Le malheur est qu’aujourd’hui,
la crise économique préoccupe plus les dirigeants occidentaux,
que le réchauffement climatique .
Quant aux pays émergents, leur souci est de rattraper
leur
supposé retard face aux occidentaux, ou rétablir la différence des
niveaux, disons que eux aussi s’engagent dans la fuite en avant.