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Alain Rojo

Alain Rojo

Né en 1955, marié sans enfant, ingénieur en informatique de gestion, je vis au Brésil depuis 1997

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  • Premier article le 17/07/2006
  • Modérateur depuis le 14/03/2008
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Derniers commentaires



  • Alain Rojo Alain Rojo 31 octobre 2006 12:51

    Merci pour ce commentaire. Pendant des décennies, le Brésil a été un satellite des USA, qui a copieusement exploité le pays avec la bénédiction de ses dirigeants grace à la corruption. Sous le gouvernement Lula, je ne sais sincèrement pas ce que tout ça est devenu, c’est un sujet dont la presse ne parle jamais ici, je vais essayer de mieux me renseigner.



  • Alain Rojo Alain Rojo 31 octobre 2006 12:47

    Je pense que c’est un peu plus que ça. Lula a adopté une politique de développement durable très réaliste, basée sur le fait qu’une économie saine en expansion passe par la redistribution des profits aux plus pauvres, qui deviennent à leur tour des consommateurs et relancent l’économie dans une espèce de cercle vicieux. Quand je dis « apparent », c’est de ça que je veux parler, une économie apparemment de droite, mais qui profite pratiquement aux plus pauvres tout en dynamisant l’économie du pays.

    Merci pour votre commentaire.



  • Alain Rojo Alain Rojo 31 octobre 2006 12:42

    En effet, je n’ai pas voulu entrer dans les détails, et cette réforme en particulier a été mal vécu par les fonctionnaires. Il faut néanmoins savoir que, dans les précédents gouvernements, ceux-ci se sont petit à petit transformés en une caste privilégiée, et que leur système de retraite était un scandale comparé au secteur privé, où les pensions atteignent à peine le minimum vital pour seulement survivre. Lula a été obligé de couper dans les dépenses pour maintenir un excédent entre les recettes fiscales et les dépenses publique de 4,5%, qui lui a permis, entre autres, de supprimer la dette FMI et d’alléger la dette publique, contribuant ainsi à faire baisser le taux d’intérêt SELIC, base de la banque centrale pour tous les prêts au gouvernement. Moins de demande du gouvernement, taux d’intérêts qui baissent, financement de la dette publique qui se réduit, + d’argent disponible pour les plans sociaux. C’est économiquement simple, mais il faut trancher dans le lard pour y arriver, quitte à se rendre impopulaire de certaines franges de la société.

    Merci pour votre excellent commentaire.



  • Alain Rojo Alain Rojo 31 octobre 2006 12:32

    C’est peut-être l’apparence qu’il vous donne, mais il suffit de voir la reconnaissance dans les yeux des familles qui, grace à lui, peuvent enfin manger tous les jours, pour avoir une autre opinion.



  • Alain Rojo Alain Rojo 3 août 2006 04:21

    Oui, continue, car le peuple brésilien avait fondé un grand espoir sur Lula, imaginant que la corruption serait enfin absente de son gouvernement. Pour l’instant, on constate que ce mal transcende les partis politiques, et que le PT (parti de Lula) est aussi sensible à ce mal endémique que les autres partis.

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