde. La Chine vit aussi son âge d’or au cours des décennies 2000 et 2010, elle devient l’« atelier du monde » dans les microprocesseurs, l’automobile, le textile… comme naguère fut l’Amérique après le deuxième conflit mondial.

 L’Inde n’était pas en reste, elle devenait le premier producteur mondial de logiciels. Le doute est donc permis quant au comment l’Occident pourrait encore façonner le monde ; force de dire que la roue de l’Histoire était en train de tourner, le progrès s’étendant progressivement au monde émergeant. 

 C’est dans cette période de faste dans toutes les régions du monde que fit irruption la crise financière de 2008. Elle fut précédée, en 2007, par la crise immobilière (subprimes) aux États-Unis. La crise financière qui apparut au début de l’été 2008 fut brusque et dévastatrice ; ses conséquences étaient immédiates ; elle détruisit entre 2007 et 2008 selon des données occidentales quelque 25 000 milliards de dollars de capitalisations boursières dans le monde. D’autres données occidentales font état de 50 000 milliards de dollars. De chiffres extravagants qui équivaudraient à une destruction équivalente du PIB mondial. L’économie américaine s’est pratiquement arrêtée à l’été 2008.

 Cependant le système économique, financier et monétaire façonné par l’Europe et les États-Unis, face à la crise, a tenu. Et ce suite à la résilience que ce système a acquis depuis les Accords de Bretton Woods de juillet 1944, et malgré les crises monétaires entre les États-Unis et l’Europe, au début des années 1970, qui ont obligé les États-Unis de mettre fin à la convertibilité du dollar en or, le 15 août 1971.

 Cette situation unique dans l’histoire, à partir de 2008, ne laissa pas d’autres alternatives aux États-Unis et à l’Europe, sinon de créer massivement des liquidités internationales, durant près de deux décennies, pour « reconstituer de nouveau l’armature financière et monétaire internationale » d’avant. D’autant plus que cette dévastation de l’économie occidentale était prévisible, et s’est opérée au prix d’un long déclin de l’économie productive de l’Occident, qui perdait lentement mais sûrement l’initiative face à la compétitivité de l’Asie, de l’Amérique du Sud et de la Chine.

L’armature du système financier et monétaire international dominé par l’Occident qui reposait sur les quatre piliers qu’étaient le dollar US, l’euro, la livre sterling et le yen devait repartir sur de nouvelles bases, rompre avec les méthodes monétaires classiques et procéder à des politiques monétaires massives, « extraordinaires », pour reconstituer le système financier et monétaire international, il faut le dire en perdition avec la double crise immobilière et financière entre 2007 et 2008, aux États-Unis. Il faut même dire que ces crises ont été générées par la guerre qu’ont menée les États-Unis au Moyen-Orient, en réponse aux attentats du 11 septembre 2001 contre le World Trade Center, à New York.

Donc, pour lutter contre la crise financière, en 2008, il n’y avait pas de solutions, sinon à « armer, bétonner » les piliers du système financier ; l’économie occidentale risquait de sombrer dans la plus grave crise économique de son histoire, avec des conséquences pour l’ensemble des pays du monde ; une dépression du type des années 1930 resurgirait et probablement en plus grave.

 On comprend pourquoi les Banques centrales des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la zone euro, du Japon, en parfaite concertation, ont injecté massivement des capitaux pour sauver leurs systèmes bancaires respectifs qui, interconnectés, ne formait en fait qu’un seul et même système, le « système économique, financier et monétaire international ». Que serait la Chine avec ses trois à quatre mille milliards de réserves de change en dollars, euros, livre sterling, yen… sans un système financier international fiable ? Et cela passait par des mesures d’urgence, précisément des plans de sauvetage, de relance et encore de soutien à la relance de leurs économies qui se sont opérés à coup d’injections monétaires massives qui étaient non seulement nécessaires pour les États-Unis et l’Europe mais dans l’intérêt du monde entier qui dépendait de ces liquidités internationales. Et cela a duré 6 ans pour les États-Unis entre 2008 et 2014, et plus pour les pays de la zone euro, du Royaume-Uni et du Japon qui ont injecté des liquidités non en « ligne droite », contrairement aux quantitative easing américains (QE).

 Ceux qui voyaient négativement les politiques monétaires appelées « assouplissement quantitatif non conventionnel ou Quantitative easing (QE) », opérant depuis 2008, comme de l’« argent gratuit », se trompaient sur toute la ligne. Ou que ces QE renforçaient la spéculation sur les marchés boursiers se trompaient encore. La spéculation est inhérente à la nature humaine, tout humain cherche à faire des gains ; sans cette volonté de faire des gains pour se prémunir, et donc de placer, d’investir dans des projets, en Bourse et ailleurs, il n’y a pas d’économie.

 Quant à l’« argent gratuit », qu’il le fut importe peu, pourquoi ? C’est l’Occident qui est le principal détenteur des monnaies internationales qui alimente en monnaies internationales le commerce mondial. Si l’Occident menait des politiques monétaires restrictives, il ne ferait qu’étouffer l’économie mondiale qui a fortement décéléré avec la crise financière de 2008, et une grande partie de l’argent est partie en fumée du fait de la formidable spéculation dans l’immobilier aux États-Unis et en Europe. Une spéculation immobilière entre 2005 et 2008 qui a masqué en fait une contraction de l’économie occidentale, la hausse de son endettement alors que les pays émergents et pays exportateurs de pétrole, c’est l’inverse, ils ont engrangés des excédents commerciaux faramineux.

 En procédant massivement à des QE (création monétaire), l’Occident a dans un certain sens anticipé la création de richesses puisqu’il a permis de doper le commerce mondial par une hausse des échanges, la consommation aussi aux États-Unis, en Europe que dans les pays du reste du monde. Et tout ce qui est nécessaire pour tous les pays dans l’accompagnement des entreprises productives, le déstockage, la relance de l’investissement, les dépenses budgétaires pour la couverture sociale dont la subsistance des ménages qui ont perdu leurs emplois. Toutes ces mesures concourent à la paix sociale pour une grande partie du monde. Bien sûr les pays du monde et les pays extrêmement pauvres relèvent d’autres considérations économiques et politiques, à l’échelle mondiale.

Aussi, combien même l’Occident est pénalisé du fait de la perte de compétitivité face au faible coût de la main d’œuvre en Asie, il reste avec l’Asie, l’Amérique du Sud et l’Afrique solidaires sur le plan économique, financier et monétaire, à l’échelle mondiale. Et combien même que le système financier et monétaire international soit dominé par l’Occident ; tout dépend de l’urgence des mesures prises dues aux exigences de la conjoncture économique mondiale.

Comme d’ailleurs lors de l’irruption de la pandémie Covid-19, des liquidités massives dans le cadre des quantitative easing tant aux États-Unis qu’en Europe et au Japon. De mars 2020 à 2021, soit près de deux ans que l’économie mondiale a été irriguée et c’est ce qui a sauvé l’économie mondiale de la tourmente, certes il y a eu un fort ralentissement mais en 2021 a commencé la reprise économique mondiale.

Qu’en est-il aujourd’hui, et en 2023, où tout plaide que le monde se dirige vers une récession économique mondiale ? Est-ce la guerre en Ukraine qui en est la cause, ou simplement la fin d’un cycle avec en toile de fond une « guerre de monnaies » ? En effet, la domination de l’Occident est talonnée par la Chine qui a rendu le renminbi yuan chinois une monnaie internationale, depuis 2016, avec son inclusion au panier de monnaies qui détermine l’actif monétaire du FMI, le DTS (droits de tirage spéciaux). De même, la Russie qui exige de vendre son pétrole et son gaz en roubles, depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine. Un processus est donc engagé contre les monnaies internationales occidentales ; il remettrait en cause la domination occidentale sur le plan monétaire.

Et, en revenant à la politique monétaire menée par la Fed et sa consœur la BCE, on comprend parfaitement leurs soucis immédiats au regard de la guerre qui se joue en Ukraine et qui oppose en réalité non seulement m’Ukraine, mais l’OTAN, et aussi l’avenir de l’Occident. Et un avenir sur tous les plans, que l’on doit comprendre sur le plan géostratégique, signifiant que l’Occident doit rester hégémonique dans toutes les questions mondiales qui l’opposent aux grandes puissance émergentes, à savoir la Chine en premier et la Russie en second. Une remise en cause stratégique signifierait aussi une remise en cause de l’hégémonie économique, financière et monétaire à l’échelle planétaire.

Aussi comprend-on les relèvements massifs et accélérés des taux d’intérêt directeurs de la Fed et de la BCE. Ces relèvements massifs des taux d’intérêt des Banques centrales occidentales sauf le Japon qui n’a pas suivi, son taux directeur est resté fixé à -0,1%, rappellent la période 2004-2008 durant laquelle la Fed et la BCE ont certes relevé très prudemment leur taux d’intérêt mais très fortement. Conséquences : deux crises immobilières (2007) et financières (2008) se sont suivies, aussi allons-nous vers une crise bis repetita 2008 ? Tout la laisse supposée, et cette crise financière mondiale a pour but d’étouffer l’économie de la Russie et indirectement l’économie chinoise, du moins la décélérer fortement. Donc une guerre économique et financière est menée de manière frontale par les Banques centrales occidentales, et le paradoxe est qu’elles la mènent aussi contre leurs propres économies. Par nécessité ? Mais visant surtout les puissances émergentes adverses.

Mais qui perdra surtout dans cette guerre économique et financière ? N’est-ce pas les pays d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Asie, d’Amérique du Sud, surtout avec le plafonnement du pétrole « planifié » par l’Occident. Et c’est toujours les plus faibles économiquement qui paieront. Sauf que les Banquiers centraux ne comprennent pas que la guerre en Ukraine va certainement se terminer, après que des négociations forcées y mettront fin.

Enfin, pour conclure, sur un plan métaphysique mais qui a tout son sens dans la marche du monde, les êtres humains croient qu’ils agissent seuls sur la planète-terre ; ils ne pensent pas qu’il y a une Pensée supérieure, absolue qui gouverne le monde ; précisément les banquiers centraux occidentaux sont une partie des problèmes du monde et sans le savoir, avec la guerre des taux d’intérêt directeurs et des monnaies, et des crises économiques qui s’ensuivent, ils participent à la résolution des problème du monde.

Les relèvements des taux d’intérêt se devaient d’être relevés ; la guerre chaude s’entremêle avec la guerre froide et, après un temps nécessaire, avec d’autres événements qui vont surgir, inévitablement forceront les parties en guerre de s’asseoir et négocier la paix en Ukraine, qui, en réalité, est déjà toute tracée, toute dictée, faudrait-il dire. Évidemment, une telle vision est métaphysique mais elle relève d’une « vision métaphysique précise » qui dit comme la guerre en Ukraine qui est arrivée alors qu’elle était loin d’être pensée, la guerre se terminerait de la même manière alors qu’elle était loin d’être pensée.

En clair, les êtres humains ne disposent pas d’eux-mêmes, ils sont pensés dans leurs pensées dans le sens même qu’ils pensent leurs pensées. Et c’est là le paradoxe, le dilemme qui est en fait le « secret de la vie humaine et de la marche du monde » que ne commandent pas les humains. Et l’auteur de ces lignes reviendra, dans une autre analyse, sur la fin de la guerre en Ukraine qui se précise de plus en plus.

 

Medjdoub Hamed
Auteur et chercheur spécialisé en Economie mondiale,
Relations internationales et Prospective

 


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2 réactions à cet article    


  • Lynwec 28 octobre 2022 15:45

    Récession, peut-être, c’est de toute façon prévu dans le plan de Davos, mais pas pour tout le monde...

    La famille (au sens prévu dans Cosa Nostra par exemple) Von der Machin devrait s’en sortir sans réels soucis de fins de mois...

    https://www.wikistrike.com/2022/10/detournement-la-commission-europeenne-a-verse-320-millions-a-une-societe-dirigee-par-le-mari-de-von-der-leyen.html

    Admirable Union Européenne, chaque jour nous fait prendre conscience de la chance que nous avons d’en être captifs... Les mêmes qui cherchent à réimposer le passe vaccinal sans épidémie (ni notre accord, mais ça, on sait qu’ils s’en contrefichent...)


    • the clone the clone 29 octobre 2022 09:09

      La récession est « en marche » comme dirait l’autre guignol et il y participe activement .....  

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