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  • Premier article le 27/02/2015
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  • Alren Alren 8 mars 2016 17:24

    @Abou Antoun

    À mon rappel :Pi est le nombre sans dimension qui relie la longueur du diamètre d’un cercle dans un plan à la longueur du périmètre du cercle.
    Vous écrivez : « Définition historique et « naïve » ; voir l’a-parte sur les mesures des arcs et des surfaces. La chose ne va pas de soi.

    Je n’ignore pas que Pi apparaît dans des domaines où cela paraît curieux de le rencontrer comme les probabilités.

    Mais la définition donnée ci-dessus est parfaitement vraie et de ce fait n’a rien de ’’naïve’’. Pas plus que de dire par exemple que la somme des angles d’un triangle est un plat.

    L’auteur de l’article découvre des ’’curiosités’’ dans un nombre écrit en décimal. Or la base dix est arbitraire et liée à notre nombre de doigts aux mains. Est-ce qu’il y a les mêmes ’’curiosités’’ dans une autre base, dont la plus naturelle, la base deux ?

    Pi n’est qu’un nombre transcendant parmi une infinité d’autres.

    Non, Pi n’est pas un nombre ’’mystique’’ dans lequel je ne sais quel ’’initié’’ découvrirait les ’’secrets de l’univers’’. C’est cette croyance-là qui est ’’naïve’’ !!!



  • Alren Alren 7 mars 2016 19:11

    @beo111

    « Pi est un nombre univers. Quelque soit le nombre auquel on pense, il apparaît quelque part dans les décimales de Pi.  »

    Désolé mais ceci est FAUX ! Les décimales de Pi sont peut-être en nombre infini mais il existe une infinité de nombres qui ont un nombre infini de décimales ! Or il est évident qu’à chaque chiffre de Pi, on peut faire correspondre un chiffre différent et ce jusqu’à l’infini !

    Sachant que pour chaque chiffre de Pi, et en restant dans le système décimal qui n’est pas universel, on a le choix entre 9 chiffres différents, on prouve au contraire, qu’il y a une infinité de nombres que ne contient pas Pi, pas plus d’ailleurs que Pi n’est contenu dans eux.

    La spécificité de Pi, c’est qu’il faut peu d’information pour le définir : c’est le nombre sans dimension qui relie la longueur du diamètre d’un cercle dans un plan à la longueur du périmètre du cercle. Alors que pour ces nombres dont nous venons de parler, la manière la plus simple de les définir est de les écrire avec leur infinité de chiffres, ce qui est impossible concrètement.

    La présentation de Taverne relève de l’illusion un peu délirante qu’il y a une sorte d’ordre dans les décimales de Pi. D’habitude, c’est plutôt dans la succession des nombres premiers que l’on trouve ce genre de ’’découvreurs’’ abusés.



  • Alren Alren 7 mars 2016 18:19

    @christophe nicolas

    Si l’on n’avait pas construit le LHC, on se demanderait toujours, du moins les physiciens théoriciens, ce qu’on aurait pu apprendre en l’ayant fabriqué !

    Beaucoup d’entre eux espéraient sans doute, d’ailleurs, en secret que les découvertes permettraient de remettre en cause radicalement le Théorie standard, laquelle semble aujourd’hui à l’arrêt.

    L’humanité pourrait-elle se passer du LHC pour sa vie quotidienne ? La réponse est oui, évidemment. Mais à l’échelle de la planète, ce n’est pas une dépense si luxueuse que ça quand on la compare à celle des armements et des guerres que ladite humanité finance sans broncher, plutôt que d’éradiquer le faim ou assurer l’approvisionnement en eau potable par exemple.

    Bien d’autres coûteuses dépenses pour la science sont beaucoup moins utiles que celles du LHC.

    En premier lieu, on aurait pu ainsi se passer d’investir des milliards d’euros ou de dollars au choix dans la Station spatiale internationale ! Aucune découverte n’est ressortie de ce projet qui n’avait d’autre but, il est vrai, que 1) afficher aux yeux du monde la supériorité maintenue de l’industrie spatiale US sur toutes les autres et 2) pomper les finances européennes afin que l’argent manque en particulier pour le réseau Galiléo qui aurait surclassé le GPS. Grâce au zèle servile des Allemands, la deuxième partie du plan a été réussie : Galiléo ne fonctionne toujours pas.

    Au contraire, évidemment, la première partie du plan secret a été un échec complet après le fiasco prévisible de la navette spatiale. Ce sont les Russes qui tirent les marrons du feu.

    Il est peu probable que le projet ITER aboutisse à produire de l’électricité par fusion nucléaire. Mais au moins il permettra peut-être de découvrir des lois sur le plasma qui pourraient mieux éclairer, à l’image des résultats du LHC l’insaisissable essence de la matière.



  • Alren Alren 7 mars 2016 17:48

    @jocelyne

    « [le] snobisme consistant à utiliser des mots ’’anglais’’ pour faire ’’in’’ »

    À mon avis ce n’est pas seulement un snobisme, c’est un code social visant à signaler que l’on appartient à la classe éduquée, donc supérieure.

    Beaucoup d’auteurs et de commentateurs d’Agoravox sont apparemment sensibles à ce phénomène inconscient puisqu’il leur arrive de reproduire un texte en anglais sans le traduire, chose impensable si ledit texte était en allemand, en espagnol, en russe etc.

    Au temps du Bourgeois gentilhomme de Molière, c’était le latin qui jouait ce rôle discriminant.



  • Alren Alren 6 mars 2016 15:33

    @antyreac

    « Ce char ne fait pas le poids face à ses homologues occidentaux … »

    Les batailles de chars comme ceux qui ont eu lieu à Koursk durant la seconde guerre mondiale, c’est terminé. Tout simplement parce que les batailles dites asymétriques, entre un fort ’’ostensible’’ et un faible ’’clandestin’’ ont remplacé définitivement les affrontements entre puissances trop meurtriers et coûteux pour les deux camps ennemis.

    On voit dans les deux attaques de chars de la vidéo que les islamistes doivent s’approcher sans être vus du char immobile et mal camouflé. Or il existe d’efficaces détecteurs à infrarouge rendant cette manœuvre quasi impossible, même dans un environnement de ruines urbaines, à plus forte raison dans un espace dégagé. Si l’armée syrienne en été équipée l’attaque aurait sans doute échoué.

    Si le char n’a plus qu’un rôle second dans la bataille, il n’est plus nécessaire d’investir dans la haute technologie si coûteuse, et des blindés conçus il y a quarante ans suffisent si l’on peut leur adapter, comme c’est le cas sur la deuxième vidéo, des armes antimissiles.

    Les Étatsuniens travaillent d’ailleurs au successeur du char lourd avec un engin sur roues beaucoup plus rapide que sur chenilles et légèrement blindé seulement, mais bardé de capteurs relié à un puissant ordinateur capable de braquer très rapidement un ’’bouclier’’ mobile vers le danger détecté sur lequel viendra exploser la charge creuse du missile, à distance donc du corps du véhicule qui survivra de ce fait. Le bouclier sera sans doute à changer ultérieurement, mais ce sera un moindre mal.

    On peut aussi penser que l’ordinateur commandera beaucoup plus vite que l’être humain des armes tirant dans la direction du danger et capable de détruire le missile subsonique avant même qu’il atteigne le bouclier.

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