le travail précaire génère aussi beaucoup de risques professionnels : « la précarité du travail est associée à une dégradation des conditions de travail et de la situation des salariés précaire en matière d’hygiène et de sécurité (fréquence et gravité des accidents du travail et des maladies professionnelles). Il en résulte globalement que la fréquence des accidents de travail précaire est deux fois plus importante que la moyenne, et de plus ces accidents sont deux fois plus graves. »voir
Les insecticides néonicotinoïdes systémiques (acétamipride, thiaclopride, clothianidine, imidaclopride, thiaméthoxame, dinotéfurane …) agissent sur le système nerveux central des insectes : L’impact neurotoxique est plus modéré chez les mammifères, par rapport aux organophosphorés et aux carbamates. Mais leur absence de sélectivité est nuisible aux insectes pollinisateurs, dont les abeilles mellifères, ce qui a entrainé l’interdiction du traitement des semences avec des produits phytosanitaires contenant du clothianidine, du thiaméthoxame et de l’imidaclopride et bientot de toute la gamme si le vote récent des députés est entériné.
La compréhension des graves accidents dans les grands systèmes complexes industriels comme une centrale nucléaire ne peut se résumer à la recherche des causes ne prenant en compte que les circonstances immédiates de l’accident (ici le tsunami). L’approche systémique doit considérer tout l’environnement et chercher à comprendre pourquoi les défenses techniques, humaines et organisationnelles mises en place n’ont pas permis d’éviter l’accident : http://www.officiel-prevention.com/formation/formation-continue-a-la-securite/detail_dossier_CHSCT.php?rub=89&ssrub=139&dossid=519
une prévention efficace des risques doit nécessairement prendre en compte le facteur humain et cet aspect n’est pas toujours suffisamment considéré ; l’analyse comportementale est négligée souvent au profit de l’analyse de prévention traditionnelle, technique et organisationnelle. Pourtant, l’implication des employés est à la base de la culture sécuritaire : leurs comportements à risque sont à la source d’accidents, même si le poste de travail possède des dispositifs de sécurité et malgré de bonnes conditions de travail. Les « erreurs humaines » sont souvent révélées lors des expertises des accidents, ce qui confirme la nécessité d une meilleure prise en compte des aspects comportementaux dans la démarche globale de prévention : http://www.officiel-prevention.com/protections-collectives-organisation-ergonomie/psychologie-du-travail/detail_dossier_CHSCT.php?rub=38&ssrub=163&dossid=267