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Situer les « droits sexuels » et le LGBTisme dans la lutte des classes

Un mouvement puissant se lève actuellement en occident à travers le féminisme, LGBTisme, mouvement qui mène à l’avènement des droits sexuels. Toute une nouvelle jeunesse est en train d’apparaître, très ouverte aux questions de genre, en adoptant les codes et prônant la tolérance à l’égard de ces nouvelles minorités genrées. C’est, en apparence, très logiquement que les institutions accompagnent ces mutations en développant, par exemple, les « droits sexuels » et leur enseignement.

Ainsi l’UNICEF est à l’avant-garde de cette évolution et la convention internationale des droits de l’enfant stipule que « l’éducation à la sexualité s’intègre dans plusieurs droits humains fondamentaux : le droit à disposer de son corps, le droit à l’éducation, le droit à la santé, le droit à la protection contre toute forme de violence. » Ce sont désormais toutes les institutions des États sous la coupe du Forum Économique Mondial (c’est-à-dire du capital financier occidental dominé par les anglo-saxons) qui suivent les recommandations des supposées « institutions internationales » mises en place par les occidentaux, celles-là mêmes dont la guerre en Ukraine sonne le glas.

C’est pourquoi ce mouvement commence à avoir des répercutions dans notre vie quotidienne et les enfants sont désormais susceptibles de se retrouver face à des produits culturels ou des enseignements sur « l’éducation à la sexualité ». La vidéo ci-dessous est le fruit de la surprise d’un père qui découvre cette littérature.

Cette vidéo nous décrit donc le contenu d’un livre jeunesse sur la sexualité. Il a été emprunté aisément avec la carte d’un enfant de 12 ans dans une médiathèque. À sa lecture, on ne peut qu’être étonné par la rudesse du propos, par la présentation de pratiques obscènes à des jeunes, avec tout les risques d’effraction psychique que cela peut engendrer sur des êtres en devenir.

Ce d’autant plus, que si les institutions reprennent cette antienne, elles ne sont pas les seules. En effet, elle transpire aussi par tout les canaux de la société, en particulier par l’intermédiaire des marchandises que l’industrie culturelle déverse en masse sur la jeunesse.

Nous pourrions nous féliciter de cet état de fait car il est vrai que tout un chacun peut constater l’arrivée de cette nouvelle jeunesse marquée par de nouvelles sexualités. L’avènement des droits sexuels et de l’éducation à la sexualité indiquerait donc la prise en compte par le pouvoir d’un mouvement de société. D’aucuns pourraient s’en réjouir au nom de la tolérance et de l’acceptation des inclinations de tous.

 

Un phénomène si spontané que cela ?

 

Cependant, l’affaire n’est peut-être pas aussi simple. Il faut rappeler avec Marx et Engels que les pensées dominantes sont celles de la classe dominante1, celle-ci possédant les moyens de production matériels et intellectuels. La grande bourgeoisie possède l’industrie culturelle, les médias, bref, tout l’appareil productif, et dispose des États qui lui sont acquis mécaniquement par une relation incestueuse avec elle, en particulier de par la haute fonction publique. De l’école à l’influenceur Instagram, en passant par le Rap, tout est aux mains de la classe dominante.

Or, le fait est que la culture préfabriquée qui s’adresse à la jeunesse ne cesse de mettre en scène la déstabilisation des genres. Dans un tel cadre, est-il surprenant de voir tant de jeunes en pleine confusion ? Émile Durkheim expliquait que les états psychiques sont le résultat de faits sociaux, de structures sociales, et pas l’inverse2. En d’autres termes, on peut bien imaginer qu’au sein de la jeunesse, il y a toujours eu une cohorte – ultra minoritaire – d’individus qui ne se sentent pas à leur place dans leurs rôles sociaux, « genrés » dirait-on maintenant. Cependant, du fait de l’existence de la formidable machine d’embrigadement possédée par le capital, nous ne pouvons qu’être dubitatif sur nombre d’autres jeunes qui se déclarent transgenres.

Dire que ces jeunes adhèrent à ces valeurs parce que la société n’a plus la force de les contraindre reviendrait à dire que la machine étatique a amélioré la société, qu’elle l’a modifiée intentionnellement pour la faire mieux fonctionner en la rendant plus tolérante. La société deviendrait ici une matière à travailler avec des projets. C’est la position de la doxa.

Mais un point de vue plus sociologique montrerait bien plutôt que s’ils sont si nombreux à le faire, c’est qu’une influence extérieure les y pousse. C’est que la force de la communication des institutions et de quasiment tout les canaux de communication « jeunes » tend à banaliser ces problématiques, et les détermine à s’y conformer. Ce n’est donc pas l’État qui les libère du joug de la société, mais l’État qui introduit des idées nouvelles dans la population pour la transformer. Mais alors, pourquoi une telle stratégie ? Dans quel but ?

Une approche psychologique expliquerait que la grande bourgeoisie est dégénérée et détruit les peuples par pure perversion. C’est certainement vrai – et les indices de cette dégénérescence sont nombreux – mais cela reste insatisfaisant car, si l’on suit Durkheim, les états psychologiques de la bourgeoisie sont forgés par les conditions dans lesquelles elle existe, conditions émanant de la lutte des classes. C’est cette dernière qui va déterminer l’intérêt de classe bourgeois. C’est donc là que réside certainement la clef de tout ce fatras.

 

Contextualiser la sexualisation dans la lutte des classes

 

Pour comprendre la place de la sexualisation délirante des individus dans la propagande officielle, il faut considérer en quoi elle peut être un outil destiné à maintenir les privilèges de la classe dominante. Pour ce faire, il faut saisir les stratégies à long terme de cette dernière.

Il va nous falloir contextualiser le phénomène, le rapporter au cadre global. La sexualisation des individus par le régime doit donc être reliée aux politiques sanitaires, en particulier depuis la crise du covid. Là transparaît une tendance lourde, bien antérieure à notre époque, que la philosophie a déjà identifiée. La pensée d’Hannah Arendt est ici des plus éclairantes.

Nous pourrions bien sûr évoquer les biopolitiques de Michel Foucault, qui sont un mouvement de prise de contrôle du corps par le pouvoir. Les politiques sanitaires s’inscrivent complètement dans ce mouvement. Mais avec Hannah Arendt apparaît le ferment totalitaire de ce geste du pouvoir. Ainsi décrivait-elle l’avènement d’un individu nouveau réduit à sa biologie – l’animal laborans dans sa terminologie – c’est-à-dire un nouveau sujet qui n’obtiendrait son identité que de par son corps, dans sa nécessité. L’humain se retrouve alors dépouillé de son histoire, de ses particularismes autant que de ceux de son groupe, pour devenir un être naturel, identique à n’importe quel autre de la même espèce et équipé de droits standards. Nous avons là typiquement une caractéristique indispensable à l’avènement d’un gouvernement mondial.

Arendt en profite d’ailleurs pour égratigner les Droits de l’Homme qui entérinent ce nouveau sujet, uniformisé par la nature, sans racine et apolitique. Ces droits sont censés le protéger contre un pouvoir centralisé mais font fi de son histoire personnelle, des particularismes de son environnement social. Les Droits de l’Homme s’adressent à l’humain étatisé, uniformisé par ce pouvoir tutélaire.

Les droits sexuels s’inscrivent dans ce cadre et représentent même une évolution tout à fait étonnante de l’usage du droit par le pouvoir central. Certes, on pourrait objecter que justement, les droits sexuels contestent la biologie puisqu’ils se basent sur l’idée que le genre n’est pas forcément en rapport avec le sexe. Mais ils accompagnent quand même la démarche de l’individu qui veut retrouver son être vrai, en dehors des significations que la société donne à chacun des deux sexes. C’est une déstabilisation générale de tout les systèmes symboliques que les groupes humains ont attribués au sexe. Et cette déstructuration se fonde sur la quête de l’individu vers son moi véritable, en dehors des codes collectifs. Comme si cela était possible… C’est donc bien la nature de l’individu, forgée en dehors de la société, qu’affirment protéger les droits sexuels. Ils sont quasiment une tentative pour retrouver l’homme à l’état de nature, avant qu’il ne soit frelaté par la société.

Ariane Bilheran a proposé une interprétation éclairante de ce phénomène. Les droits sexuels ne portent plus sur la protection de l’individu mais sur ses réclamations à la jouissance. On peut enrichir encore sa critique en rajoutant que, dans leur conception initiale, les droits protègent le citoyen contre le pouvoir. Ils sont en quelque sorte une protection que la vie en société a obtenue contre les puissants et l’État. Derrière les droits, il y a l’idée que ceux-là sont susceptibles d’opprimer l’individu et donc de détruire le peuple. Mais avec les droits sexuels, on passe sur un autre registre car ici, si les droits sont toujours censés protéger, ce n’est plus contre les puissants mais contre la société et ses valeurs qui seraient réactionnaires. Le pouvoir prétend donc mieux savoir ce qui est bon pour l’humain que la société. C’est la science contre la vie, la machine qui prétend mieux savoir que la bête ce qui est bon pour elle. C’est un renversement total des valeurs.

Voilà ce qu’il se passe quand l’humain est dépolitisé et réduit à son état naturel : le politique disparaît au profit de la science en même temps qu’apparaît un sujet disponible pour la gestion de masse. Avec les droits sexuels, l’État prend place dans l’intimité de l’humanité, dans ce qui la rend humaine. Cette colonisation de l’intime ouvre tout un champ pour la gestion de masse mais aussi pour la marchandise.

L’influenceur transgenre Dylan Mulvaney

Il est expliqué ici comment le capitalisme tend vers l’impérialisme, en constituant des monopoles publics (les État et leurs institutions) et privés (le capital financier). La colonisation de l’intimité est un élément de gestion de masse du bétail humain. En cela, elle intéresse les monopoles publics. Mais elle ouvre également un champ de profit pour les monopoles privés, condamnés qu’ils sont à combattre la malédiction congénitale de la baisse tendancielle du taux de profit théorisée par Marx.

Le capital financier est donc condamné à dénicher sans cesse de nouveaux territoires, qu’ils soient géographiques ou économiques, matériels ou immatériels. La guerre en Ukraine est un des aspects de cet impérialisme du capital financier occidental. Les politiques sanitaires, les droits sexuels en sont un autre, dans un autre domaine.

C’est pourquoi les multinationales chantent en cœur les louanges du woke et de ces nouveaux droits. Cette nouvelle humanité leur sera entièrement livrée, jusque dans sa plus profonde intimité. L’industrie culturelle s’est aussi largement emparée du woke pour promouvoir cette nouvelle révolution des mœurs qui promet de nouvelles sources de profit et un contrôle totalitaire des peuples massifiés. Ici, il faut mesurer les perspectives révolutionnaires que promettent l’internet des corps et l’internet des objets.

Le corps humain deviendra un émetteur récepteur permanent de données. Avec ces biopolitiques, avec l’avènement de l’animal laborans, surgit un sujet sans aucune spiritualité, réduit à sa nature, dépossédé de son corps qui est désormais propriété du pouvoir. Et l’on en finit plus d’égrainer les funestes perspectives d’une telle situation.

 

Les droits sexuels et l’éducation à la sexualité comme tendance fasciste.

 

C’est ainsi que ce petit livre scandaleusement emprunté par un enfant de 12 ans dans une médiathèque prend place dans une tendance lourde de l’histoire : la prise de contrôle complète de l’espèce humaine par le système.

Car ne nous y trompons pas. Tout ces jeunes wokisés par des profs collabos, par une culture matérialiste qui renverse toutes les valeurs, tout ces jeunes transgenres, dans leur immense majorité, sont des victimes de la configuration actuelle de la lutte des classes, des victimes de l’impérialisme structurel du capital financier. On a beau le tourner dans tous les sens, tant que le capitalisme sera le système dominant, ce sera la guerre et ce jusqu’au plus profond de nous.

Il est triste de voir toute cette population accroire que le pouvoir est moral, qu’il se préoccupe de la condition des femmes ou des minorités. Croit-on que l’État français est choqué par la condition de la femme ou des transgenres en France ? Qu’il pense que c’est moralement inacceptable ? Mais derrière une telle position, il y aurait la croyance que l’État est le relais des tendances de la société, qu’il en est l’expression, « l’âme de l’âme » comme disait Mussolini3. Il y a là une erreur d’analyse énorme sur l’essence de l’institution étatique, typique du fétichisme de l’État que dénonçait Pierre Bourdieu4, celle qui affirme benoîtement que « l’État c’est nous ». Cette erreur est gravissime car elle revient à considérer son ennemi comme soi-même, et ce faisant, empêche de réaliser pleinement le contenu de la lutte des classes et les dangers gigantesques qui pèsent aujourd’hui sur l’humanité.

À la vérité, pour le pouvoir, ces causes, cette défense des minorités, ne sont que des leurres qui visent à affaiblir le peuple en le divisant en vu d’accroître l’emprise du capital sur la vie. Il faut citer Machiavel quand il explique : « Il n’est donc pas nécessaire à un prince d’avoir toutes les bonnes qualités dont j’ai fait l’énumération, mais il est indispensable de paraître les avoir ; j’oserai même dire qu’il est parfois dangereux d’en faire usage, quoiqu’il soit utile de paraître les posséder. Un prince doit s’efforcer de se faire une réputation de bonté, de clémence, de pitié, de justice, de fidélité à ses engagements, et de justice ; il doit avoir toutes ces bonnes qualités, mais rester assez maître de soi pour en déployer de contraires, lorsque cela est expédient. »5

La pseudo-moralité de l’État n’est que le paravent d’une prise de pouvoir totalitaire. Et l’on ne peut être qu’effrayés face à ces nouveaux militants pour les droits sexuels, ou les droits transgenres qui ont le pouvoir derrière eux, un pouvoir que, nous pouvons en être sûr, ils croient bienveillant…

Si le fascisme est ce mouvement qui tend à neutraliser la lutte des classes en poursuivant l’œuvre de domestication et d’exploitation de l’humain dans le cadre d’une société capitaliste, et si l’avènement de ce nouveau sujet que décrivait Arendt, l’animal laborans, est un des éléments clef du totalitarisme, alors les militants pour les droits sexuels et tout le lgbtisme sont des fascistes. À leur corps défendant, évidemment et c’est cela qui est terrible : ils croient être le bien et combattre le mal. Erreur historique absolue.

L’enseignement des droits sexuels à l’enfant est bien sûr fait du même bois : un geste d’endoctrinement de la jeunesse en vue de fabriquer son consentement au renoncement à la conception ancestrale de ce qu’est un humain. En effet, tous tendent à réduire l’homme à n’être plus qu’un individu standardisé, équipé de droits, et cohérent avec une gestion de masse. La lutte de classe est comme congédiée au profit de problématiques corporelles, sanitaires. Les droits sexuels et l’endoctrinement de la jeunesse sont une étape vers la mise en place d’un gouvernement mondial.

Arendt expliquait, avec d’autres, que rien de ce qui avait rendu Auschwitz possible n’avait été éradiqué. Adorno et Horkheimer écrivaient de leur côté, dès 1945, que la victoire des alliés allait entraîner la mise en place d’un ordre fasciste international. Nous y sommes.

Jacques Roure

 

note 1 : Karl Marx – Friedrich Engels, L’idéologie allemande, Paris, Éditions Sociales, 1976, p.44.

note 2 : Émile Durkheim, Les règles de la méthode sociologique, Presses Universitaires de France, Paris, 1993, p.106.

note 3 : Benito Mussolini, La doctrine du fascisme, Kontre-Kulture, St Denis, 2020, p.17.

note 4 : Pierre Bourdieu, Sur l’État, édition du Seuil, 2012, pp.59-60.

note 5 : Machiavel, Le prince, trad. C. Roux-Lanier, Bordas, 1980, p.70.


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30 réactions à cet article    


  • Brutus paparazzo 24 avril 2023 08:41

    Mouvement puissant ou « wedge issue » largement subventionnée par des lobbies pervers, non pas dans leur sexualité (ils font ce qu’ils veulent avec leurs troufignons) mais dans leur fonctionnement in tellectuel.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 avril 2023 09:22

      ’’C’est, en apparence, très logiquement que les institutions accompagnent ces mutations en développant, par exemple, les « droits sexuels » et leur enseignement.’’

      >

      Enseignement des droits sexuels par le fait qu’il recourt rédhibitoirement à discours d’autorité sur les questions sexuelles, est le nom politiquement correct d’agression sexuelle sur mineurs.

       


      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 avril 2023 10:32

        @Francis, agnotologue
         
        La seule chose qu’une autorité ait le devoir de dire à un enfant en matière sexuelle, c’est qu’il a le droit inaliénable et inconditionnel de dire non.
        En l’occurrence, non à une éducation sexuelle par un adulte.
         
        Tout le reste est violence.


      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 26 avril 2023 08:34

        @Francis, agnotologue
         
         me suis mal exprimé et phrase ambiguë ci-dessus. Je corrige :
         
        La seule chose qu’une autorité soit autorisée à dire à un enfant en matière sexuelle, c’est qu’il a le droit inaliénable et inconditionnel de dire non.
         
        En l’occurrence, au nom de tous les enfants, je dis non à une éducation sexuelle à l’école, éducation que j’assimile à une agression sexuelle et qui ouvre la porte à de nombreux dérapages aussi pendables que légitimés d’avance.
         
        Comme l’art.


      • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 avril 2023 09:47

        Excellent article. Une lumière, un phare. A lire de toute urgence : Anne Bilhéran. Nabum de faire un article sur le rhinocéros. De me rappelar Ionesco : Au dernier acte, Bérenger est chez lui et tout le monde devient rhinocéros. Bérenger est le seul à réagir humainement et à ne pas trouver cela normal. Il s’affole et se révolte contre la « rhinocérite ». Dudard minimise la chose puis devient rhinocéros car son devoir est « de suivre ses chefs et ses camarades, pour le meilleur et pour le pire » (camaraderie enseignée dans les jeunesses hitlériennes et communistes). Et Daisy refuse de sauver le monde pour finalement suivre les rhinocéros qu’elle trouve soudainement beaux, dont elle admire l’ardeur et l’énergie. Néanmoins, après beaucoup d’hésitations, Bérenger décide de ne pas capituler : « Je suis le dernier homme, je le resterai jusqu’au bout ! Je ne capitule pas ! ».


        • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 avril 2023 09:51

          bibliographie de Anne Bilhéran : 

          Le Débat interdit - Langage, covid et totalitarisme Broché – Livre grand format, 24 mars 2022
          de Ariane Bilheran (Auteur), Vincent Pavan (Auteur), Louis Fouché (Préface),
          L’Internationale nazie Broché – 16 août 2022
          de Ariane Bilheran (Auteur).



          • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 avril 2023 09:52

            Et si les nazis avaient sacrifié l’Allemagne, mais n’avaient pas perdu la guerre ? Cette thèse, aussi inconcevable pour certains qu’elle est évidente pour d’autres, fut émise pour la première fois en 1945 par Hannah Arendt, la grande philosophe du totalitarisme. En 2022, après Le débat interdit, écrit avec Vincent Pavan, et les Chroniques du Totalitarisme 2021, Ariane Bilheran suggère de revenir à ce texte d’Hannah Arendt pour mettre en perspective l’actualité du monde, et sa dérive totalitaire.

            Ariane Bilheran est normalienne (Ulm, Paris), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, auteur de plus d’une trentaine d’ouvrages dont certains traduits en plusieurs langues. Elle est spécialisée dans la psychopathologie du pouvoir, l’étude de la manipulation, de la perversion et de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme.

            Avant-propos de Slobodan Despot
            Préface de Jean-Dominique Michel


            • Joséphine Joséphine 24 avril 2023 10:15

              Les peuples ne se laisseront pas faire et ne resteront pas les bras croisés face au fléau LGTBQ . La preuve, aux USA la marque de bière Budweiser, qui est l’équivalent de la Kronenbourg , a eu la mauvaise idée de promouvoir les travelos dans sa dernière publicité. Le résultat ne s’est pas fait attendre car en Amérique les choses vont vite lorsque les consommateurs sont en colère . Le boycott a été radical , en particulier chez les trumpistes qui représentent tout de même 50% du peuple américain, et l’action Budweiser s’est écroulée en bourse en à peine trois semaines :

              https://m.youtube.com/watch?v=Uvn9XINmBCk&embeds_euri=https%3A%2F%2Fdempart.world%2F&source_ve_path=Mjg2NjY&feature=emb_logo


              J’en profite également pour dire que le RN part en croisade contre les LGTB-Woke et que c’est actuellement le seul parti qui a créé une association contre le poison idéologique du Wokisme, contre la propagande LGTBQ et contre l’écriture inclusive qui défigure la langue de Molière. 





              • L'apostilleur L’apostilleur 24 avril 2023 10:19

                @ l’auteur 

                "...Émile Durkheim expliquait que les états psychiques sont le résultat de faits sociaux, de structures sociales, et pas l’inverse...)

                Certainement, c’est l’influence culturelle.

                Si celle-ci semble se dégénèrer par des mouvements minoritaires relayés disproportionnément, on peut comprendre que certains états psychiques soient affectés. 

                Le bruit médiatique des minorités brouille alors les repères de ceux qui ne s’identifie pas à elles



                • Bendidon ... bienvenue au big CIRCUS Bendidon ... voila l’Ankou ! 24 avril 2023 10:22

                  Avant on disait d’une personne qu’elle était bien burnée maintenant on dit qu’elle est bien genrée !

                  Le progrès quoi !

                   smiley


                  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 avril 2023 10:24

                    En lisant le site d’Anne Biléran, je suis heureuse de constater que les livres écrits par sa grand-mère corse m’ont servi pour mon mémoire sur la dyslexie-dysorthographie. Mon article n’est pas passé (Titre : le fondu enchaîné), dit autrement ce qu’Ariane nous transmet sur notre monde actuel : 

                    Ariane Bilheran désapprouve toute idéologie de « table rase », d’« homme nouveau », de « nouveau monde », de « nouvelle normalité », y voyant une réponse de type totalitaire à une angoisse psychotique d’effondrement. Elle estime aujourd’hui nécessaire en France de repenser les fondements du lien social, du contrat social, et de rétablir des formes de transmission à partir du savoir des Anciens et des socles de notre culture gréco-romaine. Elle estime que la vie psychique doit aussi se conformer trois principes de la médecine humaniste : désintoxiquer (ex. : de la propagande médiatique, du chantage, de la peur, etc.), nourrir (savoir choisir ce qui nourrit l’âme, les bons livres, la bonne musique, etc.), et réparer (en particulier les vécus traumatiques).

                     

                    Elle promeut la nécessaire résistance intellectuelle, morale, émotionnelle et spirituelle, à la déshumanisation qui nous est imposée chaque jour avec davantage de violence, et se manifeste en particulier au travers de la destruction méticuleuse et programmée de l’innocence de l’enfance.


                    Par fon-enchaîné, je voulais exprimer que le monde régresse dans une « zone floue », qui tente de placer un brouillard, une confusion afin de ne pas sombrer dans la psychose.... dont les conséquence seront lourdes pour la société. Car qui dit psychose dit automatiquement systène TOTALITAIRE. .... Mais le fondu enchaîné laisse aussi passer ceux qui voient clair : les névrosés ( seuls les « fêlés » laissent passer la lumière). Le contraires des fêlés névrosés sont les normopathes de l’érasement généralisé... borderline et autres anticonfismiste-de la conformité obligatoire. Oedipe, l’homme au pied fêlé.... celui qui voyait clair dans le lointain...


                    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 24 avril 2023 10:38

                      @ Modernité et totalitarisme

                      Bonjour, article bienvenu et très éclairant.

                      Le but des mondialistes est de détruire la société, en commençant par la famille,en gangrènant les enfants avec le wokisme et tout ce qui s’y rattache. Ce qui arrive avec la théorie du gender est une aberration, une ignominie de plus à l’actif des « ennemis du genre humain ». Il ne faut pas laisser à ces salopards la certitude qu’ils gagneront la partie. Le contenu de ce livre que vous évoquez dans votre article et accessible à des enfants mineurs, très jeunes, (vu la crudité de son contenu) est une fenêtre ouverte sur la pédocriminalité et pédopornographie généralisée et décomplexée. Les enfants sont en grand danger. Il faut être intransigeant, car il s’agit de prosélytisme sous couvert bien sûr, de « prévention », mais la ficelle est un peu grosse. 

                      Les mondialistes fournissent par une doxa envahissante, à l’opinion publique un « package » complet pour l’instauration du NOM. La théorie du gender, l’urgence climatique grâce aux medias corrompus.
                      Ils ne s’arrêteront que si on les arrête.


                      • Brutus paparazzo 24 avril 2023 11:32

                        @Nicole Cheverney

                        « Ils ne s’arrêteront que si on les arrête. »

                        oui
                        encore faudrait il que les zombies se désintoxiquent de leur dépendance au « soma » qui leur est perfusé par les médias et les circuits commerciaux, publicitaires et clientélistes.

                        alors, c’est pas gagné

                        je crains qu’il ne me reste plus assez de temps pour assister à cet « arrêt ».


                      • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 24 avril 2023 13:55

                        @paparazzo

                        Bonjour, 

                        Si les parents s’y mettent, je ne pense pas que ces théories tiendront la route très longtemps. Il suffit juste d’un peu d’organisation et de s’appuyer sur le droit, les lois pour faire condamner les diffuseurs de ces horreurs auprès de la jeunesse existent. Il suffit d’aller les chercher là où elles sont. Dans les différents codes du droit français.
                        Par exemple, si une médiathèque municipale ou intercommunale propose ce livre  odieux, dangereux pour la santé mentale des gosses  c’est que les élus et les responsables de la médiathèques ont dépassé largement leurs prérogatives, ils font un acte militant.
                        Il faudrait que toutes les médiathèques réservées à la jeunesse soient inventoriées par des associations de parents d’élèves, et le maire et l’adjoint en charge de ce domaine culturel soient trainés devant les tribunaux, s’ils s’avèrent qu’ils ont dans les rayons ce genre de littérature. 1 / administratif, 2/ auprès du proc pour incitation à la pornographie infantile. 
                        Quant à la diffusion dans les milieux scolaires, les parents doivent absolument se mobiliser. 
                        D’autre part, publiquement dénoncer les endroits où se diffusent ces livres, manifester partout, vidéos à l’appui.
                        Et puis informer les parents qui ignorent encore ce qui se trame contre leurs enfants.


                      • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 avril 2023 10:47

                        Vent debout contre la regression psychotique. Site d’Ariane Bilheran : https://www.arianebilheran.com/contact. Je profite de l’article pour y redéposer le mien qui n’est pas passé : Le FONDU-ENCHAINE : 

                        Voici l’extrait : le fondu enchaîné ou le rite de passage...

                        Le monde selon Deleuze et Guattari (le fondu). 

                        Voici ce qu’écrivait le deuleuzien foucaldien au sujet de la névrose qu’il remettait en question (lire : l’ant-Oedipe ou anti-Oedipe comme on parle d’anté-christ ou d’anti-christ). L’OEDIPE est justement le pivot central de la NEVROSE. Citons Mélanie Klein qui elle, a parfaitement décrit le pré-Oedipe.. Deleuze : (cf : Oedipe et psychanalyse d’aujourd’hui, édition Privat). Article de Janine chasseguet Smirgel. Page 9. L’anti Oedipe (névrose) de Deleuze et Guattari... Le texte étant long, je m’arrête à décrire l’anti-Oedipe ou anti-névrose (les deux sont liés) vu par Deleuze et Guattari« .

                         »IL apparaît toutefois que la schizophrénie nous donne une singulière leçon extra-oedipienne... Le schizophrène (psychose) n’est pas homme et femme. Il est homme ou femme, mais préciséement il est des deux côtés. Homme du côté des hommes, femme du côté des femmes. Le schizophrène est mort ou vivant, non pas les deux à la fois, mais chacun des deux à une distance qu’il survole en glissant. Il est enfant ou parent, non pas l’un et l’autre, mais l’un au bout de l’autre comme les deux boûts d’un bâton — dans un espace indécomposable... Il n’est pas simplement bisexué, ni entre les deux. ni intersexué, mais transexué. Il est transvimort, transparenfant.... ET maintenant : la définition exacte du terme névrose : La névrose est une organisation structurée par le complexe d’Œdipe. Le sujet névrosé s’affronte aux désirs et aux interdits en jeu dans l’Œdipe, l’inceste et le parricide : s’unir sexuellement avec l’objet d’amour et éliminer le rival.

                        Hier, naviguant sur internet, je m’arrête sur un Site qui sentait le retour au Sources. D’autant plus qu’il s’appelle la Source.

                        Un des intervenants décrivait la situation actuelle en faisant le lien avec une technique du cinéma qui s’appelle le fondu enchaîné.

                         Un fondu image est une technique d’enchaînement, une marque de ponctuation, entre deux situations ou flux d’informations, en l’occurrence, vidéos et/ou sonores. Entre deux images, plans ou séquences, la transition s’opère quand l’image 1 disparaît progressivement au profit de l’image. La description de Deleuze me rappelle cette technique. Disons ainsi, que le monde actuel qui a rejeté l’Oedipe et la névrose (Dany-Robert en parle parfaitement) veut pousser les névrosés vers la porte de sortie. Place à l’indifférencié... schizophrénique. L’auteur du débat explique bien que les moments présents, nous vivons une sorte de RITE DE PASSAGE. Dit autrement reculer pour mieux avancer..... on met du flou pour préparer la séquence suivante qui est le retour ou la renaissance d’un nouveau monde bâtit sur d’autres racines (moins déglinguées)... Dit autrement. UN nouvel Oedipe débarrassé de ses scorie. Car l’Oedipe peut aussi est FAUX. LE faux self a très été bien décrit par Donald Winnicot. Cela ressemble à de l’Oedipe, mais n’en est que la caricature. Exemple : le film American beauty. Ou encore la famillle Fillon. Cela ressemble à de l’Oedipe. Mais tout est faux. C’est du carton pâte. Voilà pourquoi il faut déconstruire, non l’Oedipe qui est fondateur. Mais le FAUX. Et pour défaire le semblant, le recul vers un fondu (brouillard dans le genre est nécessaire). Car ce n’est que dans le flou que l’on se cherche de véritables repères et pas des branches pourries... ). Il est clair qu’une civilisation schizophrène ne peut mener qu’à l’apocalypse et la mort. Nous verrons quel sera le choix de l’homme : soir mourir définitivment, soit se re-verticaliser. Concernant le « progrès » et le FAUX OEDIPE, comme on parle du faux bourdon, il y avait un feuilleton qui le représentait parfaitement : la famille Forsythe.....anglicisme qui signifie allez toujours de l’avant...... Une famille à la Fillon... A méditer...


                        • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 avril 2023 10:51

                          Ce n’est pas Anne, mais Ariane Bilhéran.... Suivre le FIL ROUGE..... 


                          • Jonas Jonas 24 avril 2023 11:54

                            Le mouvement LGBT est une arme de propagande du Nouvel Ordre Mondial satanique pour subvertir et détruire la civilisation européenne
                            Les lobby mondialistes, en infiltrant leurs élites politiques aux plus importantes charges des États et des média depuis des décennies, vont surfer sur la vague LGBT pour forcer le déstructuration des identités des peuples. La famille, les enfants sont les cibles principales, les points névralgiques de la structure de la civilisation européenne.
                            Le Ministre de l’Égalité de la gauche espagnole pro-LGBT Irene Montero fait la promotion de la pédophilie, si l’enfant est « consentant ». Comme si un enfant de 5 ans était en âge de savoir ce qui est bon pour lui en terme de relations sexuelles avec des adultes. Absolument ignoble.
                            Les associations LGBT militent pour la marchandisation du corps des femmes, leur fonction est de devenir un nid de productions d’enfants à vendre aux couples LGBT, qui peuvent ainsi acheter un gamin sur catalogue en quelques clics sur Internet. Le site « La gestation pour autrui » propose aux couples LGBT l’achat en ligne d’enfants nés par GPA, pour un tarif de base de 45 700 euros, la mère est choisie sur catalogue. La vie à naître, petit homme à l’image de Dieu autrefois sacrée dans la religion catholique, devient une marchandise tarifée qui se négocie comme un vulgaire meuble IKEA. La femme, autrefois symbole de la puissance de Sainte Marie dans toutes les Églises, protectrice des enfants, des plus faibles, annonciatrice de la victoire sur le serpent, devient un incubateur ambulant à louer.

                            Déconstruire la société patriarcale, cela veut aussi dire éliminer l’homme blanc hétérosexuel, symbole pour leurs militants de l’oppression subie par les minorités LGBT pendant des siècles. L’endoctrinement LGBT est donc profondément raciste.
                            Il n’est donc pas étonnant que la cause LGBT trouve dans l’organisation raciste anti-Blanc « Black Lives Matter » un allié de poids et de choc. Rappelons que le mouvement politique « Black Lives Matter » interdit aux Noirs d’acheter des produits dans des magasins tenus par des Blancs.
                            Le mouvement LGBT est à la pointe du combat pour faire légaliser l’avortement sous toute ses formes, une négation de l’humanité, quand une civilisation tue ses enfants en masse en refusant le « miracle qui sauve le monde » par lequel Hannah Arendt qualifiait la naissance, elle finit soit par s’éteindre, soit par être submergée. 
                            En Suède, la doctrine LGBT, devenue programme politique éducatif officiel dans les écoles, a un effet dévastateur et catastrophique sur le comportement des enfants adoptés par des couples gays. L’endoctrinement à ne plus les considérer comme garçon ou fille, mais totalement asexués (le gouvernement leur donne un nouveau genre « hen » neutre ni garçon/ni fille) engendre des perturbations psychologiques chez les très jeunes. 

                            • Joséphine Joséphine 24 avril 2023 12:20

                              La comparaison du LGTBétisme avec le fascisme est un peu hasardeuse, et surtout c’est un dévoiement historique car dans le fond l’idéologie LGTBQ-Woke trouve ses racines profondes chez les déconstructeurs de gauche. En effet, Trotsky en personne avait décrété que la FAMILLE traditionnelle était le dernier atavisme de la « bourgeoisie » qu’il fallait combattre. Cet appel à la destruction de l’ordre familial trouva un terrain fertile dans le mouvement soixante-huitard de gauche en France .« Mon corps, mon choix, vivre pour jouir, à mort la famille, à mort le patriarcat »....tout ceci a été largement promu par l’idéologie gauchiste, le but étant de créer un individu « neuf », universel et libéré de tout déterminisme social, familial et divin. Cela a donné lieu à d’inévitables dérives totalitaires comme nous le constatons aujourd’hui, mais en rien comparable avec le fascisme. C’est pire que ça ! 


                              Le LGTBétisme Woke est un nième rejeton progressiste de gauche. On échoue toujours à atteindre la RACINE des idéologies, par souci de « neutralité » , les racines du mal sont bien souvent occultées . 

                              Ces dérives progressistes posent néanmoins cette question intéressante : est-ce que tout doit être fait selon notre CHOIX, ou est-ce que nous devons RESPECTER LA NATURE (Dieu, lois et matières qu’aucun humain n’a créées) ? Les PROGRESSISTES (Macron , Mélenchon, Sandrine Rousseau , Caron....) répondent pour le choix absolu et ne voient pas d’inconvénients à ce que des homosexuels élèvent des enfants. Les CONSERVATEURS (ceux qui se font souvent taxer de fachos par ces mêmes progressistes) veulent au contraire reconnaître l’ordre naturel des choses, de Dieu et de la création (un papa, une maman) . 

                              Ce clivage est certainement le combat de ce siècle. 


                              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 26 avril 2023 08:42

                                @Joséphine
                                 
                                 ’’La comparaison du LGTBétisme avec le fascisme est un peu hasardeuse’’
                                  >
                                 Les deux sont des totalitarismes et in fine des anti-humanismes.
                                 
                                 Si la gauche rejette les fascismes et la droite les totalitarismes, le néo-libéralisme qui est l’association des prédateurs des deux camps ne rejette ni l’un ni l’autre, bien au contraire, de sorte que le néo-libéralisme triomphant est à la fois fasciste et totalitaire.
                                 Ce que nous observons désormais tous les jours.


                              • Yann Esteveny 24 avril 2023 12:39

                                Message à tous,

                                La lutte des classes est la promotion de la haine des classes différentes de la sienne.

                                Le féminisme est la promotion de la haine des hommes.

                                L’antifascisme est la promotion de la haine de la patrie.

                                Les « droits sexuels » sont une promotion de l’immoralité et de la perversité.

                                Votre histoire est une falsification, vos journalistes des professionnels du mensonge, vos scientifiques des vendus, vos intellectuels des serviteurs du discours officiel.

                                Vous êtes dans une société qui renie le règne du Christ-Roi.

                                Vous êtes dans une société où chacun s’accorde pour que le trône de France soit occupé par Satan qui n’a plus qu’a régner sur chacunes de vos vies.


                                • JACQUOU JACQUOU 24 avril 2023 12:41

                                  Que le reboutoneux du village dès fois y devient bi zarre, genre trance ! Qu’un jour notre saigneur y l’a cru que s’été une jeune princefesse qui avé trop bu et en l’honorifiant y s’est trouvé mortifié d’y trouvé une catapute en bon état de fonctionnarité !


                                  • alinea alinea 24 avril 2023 14:41

                                    Un point de jonction ? à écouter jusqu’au bout puisque sujets varient !

                                    Des lacrymos entre le boulanger et le magasin d’articles de pêche


                                    • Monika Mars Monika Mars 25 avril 2023 14:30

                                      Saines lectures : Grégoire Chamayou La société ingouvernable Les chasses à l’homme La théorie du drone Les corps vils


                                      • Monika Mars Monika Mars 25 avril 2023 14:31

                                        Pour les vrais curieux (à ce sujet, mais pas que) : Élo veut savoir Dragon Bleu TV Prune de prune (surtout sur crowdbunker) La cartouche Le partage Floraisons Mamans Louves Et bien sûr, Ariane Bilheran et Judith Reisman


                                        • Monika Mars Monika Mars 25 avril 2023 14:33

                                          Avez-vous lu Mircea Eliade, en particulier son Traité d’histoire des religions ?  Ce que j’en retiens, c’est que celles que nous connaissons (et même des « philosophies » et idéologies, dont le new age, FM, satanisme, etc.) n’ont fait que recycler et retricoter des pratiques, rites, rituels beaucoup plus anciens, principalement la peur et diverses tortures et sacrifices de sang, dont, outre la circoncision, la subincision.  Les « êtres » non humains des origines parfois considérés comme « dieux » fournissaient - imposaient, même - déjà l’exemple de l’androgynie, voire des chimères (cf le Minotaure etc.)


                                          • Monika Mars Monika Mars 25 avril 2023 14:34

                                            Si vous êtes solide, je vous suggère (sur crowdbunker, chez Prune de Prune) notamment cette vidéo :


                                            LA CLÉ de David n°3 - DANS LA MAISON DE L’HOMME FORT

                                            https://crowdbunker.com/v/Vqz2yef3BV


                                            • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 26 avril 2023 09:30

                                              Le peuple semble ouvrir les yeux. Dans le livre d’Ariane Bilheran sur le nazisme qui vient, elle cite Alexandra Henrion Caude qui est en tête des ventes avec son livre..


                                              • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 26 avril 2023 10:33

                                                Excellente nouvelle en Belgique. Sarah Schlitz, une antifas écolos démissionne. Ces mêmes antifas qui avaient jeté des seaux de mrd dans le local du café laïque à Etterbeek où juriste pour l’enfance et d’autres autorités intellectuelles étaient en congrès sur les dérives trans...


                                                • Alain Malcolm Alain Malcolm 27 avril 2023 13:33

                                                  Article très intéressant. Simple détail quand vous dîtes pour commencer « si l’on suit Durkheim, les états psychologiques de la bourgeoisie sont forgés par les conditions dans lesquelles elle existe, conditions émanant de la lutte des classes » vous marxisez Durkheim même si plus tard vous êtes plus clair en l’attribuant bien à Marx. Durkheim n’est pas le sociologue de la lutte des classes et d’ailleurs votre lecture marxiste du phénomène, en bonne marxiste, prétend craindre la déculturation-déshistorisation, alors que Marx le premier avec déculturé/déshistoré l’analyse sociale/sociologique. Si bien que je ne suis plus sûr de vouloir vous suivre, exactement dans la mesure où l’avènement de l’ultraféminisme et du LGBTisme constitue précisément une culture/histoire libéraliste de l’humanité et qu’il est normale dans l’Histoire que les cultures se succèdent, quoi que le libéralisme ait effectivement les défauts de nous réduire à notre animalité, mais cela va de paire autant avec le scientisme qu’avec l’animalisme voire l’antispécisme : ça biologise, donc zoologise, son monde, pour son Bien. Lisez Michéa, l’Empire du moindre mal, ou bien Murray, l’Empire du Bien. On comprend bien que ça craigne mais bon, l’être humain réduit à son Dasein angoissé ou la réalité-humaine réduite à son être-en-situation ça fait fascisé certes mais en fait c’est existentialiste.


                                                  • alinea alinea 30 avril 2023 12:10

                                                    @Alain Malcolm
                                                    C’est curieux votre méli-mélo, ce n’est pas un jugement mais un constat : le LGBTtruc ce n’est pas une autre culture, c’est une décadence, ( qui ne concerne que les occidentaux et affidés ) la même qu’on nous raconte à la fin de l’empire romain, ( c’est dire si l’on a évolué ) mais je veux insister sur le fait que le libéralisme est justement ce qui nous a éloigné de notre animalité, la drogue, la consommation, la violence contre les siens, il n’y a rien d’animal là ; et si vous pensez à la spiritualité qui n’existe plus, plus le sens du sacré non plus, ce ne sont pas des atouts spécifiques à notre espèce, mais c’est ce qu’on en fait qui est spécifique : or ces atouts ne peuvent surgir que chez un être qui a gardé instinct, intuition, sensibilité, empathie, créativité !
                                                    Toutes les philosophies post Lumières, sont l’expression d’humains qui ont confondu ésotérisme et obscurantisme, intuition et connerie et qui finalement ont fait croire à l’homme comme être culturel et non plus naturel, comme une victoire sur la Nature qu’il faut absolument dominer, maîtriser, jusqu’à la tuer, ce que l’ on fait aujourd’hui.

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